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    vendredi 31 janvier 2014

    Citroën SM Cabriolet: The most beautiful Maserati ever?


    When Citroën acquired a 60 per cent share of Maserati in 1967, it couldn’t have come at a better time for the French company. And who better to entrust with powering its new sports car than the folks over at the Trident marque?
    Citroën’s innovative DS, with its hydropneumatic suspension, was revered worldwide but the media had one major criticism: it needed more power. As a custom-designed, technologically advanced 2.7-litre Maserati V6 was fitted into a new quirky saloon body, so the SM was born – finally with the oomph and versatility deserved by a true luxury car. 

    Kum ba ya...

    Among the coachbuilders who favoured the high-end SM was Henri Chapron, the chap responsible for the elusive Mylord cabriolet, of which it is believed only six were built. The drop-top SM was elegantly styled and luxuriously equipped – the body was strengthened, a boot was added and a hood was created to cover the four-seated interior.
    Its price wasn’t so attractive, though. At 130,000 Francs (in 1971!), it was double the price of the standard SM and dangerously close to that of the Ferrari Daytona. Perhaps inevitably, Citroën didn’t take up the project and experts believe that only six were produced, one of which was later destroyed in a fire. As a result, genuine Mylord cabriolets are, according to Artcurial, ‘impossible’ to find. 

    The last great French luxury automobile

    This stunning one-owner example – arguably the very best of them all – presents an exceptional opportunity to own what is held to be the last great, French, luxury automobile. Purchased at the 1975 Paris Motor Show by a Citroën dealer in Colmar, it has remained in the same family ever since. In its day, the ‘Byzantine Gold’ convertible was used to transport the family to its holiday home on the Côte d’Azur. It has been professionally maintained and is offered with extensive documentation, including manuals, technical drawings, registration papers and correspondence between Chapron and the owner.
    It will go under the gavel at Artcurial’s Rétromobile sale in Paris, on February 7. As the auction house rather nicely puts it: "We’re offering a wonderful story – it’s up to you to continue the plot." Remember one thing, though: underneath that unique French exterior beats an unmistakeably Italian heart.
    Photos: Artcurial

    Les 50 ans de La Remise


    Quatre-vingt convives étaient réunis dans une fraternelle amitié à La Remise (Antraigues), veille du passage du Rallye Monte-Carlo Historique 2014 remporté par José Lareppe sur une Opel Kadett GT/E. Une soirée qui restera dans les mémoires…
    Le défi avait été lancé et le pacte scellé lors du Monte-Carlo précédent, dans l'optimisme créatif d'une fin de repas : si Yves Jouanny, patron du célèbre restaurant, fêtait le 50e anniversaire de La Remise au volant, ses amis journalistes s'engageaient à le suppléer aux fourneaux. Le menu, avec de vrais morceaux de cèpes et de morilles dedans, fut même arrêté sur le champ.
    Ainsi, tandis qu’Yves et son fils Eric prenaient le départ de Monaco, numéro 50 sur les portes de la Lancia Fulvia HF 1600 prêtée par « Tchine », les maîtres queux amateurs investissaient sa cuisine. Et les amis de tous horizons, engagés de cette « spéciale » convergeaient vers La Remise.
    Au fil des arrivées, on recensa au sein de la joyeuse troupe un pilote de GP, Patrick Tambay, et pas moins de six vainqueurs du Rallye Monte-Carlo, pilotes et coéquipiers. Soit, par ordre d'apparition au palmarès : « Biche », Jean-Pierre Nicolas, Alain Mahé, Ari Vatanen, Bruno Saby et, voici vingt ans tout juste, François Delecour.
    Jean-Luc Thérier, présent lui aussi, en aurait assurément fait partie, sans la neige jetée par les spectateurs devant les roues de sa 911... Première anecdote, bien sûr suivie de dizaines d'autres, entre le « J'ai pas tapé ! »de François Delecour et les huit minutes de pénalité lestant Ari Vatanen à Gap.
    Cinquante ans de petites histoires du grand « Monte » ont ainsi défilé entre la terrine façon « Nice-Matin », le risotto aux cèpes « Radio Monte-Carlo » et la fricassée de volailles aux morilles, le tout noblement arrosé d'un « Domaine Garance » de Jean-Louis Trintignant, autre habitué des lieux, malheureusement retenu par un voyage à l'étranger.
    Qui dit Rallye Monte-Carlo dit forcément coups de théâtre. L'arrivée, non prévue, d'Yves Jouanny, contraint à l'abandon par le moteur de la Lancia du côté d'Entrevaux, déclencha une longue et chaleureuse ovation, qui laissa l'Ardéchois au bord des larmes.
    Le concours de la Tartelette d'Or termina la soirée. Et les tartelettes, emblèmes de la maison, réapparurent après une courte nuit, pour être proposées à tous les concurrents du rallye historique, aux premiers rangs desquels Fred Gallagher et Jean Ragnotti à bord de deux autres cinquantenaires : la Mini et la R8 Gordini...
    photo112
    Déjà vainqueur en 2010 et 2012, le Belge José Lareppe a imposé pour la 3e fois en Principauté sa fidèle Opel Kadett GT/E. Il est accompagné sur le podium par le Norvégien Petter Granerud et le Français Jean-Michel Coll, tous deux sur Porsche. A la 4e place finale pointe une autre Kadett GT/E, celle de Raymond Durand. Cinquième place et superbe perf' de la minuscule Autobianchi A112 Abarth de Morgan Aimé, tout frais titulaire du permis de conduire et de son père Pascal, déjà sur le podium en 2007. L’A112 Abarth de Daniel Elena a connu un problème d’alternateur dans Burzet.

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