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    samedi 24 mai 2014

    WTCC : Morbidelli stoppe la série de pole de Citroën


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    Gianni Morbidelli décroche une superbe pole position sur le Salzburgring, devenant le premier pilote cette saison à briser l’hégémonie de Citroën dans cet exercice. Il avait été auparavant le premier à s’imposer face à elles.
    L’Italien du ALL-INKL.COM Münnich Motorsport, qui a toujours figuré parmi les plus rapides depuis le début du meeting autrichien, a bouclé un tour parfait au volant de sa Chevrolet RML Cruze et fixé le chrono en 1’22’’137.
    Il devance les Citroën d’Yvan Muller et Sébastien Loeb, Tom Coronel est 4e pour le compte du ROAL Motorsport pour sa première apparition en Q3 cette année. José María López complète enfin le quinté de tête après s’être fait une chaleur en effectuant un spectaculaire tête à queue dans le virage n°9 lors de la Q1.
    Morbidelli a démontré sa rapidité dès cette séance en devançant les trois C-Elysée de Muller, Loeb et Lopez, Borković au 5e rang. La Serbe a cependant été l’une des nombreuses victimes du Turn 9 dès son premier tour en Q2. Par chance, la deuxième Cruze du Campos Racing n’a pas subit les mêmes dommages que la voiture sœur de Valente ce matin.
    Yvan Muller se hisse au sommet de cette séance devant les Chevrolet de Coronel et Morbidelli, tandis que les Honda semblent délibérément rechercher la pole position de la Course 2 en s’approchant de la 10eplace. Tarquini, Michelisz, Bennani et Monteiro trusteront ainsi les quatre premières places, demain, au départ de cette manche.
    Franz Engstler s’offre une nouvelle pole position en TC2T, cette fois devant John Filippi.
    Q1
    Norbert Michelisz devance la meute après la première salve de chronos en 1’23’’259, plus rapide que le 1’23’’431 de Muller, le 1’23’’432 de Lopez et le 1’23’’474 de Morbidelli.
    La deuxième tentative voit Coronel améliorer en 1’22’’960 devant Michelisz ‘1’23’’207), Morbidelli (1’23’’283) et Chilton (1’23’’354).
    Le trio de Citroën améliore ensuite : Muller (1’22’’608), López (1’22’’619) et Loeb (1’22’’722). Mais Morbidelli se porte aux commandes en 1’22’’535. Quelques secondes plus tard, López part en tête à queue dans le virage n°9 mais évite l’accident et parvient à regagner son stand.
    Les pilotes LADA tentent une dernière action de désespérée pour intégrer le Top 12 mais ils n’y parviennent pas et Tarquini sauve la 12eplace pour moins de 2 dixièmes de seconde au détriment de Thompson.
    Engstler domine le TC2T devant Filippi et Di Sabatino.
    Les pilotes qualifiés pour la Q2 sont : Morbidelli, Muller, López, Loeb, Borković, Coronel, Bennani, Monteiro, Michelisz, Chilton, Münnich et Tarquini.
    Q2
    La séance de 10 minutes est rapidement interrompue par un drapeau rouge après que Borković soit resté bloqué dans le bac à gravier du virage n°9 dans son premier tour lancé.
    Avant la neutralisation, Morbidelli est parvenu à réaliser le meilleur chrono provisoire en 1’22’’281, talonné par Muller ‘1’22’’368), Loeb (1’22’’371) et López (1’22’’471). Chilton occupe encore la 5e place (1’22’’596).
    Lorsque la session est relancée, Muller (1’22’’085) et Coronel (1’22’’168) se hissent aux 1et 2e rangs, rejetant ainsi Chilton du Top 5.
    Les quatre Honda de Monteiro, Bennani, Michelisz et Tarquini ne tentent pas d’améliorer et se focalise sur la grille inversée de la course 2 où elles monopoliseront les deux premières lignes.
    Q3
    López et Loeb sont les premiers pilotes à prendre la piste. Le chrono de l’Argentin (1’22’’507) est 0’’046 plus lent que celui réalisé en Q2, tandis que Loeb (1’22’’363) progresse de 8 dixièmes de seconde.
    Morbidelli apparaît en troisième et pose les fondations, dans le premier et deuxième secteurs, de ce qui sera la pole position, en 1’22’’137. Coronel parvient pour sa part à devancer López.
    Le dernier à s’élancer, Muller, est relevé en 1’22’’186. Une performance insuffisante pour battre Morbidelli, mais qui lui permettra demain de partir à ses côtés.

