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    samedi 1 novembre 2014

    European Le Mans Series : Bilan et perspectives d’Alpine avec Bernard Ollivier, son président…

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    par Laurent Mercier (Endurance-Info.com)
     
    Bernard Ollivier a de quoi être un homme heureux. Alors que fin 2014 Alpine n’a encore rien à vendre, le président de la marque dieppoise peut se satisfaire d’avoir deux titres européens en LM P2 dans son escarcelle avec Signatech-Alpine, sans oublier un podium de catégorie aux 24 Heures du Mans. La présence d’Alpine est bien ancrée en Endurance et il n’y a pas de raison pour que ça change. L’association avec Philippe Sinault fait mouche, si bien que Signatech-Alpine ambitionne de passer sur la scène mondiale afin de fédérer un maximum autour de la marque dans le monde entier avant la sortie de la Berlinette du XXIème siècle. Entretien avec un patron d’Alpine heureux et confiant…
    15093655449_a25d4941a7_k Pourquoi faire de la compétition alors qu’à l’heure actuelle, Alpine n’a rien à vendre ?
    « Je passe mes journées à dire que la compétition coule dans les veines d’Alpine. On se rapproche du lancement de la Berlinette du XXIème siècle. La sortie de l’auto est prévue pour 2016 et tout suit normalement son cours. Alors pourquoi faire de la compétition quand on ne vend rien ? L’engagement d’Alpine sert à communiquer sur la marque, aussi bien en France qu’en dehors. Les clients connaissent le palmarès d’Alpine en compétition. Tout le monde sait qu’Alpine est le petit qui a gagné contre les grands. En Allemagne, on sait qu’Alpine a battu Porsche. Il nous faut aussi parler de la marque dans les pays lointains, notamment au Japon. Il y a de nouveaux marchés qui sont à étudier de près : Chine, Russie, etc… Alpine doit être capable de revendiquer des titres. Je veux des titres ! C’est dans la culture d’Alpine. Voilà le cahier des charges. Nos prévisions de ventes en Asie sont de l’ordre de 30%. »
    15093982358_7a9beafbf6_k L’Europe ne sera pas oubliée…
    « Bien sûr que non ! A titre d’exemple, l’Allemagne est un gros enjeu pour nous. C’est le premier marché sur les voitures de sport. On a une carte à jouer. Il faut que notre Berlinette rentre dans la marque et pas l’inverse. Dans quatre ans, les clients devront dire : « j’ai acheté une Alpine et pas une Berlinette. ».
    Pourquoi l’Endurance ?
    « L’Endurance est une discipline ultra-moderne. C’est celle qui s’impose pour Alpine. La marque a été lancée il y a bientôt 60 ans. Malgré cela, Alpine reste une marque citoyenne et moderne. On cherche à donner du plaisir sans avoir à rouler à des vitesses élevées. Les valeurs de l’Endurance nous correspondent parfaitement. Cette année marquait le 17ème engagement d’une Alpine aux 24 Heures du Mans. En 1972, Alpine a gagné les 96 Heures du Nürburgring. Il y avait une seule Alpine, qui plus est privée, et elle a gagné. Les techniciens ont pris des vacances pour suivre l’auto pilotée par Jean-Luc Thérier. »
    15094095138_985c2aefb4_k Alors pourquoi pas revenir en rallye ?
    « Nous n’irons pas nous-mêmes en rallye. Une Alpine ne gagne plus en rallye, une Porsche non plus. Si nos clients le demandent, alors pourquoi pas. »
    Alpine a vocation à aller en LM P1 ?
    « A l’heure actuelle, ce n’est pas raisonnable. Tout est une histoire de coût. On ne peut pas aller au-delà de nos moyens et on reste une petite marque. Nous n’avons pas besoin d’aller en LM P1 pour valoriser notre envie de gagner. »
    15386083228_f63652092e_k L’Asie pourrait faire partie des orientations ?
    « Pourquoi pas… Il faut trouver le bon moment pour y aller sachant que le marché asiatique est très important pour Alpine. »
    Quel sera l’engagement d’Alpine en 2015 ?
    « Je tiens d’abord à rappeler que nous aurions dû débuter en 2014 et non 2013. L’année passée s’est transformée par un titre européen alors que nous avons roulé sur un effet de circonstance et une opportunité. Pour 2015, nous allons déjà voir si notre auto est encore capable de gagner. La décision finale n’est pas encore prise. La voiture est encore compétitive, et ce malgré l’arrivée de nouvelles autos. La saison 2015 devra être aussi brillante que 2014. Il convient aussi de rappeler que la 7ème place décrochée reste la deuxième meilleure performance d’une Alpine aux 24 Heures du Mans après la victoire de 1978. »
    15404717357_d0f2c85a49_k Que répondre aux détracteurs que l’Alpine A450B n’est qu’une ORECA 03R rebadgée ?
    « C’est injuste de dire que ce n’est qu’une ORECA peinte en bleue. La toute première Alpine M63 était déjà un patchwork avec des bouts de plusieurs autos. Jean Rédélé était quelqu’un de pragmatique. Nous, on applique le même traitement. On se concentre à faire une belle auto. La peinture bleue ne fait pas aller l’Alpine A450b plus vite. Alpine est une marque de proximité. C’est le cas depuis l’époque du rallye. Il y a un côté modestie et simplicité. C’est la même chose en Endurance. »
    A quand Alpine en GT ?
    « Le premier sujet est l’auto de route. Ensuite, nous verrons… J’ai du mal à penser qu’à moyen terme Alpine ne sera pas au Mans. Nous verrons aussi ce que va être le futur de la catégorie GT. L’Alpine n’a pas la taille d’une Ferrari. C’est une auto appropriable. Pour le GT, on regarde sans aller plus loin. Chaque chose en son temps. En revanche, pourquoi pas mettre en place une coupe mono-marque. »
    15573019982_99e0e21383_k Voir une Alpine LM P2 privée est possible ?
    « Les titres sont importants et il ne faut pas brouiller l’image de la marque. Pourquoi pas voir une Alpine engagée par une équipe privée mais on a des exigences. Pour 2015, le couple Signatech-Alpine fonctionne parfaitement et il n’y pas raison que ça change. Le travail réalisé avec Philippe Sinault et son équipe est parfait. »
    L’équipage actuel sera reconduit ?
    « Les pilotes doivent porter le plus haut possible la marque Alpine. Jean Rédélé a donné sa chance à beaucoup de jeunes pilotes. Il a fait des paris qui ont été payants. Si un jour Nelson (Panciatici) et Paul-Loup (Chatin) devaient être pris par un constructeur LM P1, alors nous serions ravis. »
    15569474391_a2aa1d6821_b Et Alpine en tant que motoriste ?
    « Alpine n’a jamais été un motoriste. Pour cela, on a eu Gordini. J’ai été à l’origine de Renault Sport Technologies. Nous avons récupéré le titre F3 en 2001 avec un moteur Renault. Qu’est ce que cela nous a apporté d’être motoriste ? Motoriste est un métier difficile. On parle avant tout de l’équipe avant le moteur. Alpine n’a pas la culture de faire des moteurs puissants. »
    Quel est votre avis sur la Renault R.S. 01 ?
    « Elle porte les attributs de Renault et RS. C’est la griffe Renault Sport. Ce n’est pas une Alpine. »
    15592816755_67f48b986d_h Il pourrait tout de même y avoir un lien avec le prix de fin de saison avec un volant en LM P2 au Mans pour le meilleur gentleman ?
    « C’est une possibilité. Cependant, il ne faut pas mélanger les genres. L’Alpine est bien bleue et pas jaune. Chacun son domaine. Alpine-Renault, c’est terminé… Le projet Berlinette regroupe 120 personnes. Chez Alpine, on veut faire une auto pour les passionnés qui ne recherchent pas seulement la performance. C’est une fierté pour nous car nous avons réussi à faire une association entre Alpine et modernité. On se doit de surprendre et être là où les gens ne nous attendent pas… »
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    Burkheimer

