ACE CAFE RADIO

    lundi 19 novembre 2012

    never too late : Heidi Hetzer


    German crooner Udo Jürgens once sang "Mit 66 Jahren da fängt das Leben an", which translates to "Life starts at 66". We think Heidi Hetzer would beg to differ. This lovely lady is not only a local Berliner hero but also quite the serious competitor when it comes to automotive racing and all this at the age of 75. She is now planning to follow in the tire tracks of Clärenore Stinnes, who was the first woman AND the first person to drive around the world. If you are thinking that Heidi is planning her 2014 tour de force around the world in a modern car with all the luxurious amenities (GPS and seat heaters would come in handy) you are very much mistaken. Her vehicle of choice for this quest is a 1921 Hispano-Suiza. Now, how badly do we all want to be her co-pilot? What is left to say but good luck Heidi and Bon Voyage!
    Directed by Christopher Kippenberger from eGarage

    Never Too Late: Heidi Hetzer from eGarage on Vimeo.


    CRD #19: HONDA XR600








    Images courtesy of Rafa Gallar.

    The ‘Beatles Bentley’: Baby you can drive my car


    So this is another of John Lennon’s painted limos, to go with his ‘Gypsy Caravan’ Phantom V Rolls? No, the story is more interesting than that...
    Now known as the ‘Beatles Bentley’, the 1956 S1 standard steel saloon was once the property of 1960s fashion entrepreneur, Australian-born John Crittle.
    Crittle cut his teeth in psychedelic ‘60s tailoring working at Hung On You in Chelsea. The shop sold the classic outfits of the period: Art Nouveau, elaborate collared and cuffed shirts, tailored, high-collar double-breasted suits, and flowery shirts and ties.
    Expanding with the backing of 21-year-old Guinness heir Tara Browne (shortly to be killed in a Lotus Elan, the inspiration for John Lennon to write ‘A Day in the Life’) and Neil Winterbotham, Crittle opened his own shop, Dandie Fashions, in autumn 1966.
    The store soon became famous for supplying clothes to the likes of Jimi Hendrix, The Who, David Bowie and The Rolling Stones.



    Enter the Bentley. With business clearly booming, Crittle had bought the then 10-year-old car as a party machine, something in which to cruise the King’s Road and chauffeur friends, clients and the famous to and from clubs, the shop and homes in Chelsea.
    The colour scheme of the usually sedate Bentley was designed by the art student trio of Douglas Binder, Dudley Edwards and David Vaughn. Known as ‘BEV’, the threesome were first engaged by Tara Browne to paint the King’s Road storefront of Dandie (having also decorated his AC Cobra in a similar fashion), moving on to the Bentley before other works such as the famous Lord John shop in Carnaby Street.
    And the Beatles connection? Trading as ‘Apple Corps’, the famous foursome had started several business ventures, partly for tax reasons and partly in the spirit of the times. There was little profit to be made - but it was either put some money into the hands of like-minded young people or give it to the taxman.

    Thanks to links with Browne, supplying the Beatles with clothes and generally being in the scene, Crittle’s Dandie Fashions was absorbed into Apple Corps and the Chelsea store renamed ‘Apple Tailoring’.
    So you will see John Lennon at the opening party of Apple Tailoring, wearing a fun fur and polo-necked jumper. The new venture did not last long, though, as the whole ‘Beatles and business’ scene soon wound down.
    The car was on the balance sheet of the Apple Corporation while it owned the clothes shop, therefore becoming another honourable member of that exclusive club, a genuine ‘Beatles car’.
    Text: Steve WakefieldPhotos: www.beatlesbentley.com

    from

    CLASSIC DRIVER

    Tour de Belgique Historique : Deflandre-Rorife s'imposent


     
     