    WSBK : Giugliano décroche la Tissot-Superpole à Donington


    samedi, 24 mai 2014 11:45

    Haslam et Melandri complètent la première ligne

    Davide Giugliano (Ducati Superbike Team) a remporté la Tissot-Superpole samedi après-midi à Donington Park à l’occasion de la cinquième manche du Championnat du Monde eni FIM Superbike 2014. Sur une piste trempée qui avait piégé de nombreux pilotes dès la séance d’essais FP4 précédant les qualifications, l’Italien a tourné en 1’44.903 avec sa 1199 Panigale R et sera en pole pour la deuxième fois de sa carrière.
    Seul Britannique en première ligne, Leon Haslam (Pata Honda World Superbike) a signé une excellente performance en s’emparant de la seconde position, sa meilleure qualification de l’année, et a échoué à seulement 0.106s de la pole sur son dernier tour. 
    Marco Melandri (Aprilia Racing Team) a pris la dernière place en première ligne en terminant à deux dixièmes de son compatriote tandis que le rookie anglais Alex Lowes (Voltcom Crescent Suzuki), Sylvain Guintoli (Aprilia Racing Team), qui manquait la première ligne pour la première fois de la saison après avoir chuté en Superpole, et Loris Baz (Kawasaki Racing Team) se sont qualifiés en deuxième ligne.
    Le Champion en titre Tom Sykes (Kawasaki Racing Team), double vainqueur à Donington l’an dernier, partira septième devant Jonathan Rea (Pata Honda World Superbike), le leader du classement général, qui a comme Guintoli perdu ses chances d’atteindre la première ligne en chutant. 
    Toni Elías (Red Devils Roma) avait dominé la Superpole 1 et a finalement pris la neuvième position, devant Eugene Laverty (Voltcom Crescent Suzuki), Chaz Davies (Ducati Superbike Team) et Ayrton Badovini (Team Bimota Alstare), qui avait fini deuxième de la Superpole 1 et a chuté dans la deuxième partie.
    Pilote EVO le plus rapide vendredi, Niccolò Canepa (Althea Racing) est tombé en Superpole 1 et sera seizième sur la grille de départ tandis que les Français Fabien Foret (Mahi Racing Team India), qui avait choisi de ne pas rouler, et Jérémy Guarnoni (MRS Kawasaki), tombé et non classé en Superpole 1, seront respectivement dix-neuvième et vingtième. Romain Lanusse (Team Pedercini), qui débute en WSBK ce week-end, partira juste derrière ses deux compatriotes, en septième ligne, pour les deux courses de 23 tours.
    WSBK Donington, FP1

