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    lundi 29 septembre 2014

    WRC, France : Petit parcours, gros plateau / short but sweet!

    Pour la cinquième année – et la première sans l’enfant du pays Sébastien Loeb - le Rallye de France se déroule en Alsace et dans les Vosges sur un parcours long de 303,63 km (le plus court du championnat 2014), avec 97 engagés (le plus gros plateau de la saison).
    En deux ans, le parcours du Rallye de France-Alsace a perdu une centaine de kilomètres chronométrés. Avec 303,63 km, c’est même le rallye mondial le plus court organisé cette saison…
    Mais les organisateurs ont conservé l’âme et les difficultés de cette épreuve, bâtie sur les fondations du Rallye Alsace-Vosges (manche du Championnat de France), avec des spéciales variées, plutôt rapides et techniques sur les versants alsaciens et vosgiens du massif montagneux. Le tracé 2014 propose moins de vignoble et plus de forêts.
    Près de 50% du parcours ont été modifiés par rapport à 2013 avec quatre nouvelles spéciales, dontPays Welche-Riquewihr(ES10/13) et une journée dominicale inédite dans la région de Saverne, qui remplace Haguenau, la ville natale de Sébastien Loeb. Quatre autres spéciales ont été modifiées, alors que seulesVosges-Pays d’Ormont(ES2/5, 34,34 km) etSoultzeren-Le Grand Hohnack(ES9/12, 19,93 km) ont été conservées telles que.
    Comme chaque année depuis 2011, le Rallye de France-Alsace tournera autour du Zénith circulaire de Strasbourg qui accueille le PC, le Village-exposants et le parc d’assistance. Les Superspéciales (précédées de séances d’autographes) de Strasbourg et de Mulhouse sont maintenues pour créer de l’animation dans deux grandes agglomérations alsaciennes. La capitale européenne accueillera également la cérémonie de départ jeudi soir.
    Si les organisateurs du Rallye de France-Alsace proposent le plus petit parcours de la saison, ils ont en revanche attiré le plus grand nombre d’engagés avec une centaine de véhicules attendus, dont 17 World Rally Cars, 10 R5 (Ford, Citroën, Peugeot), 11 Citroën DS3 R3 J-WRC, deux Porsche RGT, sans oublier la nouvelle Renault Clio R3T. Les tarifs particulièrement attractifs pour les concurrents « privés » (de 1100 à 2200 €) ont permis d’attirer un grand nombre de pilotes amateurs français, belges et suisses. Les titres mondiaux WRC et J-WRC pourraient être attribués ce week-end à deux équipages tricolores.
    Rallye de France
    For the fifth consecutive year, but for the first time without local star Sébastien Loeb, the Rallye de France visits the country’s Alsace and Vosges regions. Although the route is just 303.63km in length (the shortest of 2014), it has attracted the biggest entry of the season (97 cars).
    Compared with two years ago, some 100km have been chopped off the Rallye de France-Alsace’s total competitive distance which is just 303.63km this week, making it the shortest round of the 2014 WRC.
    Even so, the organisers have maintained the soul and challenge of their event thanks to a varied menu of fast, technically-demanding stages on the eastern and western slopes of the Vosges Mountains which are more predominant this time round than the Alsatian vineyards.
    More than half the route has been modified compared with last October and there are four new stages (including ‘Pays Welche-Riquewihr’, SS10/13), plus a new loop on Sunday in the Saverne region, instead of the visit to Loeb’s home territory near Haguenau. Four other stages have been modified and only ‘Vosges-Pays d’Ormont’ (SS2/5, 34.34km) and ‘Soultzeren-Le Grand Hohnack’ (SS9/12, 19.93km) are unchanged.
    Like every year since 2011, the French round will be based in the Zénith entertainment complex near Strasbourg (HQ, village/exhibition, service park), while super-stages in Strasbourg and Mulhouse (both preceded by autograph-signing sessions) remain on the programme. The European capital will also host Thursday evening’s start ceremony.
    Although the 2014 Rallye de France-Alsace is the shortest of the championship, it has attracted the biggest entry to date, with almost 100 cars on the list, including 17 World Rally Cars, 10 R5s (Ford, Citroën, Peugeot), 11 Citroën DS3 R3s (J-WRC), two Porsche RGTs and the new Renault Clio R3T.
    A particularly low entry fee for privateers (between €1,100 and €2,200) has attracted a strong field of amateurs from France, Belgium and Switzerland.
    Both the WRC and J-WRC titles could be wrapped up by French drivers next Sunday.

