vendredi 4 janvier 2013
MINI attempts the first unassisted 360° backflip in a Countryman JCW
MINI has teamed up with French daredevil Guerlain Chicherit to attempt the world's first "unassisted 360 degree backflip" in an automobile.
Using a specially modified John Cooper Works Countryman, Chicherit drives up a ramp and manages to jump the height of approximately five shipping containers. While we don't get to see the landing, the Countryman likely reached a height of roughly 11.9 meters (39 feet).
The full video should be released shortly, but in the meantime the standard model has a turbocharged 1.6-liter four-cylinder engine that develops 218 HP (160 kW) and up to 300 Nm (221 lb-ft) of torque. It enables the crossover to accelerate from 0-100 km/h in 7.0 seconds and hit a top speed of up to 225 km/h (140 mph).
Source: MINI
EL SOLITARIO ‘BAULA’ BMW
Custom motorcycles are a mix of art and engineering—and there’s a tension in that mix. Trends develop, and quickly become cliché. But occasionally a builder bucks the trend so hard that it literally stops people in their tracks.
That’s what happened six months ago at the Wheels & Waves show in Biarritz, France. Crowds gathered around this BMW, which was given a brief outing by Spanish builder David Borras and hisEl Solitario MC crew.
‘Baula’ is based on a 1969 BMW R75/5 and it’s the result of six months’ hard work, from design to the fabrication of dozens of parts. “The inspiration was a mixture of the 1939 TT-winning BMW Rennsport and the art deco Henderson,” Borras reveals.
El Solitario completely rebuilt the motor and suspension, and the restored frame is now nickel-plated. The fishtail pipes are from a Velocette Thruxton, but it’s the huge Hoske long-range tank that dominates the looks.
The electrics are all-new, with a Silent Hektik coil and an electronic ignition system at the heart of it. A featherweight AntiGravity lithium battery provides juice, and the instruments are from Motogadget.
The metalwork is entirely new and hand-made. The fairing, molded around twin Bates headlights, sports a pair of brown Lexan polycarbonate resin windows. At the back, custom-made racks house vintage Buco Panniers.
Handmade bars are finished with leather grips and matched to Royal Enfield levers. The BMW now rides on Excel Takasago 18” aluminum alloy rims, more often found on motocross bikes.
And why the name ‘Baula’? It’s the Spanish word for a leatherback turtle. Like this BMW, it’s an ungainly yet strangely elegant creature. And impossible to ignore or forget.
Cycle World has just published an excellent piece about El Solitario and their exploits; Read it here. Then keep in touch with the adventures of Borras and his crew via the El Solitario Facebook page.
Images by Kristina Fender.
via BIKEEXIF
BMW HP2 Sport SpeedCruiser by Wunderlich
We just talked about the special relationship between German after-market company Wunderlich and talented French designer Nicolas Petit just a few days ago, when we presented the wicked BMW R1200S Wunderlich Concept (a graphic rendition of a sportsbike powered by the new air- and water-cooled boxer engine of the latest R1200 GS) and, before that, when we introduced the jaw-dropping S1000 RR “Mad Max”.
The first actual outcome of this partnership actually came out about a year ago, and it was this awesome BMW HP2 Sport SpeedCruiser, a special rendition of the HP2 Sport created by the French designer and then brought to life by the German masters. The term ‘Wunderlich’ in German means ‘wonderful’, and looking at what they were able to do with this bike we understand why: this HP2 Sport SpeedCruiser presented itself as a wicked street-fighter that had lost none of its original BMW appeal, with many hallmarks of the Bavarian house that were still clearly recognizable in spite of the unique design of the model.