    JOHAN’S Z650


    Johan 1
    While most students are getting in another round of Sambucas, Johan Persson, a Mechanical Engineering student from Stockholm, Sweden is saving up for grinding discs and welding wire.  ”Geek” I hear some some say, couldn’t be further from the truth, Johan has his priorities right and must surely be the coolest guy in class pulling up on this 1977 Z650.  Unless his lovely girlfriend is reading this, then he is working on other people’s bikes in order to buy you a diamond encrusted unicorn.
    Johan 2
    Skills picked up spattering for two years at Triumph have paid dividends on this and the previous two builds and enabled Johan to fabricate most parts himself on budgets that don’t seem possible.  The rolling-resto job was picked up for $350 which included the thoroughly overhauled engine, jackpot!  But unfortunately it had been left standing for nearly a decade, money pit!  After skipping college to go and pick it up the first job was, you guessed it, a frame loop to prop up the new seat, which was upholstered for the princely sum of a beer by his mate Björn Persson.  They’re not related, just the Swedish lack of surname diversity.  The frame was painted matt black, from a tin, and looks just fine from over here.
    Johan 3
    Johan’s eBay and Blocket (Swedeish Craigslist) accounts took a pounding as new parts were not a financial option. Front and rear Bates lights, a Bonneville front fender used on the rear, clip-ons, Öhlins shocks and CB750 brake master cylinder were all sourced for bargain prices.  He then got all carried away and had a decedent moment, splurging hard currency on a brand new ignition system. This left nothing in the pot for replacing the starter motor so that’s been blanked off.
    Johan 4
    The fuel tank is now devoid of fancy paint and the scratched-up, raw steel ‘n ‘ clear-coat suits the bike perfectly. Wiring is hidden beneath and as much as possible has been snuck away out of sight leaving the cockpit clean enough to keep most Scandinavian minimalists happy.  A cycle computer is fastened on for the annual Mot-type inspection but apart from an oil pressure light there are no instruments or lights, or front fender for that matter.  Johan figures that if blue lights flash in the mirror he’s going too fast and if his chin is wet then it’s raining and the subway will get him home dry.  The grips are hockey tape and must give plenty of feedback, and buzz.  Fork internals are now 50mm shorter for a purposeful stance and sharper handling.
    Johan 5
    Minimalism has taken president over safety up front, with one of the brake discs being sidelined for a future project. Endos are passé anyway.  The original 4-into-1 exhaust was rusted to pieces so what could be welded to was kept and mated to a hand-rolled silencer and packed with, well silencer packing.
    Johan 6
    Being kickstart only the electrical system doesn’t need much juice so the standard battery was replaced with a much smaller scooter version, strapped to the swingarm with a 1960s Swedish Army belt. Ring ring, ring ring, “Hi, is this MacGyver?  There’s a dude from Stockholm after your job!”
    Johan 7
    Although the clip-ons look the part they aren’t the most comfortable for long riding trips with his buddies, so a set of touring specification motocross bars leaning in the corner of the garage might be added in the near future.  And riding his creations is exactly what Johan focuses on, he’d sooner have a cheap rat of a bike that can be thrashed, bashed and locked up in town, than a show pony requiring a warm stable and a blanket.
    Johan 8
    This build exemplifies what can be achieved on a micro budget, with minimal tools and a skill set in its infancy.  If this isn’t motivation enough to start plundering the piggy bank, surfing eBay and making some room in the shed, back garden or parents dining room then you need to start thinking about your own priorities.
    Johan has bought a super-cheap BMW R75 for this winter’s budget build so we’ll see him here in the spring with the result. We love your work, gold star and a smiley face on your coursework so far.

    KAWASAKI W650 BY REVIVAL CYCLES


    Kawasaki W650
    Revival Cycles is a long time favourite of ours, the team of custom motorcycle builders based in Austin, Texas have produced some of the most eye-catching American customs in recent history. When we discovered they’d been hard at work on a Kawasaki W650 we were understandably intrigued and so emails were exchanged and the images you’re seeing here today are the result.
    The Kawasaki W650 is a carburettor-fed, parallel-twin that Kawasaki introduced in 1999, it’s clearly taken its design inspiration from the 1960s Triumph Bonneville – which is no bad thing. Some have gone so far as to call the W650 the most reliable British bike Japan ever produced, which seems to poke fun fairly at both nations – Britain for building unreliable bikes and Japan for copying the designs of others.
    Following in the footsteps of the Yamaha SR400, the W650 has rapidly become one of the most popular targets for customisation both inside and outside of Japan. The simple, reliable parallel twin coupled to a simple frame, twin rear springs and huge aftermarket for parts has led to a massive number of wildly varied designs.
    This W650 has been tastefully modified into a timeless cafe racer, a drum brake has been added at the front and a new fuel tank, seat and rear cowl have been bolted into place. Clip-on handlebars, a scrambler-style exhaust and a new headlight complete the bike, and a grey/sky blue paint scheme has been applied to the tank and rear cowl.
    Sadly, Kawasaki was forced to discontinue the W650 and its little brother, the W400, in 2008 due to emissions regulations. By 2010 popular demand for the bikes led Kawasaki to develop and begin selling the all-new, fuel-injected W800 – a bike we’re seeing become increasingly popular with custom bike builders.
    If you’d like to see the build process of this Revival Cycles W650 you can click here, you might also want to take a look at their back catalogue of customs – it’ll occupy you for at least one full afternoon.
    Kawasaki W650 19 740x491 Kawasaki W650 by Revival Cycles
    Kawasaki W650 18 740x491 Kawasaki W650 by Revival Cycles