    Blancpain Endurance Series : Présent et avenir de la Bentley Continental GT3 avec Wolfgang Dürheimer

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    par Laurent Mercier (Endurance-Info.com)
     
    Apparue aux 12 Heures d’Abu Dhabi en décembre dernier avec une place au pied du podium, la Bentley Continental GT3 a connu une très belle saison 2014 avec deux victoires en Blancpain Endurance Series. La GT3 britannique développée en collaboration avec M-Sport a joué le titre jusqu’au bout. Il n’y a guère que les 24 Heures de Spa qui n’ont pas été à la hauteur des attentes avec une place hors du top ten pour les deux Continental GT3 de Meyrick/Kane/Smith et Leclerc/D’Ambrosio/Tappy. La finale disputée le week-end dernier au Nürburgring n’a pas permis de confirmer la belle prestation d’ensemble. De l’autre côté de l’Atlantique, la présence des Bentley en Pirelli World Challenge s’est soldée par un succès et c’est maintenant du côté de l’Asie que la GT3 blanche et verte va débuter avec le GT Asia Series et les 12 Heures de Bathurst. Dans le camp Bentley, on est satisfait de cette première saison…
    « Les résultats obtenus cette année ont été au-delà de nos attentes » a indiqué Wolfgang Dürheimer, patron de Bentley, à Sportscar365. « Personne n’a jamais pensé que Bentley allait être rapide en aussi peu de temps et être aussi fort dès le début. Les victoires décrochées à Silverstone, au Paul Ricard et aux Etats-Unis ont vraiment été au centre de nos attentions, et par conséquent, les résultats ont été très suivis par beaucoup d’équipes. Nous recevons beaucoup de demandes de gens qui explorent diverses possibilités pour l’avenir. »
    22772 On ne connaît pas encore le programme complet pour 2015, mais Bentley sera bien de retour en Blancpain Endurance Series avec des équipages qui restent à être confirmés. « Nous aurons au moins la même configuration que cette année, mais je vois plus de voitures en 2015 » a déclaré Dürheimer.
    « Bentley aurait pu faire d’autres choses, mais rien ne cadrait comme le GT3 à l’heure actuelle » a indiqué le PDG de Bentley. « Bien sûr, en 2003, c’était la dernière victoire de la LMP, mais nous pensons que le programme GT3 est plus avantageux pour notre marché et la situation de la société en général, plutôt que de faire un programme prototype. »
    22536Bentley faisant partie du même groupe que Audi et Porsche, la décision de se diriger vers la catégorie GT3 s’est vite imposée : « Dans le groupe Volkswagen, nous avons un total de 12 marques. Parmi ces marques, 9 font de la compétition. Les administrateurs et les techniciens se rencontrent lors de réunions et nous échangeons des informations pertinentes, mais tout n’est pas partagé en termes de compétitivité. »
    Si les 24 Heures du Mans ne sont pas encore à l’ordre du jour pour Bentley, cette idée d’un retour dans la Sarthe n’est pas fermée : « Nous discutons, nous analysons les règlements et nous pensons aussi à ce que nous pouvons faire à notre auto actuelle pour qu’elle devienne une GTE. Aucune décision n’a été prise pour un retour au Mans, mais cela pourrait changer. L’IMSA est également en relation étroite avec l’ACO, alors peut-être qu’il pourrait y avoir une opportunité. » M-Sport Bentley s’occupe de la Continental GT3 sur le continent européen tandis que Dyson Racing Team Bentley fait rouler les autos aux Etats-Unis avec une victoire décrochée sur le Miller Motorsports Park en Pirelli World Challenge.
    22668 « Dyson Racing est notre partenaire principal aux Etats-Unis » a déclaré Dürheimer. « Nous ne cherchons pas la quantité mais la qualité. Aux Etats-Unis, nous sommes en discussion avec d’autres équipes, mais aucune décision n’a été prise. Il est clair que nous souhaitons grossir à l’échelle mondiale. Cela signifie que nous ne nous limitons pas à l’Europe et aux Etats-Unis, car nous irons en Chine et dans d’autres régions.
    « Nous n’allons pas augmenter considérablement notre programme car nous avons pour volonté de rester exclusif et sélectif comme nous le sommes dans le secteur de l’automobile, ainsi il n’y aura pas une inflation de Bentley sur la piste. »
    Il n’est pas prévu que la Bentley Continental GT3 subisse de grosses modifications en vue de 2015 : « Nous n’avons pas besoin d’introduire un ensemble de mises à jour parce que nous n’avons que quelques autos qui sont sous notre contrôle. Il y aura quelques petits ajustements, mais la voiture sera essentiellement la même que cette année. »
    21812 Le gros challenge 2015 sera une participation aux 24 Heures du Nürburgring. Afin de se préparer, M-Sport Bentley va prendre part à deux manches VLN d’ici la fin de l’année : « Nous allons participer aux deux dernières courses VLN cette année, afin de recueillir des données, de comprendre la configuration de notre voiture sur la Nordschleife en préparation des 24 Heures du Nürburgring. »
    En complément, on pourrait bien voir au moins une Bentley en janvier prochain aux 24 Heures de Dubai : « La décision finale n’a pas encore été prise mais je pense que la chance de participer aux 24 Heures de Dubai est de l’ordre de 60%. Dubai et le Moyen-Orient en général est un grand marché pour nous. Il y a tout ce qu’il faut pour avoir de l’attrait si nous courrons aussi dans cette région. »
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    DIRTQUAKE : Serge Nuques, Guy Martin, des motos et de la boue !!

