lundi 1 avril 2013
Toyota Proace to compete in British Touring Van Championship
Three independent touring car teams
The Toyota Proace will take part in the 2013 British Touring Van Championship.
Three independent touring car teams will use a race-prepared Toyota Proace for this season. Championship spokesman Gideon Gleman says thanks to Proace's capabilities of carrying up to 1.2 tons in its 7m3 loadspace, teams can transport all the necessary equipment in the van, without the need of catering wagons or trucks.
The Toyota Proace underwent an in-depth test program and its handling has been tweaked through "24-hour lane-switching maneuvers on the M62." Further testing will be conducted next month at the Nürburgring, before its racing debut scheduled for July when the season starts.
PS: Toyota says Happy April 1.
Source: Toyota
via Woldcarfans
NOGARO : FIA GT Series : pénalités en série, le triplé WRT devient un doublé...
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C'était trop beau... Le triplé des Audi du WRT à Nogaro s'est transformé en un doublé sur le tapis vert ! Les vainqueurs René Rast et Niklaus Mayr-Melnhof ont en effet été pénalisés de 30 secondes, le moteur n'ayant pas été arrêté à temps lors du retour au stand. Le duo germano-autrichien laisse la victoire à Stippler-Sandström devant Ortelli-Vanthoor et Buhk-Day. Enzo Ide et Anthony Kumpen grimpent également d'un rang pour se retrouver - excellents - 4es.
Loeb-Parente également pénalisés
Mais alors qu'ils pensaient être classés au 5e rang, Loeb-Parente ont également eu droit à une sanction après la course. Ayant dû purger un drive through en raison d'une erreur de l'Alsacien qui a détendu son harnais trop tôt lors de son retour au stand, l'équipage de la McLaren a en plus encaissé une pénalité de 30 secondes à cause de l'accrochage entre le Portugais et Rast. Résultat : le champion du monde des rallyes et son équipier dégringolent à la 12e place finale de cette course dont on se demande quand il sera possible d'établir le véritable classement ! A première vue et sous toutes réserves, il semble que Campanico-Viera sont 5es devant... Rast-Mayr-Melnhof et Ordonez-Buncombe. Quant à Wolfgang Reip, auteur d'un solide premier relais au volant de la Nissan GT-R, il apparaît en 14e position de la hiérarchie, son équipier russe n'ayant pu conserver la cadence.
via Turbo Magazine
1968 Benelli 349cc | Wards Riverside
By the end of 1960s the rise of Japanese manufacturers caused a major crisis in the Europeanmotorcycle industry.
Benalli the original company was heavily involved in the American motorcycle market, they were selling motorcycles under 350cc through Montgomery Ward . Montgomery Ward was founded as the world’s #1 mail order business in 1872 by Aaron Montgomery Ward. Montgomery Ward(later known as Wards) sold various mopeds, motorcycles and scooters, including Motobecane,Lambretta, Mitsubishi, Bianchi and Benelli, the latter’s products being marketed under the‘Wards Riverside ‘ brand name.
The arrival of competition from Japan led to Benelli losing its popularity, as they were perceived as old-fashioned in comparisons to Honda’s of that same era, which sported overhead cam engines with electric starters.
The Benelli you see here is believed to have previously formed part of a private collection in Ireland before it was sold by a dealer in Southport. The machine was then stripped down and completely rebuilt. The front end was discarded but the original frame, swingarm, tank, rear hub and the Benelli 349cc engine was retained.
‘New-old-stock’ Paoli forks were fitted and the taper-roller head bearings were modified to suit the look of the bike. The wheels were rebuilt with 18-inch alloy rims and stainless spoke/nipples shod with ‘new-old-stock’ Dunlop ‘triangular racing tyres. A Grimeca 4LS front brake was acquired for this build, new clip-ons and control leavers were fitted with Sebac shock absorbers. The bike also features Norton rear-sets, Elliot rev counter and Boyer electronic ignition.
We just added this Benelli to the list of bikes we wouldn’t mind taking for a ride!!
