DTM Norisring : Robert Wickens (Mercedes-Benz) dominateur…

par Claude Foubert (Endurance-Info.com)

Robert Wickens avait impressionné depuis le début du week-end sur le Norisring, tant dans les essais libres qu’en qualifications lors desquelles il avait obtenu la pole position. Le canadien a confirmé aujourd’hui en remportant cette quatrième  manche 2014 du DTM de belle manière, étant en tête de la course de bout en bout, soulignant ainsi le retour en force des Mercedes-Benz AMG C-Coupé, décevantes depuis le début de la saison.

Avant le départ, la grille de départ était quelque peu bouleversée enraison d’une pénalité infligée à Mattias Ekström après les qualifications. Le suédois (Audi RS 5 DTM Abt Sportsline n°7) était jugé coupable d’avoir gêné pendant son tour de rentrée au stand la Mercedes n°25 de Pascal Wehrlein qui était dans un tour lancé. Ekström  reculait en conséquence de cinq places sur la grille de départ, d’où il allait devoir partir en douzième et non plus en septième position.

La météo était très mauvaise sur le Norisring avec une forte pluie  et la course partait derrière le safey car pour un minimum de 3 tours.

Durant cette période, c’est tout d’abord Vitaly Petrov (Mercedes n°20)qui partait à la faute, le russe effectuant un tête-à-queue dans l’épingle dès le premier tour.  Au troisième tour, toujours sous safety car, Paul Di Resta (Mercedes AMG n°6) et Jamie Green (Audi  Rosberg n°21) entraient légèrement en contact.

Le drapeau vert était abaissé au quatrième tour et la course était réellement lancée. Les deux premiers tours se passaient sans encombre mais le sixième  tour  était beaucoup plus animé. Bruno Spengler (BMW  M4 Schnitzer n°9) et  Augusto Farfus (BMW RBM n°3) se frictionnaient, Daniel Juncadella (Mercedes Petronas n°19) et Miguel Molina (Audi  Abt Sportsline n°8) également Juncadella partant en tête-à-queue. Farfus, Molina, Antonio Félix da Costa (BMW MTEK n°18) et  Martin Tomczyk (BMW Schnitzer n°10) passaient déjà par les stands, alors que Jamie Green était mis sous investigation après le contact avec Di Resta.

Au septième  tour, la Mercedes de Wickens était toujours en tête, devant Green, Gary Paffett (Mercedes n°11), Pascal Wehrlein (Mercedes n°25), Christian Vietoris (Mercedes n°5), Pascal Wittmann (BMW  RMG n°23) et Adrien Tambay (Audi Abt n°16).

Au huitième tour, Tambay attaque et passe la BMW de Wittmann, imité par Maxime Martin (BMW RMG n°24). Deux tours plus tard le pilote belge passe aussi l’Audi de Tambay pour la  sixième place.

Au 16^ème tour, Jamie Green écope d’un pitstop de cinq secondes en raison de sa collision avec la  Mercedes de Di Resta.

Au 21^ème tour, Wickens a deux secondes d’avance sur Green. Viennent ensuite Paffett, Wehrlein ? Vietoris, Martin Tambay, Wittmann et  Ekström qui a entamé sa remontée.

Au 33^ème tour, Vietoris déborde Paffett pour la quatrième place. Le britannique passe par la case stands un tour plus tard.

 Vietoris commence à mettre la pression sur Pascal Wehrlein et le déborde au 39^ème tour, alors qu’Ekström est remonté en sixième position et commence à attaquer la BMW de Martin. Il réussit à le doubler dans la ligne droite principale au 41ème tour.

A l’avant de la course, Wickens est intouchable et a près de neuf secondes d’avance sur ses poursuivants. Tambay pique Martin au freinage et s’empare de la sixième place.

Les arrêts au stand se succèdent, mais  Robert Wickens retarde son pitstop au maximum et ne rentre qu’au 57^ème tour, après ses concurrents les plus directs.

Au 60^ème tour, Wickens est premier devant Vietoris, Green, Ekström, Wehrlein, Tambay, Mortara (Audi Abt n°15), Joey Hand (BMW RBM n°4), Mike Rockenfeller (Audi Phoenix n°1) et Wittmann, ces trois derniers pilotes s’expliquant fermement pour la huitième place, Timo Scheider (Audi Phoenix n°2) se mêlant à leur bagarre.