    Vous aimez les hommes (et les femmes !!) qui se roulent dans la boue ? Vous aimez Guy Martin et Serge Nuques ? Cette vidéo est faite pour vous !!
    Arsouilles, travers de cochon, dépassements viriles... et tout ça, sans frein avant pour certains. Ouais, le flat track, ça envoie du lourd !




    via Moto Journal !

    Moto GP ; Ezpeleta : « Valentino Rossi est un exemple de ce que doit être un pilote » / Ezpeleta: ‘Rossi is an example to all riders’

    Dans une interview avec Movistar TV, Carmelo Ezpeleta, le CEO de Dorna Sports, a abordé plusieurs sujets dont le calendrier 2015, l'arrivée de nouveaux constructeurs en MotoGP™, l'importance de Valentino Rossi pour les Grands Prix et le passage de Jack Miller du Moto3™ à la catégorie reine.
    Dorna CEO Carmelo Ezpeleta

    Carmelo Ezpeleta a commencé par expliquer pourquoi la manche d'ouverture du Championnat du Monde MotoGP™ 2015 aurait lieu une semaine plus tard qu'en 2014 : « Il y avait un autre grand évènement sportif, un match de football important dans la ligue espagnole, à la même date et c'est la raison de ce report parce que le match affecte un marché important qui est l'Espagne mais a aussi une importance internationale. Il y avait cependant d'autres facteurs à prendre en compte, comme le fait qu'il n'y aura plus une aussi longue pause entre le Qatar et Austin, ce dont certains teams s'étaient plaint l'an dernier. Il vaut aussi mieux commencer un peu plus tard parce que le climat sera un peu moins humide au Qatar, ce qui est toujours une préoccupation pour une course nocturne. »
    Le calendrier provisoire comprend 18 dates, comme en 2014, le Brésil n'était toujours pas au programme. Le CEO de Dorna a expliqué : « Le circuit n'est pas encore terminé. Nous préférons attendre mais nous sommes certains qu'il sera prêt pour 2016. Nous avons reçu beaucoup de demandes de pays qui souhaitent entrer dans le calendrier mais il est encore trop tôt. Ce qui est certain est que nous aurons de nouveau quatre courses en Espagne, qui ont toutes déjà un contrat existant. Pour 2016, nous verrons plus tard. »
    Concernant le retour de Suzuki et d'Aprilia dans la catégorie reine et le changement de règlement qui aura lieu en 2016, Ezpeleta a ajouté : « Nous ne nous occupons pas de les faire venir. Ce sont les constructeurs eux-mêmes qui, selon le règlement en vigueur, décident s'ils ont intérêt à venir ou non. C'est ce à quoi nous nous attendions. Nous ne sommes allés avoir personne pour leur dire de venir en MotoGP. Suzuki avait déjà exprimé son intérêt avant l'annonce de l'ECU unique. Aprilia avait d'abord annoncé un retour en 2016 et au final ils arrivent un an plus tôt. »
    Quant aux avantages du règlement Open dont bénéficient certains constructeurs dont Ducati cette année, Ezpeleta a précisé : « Il y a un consensus entre les trois constructeurs actuels. C'est une décision qui favorise les prototypes Open et les constructeurs qui n'ont rien gagné ces dernières années ou ceux qui font leur retour à la compétition. Selon leurs résultats, ils peuvent perdre le pneu tendre. Je pense que personne ne serait plus heureux que Ducati de les voir perdre ces avantages dès maintenant. La même chose s'appliquera à Suzuki l'an prochain. »
    Ezpeleta a également discuté de l'arrivée de Jack Miller en MotoGP™ et a affirmé : « C'est un choix personnel. Nous pensons qu'il est normal de passer par le Moto2™. L'impression que nous avons, et l'impression que nous donnent ceux qui sont passés par le Moto2 avant le MotoGP, est que c'est un excellent terrain de formation. Mais si un pilote et un team veulent sauter une catégorie, c'est une décision qu'ils peuvent prendre. » 
    Ezpeleta a aussi souligné l'importance de Valentino Rossi pour le Championnat du Monde MotoGP™ : « C'est un pilier pour le championnat, mais pas le seul pilier. Je n'ai jamais caché que Valentino est pour nous quelqu'un de très spécial. Il a 35 ans et je pense que l'âge de définit pas une personne, c'est le désir que vous avez qui vous définit. Physiquement, il est aussi bien qu'à 25 ans. Je crois même qu'il est en fait en meilleure forme qu'à l'époque. C'est une icone, un excellent pilote et il adore son travail. Grâce à ses qualités, il a su se réinventer, utiliser une moto qui ne convenait pas à son style mais qu'il savait rapide. Pour nous, c'est un exemple de ce que doit être un pilote. »
