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    samedi 14 juin 2014

    Sébastien Loeb : “L’impression d’être dans un monde parallèle”


    par Laurent Mercier (Endurance-Info.com)
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    Si Sébastien Loeb est présent aux 24 Heures du Mans, c’est bien en tant que team manager de sa structure et non pas comme pilote. Le co-fondateur du Sébastien Loeb surveille de près la progression de la ORECA 03R que se partagent René Rast, Vincent Capillaire et Jan Charouz. A 22 heures, la #24 pointe à une belle 6ème place de catégorie LM P2.
     Malgré un planning bien chargé ce week-end, le pilote Citroën en WTCC a pris du temps pour nous donner ses impressions sur ce début de course. « On peut voir que les premières heures ont été disputées » nous indique le nonuple Champion du Monde WRC. « Les trois constructeurs sont au coude-à-coude. Même avant l’arrivée de la pluie, on avait du mal à croire que la course pourrait continuer sur ce rythme. Les conditions sont dures. Pour nous, le début de course n’a pas été simple. René s’est fait surprendre par une quille sur la piste. L’équipe gère parfaitement les arrêts et les pilotes font preuve d’une belle pointe de vitesse. »
    10455680_700546283337325_5067011022168545128_nSébastien Loeb a débuté au Mans en 2005 sans toutefois voir l’arrivée. Il est monté sur la 2ème marche du podium l’année suivante Pescarolo-Judd C60 en compagnie de Franck Montagny et Eric Hélary. « J’ai une faible expérience du Mans mais l’équipe est rodée à la tâche » poursuit Sébastien. « La priorité est d’aller au bout. Le Mans se gagne ou se perd dans les stands. En 2005, nous avions course gagnée avant que l’un de mes coéquipiers ne sorte de la piste. Il faut à tout prix rester en dehors des problèmes et ne pas se précipiter. Que l’on tourne en 3.42 sur un tour puis en 3.45 au tour suivant n’est pas bien grave. René a fait une petite faute à Mulsanne mais tout s’est bien terminé. La clé de la catégorie LM P2 est de jouer la prudence. Nos pneus Michelin fonctionnent très bien en course. Nos trois pilotes se doivent de suivre le tableau de marche. Si tu termines sans accroc, le podium peut être au rendez-vous. »
    10458976_700309230027697_159255322547014333_oAvec un emploi du temps chargé, il n’était pas question pour lui de rouler au Mans : « J’ai mis l’accent sur le WTCC et je suis ravi de ce nouveau challenge. Bien sûr, quand on voit une voiture de course, on a envie de monter à l’intérieur. J’ai regardé de près les LM P1-H qui sont des autos très abouties. En tant que pilote, ce doit tout de même être frustrant de lever le pied en ligne droite. Cependant, c’est plus judicieux de voir l’hybride et la gestion de la consommation en Endurance qu’en Formule 1. C’est l’évolution du sport. Cela fait partie du jeu et au final, il n’y a pas de grands changements dans la course. »
     On sent tout de même chez lui une envie de partir en piste : « J’ai adoré l’atmosphère de la course en pleine nuit. Tu es seul dans l’auto. Tu as l’impression d’être dans un monde parallèle. C’est un peu la même sensation que de rouler de nuit au Monte Carlo même s’il y a un copilote. Revenir au Mans ne serait pas pour me déplaire mais il faut un vrai challenge. Cette course est mythique. »
     Le Sébastien Loeb Racing débute cette année au Mans mais le team est rompu à la tâche : « Tout se déroule comme prévu. Nous avons la chance d’avoir un ingénieur comme Léo Thomas qui maîtrise parfaitement cette course. Ce n’est que la première participation de l’équipe au Mans. Le team grandit vite mais il devient compliqué de trouver les budgets nécessaires. Il ne faut jamais relâcher les efforts. »
    10411278_699321980126422_8224103170745509111_nHabitué au GT l’année passée, Sébastien Loeb pourrait pourquoi pas se laisser tenter par une aventure en GTE mais on sent bien que ce qui le motive, c’est de monter sur la plus haute marche du podium. Le slogan du team « Le plus haut possible le plus vite possible » se passe de commentaire. A l’heure actuelle, il n’est pas prévu de le voir au Mans en 2015 dans un baquet d’une auto de son équipe. « En ce qui concerne le team, rien n’est figé pour 2015, ni pour Le Mans, ni pour le GT » confie Seb. « Aller en LM P1, il ne faut pas rêver. Cela ne servirait à rien si ce n’est de terminer premier derrière les constructeurs. »