    Kerry Burkheimer, a passionate fly fisherman, builds "one at a time, one of a kind" fly fishing rods.

    Burkheimer from Filson on Vimeo.

    1972 HARLEY-DAVIDSON XR750


    Harley-Davidson XR750 5
    I sometimes upset certain types of vintage motorcycle enthusiast by telling them that the Harley-Davidson XR750 is one of the most beautiful bikes ever made, I know it’s not for everyone but its clean, function-first design always stops me in my tracks and makes me wish I had the $20,000+ required to add it to the collection.
    The XR750 came about as a bit of a last minute project in 1969, the rules for the AMA Grand National Championship were slightly changed to allow both sidevalve and overhead valve engines – Harley had dominated the series when the rules favoured sidevalve engines but in 1970 the more modern British motorcycles would be able to enter, and the men at Harley knew this was going to be a problem.
    An engineering team was assembled by Harley-Davidson’s racing manager Dick O’Brienand, and work began on a new flat track motorcycle, it was loosely based on the long running Sportster model but with upgraded heads, cylinders and oiling as well as modified (and simplified) electrics.
    The XR750s produced in 1970 and 1971 encountered overheating problems, so for 1972 a newly designed aluminum alloy head was used – solving the issue and resulting in a motorcycle that would be the most successful in the history of American Motorcyclist Association Racing.
    The beautifully presented 1972 Harley-Davidson XR750 you see here is due to be auctioned in Las Vegas on the 8th of January 2015 – giving you a few months to save up, or plan a bank heist.
    Harley Davidson XR750 4 1480x737 1972 Harley Davidson XR750
    Harley Davidson XR750 3 1480x740 1972 Harley Davidson XR750
    Harley Davidson XR750 1 1480x870 1972 Harley Davidson XR750
    Harley Davidson XR750 2 1480x867 1972 Harley Davidson XR750
    Harley Davidson XR7501 1480x1240 1972 Harley Davidson XR750
    via SILODROME