    In an interview with Spanish broadcaster Movistar TV, Dorna Sports’ CEO Carmelo Ezpeleta has covered several current MotoGP™ topics, such as next year’s provisional calendar, the arrival of new constructors in the World Championship, Valentino Rossi’s role in the sport and Jack Miller’s jump from Moto3™ to the premier class.
    The first point to be covered by Mr Ezpeleta was why the start of the 2015 World Championship has been put back one week provisionally, compared with 2014. Mr Ezpeleta, “The clash with another sports event, a big football match in the Spanish league is one reason, as it not only affects a significant market such as Spain but that match attracts global interest. However, there were other equally important matters to consider, like the fact that there will now not be so many weeks between Qatar and Austin, which caused some complaints last year. It’s also better to start later as there should be less moisture in Qatar, which is always a concern with the night race.”
    The provisional schedule announced on Friday includes 18 Grands Prix, as is the case this year, with Brazil once again not featuring. Mr Ezpeleta stated, “The circuit has not been completed. We preferred to wait this time, and we have total faith that for 2016 it will be ready. For this season we had a lot of demand from countries who want to come in and it is too soon to advance further developments. What is certain is that there will still be four races in Spain, because they all have an existing contract. From 2016 we'll see.”
    Meanwhile in terms of MotoGP manufacturers, the forthcoming regulation changes for 2016 are encouraging constructors such as Suzuki and Aprilia to make a return to Grand Prix, with KTM also aiming to enter the premier class in 2017.
    Mr Ezpeleta commented, “We are not talking with any one manufacturer, it's the brands themselves who according to the regulations decide that they are interested in coming. It's what we expected. We have not been to see anyone to tell them to come to MotoGP. Before the announcement of the standard ECU, Suzuki had already expressed an interest in returning. Aprilia initially said they would return in 2016 and have come back one year earlier.”
    Regarding the benefits of the Open regulation to manufacturers such as Ducati, Ezpeleta noted, “There is a consensus among the three current manufacturers. It is a policy that favors the Open bikes and manufacturers that have not won anything in recent years, or are returning to racing. Based on results they will lose the soft tyre. I think no one would be happier than Ducati to lose these benefits immediately. The same applies to Suzuki next year.”
    Regarding Moto3™ frontrunner Miller’s arrival in MotoGP next year, Mr. Ezpeleta said, “It's an individual’s choice. We think it's normal to go through Moto2. The impression we have, and the impression given to us by those who have gone through Moto2 to get to MotoGP is that it's a great training ground. But if you want to skip a category it’s a decision for you and your team.”
    Meanwhile, on the role of highly popular and successful Italian rider Rossi in the World Championship, following his recent superb win at Misano, Mr. Ezpeleta noted, “He is a pillar of the championship, but not the only important pillar. I've never hidden that for us Valentino is someone special. He is 35 years-old but I think that age is not what defines you, it is the desire you have. I think physically he is similar to when he was 25. In his case I think it is the opposite even, that he is fitter than he was then. Regarding how iconic he is, above all he’s a great rider, he loves his job. With his qualities, he is someone who is able to reinvent himself, to use a bike that does not suit his riding style, he understands that it is fast. He is an example of what we think a rider should be.”