    Le Mans Legend : victoire de Shaun Lynn (Mercedes C11)


    par Claude Foubert (Endurance-info.com)
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    Dans la Le Mans Legend –la première des courses support des 24 Heures du Mans 2014-, une manche du Group C Racing, la troisième en 2014 pour être précis, après Barcelone et Spa, c’est bien une Mercedes C11 qui s’est imposée, mais peut-être pas celle qu’on attendait.
    C’est en effet la Mercedes n°2 de Shaun Lynn qui l’a emporté et non la Mercedes n°31 de Bob Berridge qui était a favori de cette course. Shaun Lynn dispute son deuxième meeting de la saison avec cette Mercedes, après l’avoir fait débuter durant Spa Classic.
    C’est le japonais Katsu Kubota qui avait réalisé la pole position avec la Nissan R90CK n°25, avec un joli chrono de 3’45’’675. La Nissan avait à ses côtés en première ligne la Mercedes n°31 de Bob Berridge, dont la séance qualificative avait été très écourtée, et en deuxième ligne venaient la Porsche 962 n°6 de Mark Sumpter/Derek Bell et la Mercedes C11 n°2 de Shaun Lynn.
    Malheureusement, la Porsche de Sumpter/Bell était forfait pour la course et la Mazda 767B de Max et Moritz Werner renonçait dès la fin du tour de lancement.
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    C’est Joaquin Folch qui prenait le départ sur la Nissan n°25 mais, moins rapide que son coéquipier, il ne pouvait empêcher Bob Berridge de prendre le  large. Tout de suite, le britannique creusait l’écart à coup de secondes. Dès le deuxième tour, il tournait en 3’45’’873  -pas très loin de la pole de Kubota-, chrono qui allait rester le plus rapide de la course.
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    Derrière la Mercedes, Tom Kimber-Smith avait hissé l’Aston Martin AMR1 n°18 en deuxième position, mais il était tout de suite sous la menace de la Mercedes de Shaun Lynn qui se faisait très pressant.
    Les ennuis commençaient pour Berridge qui perdait tout d’abord un élément de carrosserie puis qui crevait à l’arrière. Il devait rentrer au stand dès la fin du troisième tour alors que Lynn avait fini par passer Kimber-Smith.
    A la faveur de l’arrêt de Berridge, Shaun Lynn était le nouveau leader, une Mercedes C11 chassant l’autre. L’Aston Martin était deuxième, la Porsche 962 n°17 de Christophe D’Ansembourg troisième et la Jaguar XJR16 n°3 de Richard Eyre quatrième.
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    Parmi les leaders, Lynn était le premier à marquer son arrêt, laissant la première place provisoire à Kimber-Smith. Quand ce dernier s’arrêtait à son tour, tout comme la Porsche de D’Ansembourg, c’est la Porsche 962 n°12 de Russel Kempnich qui assurait l’intérim.
    Après tous les pitstops et les changements de pilote éventuels, Lynn retrouvait naturellement sa place de leader, nanti d’une avance confortable sur l’Aston Martin.
    La Mercedes n°2 n’était pas inquiétée pour la victoire et  passait sous le drapeau à damiers avec une trentaine de secondes sur Kimber-Smith qui a ainsi fini sa préparation pour les 24 Heures…
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    Derrière les deux premiers, Kubota avait fait un retour impressionnant avec la Nissan R90CK, signant le troisième tour en course derrière ceux des Mercedes et débordait D’Ansembourg, prenant ainsi la troisième place.
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    Le classement est ici

    LE MANS – 1971


    As the start of Le Mans draws closer over the coming hours I’ve been researching to find something suitably Le Mansy to feature on Silodrome, after a little hunting I discovered that the entire 1971 Steve McQueen film “Le Mans” is available to watch on YouTube.
    I’ve added it above for your pre-Le Mans viewing pleasure, if you’d like to order your own copy on DVD you can do so here and if you’d like to watch the 2014 Le Mans live you’ll find everything you need here.

    Spectacular images from 1967: Le Mans at night...