Au 69^ème tour, Tambay et Wehrlein se touchent et la Mercedes part en tête-à-queue, l’incident étant placé sous enquête.

Au 74^ème tour, Christian Vietoris qui était en deuxième position abandonne après avoir perdu la  roue arrière droite de sa Mercedes.

Dans le dernier tour, Wehrlein est revenu au contact de Tambay et tente de le repasser, mais le français tient bon et conserve sa cinquième place pour 13 centièmes de seconde. Robert Wickens l’emporte facilement avec près de vingt-cinq secondes d’avance, suivi des Audi de Green, Ekström, Mortara et Tambay, la première BMW M4 étant celle de Marco Wiittmann, septième.

Le classement est http://www.endurance-info.com/fr/resultat/norisring-course-5/   

Highlights - 2014 WRC Rally Poland

Bombshell Bonnie

When I first got into the vintage motorcycle scene, it was suprising to find out how many pilots owned and rode old motorcycles. Flying a Jumbo jet all over the world or performing impossible manoeuvres in a Pitts Special with South Africa’s elite stunt flying team are far removed from riding a basic vintage motorcycle at a maximum speed of 80km/h. Yet there the pilots were, as passionate about these sedate machines as they were about the state of the art aeroplanes that they flew for a living or as a hobby.

For whatever reasons, throughout the history of motorcycling, pilots have been motorcyclists. Many of the WWII pilots, together with other military veterans returning after the war, found themselves uncomfortable with the routine of civilian life. To satisfy their need for adventure they bought ex army motorcycles, which they stripped down to increase performance. Mudguards were cut or “bobbed”. If it wasn’t for these pilots and soldiers the “bobber” style of motorcycle may never have been born.

“Bombshell Bonnie” pays tribute to the planes and pilots of WWII who played such a crucial part in creating those first bobbers. This Triumph bobber has the tank painted like the fuselage of a fighter aircraft, rivets and all. The Union Jack is a clear indication that the bike is British and the Iron Crosses indicate the number of German machines, probably BMWs, destroyed in battle.

The concept, design and building of this outstanding motorcycle were executed by brothers Don and Marchum together with their stepfather Ginger. It was a Friday evening project. Every Friday the three guys would get together over a few beers and do some work on the build. Some Fridays saw more beers being consumed than building as the three just sat and stared at the bike, discussing the next part of the build. Needless to say the project took a lot longer than planned. It was well worth the wait.

The bike was originally a 1970 model Triumph Bonneville 650cc. The previous owner had turned it into a chopper but had lost interest and the bike had stood for years. The motorcycle was rebuilt from the ground up. The bolt on rigid tail section was bought on eBay in the USA. The motor was completely rebuilt. The wheels were powder coated black and other parts like the fork legs and brakes also got the black treatment. This was not going to be a bling custom.

The airbrush work on the tank makes this motorcycle. Without it many of the other custom elements would not make sense. The artwork on the tank establishes the fighter plane theme. This sprayjob was a Bid or Buy deal and worked out very reasonably.

Don fabricated the oiltank in the shape of a bomb. He also made the machine gun barrel lookalike exhaust ends. The rear mudguard is fibreglass, which they formed off the back tyre.

Clip on handlebars are fitted which always looks more aggressive. The small headlight was imported from England. The propeller on the headlight, ammo pouch and goggles are finishing touches to the theme. The bottle opener is obviously fitted for more practical reasons.

When we asked Don if we could shoot (excuse the pun) the bobber, he asked if we could photograph the motorcycle in a hangar to compliment the theme. The very kind folks at the South African Air Force Museum gave us full access to take the photos of Bombshell Bonnie in her natural environment.

via http://www.retrowriteup.com

MOTO GP ASSEN : Rossi dans le Top 5 malgré un mauvais choix de pneu

Le pilote du team Movistar Yamaha MotoGP a dû partir de la pit-lane après s'être rendu compte sur le tour de formation qu'il était trop dangereux de commencer la course sur pneus slick.

Valentino Rossi était prêt à prendre un pari samedi à l'Iveco Daily TT Assen et était parti sur pneus slick pour le tour de formation, à la fin duquel il est immédiatement repassé par le box Movistar Yamaha MotoGP pour changer de machine et prendre le départ sur pneus pluie, mais de la pit-lane. 

L'Italien était donc en queue de peloton sur les premiers tours et s'est arrêté une seconde fois au bout de cinq tours pour repasser sur slicks. Une fois lancé pour de bon, The Doctor a pu remonter jusqu'à la cinquième place mais était à quinze secondes d'Aleix Espargaró (NGM Forward Racing) et ne pouvait donc pas finir plus haut.