Visit - Bonhams
via motorivista
Nogaro : BELGIAN AUDI CLUB TEAM WRT RAFLE TOUS LES OEUFS DE PÂQUES !
Qui l'eût cru ? Le classement de la course principale du meeting FIA GT Series de Nogaro donne Audi - Audi - Audi, toutes étant du Belgian Audi Club Team WRT. Pourtant, seule la #12 de Rast/Mayr-Melnhof pouvait préténdre à une belle place finale en partant de la 1ère ligne puisque Ortelli/Vanthoor s'élançaient de la 8ème ligne et Stippler/Sandström de la dernière. Les pilotes du team de Vincent Vosse, René Verbist et Yves Weerts ont fait le show durant l'heure de course et on peut clairement dire qu'ils sont allés chercher le triplé au forceps. Les six pilotes ont fait étalage de leur talent, notamment Laurens Vanthoor en fin de course avec un magnifique dépassement sur une Mercedes. Après un doublé l'an passé, l'équipe belge repart du Gers avec un triplé en s'octroyant le maximum de points en Pro-Cup (Sandström/Stippler) et Pro-Am Cup (Rast-Mayr-Melnhof). Comme la veille, la Ferrari 458 Italia/Team SOFREV-ASP de Barthez/Tonelli s'est imposée en Gentlemen Trophy, sans grande constestation. La Mercedes SLS AMG GT3/HTP Motorsport de Buhk/Day s'est très bien comportée en terminant au pied du podium. Une autre Audi R8 LMS ultra a fini dans le quinté de tête avec celle du Phoenix Racing de Ide/Kumpen.
Partie de la pole, la McLaren MP4-12C/Sébastien Loeb Racing s'est finalement classée au 6ème rang après une pénalité (drive through). Le nonuple Champion du Monde WRC s'est détaché trop tôt lors du ravitaillement de la #9. Une chose est sûre, le Sébastien Loeb Racing répond présent avec ses deux équipages et il est clair que l'équipe française aura à coeur de faire tomber les Belges sur leurs terres (Zolder) dans trois semaines. Avec cinq Audi R8 LMS ultra dans les sept premiers, pas sûr que le kit 2013 soit homologué pour le prochain round...
Le film de la course...
La pluie est bien présente à Nogaro au moment où les autos partent s'installer sur la grille de départ. Accidentée hier suite à un acrochage avec la BMW Z4 GT3/BMW Team India de Armaan Ebrahim, la Nissan GT-R de Buncombe/Ordonez est bien là. Des pièes sont arrivées via Toulouse pour remettre sur pied la Nissan. Malgré une météo peu avantageuse, le public a répondu en masse sur le circuit gersois de Nogaro pour les Coupes de Pâques.
Compte tenu des conditions, les pilotes partent pour deux tours sous safety-car. C'est bien la McLaren MP4-12C/SLR de Sébastien Loeb qui s'élance de la pole pour cette première course principale de l'année, avec à ses côtés Niki Mayr-Melnhof sur l'Audi R8 LMS ultra/Belgian Audi Club Team WRT.
Tout le monde passe sans encombre au 1er virage avec Loeb devant Mayr-Melnhof. Les deux leaders prennent rapidement la poudre d'escampette devant Buhk, Kumpen, Viera, Bueno et Zonta. Au 5ème tour, Bueno et Viera se touchent avec comme enjeu la 5ème place. Sur la seconde McLaren/SLR, Andreas Zuber se défait de la BMW/Team Brazil de Zonta au virage de l'Ecole, le Brésilien ne fermant pas la porte. En tête, Loeb compte 1s sur Mayr-Melnhof après 8 tours alors que Stumpf frôle la correctionnelle en partant dans l'herbe mouillée, sa Ford GT étant collée dans l'échappement de la Mercedes SLS de Afanasiev. Le Brésilien s'en sort bien. Dans la foulée, le Russe touche la BMW de Zonta, et le Brésilien lui rend la monnaie de sa pièce. La Mercedes part dans le bac avant de repartir. 1-1 entre les deux pilotes même si le Russe écope d'un drive through ! L'homme du début de course est sans conteste Stéphane Ortelli. Parti de la 16ème place, le Monégasque est déjà remonté dans le Top Ten après seulement 20 minutes dans des conditions difficiles. Quant à Frank Stippler, il pointe 11ème après être parti de la dernière place. Les pilotes du Belgian Audi Club Team WRT poussent pour remonter dans les positions de tête.