    Exhausted mechanic take a nap in the early morning during the 24hrs Le Mans 1967
    This weekend, the cars and drivers gather once more at the Circuit de la Sarthe for the legendary Le Mans 24-hour race. How times have changed; as shown by the dramatic black and white images captured behind the scenes by Rainer Schlegelmilch in 1967...
    "By dawn, the exhausted Ferrari mechanics were asleep in the pit garage, wedged between the tools and spare tyres"
    "They were great days, days when the racers at Le Mans were tough men rather than boys or former Formula 1 drivers," said Rainer W. Schlegelmilch, remembering the 24 Hours of Le Mans back in 1967. The Frankfurt-based photographer then travelled with a Contarex and a Nikon for the race. Renouncing flash and artificial lighting, he used only natural night-time illumination – creating a series of images so evocative that they plunge us once more into those almost forgotten days. "By dawn, the exhausted Ferrari mechanics were asleep in the pit garage, wedged between the tools and spare tyres," recalls Schlegelmilch. 

    A young lady with a great future ahead

    "At Ford sat a young lady recording lap times – Marie-Claude Beaumont. Later, as a driver, she scored numerous race victories herself and competed at Le Mans six times. As a Formula 1 photographer I met her at the track many times." In 1967, Ford approached the Le Mans race with great determination, air-lifting 53 tons of material to the circuit (there were a great many GT40s in the field). But the race was by no means a success for all the American teams, with three of the Holman & Moody racing cars coming to grief in a single incident. 

    Three at a time and the invention of champagne sprays

    It was Dan Gurney who scooped the overall win for Shelby in his Ford GT40 MkIV. "Gurney, incidentally, was the first driver to spray everyone with champagne after his victory," says Schlegelmilch. "His wife still sends me Christmas cards to this day."

    For breakfast: Two crêpes with Grand Marnier

    At 5 o’clock in the morning the sun rose over the track – and Rainer Schlegelmilch stood on a narrow embankment to shoot some stunning, backlit pictures of the racing cars. At 6 o’clock, the first food stalls opened. "The two crêpes with Grand Marnier were probably the most alcoholic breakfast of my life. But after that night, they were very welcome."
    Photos: Rainer W. Schlegelmilch / Getty Images

    Want to own a fleet of Group C Porsche Le Mans racers?


    This weekend, Porsche will make its long-awaited return to the prototypes category at Le Mans. The last time the factory team was competitive at this level was during the celebrated Group C era – and Classic Driver dealer Historic Classics now has two of these legendary machines for sale…

    Sister of the winner

    The Porsche name will forever remain associated with the Group C era, such was its dominance at Le Mans with the 956 and later 962 sports prototypes. New Classic Driver dealer Historic Classics, owned by Henry Pearman of Eagle E-type fame, is now offering two of these Works cars from his private collection. First is one of the three 1983-spec Rothmans 956s built exclusively for use by the factory team for its follow-up to the famous podium lock-out the previous year. Driven by Jochen Mass and Stefan Bellof, Porsche 956 chassis 8 was to lead the race for the first four hours before developing problems and ultimately retiring. Agonisingly, Mass and Bellof were forced to look on from the pits as the sister 956s crossed the line first and second in the most dramatic manner.

    Robbed of victory... again

    The second Stuttgart Works car to be offered by Pearman’s company is Porsche 962-007, one of two lightweight Rothmans cars built for the 1987 campaign. Damaged during practice with no time for repair, it would be replaced by the ‘spare’ team car, which famously went on to win the race. But ‘007' would be given a second chance the following year, albeit now wearing the Shell Dunlop livery in German flag colours and with an updated specification. In the year of Porsche’s final Works effort in the prototype class, the car would lead the race by a lap at midnight before engine gremlins intervened.

    Five more for good measure

    As well as the Works cars, Historic Classics is offering no fewer than three more privateer ex-Le Mans Group C Porsches: a Brun Motorsport 962 (chassis 003 BM), a Kremer 956B (chassis 115) and a Richard Lloyd Racing 962 (chassis 200) – the latter being referred to as the ‘British Porsche’ in period. Also offered is a pair of ‘true Brits’ with intentions of La Sarthe domination: a Group 44 Jaguar XJR-5, and one of two XJR-6s to wear Jaguar livery. While neither ultimately made it to Le Mans, they both proved their competitiveness in other events – and can trace their stock right down to the Le Mans-winning XJR-9 and XJR-12.
    Photos: Historic Classics
    You can find many more Porsches for sale in the Classic Driver Market.