    Pour sa première édition sous la houlette de DG Sport et son duo Christian Jupsin/Robert Vandevorst, le Tour de Belgique Historique a rencontré un franc succès. Non seulement une septantaine d’équipages avaient d’emblée répondu présent, mais depuis vendredi soir à Chaudfontaine où avait été donné le départ officiel de l’épreuve après un Prologue sur le circuit de Zolder, jusqu’à dimanche soir, toujours à côté du Casino calidifontain, le public a fait honneur à l’évènement en se pressant en nombre sur certains Regularity Tests comme les côtes de Forêt-Trooz et Trasenster, les tronçons sélectifs organisés dans les régions de Froidchapelle et Huy, sans oublier les haltes dans des bistrots qui accueillaient des CH, au cœur de La-Roche-en-Ardenne (Café du Bronze) ou de Purnode (Café de la Place). Quant à l’arrivée de la caravane à Chaudfontaine, elle était saluée par une foule compacte, preuve que le label ‘Tour de Belgique’ est porteur.
    Pas de temps morts
    Sportivement, les équipages ont affronté une épreuve intense, où les temps morts n’ont guère été nombreux, surtout samedi. Aucun doit à l’erreur n’était dès lors permis entre Spa-Francorchamps, Jéhonville, Gedinne et Mariembourg. Dimanche, le nombre des RT était plus élevé, et le rythme tout aussi soutenu. Ajoutez des conditions météorologiques franchement automnales, de quoi notamment faire naître de jolies marres de boue en Hesbaye, ainsi que des rebondissements en pagaille entre Froidchappelle (et son célèbre Trèfle à Quatre Feuilles), Mettet, Houyet, les Fonds de Leffe, Yvoir, Villers-le-Temple et le Fond de Pousset, et vous obtenez une véritable épreuve d’endurance qui n’a guère épargné les automobiles d’antan, toutes construites avant 1975. Au bout du compte, c’est avec ‘la banane’ que les équipages ont rejoint l’arche d’arrivée, d’ores et déjà décidés à remettre le couvert dans une douzaine de mois…
    L’émotion en plus
    Si Alain Lopès et Georges Van Oosten (Porsche 911 Carrera 1974) ont pris la première partie de la course à leur compte, ils étaient relayés au sommet de la hiérarchie par Didier Simonis et Eric Damseaux (Ford Escort MK1 Mexico), qui entamaient l’étape dominicale en tête du classement. Victoire en vue ? Même pas ! Une crevaison dans le dernier Regularity Test ôtait toute chance de succès à l’Escort orange, qui glissait au 8ème rang. Tout profit pour la BMW 2002 1971 de Victor et Jérôme Guilmain ? Toujours pas… Là aussi, c’est une crevaison qui les pénalisait dans le final de ce Tour de Belgique Historique à suspense garanti !
    Il n’en fallait pas plus à Yves Deflandre et Robert Rorife (Alfa Romeo Giulia 1972) pour émerger en profitant de ce brin de chance qui a manqué à leurs adversaires, et remporter une victoire pleine d’émotions. D’abord parce que le double vainqueur du Rallye Neige et Glace n’en finit pas de garnir son palmarès, ensuite parce qu’en 1960, le papa de Robert Rorife avait déjà remporté le Tour de Belgique !« Lundi, la première chose que je ferai, c’est prendre ma coupe et aller rendre visite à mon père, désormais âgé de 88 ans, » déclarait Rorife. « Et je pourrai lui dire que moi aussi, j’ai gagné le Tour de Belgique ! »
    Au bout du compte, Deflandre et Rorife ont devancé Lopès-Van Oosten pour 17,52 points seulement, le podium final étant complété par Jean-Pierre Mondron et Yves Noelanders (Porsche 911 S 1973), qui ont haussé le ton en fin de parcours. Belles prestations également pour Robert Aerts et Eric Chapa (BMW 2002 Tii Touring 1973) d’une part, Johnny Delhez et Eddy Gully (Ford Cortina Lotus 1965) de l’autre, qui se retrouvaient également dans le top 5, ce dernier équipage étant néanmoins victime de deux pannes… d’essence ! En dépit de soucis d’alternateur d’un bout à l’autre du rallye, Daniel Reuter et Christian Bernard (Porsche 914/6 1970) ont pris la 6ème place finale, tandis qu’Eric Piraux et Catherine Monard (Renault 5 Alpine Gr.2 1979) ont fait honneur à leur réputation dans le monde des épreuves de régularité.
    Tableau d'honneur
    Dans les classes, les victoires sont revenues à Michel Andernack et Yves Dambrain (avec une superbe Matra Djet 5S 1967 ex-Georges Hacquin, Cl.1), Johnny Delhez et Eddy Gully (Ford Cortina Lotus, Cl.2), Yves Deflandre et Robert Rorife (Alfa Romeo Giulia, Cl.3), Jean-Pierre Mondron et Yves Noelanders (Porsche 911 S, Cl.4) et Alain Lopès-Georges Van Oosten (Porsche 911 Carrera, Cl.5). Si Catherine Monard est la première dame apparaissant dans le classement, Marie Honin et Mathilde Bagdon (Toyota 1000 1974) ont remporté la coupe du meilleur équipage 100% féminin, les membres des ‘Routes de Nuit’ le trophée de la meilleure équipe, et l’équipage composé d’Olivier et André Renaud la coupe récompensant la voiture la plus originale, en phase avec l’esprit du Tour de Belgique du début des années ’70, en l’occurrence une superbe Panhard Dyna X 1952 affichant la coquette puissance de… 35 chevaux ! Un bris de boîte a entravé l’évolution de la populaire française le samedi, mais dans la famille Renaud, on ne renonce jamais, et après quelques heures de mécanique, la Panhard reprenait sa place dans la caravane ce dimanche.
    De cette édition de la renaissance, on retiendra encore la sympathique présence de Benoît Musch et Benoît Poffé, vainqueurs d’un concours organisé en collaboration avec Classic 21, qui ont pu découvrir toute l’ambiance des épreuves de régularité historique à bord d’une BMW 1602 Ti qu’ils ont fièrement amenée à l’arrivée en 47ème position. Mission accomplie. Quant à Michel Closjans et Nicolas Gilsoul (Porsche 356 1954) d’une part, Willy Braillard et Willy Lux (Porsche 911 T 1965) de l’autre, ils ont fait mieux que se consoler en se montrant les plus efficaces sur les circuits de Zolder et Spa-Francorchamps pour la première nommée, Mettet pour la seconde.
    C’est dans la bonne humeur que s’est donc refermée la première édition de ce Tour de Belgique Historique ‘made by DG Sport’. Et la décision est d’ores et déjà prise, dans un an, toujours au départ de Chaudfontaine, le millésime 2013 battra son plein. Le rendez-vous est déjà pris…(COM - photo E. Coppée)   
    - Classement final : 1. Yves Deflandre – Robert Rorife (Alfa Romeo Giulia 1972), 227,76 pts (1er Cl.3) ; 2. Alain Lopès – Georges Van Oosten (Porsche 911 Carrera 1974), 245,28 pts (1er Cl.5) ; 3. Jean-Pierre Mondron – Yves Noelanders (Porsche 911 S 1973), 285,47 pts (1er Cl.4) ; 4. Robert Aerts – Eric Chapa (BMW 2002 Tii Touring 1973), 288,99 pts ; 5. Johnny Delhez – Eddy Gully (Ford Cortina Lotus 1965), 294,00 pts (1er Cl.2) ; 6. Daniel Reuter – Christian Bernard (Porsche 914/6 1970), 297,10 pts; 7. Eric Piraux – Catherine Monard (Renault 5 Alpine Gr.2 1979), 334,98 pts ; 8. Didier Simonis – Eric Damseaux (Ford Escort MK1 Mexico), 338,30 pts; 9. Pierre Hubin – Pierre Moray (Opel Commodore 1972), 342,56 pts ; 10. Michel Andernack – Yves Dambrain (Matra Djet 5 S 1967), 365,35 pts (1er Cl.1) ; 11. Dominique Dufrasne – Patrice Simon (Volvo Amazon 1965), 383,60 pts ; 12. Baudouin Lempereur – Eric Driesen (Alfa Romeo GTV 1972), 394,96 pts ; 13. Ruben Maes – Filip Deplancke (Porsche 911 T 1968), 398,60 pts ; 14. Michel Closjans – Nicolas Gilsoul (Porsche 356 1954), 423,62 pts ; 15. Bernard Jacquet – Yannick Albert (Toyota Celica GT 1972), 500,24 pts ; 16. Victor Guilmain – Jérôme Guilmain (BMW 2002 1971), 504,65 pts ; 17. Tony Kevers – Baudouin Halleux (Mini Cooper Innocenti 1975), 557,75 pts ; 18. Georges Tomsen – Claudy Content (Opel Kadett GT/E 1974), 636,62 pts ; 19. Eric Van Peer – Jean-Luc Fraikin (BMW 2002 Tii 1972), 746,80 pts ; 20. Alain Domoniczak – Romain Dominiczak (Triumph Dolomite Sprint 1975), 906,00 pts ; 
    from http://sport.turbomagazine.be