Apparently, one of the main problems for the engineers when it came to convert the concept on paper into a real bike was to effectively integrate the typical telelever front suspension of HP2 in the initial concept, but as you can see from the pictures featured in our photo galleryMonsieur Petit got that brilliantly sorted out in his favor. The changes to the bike are numerous and include a new tank, new saddle and unusual head- and tail-lights (check out the diminutive one at the back, at the end of the saddle). All these modifications are available as a whole with a special ‘SpeedCruiser’ kit that can be installed with no changes to either the frame, the chassis or the engine. In addition, other optional parts can be added to this kit by choosing from the vast Wunderlich catalogue, that can be consulted through the officialWunderlich website.
via TWOWHEELSBLOG
Dakar 2013 : ce qu’il faut savoir
Toujours gêné par une blessure à l’épaule gauche, Marc Coma ne se présentera pas au départ du Dakar 2013. La lutte pour le titre à moto sortira du cadre d’un duel entre l’Espagnol et Cyril Despres.«Avec ma condition physique actuelle, je ne peux pas affronter le Dakar en étant à 100%. Mais ce n’est qu’une parenthèse. Marc Coma est encore là pour un moment», a déclaré le pilote KTM lors d’une conférence de presse à Barcelone.
Le forfait de Coma modifie radicalement la donne dans la conquête du titre, Cyril Despres se présentant comme le favori le plus logique en l’absence de son rival le plus régulier ces dernières années. A l’examen des classements des dernières éditions, Helder Rodrigues se positionne comme son concurrent le plus menaçant, avec deux places sur le podium en 2011 et 2012. Mais le Portugais devra composer avec l’absence de deux de ses coéquipiers, les forfaits du Brésilien Felipe Zanol et du jeune anglais Sam Sunderland ayant été officialisés il y a quelques jours par Honda.
Depuis l’année 2005, les deux pilotes KTM se sont partagés les titres (4-3, avantage France), mais ont également remporté 43 des 90 spéciales disputées ! L’analyse déductive la plus logique, mais aussi la plus simpliste, conclurait que Despres a le champ libre pour faire le break et accroître son avantage au palmarès, en allant cueillir un cinquième titre à Santiago. Ce n’est pas le point de vue de l’intéressé, trop conscient des aléas de l’épreuve pour se réjouir de l’hypothétique boulevard qui lui est offert : «Pour Marc, le Dakar s’est joué sur une herbe à chameaux, comme nous en croisons des milliers. Lorsqu’on me dit que maintenant je suis tout seul, cela me fait un peu sourire : des herbes à chameaux, des pierres, des montées et des descentes, on va en avoir des tonnes», déclare le tenant, qui pourrait aussi bénéficier de l’apport d’un consultant de luxe sur le bivouac. «Marc m’a dit qu’il serait là à Lima, et s’il reste sur le rallye, il est certain que ce sera un avantage en termes de stratégie, de préparation du road-book, etc.»Habitué à se concentrer avant tout sur sa propre performance, Despres note aussi que «de nombreux pilotes vont penser un peu plus sérieusement au podium». L’annonce du forfait de Coma pourrait bien avoir un effet psychologique décomplexant sur tous les anciens faire-valoir du duo ! Et en cas d’accélération brutale du processus de rébellion, les éventuels candidats au putsch sont nombreux. Ceux qui ont déjà connu les honneurs du podium, d’abord, ont de bonnes raisons de se sentir libérés :Francisco « Chaleco » Lopez, 3e en 2010, tient une opportunité de s’imposer dans la capitale chilienne, et n’a jamais été meilleur qu’à domicile (4 victoires d’étapes au Chili) ; David Frétigné, 3e en 2009, fait son retour sur le Dakar et chez Yamaha avec de très hautes ambitions ; le Portugais Helder Rodrigues, qui a justement quitté Yamaha pour Honda, a été le premier poursuivant de Despres et Coma en 2011 comme en 2012 ; tandis que David Casteu, présent sur le dernier podium célébré au Lac Rose en 2007, n’a pas dit son dernier mot.
Le forfait de Coma modifie radicalement la donne dans la conquête du titre, Cyril Despres se présentant comme le favori le plus logique en l’absence de son rival le plus régulier ces dernières années. A l’examen des classements des dernières éditions, Helder Rodrigues se positionne comme son concurrent le plus menaçant, avec deux places sur le podium en 2011 et 2012. Mais le Portugais devra composer avec l’absence de deux de ses coéquipiers, les forfaits du Brésilien Felipe Zanol et du jeune anglais Sam Sunderland ayant été officialisés il y a quelques jours par Honda.