    Pedrosa décroche la pole position à Barcelona-Catalunya / Pedrosa secures pole start as Marquez run ends with crash


    Dani Pedrosa s’est emparé de la pole position samedi après-midi à Montmeló et partagera la première ligne avec Jorge Lorenzo et Marc Márquez, qui est tombé dans le virage n°1.
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    Dani Pedrosa sera en pole position chez lui à Barcelone-Catalunya après avoir signé le meilleur temps des qualifications de samedi après-midi en 1’40.985, à trois minutes du drapeau à damier. En pole pour la 26e fois de sa carrière en MotoGP™, le pilote du team Repsol Honda mettait ainsi fin à la série de pole positions de son coéquipier Marc Márquez, qui était parti en tête lors des six premières manches de la saison et a fini sa séance sur une chute dans le virage n°1.
    Le Champion du Monde en titre ne s’est par chance pas blessé et sera troisième sur la grille de départ du Grand Prix Monster Energy de Catalogne puisque Jorge Lorenzo (Movistar Yamaha MotoGP), vainqueur à Montmeló ces deux dernières années, était passé en seconde position avant la chute de son compatriote, avec 0.115s de retard sur Pedrosa et 0.035s d’avance sur Márquez.
    Stefan Bradl (LCR Honda), qui avait signé le meilleur temps le matin, a confirmé sa haute compétitivité sur la piste de Montmeló en se qualifiant en tête de la deuxième ligne, à seulement 0.235s de la pole, juste devant Valentino Rossi (Movistar Yamaha MotoGP) et Aleix Espargaró (NGM Forward Racing). 
    Andrea Dovizioso (Ducati) sera de son côté septième au départ de cette septième manche de la siason MotoGP™ 2014, devant un surprenant Yonny Hernández (Energy T.I. Pramac Racing), qui s’était qualifié d’office pour la Q2 en entrant dans le Top 10 lors des essais libres, et Pol Espargaró (Monster Yamaha Tech3).
    Premier en Q1, Álvaro Bautista (GO&FUN Honda Gresini) a chuté en Q2 et partira douzième, derrière Andrea Iannone (Pramac Racing), tandis que Cal Crutchlow (Ducati), Scott Redding (GO&FUN Honda Gresini), Michele Pirro (Ducati) et Nicky Hayden (Drive M7 Aspar), qu’ils avaient battus en Q1, suivront sur la grille de départ. 
    Mike di Meglio (Avintia Blusens) s’élancera pour sa part de la 23e position. 
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    Saturday afternoon’s Q2 at the Gran Premi Monster Energy de Catalunya ended with Dani Pedrosa securing pole position, ahead of Jorge Lorenzo and Marc Marquez on row one for Sunday’s race – with Marquez suffering a late crash in the session.
    At his home event Pedrosa took his first pole since the 2013 Catalan Grand Prix with a 1’40.985s lap in the Barcelona-Catalunya heat and in doing so the Repsol Honda rider ended Marquez’ successive pole run. For full Q2 results click here.
    Following his fascinating battle with Marquez at Mugello Lorenzo qualified in second place and will be looking forward to fighting the Honda riders again at a track where the Mallorcan has a strong record and has won the last two MotoGP™ races.
    Marquez walked away from his first crash of the year after losing the front end at turn 1 towards the end of the session. The young MotoGP™ World Champion therefore starts third on the grid, his first non-pole result since Motegi last year.
    German rider Stefan Bradl (LCR Honda MotoGP), who himself suffered two big crashes at Mugello, qualified fourth after looking sharp in practice earlier in the day.
    Valentino Rossi (Movistar Yamaha MotoGP) admits qualifying is not currently his strongest point but he equaled his second best Q2 result of 2014 so far in fifth, having qualified 10th last time out in Mugello.
    Another home rider Aleix Espargaro (NGM Forward Racing) was delighted with his qualifying effort as he completed row two, just 0.323s behind Pedrosa.
    Row three will feature Andrea Dovizioso (Ducati Team), Bradley Smith (Monster Yamaha Tech3) and Yonny Hernandez (Energy T.I. Pramac Racing), with Hernandez riding well for ninth.
    The fourth row will comprise Pol Espargaro (Monster Yamaha Tech3), Andrea Iannone (Pramac Racing) and Alvaro Bautista (GO&FUN Honda Gresini). Iannone and Bautista made it through from Q1 as spots of rain threatened to disrupt Q2.
    The conditions stayed dry but Bautista suffered a big Q2 highside at turn 7 and was stretchered away, though he appeared to be ok.
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    Audi welcomes Porsche back to Le Mans in cheekiest way possible