    Peter Lindbergh: The wildones wild at heart







    vogue • september 1991
    girls • linda/cindy/helena/naomi/claudia/tatjana/karen

    Secrets of the Ferrari museum


    Where are all the classics, race cars and prototypes kept when not on display in the Ferrari museum? During a recent visit to the hallowed premises in Maranello, we discovered perhaps the most valuable garage in Italy. 



    Okay, so it might not be the best-kept secret – the cars are, in fact, publicly accessible in one of the halls of the Ferrari factory grounds in Maranello. But if you’ve visited the factory recently and not taken a detour through the hall where they are stored, you might well have missed these particular treasures. Take, for example, the 225mph precursor to the F40, the 288 GTO Evoluzione (one of just five built).


    Alongside the special 288 GTO is a later member of the same lineage: the F50. Other contemporary cars of note include an early prototype of the 360 Modena and the 550 Barchetta – the latter patiently waiting to enter the classic car hall of fame. Also on display is the 612 Scaglietti of 2005 which completed a 15,000-mile tour of China. And one would predict that it won’t be the last Prancing Horse to complete an epic Oriental journey, given the country’s growing importance in the luxury car market.


    The 'Golden Era' is represented by a Ferrari 250 S Vignale, the very example which Giovanni Bracco and Alfonso Rolfo famously steered to victory at the 1952 Mille Miglia. Also from the Scuderia stables, albeit 35 years later, is the former workhorse of Gerhard Berger: the 1987 F1/87. Considering that these legends reside only a few steps away from where the engines of the current Ferrari models are manufactured, this ‘intermediate parking’ might actually be no coincidence – after all, what could possibly be a better inspiration for the engineers and mechanics than to see these legends every day? Certainly beats nattering around the water cooler. 
    from Classic Driver.com
    Text & Photos: Jan Baedeker