Depuis l’année 2005, les deux pilotes KTM se sont partagés les titres (4-3, avantage France), mais ont également remporté 43 des 90 spéciales disputées ! L’analyse déductive la plus logique, mais aussi la plus simpliste, conclurait que Despres a le champ libre pour faire le break et accroître son avantage au palmarès, en allant cueillir un cinquième titre à Santiago. Ce n’est pas le point de vue de l’intéressé, trop conscient des aléas de l’épreuve pour se réjouir de l’hypothétique boulevard qui lui est offert : «Pour Marc, le Dakar s’est joué sur une herbe à chameaux, comme nous en croisons des milliers. Lorsqu’on me dit que maintenant je suis tout seul, cela me fait un peu sourire : des herbes à chameaux, des pierres, des montées et des descentes, on va en avoir des tonnes», déclare le tenant, qui pourrait aussi bénéficier de l’apport d’un consultant de luxe sur le bivouac. «Marc m’a dit qu’il serait là à Lima, et s’il reste sur le rallye, il est certain que ce sera un avantage en termes de stratégie, de préparation du road-book, etc.»Habitué à se concentrer avant tout sur sa propre performance, Despres note aussi que «de nombreux pilotes vont penser un peu plus sérieusement au podium». L’annonce du forfait de Coma pourrait bien avoir un effet psychologique décomplexant sur tous les anciens faire-valoir du duo ! Et en cas d’accélération brutale du processus de rébellion, les éventuels candidats au putsch sont nombreux. Ceux qui ont déjà connu les honneurs du podium, d’abord, ont de bonnes raisons de se sentir libérés :Francisco « Chaleco » Lopez, 3e en 2010, tient une opportunité de s’imposer dans la capitale chilienne, et n’a jamais été meilleur qu’à domicile (4 victoires d’étapes au Chili) ; David Frétigné, 3e en 2009, fait son retour sur le Dakar et chez Yamaha avec de très hautes ambitions ; le Portugais Helder Rodrigues, qui a justement quitté Yamaha pour Honda, a été le premier poursuivant de Despres et Coma en 2011 comme en 2012 ; tandis que David Casteu, présent sur le dernier podium célébré au Lac Rose en 2007, n’a pas dit son dernier mot.
Le Dakar 2013 pourrait également signifier un changement de génération dans la catégorie. Ceux qui semblaient jusqu’ici attendre leur heure considéreront peut-être qu’il est temps de précipiter la sortie des maîtres de la discipline. Et dans ce domaine, malgré l’absence de Coma, le clan catalan n’est pas en reste. Son porteur d’eau des dernières années, Juan Pedrero, ne récupèrera pas la moto de son leader, confiée à la star américaine du tout-terrain Kurt Caselli, mais tentera tout de même de profiter de l’appel d’air. Le discret Jordi Viladoms, 4e en 2012, peut lui aussi sortir de sa réserve et saisir une éventuelle opportunité. Surtout, Joan Barreda a fait sensation ces deux dernières années, et à 29 ans, devrait avoir la maturité pour honorer ses belles promesses. C’est d’ailleurs lui qui est resté le plus proche de Despres sur le rallye du Maroc. Moins de sept minutes séparaient les deux hommes à l’arrivée, c’est-à-dire bien moins que ce que n’importe qui perd sur un problème de mousse ou d’arrivée d’essence, une mini-faute de navigation… une herbe à chameaux ! Enfin, restent à surveiller pour Despres les Verhoeven, Gonçalves ou Przygonski. La sagesse lui imposera de ne pas se disperser.