    Audi has welcomed sister brand Porsche back to the top class at the 24 Hours of Le Mans with a mischievous video, ahead of the duo’s far-from-friendly showdown at La Sarthe this weekend…

    A cheeky taunt or two only serves to heighten the prospect of the enticing battle between the pair at Le Mans this weekend – and the ‘display’ in this video conducted by the Audi R18 e-tron Quattro outside Porsche’s Stuttgart HQ is far from subtle. But some aficionados will also have noticed the more discreet gibe shown on the trip there, when the Audi blazes past a Porsche tractor with ease. Roll on Saturday...
    Video: Audi
    You can find many modern and classic Audis and Porsches for sale in the Classic Driver Market.  

    Quelques brèves avant le départ des 24 Heures du Mans…


    par Laurent Mercier (Enduranceinfo.com)
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    La FIA et l’ACO prolongent le bail pour trois ans…
    La conférence de presse donnée par l’ACO et la FIA a permis de consolider les liens entre les deux parties. Un nouveau contrat de deux ans a été signé ce matin même par Pierre Fillon, président de l’ACO) et Jean Todt, président de la FIA.“C’est une bonne nouvelle pour l’Endurance” s’est félicité Pierre Fillon. “Cela va donner encore plus de visibilité au championnat”.
    “Dès mon élection, j’ai mis parmi les priorités de relancer un Championnat du Monde d’Endurance de la FIA” a déclaré Jean Todt. “La FIA WEC avance bien. Vu que je suis un éternel insatisfait, je souhaite toujours des objectifs plus ambitieux. Je suis ravi de l’engagement des constructeurs et des équipes privées. Le FIA WEC est représentatif de l’évolution de l’automobile.”
    Une Panoz au Musée du Circuit des 24 Heures du Mans…
    Le Musée voit sa collection grandir avec l’arrivée d’une Panoz Esperante.
    10390359_647969701952647_249296386343113456_nFelix Baumgartner présent au Mans…
    Dans une semaine, l’Autrichien prendra part aux 24 Heures du Nürburgring au volant d’une Audi R8 LMS ultra. L’homme de l’espace est présent ce week-end au Mans à l’invitation d’Audi.
    Le Arnage Corner by “PP”…
    C’est désormais une tradition, une bande d’irréductibles fans d’Endurance vont passer une partie de la course à Arnage, le tout à l’initiative de Patrick Pons. Le frère du pilote de la Ferrari F458 Italia/Sofrev-ASP a établi son campement à Arnage depuis la Journée Test. Ce week-end, une bonne centaine de personnes seront aux côtés de l’un des plus grands passionnés d’Endurance. Courage “PP” car dans un mois, il faudra suivre les 24 Heures de Spa.
    1487668_10202096603364780_846218397073856659_oDes anciens de Peugeot Sport en visite…
    On a croisé tout à l’heure plusieurs personnes aux couleurs de Peugeot Sport. Une partie de l’équipe qui officiait du temps de la 908 ont fait le déplacement pour soutenir les ex-Peugeot Sport qui ont trouvé refuge dans d’autres équipes, notamment chez Porsche Team.
    Un grand bravo pour les commissaires…
    Mesdames et messieurs, sans vous, les courses n’existeraient pas, alors merci pour tout ce que vous apportez…
    10338652_10152277294232912_3878788693599821671_oPas de conférence de presse pour Fernando Alonso…
    Le pilote espagnol est bien présent pour donner le départ mais pas de Fernando Alonso en conférence de presse. Le pilote a revêtu sa combinaison Ferrari, avec un bodyguard à ses basques.
    Pas d’annonce de nouveau constructeur…
    Tout le monde attendait l’arrivée d’un nouveau constructeur en LM P1 mais il va falloir prendre son mal en patience. Si Luca di Montezemolo a déclaré hier que Ferrari n’arriverait pas avant 2020, rien ne dit qu’une autre marque du groupe ne sera pas présente plus tôt. A suivre…
    Les photos de la Parade des Pilotes…
    Ils étaient sans doute plus de 150 000 à avoir fait le déplacement hier dans le centre-ville du Mans pour assister à la Parade des Pilotes. Les photos sont ici
    Quant aux photos de l’arrivée de Julie dans la Bentley victorieuse des 24 Heures du Mans 1924, elles sont 
    La Nissan ZEOD RC en full élctrique…
    Wolfie Reip a profité du warm up pour boucler un tour du Circuit des 24 Heures du Mans en mode full électrique.
    Nissan NISMO at LeMans 24hour 2014Pas de changement chez ProSpeed Competition…
    Compte tenu de son passage en GTE-Pro, Jeroen Bleekemolen et Cooper MacNeil auraient pu avoir un coéquipier mais il n’en sera finalement rien. Darryl O’Young aurait pu sauter dans la Porsche mais la #79 n’aura que deux pilotes

    David Hallyday : “Le Mans, c’est la Mecque de l’Endurance!”