    A Story of Stubbornness


    When others took their manufacturing operations overseas, we wished them well and went back to work here in Seattle, the city where we’ve made our goods for more than 100 years, and where we’ve opened a second factory.
    A short distance apart, our two facilities allow us to keep an ever-watchful eye on quality, and give us the capacity to manufacture even more of our products in the United States.

    Kings of California

    1 week
    3 Bikes
    800 Miles
    And a lot of fun...
    Our Roadtrip from San Francisco to L.A.

    Kings of California from studio steve on Vimeo.

    Svako Garage // Let's get dirty

    Svako Garage // Let's get dirty from Svako Garage on Vimeo.

    Porte rouge ....

    vendredi 31 octobre 2014

    A Nightmare on Main Street: The 10 scariest cars of all time


    Dartz Prombron Black Shark
    Perhaps you already have an appropriate costume in your closet – but what should you park on your drive to scare away the trick-or-treaters before they make it to your door? Here are the 10 most horrible cars in history…

    Dartz Prombron Black Shark: Defender from the Apocalypse

    The ‘Black Shark’ might be ungainly, but you won’t be complaining when it shields you from the Apocalypse. Built in Russia, the Dartz Motorz (sic) SUVs were given a Hollywood endorsement when Bruce Willis drove one in the 2013 film A Good Day to Die Hard.

    Rinspeed Bedouin Concept: Eggcellent idea in principle

    In 2003, Rinspeed designer Frank M. Rinderknecht cooked up an intelligent, variable-space shooting brake concept based on the Porsche 996 Turbo. He clearly loved the ‘fried egg’ headlamps so much that he decided to apply the theme to the car’s body panels too. Shame they were rotten.

    1957 Aurora: Religious righteousness; molten mess

    Despite looking like a melted yank tank that swallowed a Lancia Fulvia whole, the 1957 Aurora concept had a saving grace: it was intended to be one of the first experimental safety vehicles, the brainchild of a Catholic priest (you couldn't make this stuff up). Except that didn’t save it – thankfully, only one was ever built.

    Grave Digger: Expendable body parts

    First appearing in the 1980s, Dennis Anderson’s Grave Digger has since become one of the most famous monster trucks, siring no fewer than 29 descendants. Many of these are still in service – but the original is on display in the ‘Digger’s Dungeon’, which has body parts (its own) hanging from the ceiling.

    Panoz Abruzzi: Greedy goblin

    Supported by his father Don (a chain-smoking millionaire nicotine mogul), Danny Panoz created a loud-mouthed supercar capable not only of simultaneously inhaling four pumpkins – but also relieving 81 buyers of half a million dollars each.

    Maybach Exelero Concept: The devil works fast

    Perhaps not ugly, but certainly evil-looking, the 2005 Maybach Exelero was a high-speed test car built for tyre manufacturer Fulda to shake down a new generation of rubber. It was capable of almost 220mph, but could scare the wits out of witnesses while stationary.

    Packard Twelve Concept: A breaker's dozen

    Appearing to have taken moustache-grooming tips from Charlie Chaplin (or…), the four-eyed Packard Twelve concept was intended to be the American company’s luxury saloon of the New Millennium. The only explanation for it being allowed to reach the public eye is that the approval board must have been drunk with pre-recession power, but thankfully they had sobered up before a decision to put it into production could be made.

    Weber Sportscars Faster One: Tested in a tunnel, designed in the dark

    Independent Swiss manufacturer Weber Sportscars perhaps proved best that form should not blindly follow function. Luckily, founder Roman Weber realised how eye-wateringly ugly the car was, and returned more recently with a marginally less offensive design.

    Sbarro Monster G: Cleared for the one-way runway

    At the 1987 Geneva Motor Show, Franco Sbarro introduced a quirky (read: queasy) Swiss alternative to the German G-Wagen. Sporting a 6.9-litre Mercedes V8 and wheels from a Boeing 747 (yes, really), the resulting ‘Monster G’ mercifully flew off into the sunset, never to be seen again.