Sébastien Loeb contrôle jusqu'aux ravitaillements l'Audi de Mayr-Melnhof, l'Allemand étant à moins d'une seconde. Stippler et Ordonez sont les premiers à s'arrêter. Le leader s'arrête à mi-course pour laisser sa place à Alvaro Parente au moment où la voiture soeur du Sébastien Loeb Racing prend un drive through pour non respect de la procédure de départ. L'Audi/WRT de NMM s'arrête une boucle plus tard (18ème tour) tout comme Buhk et Kumpen. René Rast repart tout juste derrière Alvaro Parente et on est reparti pour le même film qu'hier avec les deux pilotes roues dans roues. Le Portugais tente de passer au bout de la ligne droite mais l'Allemand résiste. Au 19ème tour, les deux pilotes se touchent lorsque Rast laisse un trou de souris à Parente. L'Audi part en tête à queue et repart tout juste devant la Mercedes de Day. La R8 LMS ultra de Sandström est à une belle 4ème place, Vanthoor étant 8ème. En tête, Parente compte 4s d'avance sur Rast mais l'écart diminue assez rapidement. A 18 minutes du terme, 2.4s séparent Parente de Rast, puis 1.8s une boucle plus tard. Alan Day est sous la pression de Sandström pour la 3ème place, mais l'Israélien résiste. Rast refait son handicap et le pilote Audi recolle la McLaren à 13mn du drapeau à damiers. Les trois Audi/WRT sont en pleine remontée. Sandström trouve l'ouverture au forceps et s'empare de la 3ème place non sans une touchette. Il reste 10 minutes et la McLaren/SLR de tête écope d'un drive through. Sébastien Loeb s'est détaché trop tôt lors de son ravitaillement. Parente repart au 6ème rang, les deux Audi/WRT étant aux commandes.
Si les deux premiers filent vers l'arrivée, la course s'anime entre Day - Ide d'un côté, et Parente - Vanthoor de l'autre. Vanthoor règle son compte à la McLaren #9. Dans la dernière minute, Vanthoor gratifie les spectateurs d'un magnifique dépassement sur l'Audi de Ide, avant de faire la même chose à la Mercedes de Day. Plus rien ne changera jusqu'à l'arrivée avec un triplé Audi/Belgian Audi Club Team WRT. On trouve quatre Audi dans le quinté de tête. Seule la Mercedes SLS AMG GT3/HTP Motorsport de Buk/Day est venue s'immiscer parmi les R8 LMS ultra. La première Nissan GT-R a pris la 8ème place (Buncombe/Ordonez). Une seule BMW Z4 GT3 dans le Top Ten avec la #0 du BMW Team Brazil de Bueno/Kodhair.
by Laurent Mercier(Endurance-Info)
Range Rover Evoque to receive several facelifts, more derivatives planned
Cabrio unlikely, hotter version possible
Land Rover's design chief Gerry McGovern wants frequent updates for the Range Rover Evoque and several derivatives.
During the New York Auto Show he mentioned the Evoque has to be kept fresh in reference not only to its design, but also to new materials, finishes and technologies. McGovern wants to replace the practice of brining mid-life updates with a more continual improvement.
There will also be new derivatives of the Evoque, but it's highly unlikely to see a production version of the cabrio concept showcased last year in Geneva. He did suggest a more powerful variant of the Evoque is very probable.
As a reminder, the latest update introduced for the Range Rover Evoque is the nine-speed automatic gearbox developed by ZF.