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    Absent des 24 Heures du Mans depuis 2011, David Hallyday dispute cette année son cinquième 24 Le Mans. Pour son come-back dans la Sarthe, le Parisien roule sur la Porsche 911 GT3-RSR du team IMSA Performance Matmut aux côtés de Nicolas Armindo et Raymond Narac. Assurément un équipage à surveiller en catégorie GTE-Am même si les essais ont été plutôt mouvementés pour la #76 après une sortie de piste mercredi soir. Cette saison le pilote-chanteur dispute l’European Le Mans Series au sein du team rouennais mais aussi le Championnat de France GT sur une Audi R8 LMS ultra du Saintéloc Racing partagée avec Greg Guilvert. Au fil des ans, David Hallyday s’est forgé un beau palmarès et depuis peu, il doit composer avec un double emploi pilote/chanteur.
     Malgré toutes ces péripéties de début de 24 Heures du Mans, la confiance est de mise : « Je suis très heureux de rouler à nouveau au Mans. J’ai regardé les deux dernières éditions à la télévision et il fallait que ça cesse. (rires). C’est une chance pour moi de rouler à nouveau ici, surtout avec Nico et Raymond. Les deux ont une grosse expérience de cette course si différente des autres. »
    juliesueur_lm2014_essaislibres_089Ce retour en terre sarthoise n’était pourtant pas acquis : « Il a fallu attendre d’être sélectionné et la confirmation est venue assez tardivement. C’est vraiment bien pour l’équipe d’avoir deux autos au départ. L’équipe a remporté la course l’an passé et j’espère que nous pourrons rééditer l’exploit. La catégorie GTE-Am est vraiment relevée. J’ai découvert avec plaisir l’auto à Silverstone. Nous avons terminé troisième en Angleterre avant de rater de peu le podium à Imola. »
     Pour David Hallyday, Le Mans est un vrai objectif sportif : « Je tiens absolument à monter sur le podium au Mans. C’est une de mes priorités dans ma vie de pilote automobile. Je partage ma saison entre deux championnats totalement différents et deux autos de conception différente. Au final, elles ne sont pas si éloignées que cela. La Porsche n’est pas évidente à prendre en mains mais si tu es vite dans une Porsche, tu es vite dans n’importe quelle auto. On a besoin de se sentir en confiance au volant pour donner le maximum. »
    juliesueur_lm2014_essaislibres_165La Porsche 911 GT3-RSR rouennaise va devoir faire face à une sacré adversité en GTE-Am : « Le niveau de la classe est très relevé mais je suis dans une très bonne équipe. Il est vrai que l’on a tout de même quelques faux Bronze dans certains équipages. Les Ferrari vont très vite. On s’attend à une course dure mais on sait qu’une Porsche va généralement au bout. Le Mans, c’est la Mecque de l’Endurance ! Il y a toujours un pourcentage de réussite. Pour briller, il faut que tous les facteurs soient réunis. On ne peut pas contrôler l’erreur humaine et le pourcentage de réussite. »
     En 2011, David Hallyday roulait sur une LM P2 et il n’est pas exclu de le revoir dans la catégorie : « On m’avait proposé de disputer à nouveau Le Mans en LM P2 cette année mais j’ai opté pour une GTE. Pourquoi pas à l’avenir dans une auto fermée. Je n’ai plus envie de prendre le moindre risque. Oui pour revenir dans un prototype mais pas à n’importe quel prix. »
    juliesueur_lm2014_essaislibres_102Malgré un planning sportif bien rempli, David n’a pas mis de côté la musique :« J’ai mis en place un nouveau groupe qui s’appelle Mission Control. L’album va sortir en Anglais, ce qui va nous permettre de jouer partout dans le monde, aussi bien en France, Asie ou Etats-Unis. C’est en fait la réunion d’une bande de potes. »

    The 5 most thrilling Porsche Le Mans moments


    Quite simply, Porsche is the most successful manufacturer ever to compete at Le Mans. This weekend sees a momentous return to La Sarthe after a 15-year hiatus, and we’ve gathered five of Porsche’s most gripping Le Mans moments together in celebration…

    1969: Almost...