Sur une info ASO pour www.dakar.com
La 35e édition en brefLe parcours et les dates
2, 3 et 4 janvier 2013
Le site des vérifications techniques et administratives est installé dans le quartier de Magdalena, où seront convoqués des concurrents sud-américains dès l’après-midi du 2 janvier. Le « Village Dakar », lieu de rencontre entre les concurrents, les partenaires de l’épreuve et les spectateurs, jouxte le parc fermé où les véhicules attendront le départ.
Le site des vérifications techniques et administratives est installé dans le quartier de Magdalena, où seront convoqués des concurrents sud-américains dès l’après-midi du 2 janvier. Le « Village Dakar », lieu de rencontre entre les concurrents, les partenaires de l’épreuve et les spectateurs, jouxte le parc fermé où les véhicules attendront le départ.
5 janvier
Avant de prendre la route pour la première spéciale du Rallye, les concurrents du Dakar 2013 sont présentés au public sur un podium monté sur la plage de Chorrillos : spectacle à suivre de 8h à 13h30.
Avant de prendre la route pour la première spéciale du Rallye, les concurrents du Dakar 2013 sont présentés au public sur un podium monté sur la plage de Chorrillos : spectacle à suivre de 8h à 13h30.
5 au 20 janvier
Rallye Dakar au Pérou, en Argentine et au Chili
Rallye Dakar au Pérou, en Argentine et au Chili
13 janvier : bivouac de San Miguel de Tucuman
Depuis que le Dakar est arrivé en Amérique du Sud, la journée de repos n’a jamais été placée aussi loin du départ. Rallier Tucuman après 8 jours de course sera à n’en pas douter une première victoire pour de nombreux pilotes et équipages. Une fête y est prévue, à la mode argentine, avec concert de rock… et Village Dakar.
Depuis que le Dakar est arrivé en Amérique du Sud, la journée de repos n’a jamais été placée aussi loin du départ. Rallier Tucuman après 8 jours de course sera à n’en pas douter une première victoire pour de nombreux pilotes et équipages. Une fête y est prévue, à la mode argentine, avec concert de rock… et Village Dakar.
20 janvier : plaza de la Constitucion, Santiago
La capitale du Chili accueille pour la première fois l’arrivée du Dakar. Après plus de 8 000 kilomètres parcourus depuis Lima, seuls les plus résistants seront appelés à célébrer la fin de l’aventure sur le podium d’arrivée, face au Palais de la Moneda. Applaudissements, ovations, remise des trophées : 10h – 16h.
La capitale du Chili accueille pour la première fois l’arrivée du Dakar. Après plus de 8 000 kilomètres parcourus depuis Lima, seuls les plus résistants seront appelés à célébrer la fin de l’aventure sur le podium d’arrivée, face au Palais de la Moneda. Applaudissements, ovations, remise des trophées : 10h – 16h.
La liste des engagés engagés dakar 2013
from enduromag.fr
DAKAR 2013 : The great escape !!!
M&M Customs Honda CB550
Mike McFadden of M&M Customs located in Owensboro, Kentucky has built a few notable customs and cafe racers that have captured a lot of attention, and this gorgeous 1974 CB550F is probably our favourite to date.
Like many bike builds this story starts out on Craigslist looking at bikes within a 50 mile radius. I came across a bike located in Jasper, Indiana, a 74 CB550 on low miles and priced for my wallet. I called up the owner and set up a time to check out the bike.
The bike was out in the rain on a hillside in front of the home. I looked the bike over and I noticed it had some mud caked to the cases and was dirty as hell but it sounded great and fired up, with only 13,000 miles on the odometer and no smoke. The owner had a 16yr old son who was using it for a dirt bike and he wanted him off of it, so I knew I could get it pretty cheap. I offered $600 and loaded the bike up.
I unloaded the bike the following night and made a quick video walk around and started it up. The bike was still in its original clothing and had an awesome King and Queen seat on it. I then started to do the old draw it up on a napkin at work and run the ideas around the break room table and we all decided that a old school racer like in the 60’s would be cool but without any fairings. So began the process of cutting, hacking and redesigning the bike to its present state.