Source: autocar.co.uk
via Worldcarfans
Supercar ; Koenigsegg CCX
Words: Ben Abrams | Photos: Drew Larrigan/Nic Jimenez
Driving a Supercar like the Koenigsegg CCX on public roads with speed limits and stop signs could be compared to dating a supermodel but only being allowed to hold hands. Eventually, the thrill of squeezing her hand wears off as does “goosing” the throttle from 65-85mph. Also, you must be comfortable receiving attention, stares and finger pointing by onlookers are commonplace. People will often match your speed to get another glimpse of that girl on your arm or the car you’re driving. It can be a nuisance, but then again, there are worse problems to have.
Never needing to get out of 3rd gear, I’m constantly reminded that Koenigsegg didn’t intend for their cars to be driven primarily at low speeds. Let me clarify, it’s not the car doesn’t perform well at low speeds. Quite the contrary, I had always wanted to do a story on the daily driveability of this particular car; with the lift system, low end torque, the compliant steering, and intuitive clutch, it’s astoundingly easy. It’s just that the car seems to get better as you go faster…as if the sweet spot truly lies somewhere in the triple digits.
One could argue that it’s not just supercars but that many high performance cars can’t achieve their potential on public roads. This is undoubtedly the case and fortunately I have been lucky enough to experience the next level engineering that Christian von Koenigsegg and his team achieved with this car during an outing at Homestead Raceway. The car didn’t stutter at all when accepting the increased acceleration, handling, or braking loads. It was tight and it was strong. The twin supercharged V8 howled with glee. That day, owning the car wasn’t about “those crazy doors”, rather I got to experience its real heart and soul in the Florida heat. It was in its element on that road course.
Unfortunately, the nature of my driving habits lend to more highway commuting and weekend jaunts than focused track time. Also, the tracks we have in my area are tight and quick and they are much more suited to agile, “flickable” cars – I doubt that I’d be getting out of 4th gear in the CCX on the straights. Hand *squeeze*.
It’s also financially risky to track a car like this. Insurance is not your friend once you enter a race track. Small repairs and general maintenance can easily total the price of a daily driver and reputable shops are hard to find. That being said, I will always agree that the track is the best place to test a car and driver’s limits; my only regret is that I didn’t stay at Homestead longer that day.
I heartily abide by the “you have to pay to play” mantra and each opportunity to play undoubtedly brings a cost/benefit analysis. However, the more I find myself performing analyses like this around a car, the less enjoyable that car ownership experience becomes.
I want to reiterate that there is nothing inherently wrong with the Koenigsegg. In fact, everything about the CCX and its big brother the Agera is out of this world. What the small crew from Angelholm have accomplished in less than a decade is astonishing. They have built a car that competes with the world’s best in the most elite class of performance. They continue to push boundaries with their stout engineering, proficient use and understanding of carbon fiber, and a level of fit and finish that stands side by side with the best that Italy and Germany presently offer.
So, instead of writing a story on the daily driveability of the Koenigsegg CCX, I find myself writing a story on why I’ve decided to part ways with the car. Letting go of a car like the this is one of those “it’s not you, it’s me” decisions. It became about whether I wanted to keep this amazing machine in my collection “just because” or whether I’d had my fun with it and there were better uses of funds.
This is also a great time to implement my quasi-Buddhist views on collecting cars. As best I can, I practice non-attachment no matter how much I enjoy my time behind the wheel or how much they cost. I know that tomorrow is not a given and that clinging to material possessions is not an authentic way to find happiness. While the CCX brings me tremendous joy, I have to recognize the impermanence of my relationship with it.
In the spirit of the “caretaker” theme that’s been swirling around the automotive world lately, I know that my time with cars like the CCX is inherently short and that my main responsibility is to enjoy each moment and take good care of the car until it finds a new home.
As I took the CCX on one more drive around the Seattle highways and city streets, we serendipitously found a new shooting location just as a magnificently clear and brilliantly colorful sunset presented itself. As we watched the colors light up the sky, and I was fielding questions like “how fast does it go” and “how much does it cost”, this quote from Mevlana Rumi came to mind:
“Come on sweetheart
let’s adore one another
before there is no more
of you and me.”
let’s adore one another
before there is no more
of you and me.”
Many thanks to Cats Exotics for assisting with the sale and best wishes to its new caretaker.
from egarage
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