    The 1969 race marked the arrival of the legendary Porsche 917, although these early versions were notoriously unstable at speed – tragically proven within minutes of the running race start by the death of privateer John Woolfe. In more experienced hands, though, the 917 was a real force, dominating practice and race alike, and breaking lap records along the way. However, both factory 917s withdrew with mechanical issues while leading the race (after four and 21 hours respectively), leaving the older 908 Longtail of Herrmann/Larrousse to battle the John Wyer Ford GT40 in search of Porsche’s first overall win. After spending the final hour-and-a-half swapping the lead, Jacky Ickx’s GT40 would cross the finish line mere seconds ahead of Herrmann’s 908.

    1970: The wait is over

    With the embers of disappointment still aglow the following year, Porsche not only brought in John Wyer (and, just as importantly, his accompanying Gulf livery) to represent the primary factory effort, but also provided secondary support to two further teams. This illustrated Ferry Porsche’s firm intention to win overall (he was allowed to wave the starting flag in recognition of entering for 20 consecutive years), but Ferrari was also to field a fleet of competitors. The Modenese threat was reduced considerably when four 512Ss crashed into one another within a few hours, although the terrible weather during the night would claim victims from all sides. All three factory 917s eventually retired – but the semi-Works 917 of Porsche Salzburg, piloted by Herrmann/Attwood, clinched victory. In celebration of the momentous win, the triumphant car was paraded across Stuttgart alongside the second-placed Martini Racing 917, and Herrmann followed through on his promise to his wife by retiring.

    1983: Holbert seizes (before) victory

    Having cruised to a 1-2-3 victory at the previous year’s race – the first of the Group C era – Porsche’s factory squad looked set to repeat the clean-sweep in 1983, until the Rothmans-Porsche 956 driven by Mass and Bellof retired with mechanical trouble. Within the final hour, Al Holbert’s leading Porsche began overheating after taking damage and was forced to slow down; Derek Bell’s car began closing rapidly, the Brit showing disregard for his cracked front brake discs. Holbert managed to nurse it home despite the engine seizing on the final lap, and Bell arrived just seconds later. Oh, and in case you were wondering what 230mph-plus on the Mulsanne Straight looks like from the inside of a 956, you can view a Bell’s-eye-view video here.

    1988: End of an era

    Despite repeated challenges from Jaguar, Porsches had taken the chequered flag at every Le Mans race during the fabulous Group C era. Now dressed in Shell livery with colours from the German flag, the factory team looked likely to bring another victory back to Stuttgart, locking out the top three grid positions in qualifying. In the race, though, the much-evolved Jaguar XJR-9s were well-matched to the Porsches, and the British machine of Lammers/Dumfries/Wallace exchanged first place with the 962C of Stuck/Ludwig/Bell umpteen times. Offically, the former would eventually cross the line 2 minutes and 36 seconds ahead of the latter, but in truth the gap was a lot narrower: the large British contingent of spectators had swarmed the track in delight upon seeing the first-, fourth- and sixteenth-placed XJR-9s cross the line as a pack. Beaten for the first time in eight years, the factory Porsche team withdrew from the Prototypes category, and thus called time on its memorable Group C era achievements. 

    1998: The final win

    Porsche’s frustration at watching the BMW-engined McLaren F1 GTR take the Le Mans crown in 1995 was compounded when its Works-fielded 911 GT1 was denied overall victory by a non-factory Porsche entry the following year (the mid-engined quasi-911 lost by just one lap). A double retirement added to the agony in 1997. Competition for the updated 911 GT1-98 would prove even tougher in 1998, with increased factory involvement from the likes of Mercedes, Nissan and Toyota; a pair of Porsche LMP1 entries was also fielded. Despite this, the rules favoured GT1 over LMP1 cars that year and Lady Luck favoured Porsche in particular: faster competitors proved unreliable, and the Works 911s finished first and second overall. Then followed a 15-year Le Mans sabbatical to allow Audi a near-dominant spell – but will that be brought to an end with another magical Porsche Le Mans moment this weekend?
    Photos: Porsche, Rainer W. Schlegelmilch / Getty Images
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