L'Italien partage désormais la seconde place du classement général avec Dani Pedrosa (Repsol Honda), troisième de la course, 72 points derrière Marc Márquez (Repsol Honda).

« J'ai pris un risque parce que les conditions semblaient bonnes mais il s'est malheureusement remis à pleuvoir une minute avant le départ et j'ai dû changer de moto puis partir dernier. C'est dommage parce que j'aurais pu rester avec les leaders si j'étais parti sur pneus pluie, » a affirmé Rossi.

« C'était une question de chance aujourd'hui et ça s'est malheureusement terminé comme ça. Je suis assez satisfait du reste de la course parce que j'avais un bon rythme et un bon feeling avec la moto. J'ai de nouveau été assez rapide ici à Assen. »

BLANCPAIN ENDURANCE SERIES Paul Ricard : M-Sport Bentley et Kane/Meyrick/Smith font la passe de deux !

par Laurent Mercier (Endurance-Info.com)

Après une victoire à Silverstone le mois dernier, M-Sport Bentley a une nouvelle fois fait parler la poudre en Blancpain Endurance Series au Paul Ricard pour une manche de trois heures disputée en semi-nocturne. A l’issue des 88 tours de course, Guy Smith, Steven Kane et Andy Meyrick ont imposé la Bentley Continental GT3 avec seulement 1.178s d’avance sur la McLaren MP4-12C GT3/ART Grand Prix de Greg Demoustier, Nicolas Lapierre et Alvaro Parente, ce dernier étant l’auteur de la pole. Dans un dernier tour très disputé, Sergey Afanasiev est venu arracher la troisième place à son équipier Nico Verdonck sur la Mercedes SLS AMG GT3/HTP Motorsport.

Une fois de plus, on a assisté à une course Blancpain Endurance Series disputée de bout en bout où tout s’est joué dans les ultimes minutes. La McLaren #98 a dominé le premier tiers grâce une fois de plus à un Alvaro Parente flamboyant. Greg Demoustier a lui aussi tout donné mais les conditions de piste ont notamment permis à Andy Meyrick de prendre le dessus au volant de la Bentley #8. Steven Kane a conclu le travail même si le Bentley Boy a vu revenir sur lui un Nico Lapierre des grands jours pour ses débuts sur la McLaren, lui qui compte une faible expérience en GT. ART Grand Prix et M-Sport Bentley ont connu des déboires avec leurs autres autos. C’est d’abord Kévin Estre qui a abdiqué dès le début de course suite à un accrochage dans le trafic avec la Jaguar. On rappellera que la McLaren #99 partait en fond de grille suite à un changement de moteur. C’est ensuite la Bentley de Jérôme D’Ambrosio qui s’est subitement arrêtée en bord de piste (transmission) après un très beau relais de départ d’Antoine Leclerc. Décidément, le trio Leclerc/D’Ambrosio/Tappy n’est guère épargné par les problèmes depuis Silverstone. M-Sport Bentley connaît là un premier abandon pour une Continental GT3.

Peu à l’aise à Monza puis Silverstone, les Mercedes SLS AMG GT3 ont redressé la tête avec les deux autos du HTP Motorsport dans le quinté de tête. Les six pilotes ont fait le job en piste avec un Nico Verdonck qui a perdu la troisième place dans le tout dernier tour au profit de la voiture soeur. Dommage pour le Belge qui a tenu la dernière marche du podium durant quasiment une heure avec un écart rarement au-dessus de la seconde. HTP Motorsport revient dans la course comme c’était déjà le cas l’année passée.

Dans le camp Audi, la meilleure des R8 LMS ultra a été la #26 du Saintéloc Racing de Ortelli/Guilvert/Sandström, 5ème à 50s de la tête. Là aussi, les trois pilotes ont tout donné. Il faut descendre au 7ème rang pour trouver trace de la meilleure Audi du Belgian Audi Club Team WRT avec Mies/Nash/Stippler. Les Audi ont encore un manque de vitesse de pointe face à la concurrence.

Le trio de la Bentley #7 prend l’avantage au championnat.