The first thing to go was the original tank which I replaced with a Legendary Dunstall and a tail section. The guys at Dime City set me up with all I needed. I modified the tail section to fit up with the tank and designed a cleaner looking brake light. I like to call the new tail light my Urinal Trap lamp. Just look at it and you will see what I’m talking about.
The sub frame was removed and replaced with a newer flowing style that would change the looks just enough to make a person ask why? I used milled stainless rods for supports and to take up the wide space and the reason I used the stainless was for a little flexing but also offering some rigidity. The bike’s color scheme came to me one night watching the old SX action back in the early 90’s of Jeff Stanton and the old Red and White Cr250’s I always loved the white frames on those.
The only thing about the white was wearing through the sides of the frame and exposing the metal so I decided to use a industrial bed liner material to save the paint and also to break it up a bit. I also have it on the swing arm for protection from rocks and the chain hitting it. Rearsets from Loaded Gun where painted. The headers where modified at the intakes to 2 into 1. The front fender was cut from the original and cleaned up and painted.
The motor is pretty much stock but the carburetors have been upgraded to CR’s and the coils and ignition are from Dyna. I did a little drilling and copper work to the motor and sprayed some color on the jugs to wake it up some and polished the rest of the stuff. Everything on the bike has been done in-house from body modifications to paintwork.
The 550 was completed 8hrs. Before the Barber Vintage festival in Birmingham Alabama and we trucked down there just in time to make it into the Ace Café Corner. The bike ended up with the Best Café Custom of the weekend and the crowd response was awesome to say the least.
The one thing that made the weekend so special was going out on a Builder Ride with all the companies I’ve dealt with and the coolest part was meeting and riding with Mark from Ace Cafe and Steve “Carpy” Carpenter. These guys are the originals and to lead the way and have comments of “Way to ride the shit out of that bike mate” made my day!
Mike McFadden.
Mike McFadden.
The “Best Cafe Custom” award at the Barber Vintage Festival says it all really. It’s a stunning bike laden with some really unique details. We very much look forward to featuring more of Mike’s bikes in the future.
ROYAL ENFIELD & McDEEB 500
from obiboi via motosketches.
Jaguar E-Type 3.8 SI ‘Low Drag Coupé’
For those with a yearning to go historic motor racing, a competition E-type is an excellent place to start. Fast, drop-dead gorgeous and straightforward to drive, the cars are also eligible for many events worldwide. We found this one from Classic Driver dealer Taylor & Crawley, a perfect car for the 2013 season.
The famous ‘Lightweight’ series of cars produced by Jaguar in the early 60s has passed into legend. Nowadays, entry to the ‘Lightweight E-type club’ has a hefty multi-million-dollar price tag, and they are rarely seen outside the Goodwood Revival or Pebble Beach.
Original Lightweights aside, with their all-aluminium bodywork, 5-speed gearboxes, alloy blocks and fuel-injection, the model was raced in various stages of tune all over the world throughout the 1960s.
And it’s a potent force in today’s historic racing, with the Jaguar factory-supported E-type Challenge providing thrilling racing for spectator and competitor alike.
This car has been fully race-prepared at Blakeney Motorsport and is an accurate recreation of one of the most famous original Lightweights, the Lindner/Nocker streamlined ‘Low Drag Coupé’ that raced at Le Mans, the Nürburgring and Montlhéry.
Under the bonnet lies a 340bhp, 3.8-litre straight six with a ‘wide-angle’ head and dry sump lubrication. Its monocoque tub and bodywork, by RS Panels, is in aluminium, and the car has a Premier FIA safety fuel cell as well as an FIA-standard fire system.
What more do you need.
What’s that, 'a trailer'? No, the FIA-papered car is road-registered so you can 'do it the old way'; get up early and drive to Silverstone for an action-packed day on the track and then drive home again. With a big smile on your face, obviously.
Related links You can find out more about this Jaguar E-type 3.8 SI ‘Low Drag Coupé’, as well as all the cars offered by Taylor & Crawley, in the Classic Driver Marketplace. |
Text: Classic Driver
Photos: Taylor & Crawley
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