    WRC, France : A six points du bonheur…/ Ogier six points from glory!


    Sébastien Ogier et Julien Ingrassia (VW/Michelin) peuvent décrocher un second titre mondial consécutif s’ils marquent six points de plus que Latvala/Anttila au Rallye de France-Alsace. Pour prolonger le suspense, Jari-Matti Latvala doit impérativement s’imposer ou compter sur une défaillance du Français.
    Après avoir manqué une belle opportunité de recoller au championnat Pilotes en sortant de la route au Rallye Deutschland, Jari-Matti Latvala compte 50 points de retard sur Ogier au départ du Rallye de France-Alsace à l’issue duquel il restera 56 points à distribuer.
    Si Ogier repart d’Alsace avec six points d’avance sur Latvala, il sera assuré du titre mondial 2014. Par exemple, il sera champion s’il gagne et que Latvala termine 2e sans être dans les deux premiers de la Power Stage. Si Ogier termine 2e sans bonus, il sera titré si Latvala ne monte pas sur le podium et ne marque pas de bonus. Si Ogier termine 3e sans bonus, il sera titré si Latvala n’est pas dans le top-five et ne termine pas dans les deux premiers de la Power Stage…En revanche, si Latvala remporte le Rallye de France-Alsace, il prolongera automatiquement le suspense au championnat.
    Tout ceci nous promet donc du suspense et du spectacle sur les spéciales asphalte de cette 11emanche de la saison. Et ce n’est pas tout car ça va aussi bagarrer pour les places d’honneur au championnat. Si Andreas Mikkelsen (VW) semble désormais assuré d’une 3e place finale, Mikko Hirvonen (Ford), Thierry Neuville (Hyundai) et Mads Ostberg (Citroën) se tiennent en moins de 10 points. Les deux Britanniques Kris Meeke (Citroën) et Elfyn Evans (Ford) peuvent eux aussi terminer dans le top-5 du championnat.
    Chez les Constructeurs, Citroën-Total Abu Dhabi WRT, M-Sport World Rally Team et Hyundai Motorsport se tiennent en 13 points pour le titre de vice-champion du monde 2014. Et que dire du suspense insoutenable entre Jipocar Czech National Team (40 pts), RK M-Sport WRT (25 pts) et Hyundai Motorsport N (22 pts) pour la gloire !
    En WRC-2 en revanche, les 10 premiers du championnat ont décidé de bouder le Rallye de France-Alsace, sauf Pontus Tidemand (Ford R5) qui n’a que très peu de chances d’être titré. La course ne manquera pas d’intérêts néanmoins entre le Suédois, vainqueur en Allemagne, Sébastien Chardonnet (Citroën R5), Quentin Gilbert (Ford R5), le Britannique Marty McCormack (Ford R5), sans oublier Xevi Pons (Ford R5) et Kevin Abbring (Peugeot 208 T16) engagés hors-championnat.
    En WRC-3/J-WRC, les six premiers des classements provisoires seront là : Stéphane Lefebvre, Christian Riedemann, Quentin Giordano, Martin Koci, Alastair Fisher et Simone Tempestini. Lefebvre pourrait être titré dès ce week-end, mais un faux pas remettrait immédiatement trois ou quatre concurrents en lice pour le titre avant la dernière manche J-WRC au Wales Rally GB.