BMW et TDS Racing raflent la mise en Pro-Am Cup…

Après un début de saison difficile, le TDS Racing remporte son premier succès de l’année grâce à une course sans faille de Nick Catsburg et Henry Hassid. Le tandem a tenu la concurrence à distance pour rallier l’arrivée au 6ème rang. Une fois encore, Nick Catsburg a été flamboyant au volant de la Z4 GT3, bien relayé par Henry Hassid, lui aussi auteur d’une course sans faille. En deux semaines, les hommes de Jacques Morello et Xavier Combet repartent avec une deuxième place des 24 Heures du Mans (LM P2) et une victoire en Blancpain Endurance Series. La seconde BMW a connu une course plus agitée avec un abandon sur sortie de piste. La Scuderia Villorba Corse monte sur la deuxième place du podium avec Castellacci/Gai/Rizzoli devant la Nissan GT-R/Nissan GT Academy de Faisca/Aksenov/Chiyo. A noter le très beau début de course de Katsumasa Chiyo qui a tenu la dragée haute aux pilotes Pro-Cup. On trouve ensuite une Ferrari/AF Corse et la BMW Z4 GT3/Ecurie Ecosse, pourtant partie de la dernière ligne.

Nette domination des Ferrari en Gentlemen Trophy…

Avec un match Audi/Ferrari, il était clair que la victoire allait revenir à l’une des deux marques. Pour la troisième fois en trois courses, GT Corse by Rinaldi Racing s’est offert un succès. Frank Smickler, Alexander Mattschull et Pierre Ehret ont une fois de plus dominé la concurrence, à commencer par la Ferrari/AF Corse de Barreiros/Guedes/Mann. Très belle troisième place de la Ferrari/Villorba Corse de Cedric Mezard et François Perrodo. Pour ses débuts dans le championnat, le Duqueine Engineering termine au pied du podium avec Duqueine/Lanchere/Gorini.

Le classement de la course est ici. Prochain round avec les Total 24 Heures de Spa fin juillet…

WRC Rally Poland:Lefebvre en tête des Juniors/ Lefebvre – top Junior

Stéphane Lefebvre est leader de la catégorie Junior. A 22 ans, grâce à Sébastien Loeb, le Français vient de signer un contrat avec Red Bull pour poursuivre l’aventure en Championnat du monde Junior. Il mène aussi un programme parallèle en Championnat d’Europe Junior.

En dix jours, Stéphane Lefebvre a pris dix ans d’expérience ! La semaine dernière, au Rally d’Ypres, il a parcouru les 27,56 km de la dernière spéciale avec un capot moteur ouvert devant le pare-brise de sa Peugeot 208 R2 pour arracher la 1^ère place en Junior, ex-aequo avec Crugnola. « C’était sympa, mais je ne le referai pas », a expliqué le pilote de la Peugeot Rally Academy, déclaré vainqueur grâce à un meilleur temps dans l’ES1.

Dès l’arrivée du Rallye d’Ypres, Stéphane et son copilote Thomas Dubois ont pris un vol pour Varsovie pour participer aux reconnaissances du Rally Poland, 2^e manche mondiale du championnat Junior. Après sa victoire au Portugal, c’est en leader du championnat que le Français a entamé ce rallye au volant d’une Citroën DS3 R3T/Michelin préparée par PH’Sport. Un rallye qu’il avait déjà disputé l’an passé dans le cadre du championnat d’Europe.

« Le parcours est différent, mais je connaissais le profil des spéciales et le type de terrain. J’avais appris à rouler dans les rails et ça m’a servi vendredi pour l’étape en Lituanie », expliquait le nouveau pilote Red Bull.

« En début d’année, je cherchais un budget complémentaire pour mener ce programme mondial en Junior. J’ai alors contacté Sébastien Loeb qui m’a mis en relation avec Red Bull. Le partenariat devait commencer au Portugal, mais il ne débute que ce week-end et court sur toute la fin de saison WRC. »

A l’issue de la 3^e étape du Rally Poland, Stéphane Lefebvre est leader de la catégorie Junior, avec plus de deux minutes d’avance. Une seconde victoire lui permettrait de conforter sa place de leader au championnat du monde Junior avant le Rallye de Finlande. Stéphane est aussi 2^edu championnat d’Europe Junior, à deux points du leader. Il devrait aussi participer à quelques manches françaises du Volant Peugeot 208 R2.

Junior WRC, Citroën, PH’Sport : ça ne vous rappelle rien ? Les parcours de Sébastien Loeb et de Sébastien Ogier peut-être…

The man in front in the Junior battle is Stéphane Lefebvre. Thanks to Sébastien Loeb, the 22-year old has just signed a contract with Red Bull to continue his Junior WRC programme, in addition to his European Junior campaign.

Stéphane Lefebvre has gained 10 years’ worth of experience in the space of just 10 days! Last week, at Ypres, he completed the final stage (27.56km) with the bonnet of his Peugeot R2 open, concealing his view of the road, yet he completed the Belgian stage to finish the Junior class in first place, level with Crugnola. “It was fun, but I don’t want to go through that again,” said the Peugeot Rally Academy driver who was declared winner thanks to his fastest time on SS1.

Immediately after Ypres, Stéphane and his co-driver Thomas Dubois flew to Poland in time to recce the route of this weekend’s event, round two of the 2014 Junior WRC. After winning in Portugal, he topped the provisional standings before starting Rally Poland (which he did last season as part of his ERC programme) in a PH’Sport-prepared Citroën DS3 R3T/Michelin.

“The route is different, but I am familiar with the profile of the stages and the lie of the land. Last year, I learned to stay in the ruts and that helped me for the Lithuanian stages on Friday,” he related.

“At the start of the year, I was looking for some extra budget to take part in the Junior WRC, so I contacted Sébastien Loeb who put me in contact with Red Bull. The partnership was supposed to have started in Portugal but it finally began here, and it will continue through to the end of the season.”

After Day 3 in Poland, Stéphane tops the Junior standings by more than two minutes. A second win would strengthen his lead ahead of the next round in Finland. Stéphane is second in the ERC Junior classification, too, just two points down on the leader. He is also planning to take part in selected round of France’s Volant Peugeot 208 R2 series.

When you think about it, the fact that he is contesting the Junior WRC in a Citroën prepared by PH’Sport is very similar to the early careers of Loeb and Ogier!

WRC Rally Poland : Nouvelle victoire d’Ogier / another win for Ogier

Sur les pistes du 71e Rally Poland, Sébastien Ogier (VW/Michelin) a remporté sa cinquième victoire de la saison devant son équipier Andreas Mikkelsen (+1min07s7) et le Belge Thierry Neuville (+2min13s5), qui offre à Hyundai Motorsport son second podium mondial. Michelin a remporté sa 270e victoire en WRC, sa première en Pologne.

La 7^e manche du Championnat du monde des Rallyes FIA 2014 s’est résumée en un duel Ogier/Mikkelsen sur les pistes très rapides de Pologne et de Lituanie. Les deux pilotes Volkswagen se sont échangés la place de leader six fois au cours des dix 1^ères spéciales du rallye. Et jusqu’à l’ES12, jamais l’écart n’a excédé 2s8 entre les deux hommes.

Leur duel a atteint son zénith dans la spéciale n°12, samedi matin, où Sébastien Ogier et Andreas Mikkelsen ont chacun commis une faute, au même endroit. Mais le Norvégien a perdu un peu plus de temps que le Français pour revenir sur la piste. Ensuite, Sébastien Ogier a peu à peu creusé l’écart sur son challenger pour remporter sa 21^e victoire mondiale – sa 5^e en 2014 – et offrir un 17^e succès à la Polo R WRC (qui dépasse ainsi la mythique Peugeot 205 T16 au palmarès). Grâce à Andreas Mikkelsen, qui monte sur son second podium mondial après la Suède, Volkswagen Motorsport décroche son 3^e doublé de la saison.

Si l’ES12 a décidé de la victoire, l’ES14 a bouleversé le classement général. A 2 km de l’arrivée de la plus longue spéciale (35,17 km), une pierre a retardé et/ou éliminé quatre des dix pilotes du top-ten provisoire. Elfyn Evans (Ford, suspension), Robert Kubica (Ford, roue cassée), Jari-Matti Latvala (VW, suspension) et Mads Ostberg (Citroën, sortie). Kris Meeke (Citroën, sortie et décoincement) avait commis une faute un peu plus en amont.

Dès lors, les deux pilotes Hyundai Motorsport, Juho Hanninen et Thierry Neuville, et le vainqueur du Rally Poland 2009, Mikko Hirvonen, se sont retrouvés en lice pour la dernière marche du podium. Ils furent rapidement rejoints par Jari-Matti Latvala, revenu à 25 secondes de Neuville à l’issue de la 3^e journée.