    Sébastien Ogier and Julien Ingrassia (VW/Michelin) have a chance of claiming a second world title if they notch up at least six points more than Latvala/Anttila in Alsace. But victory for the Finns will keep the suspense going until at least Spain…
    After squandering a golden opportunity to close the gap to his team-mate in Germany, Latvala is currently 50 points short of Ogier going into the championship’s anti-penultimate round, after which it will still be possible to score a maximum of 56 points.
    As a consequence, if Ogier claims at least six points more than Latvala in France, he will be sure of clinching the 2014 Drivers’ crown. For example, he will take the title 1) if he wins and Latvala comes second but finishes no higher than third on the Power Stage, 2) if he comes second with no Power Stage points and Latvala doesn’t finish in the top-three overall and doesn’t pick up any bonus points or 3) if he is third with no bonus points and Latvala fails to finish in the top five and comes no higher than third on the Power Stage…
    However, if the Finn wins the Rallye de France-Alsace outright, the suspense will continue until Spain, at least.
    This uncertainty is sure to add to the interest of the season’s all-asphalt 11th round, not to mention the battle for the championship’s third and fourth places. Indeed, while Andreas Mikkelsen (VW) is in a strong position with 125 points, chasers Mikko Hirvonen (Ford, 83), Thierry Neuville (Hyundai, 79) and Mads Ostberg (Citroën, 74) are covered by nine points. Britons Kris Meeke (Citroën) and Elfyn Evans (Ford) can also still end up in the top five overall.
    In the Manufacturers’ standings, Citroën-Total Abu Dhabi WRT, M-Sport World Rally Team and Hyundai Motorsport are split by 13 points in their bids to secure vice-champion honours, with Jipocar Czech National Team (40 points), RK M-Sport WRT (25) and Hyundai Motorsport N (22) covered by 18 points!
    In contrast, the top 10 runners in the WRC-2 battle have decided to skip the French round, with the exception of Pontus Tidemand (Ford R5) whose title chances seem slim despite his victory in Germany. Even so, the contest for the class win in Alsace will oppose the Swede, Sébastien Chardonnet (Citroën R5), Quentin Gilbert (Ford R5) and Briton Marty McCormack (Ford R5), plus Xevi Pons (Ford R5) and Kevin Abbring (Peugeot 208 T16) who aren’t registered for the championship.
    The top six runners in the WRC-3/J-WRC will all be in France, namely Stéphane Lefebvre, Christian Riedemann, Quentin Giordano, Martin Koci, Alastair Fisher and Simone Tempestini. Lefebvre has an opportunity to sew up the title on home soil, but a poor result for him would boost the hopes of three or four drivers ahead of the J-WRC’s final clash in Wales.

    coup de vent