Cette bataille a été remportée par Thierry Neuville qui offre à Hyundai son second podium mondial après le Rallye du Mexique. Après un début de course laborieux, les Finlandais Mikko Hirvonen (4^e) et Jari-Matti Latvala (5^e) terminent en 7/10^e de seconde et complètent le top-five devant un autre pilote finlandais, Juho Hanninen (6^e). L’ultime bagarre, celle pour la 7^e place finale, a été gagnée par Kris Meeke face à Hayden Paddon (8^e, Hyundai) et Henning Solberg (Ford, 9^e).

Devant leurs fans, les pilotes polonais n’ont guère brillé. Après trois chronos dans le top-3, Robert Kubica a dû se retirer dans la 3^e étape (roue arrachée) et termine 20^e. Ses compatriotes Krzysztof Holowczyc (Ford) et Michal Solowow (Ford) sont sortis de la route.

En WRC-2, Ott Tanak et Jari Ketomaa offrent un doublé inédit à l’équipe Drive DMack sur leur Ford Fiesta R5. Après les retraits de Martin Kangur (Ford, roue arrachée) et Sébastien Chardonnet (Citroën, sortie) samedi, Yazeed Al-Rajhi (Ford) retrouve le podium WRC-2 depuis le Rallye d’Espagne 2013. Valeriy Gorban (Mini) et Bernardo Sousa (Ford) complète le top-five.

En Junior, seconde victoire pour Stéphane Lefebvre (Citroën DS3 R3/Michelin) devant Alastair Fischer et Quentin Giordano.

The all-gravel Rally Poland saw Sébastien Ogier (VW/Michelin) collect his fifth victory of the season, ahead of team-mate Andreas Mikkelsen (+1m7.7s). Belgium’s Thierry Neuville (+2m13.5s) earned Hyundai Motorsport’s first podium finish, while Michelin notched up its 270th world class success, its first in Poland.

The seventh round of the 2014 FIA World Rally Championship turned out to be a fratricidal duel between VW team-mates Ogier and Mikkelsen on the weekend’s fast stages in Poland and Lithuania. The two VW drivers traded places six times in the course of the first 10 stages, and the gap between the two never exceeded 2.8s until Saturday morning’s SS12.

On that test, they both made a mistake at the same spot, but the Norwegian lost a little more time than his French team-mate who was able to pull out a comfortable gap that laid the foundations for his 21^st world class win, his fifth of 2014, and the 17^th victory for the Polo R WRC which has now surpassed the score of the Peugeot 205 T16. Mikkelsen survived to finish on the podium for the second time since Sweden and contribute to Volkswagen Motorsport’s third one-two result of 2014.

While SS12 decided the overall outcome, SS14 changed the order further down the leaderboard. Two kilometres from the end of the event’s longest stage (35.17km), the same stone either delayed or eliminated four of the provisional top 10 runners, namely Elfyn Evans (Ford, suspension), Robert Kubica (Ford, broken wheel), Jari-Matti Latvala (VW, suspension) and Mads Ostberg (Citroën, off). Kris Meeke (Citroën) also went off and had a tyre come unseated earlier on the same test.

As a result, Hyundai Motorsport drivers Juho Hanninen and Thierry Neuville found themselves fighting with the 2009 Rally Poland winner Mikko Hirvonen for third place. They were joined shortly afterwards by Latvala who completed Day 3 25 seconds behind Neuville.

This scrap was won by Neuville who harvested Hyundai’s second podium finish after Rally Mexico. Finns Hirvonen (4^th) and Latvala (5^th) finished seven-tenths apart, ahead of sixth-placed Hanninen. The fight for seventh was won by Kris Meeke who beat off Hayden Paddon (8^th, Hyundai) and Henning Solberg (Ford, 9^th).

Meanwhile, the Poles had an unhappy week on home soil. Kubica posted three top-three times but fell back on Day 3 after he tore a wheel off his Ford. He ultimately came 20^th. Compatriots Krzysztof Holowczyc (Ford) and Michal Solowow (Ford) both crashed out.

WRC-2 honours went to Ott Tanak and Jari Ketomaa who secured Drive DMack’s first one-two in their Ford Fiesta R5s. Following the demises of Martin Kangur (Ford, wheel off) and Sébastien Chardonnet (Citroën, accident) on Saturday, Yazeed Al-Rajhi (Ford) joined them on his first WRC-2 podium since Spain 2013. Valeriy Gorban (Mini) and Bernardo Sousa (Ford) rounded out the top five.

The Junior competition produced a second win for Stéphane Lefebvre (Citroën DS3 R3/Michelin), ahead of Alastair Fischer and Quentin Giordano.

SWM ENDURO BY LORENZO BURATTI

Lorenzo Buratti is rapidly gaining a reputation as one of the more talented and creative custom motorcycle builders in Italy. His work has been featured on venerable websites like BikeEXIF and Sideburn, once you take a look through his motorcycle and furniture designs I think you’ll agree that he’s a very talented chap.

This bike is based on a classic Italian SWM Enduro motorcycle powered by a 280cc Rotax 2-stroke, he built the bike for his 17 year old daughter although there’s nothing girly about the finished bike. Lorenzo used to race enduro bikes and part of the reason for building this motorcycle was, in his own words;

“…sometimes enduro riders don’t consider the beauty of a quiet ride, with an open face helmet, with some stops to talk with farmers or to see animals and pristine landscapes…”

I can’t help but agree with him on that point, some of the most memorable rides are the slowest, the rides where you aren’t perpetually clenching your buttocks and whispering the Lord’s prayer as you hurtle yourself forwards atop hundreds of pounds of hot, roaring steel.

The upright seating position, leather saddle and broad handlebars give this little thumper the look of a very fun Sunday afternoon bike, the simplicity and warmth of the colours are immediately appealing and I can’t help but think that Lorenzo’s daughter may be tempted to ride this bike a little faster than Mr Buratti might like.

If you’d like to see more from Lorenzo Buratti, you can visit his website here.

via Silodrome

The highlights of Retro Classics meets Barock 2014

Last weekend saw the baroque gardens of Ludwigsburg Palace enjoy a blaze of colour, as 250 classic cars joined the gardens’ stunning display of flora for ‘Retro Classics meets Barock’. Meanwhile, the Best of Show title went to a Lancia Astura Pininfarina.

More than 30,000 visitors

From 20 to 22 July 2014, Ludwigsburg Palace opened its doors for the 11th time for Retro Classics meets Barock. This automotive beauty contest and festival of classics attracted more than 30,000 visitors, partly helped, no doubt, by the inclusion this year of classic motorcycles. The international jury struggled with the difficult task of assessing more than 250 classics, to award prizes in no fewer than 11 different categories. Ninety classic cars were seen in the FIVA Concours and some 160 in the Festival of Classic Cars (where the rules are somewhat relaxed, with the eligible years of construction extended to 1984). The Concours saw appearances by numerous early classics with special bodies – a Bentley by Erdmann & Rossi, a Lancia Astura by Pininfarina, alongside Alfa Romeos with bodies by Bertone, Pininfarina, Touring and Castagna.

And the winner is...

The coveted Best of Show trophy for 2014 went to a rare 1938 Lancia Astura Pininfarina. The ‘Best of Festival of Classic Cars’ was awarded to a 1937 BMW 328 Sport and, in a unusual concours class that invited a children’s jury to pick its own favourite, a 1954 Chevrolet Corvette was the distinguished winner of the ‘Children's Choice Award – Best of Show’. In the special categories ‘125 Years of Peugeot Motor Vehicles, ‘Jaguar XK 140’ and ‘Classic Bikes’, the winners were a 1935 Peugeot 302, a 1955 Jaguar XK140 OTS and a 1966 BMW R50/2. Meanwhile, the RetroClassicCultur eV award went to the former German Minister of Transport, Dr. Matthias Wissmann, under whose direction the H flag was introduced on 27 July 1997. The current president of the German Association of the Automotive Industry accepted the award personally at a special ceremony at the Palace.

Photos: Retro Promotion

For more information on Retro Classics meets Barock, please visit retro-classics-meets-barock.de.

WHEELS ans WAVES by Götz Göppert photography

noire ...

Beauty is life without air-conditioning…

Since the arrival of air-conditioning, we’ve enjoyed cool, comfortable motoring on even the hottest days of summer. But photographer Michael Stonis has returned us to the golden age, when climate control was an analogue affair of winding down windows and losing layers…

Our pretty blonde protagonist is clearly suffering from the stifling heat, and you can bet those thick brown seats aren’t ideal for a summer’s day siesta. But at least she and her friends have dressed for the occasion, ready to be captured by California-based photographer Michael Stonis. This got us thinking – have we finally found the real reason for today’s (otherwise largely pointless) dual-zone climate control systems?

More work by Michael Stonis can be found at michaelstonis.com.