    Marussia B2: Cold and uninviting

    A year before acquiring its ill-fated Formula 1 team, Moscow-based Marussia Motors blessed us with the B2 supercar, which had a six-cylinder engine from British specialist Cosworth. Shame the design wasn’t outsourced, too.
    Photos: Dartz Motorz, Rinspeed, Peter Vann, Panoz Motors, Daimler, RM Auctions, Weber Sportscars, Marussia Motors
    You can find visually inoffensive modern and classic cars for sale in the Classic Driver Market.

    Dirty Sunday


     by Scott in Flat Tracker
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    One of the biggest revivals happening at the moment in the motorcycle scene is vintage flat track racing. Events like Dirt Quake, Hell on Wheels, Dirty Sunday and Australia’s up and coming Sunday Slide are bringing this sport back to a wider audience. Sure, most of these races aren’t very serious, but they are introducing riders to a sport that hasn’t been very accessible to those without a healthy budget. But the main reason these events are being held is that it’s hard to have more fun on two wheels. Let’s be honest, there’s nothing like getting sideways around a corner on a dirt track for the first time.
    Last month, Dirty Slide was held by Activa Classic Bike Garage on a grass track in Gers, France. Ironically, this place is famous for its foie gras, but we’re pretty sure the riders were only eating dirt and grass. Looks like there was a great mix of motorcycles racing from dirt bikes, customs, choppers, sliders and even a few sidecars getting sideways.
    The event went all day and ended up going well into the night with the ‘ring of fire’ being set up and the adventurous (or the most drunk) took their bikes to the air like flying French Evel Kneivels. Joie de vivre.
    There’s still time to register for Sunday Slide this Sunday in Newcastle, Australia. Send us an email if you are interested in registering. All classic-styled bikes welcome. Animal suits optional.
    [Photographs by the talented David Marvier]
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    via SIDEBURN

    SCRAMBLER AYRTON SENNA TRIBUTE BY MARCUS WALZ


    Moto Guzzi Ayrton Senna 20th Anniversary tribute motorcycle by Marcus Walz.
    It’s a common sight to see Formula One drivers zooming up and down the pit lane on scooters. But many of these hardcore racers have more serious motorcycles secreted away in their personal garages. Guys like Lewis Hamilton, Jensen Button, Mark Webber and Michael Schumacher are all two-wheeled aficionados—and many enjoy customizing their bikes too.
    Ayrton Senna da Silva, perhaps the most talented Formula One driver of all time, was also a keen motorcyclist. This year is the twentieth anniversary of Senna’s passing at Imola, so the German builder (and motorcycle racer) Marcus Walz has just created a stunning limited edition Moto Guzzi Le Mans in his honor.
    Moto Guzzi Ayrton Senna 20th Anniversary tribute motorcycle by Marcus Walz.
    Marcus Walz is a familiar face in the Formula 1 pit lane: his customers include Sebastian Vettel, Kimi Räikkönen, David Coulthard and Gerhard Berger. As you can imagine, his work is very much in the premier league—and this Le Mans is no different.
    Three Senna tribute bikes have been created, based on 1970s Moto Guzzis from the Le Mans Mark I series. They’re completely rebuilt from the ground up, with custom bodywork finished in colors inspired by Senna’s famous helmet designs, taken from the Brazilian flag and painted by Sid Mosca.
    Moto Guzzi Ayrton Senna 20th Anniversary tribute motorcycle by Marcus Walz.
    Walz has punched the 850cc engine out to 1040cc, and it now delivers an easy 90hp; weight has dropped to around 175kg (385 lbs). The custom sheet metal is 1.5-millimeter aluminum, including the custom gas tank, seat section and front fender.
    Moto Guzzi’s famously sweet-handling frame has been sandblasted, detabbed and powder-coated for an even better than factory finish. Walz has upgraded the suspension too, with new fork tubes, internals, and progressive springs. Out back are YSS Z-Series shocks, with adjustable preload, rebound and length.
    Moto Guzzi Ayrton Senna 20th Anniversary tribute motorcycle by Marcus Walz.
    The 18” original Le Mans cast wheels are now black powdercoated and fitted with ContiRoadAttack 2 Classic Race rubber: 110/80 at the front, and 130/80 at the back.
    Moto Guzzi Ayrton Senna 20th Anniversary tribute motorcycle by Marcus Walz.
    Brembo two-piston calipers are on braking duty at both ends, now clamping on drilled stainless steel rotors. The rearsets are hand-fabricated and fully adjustable, and the clip-on bars are from high-end German specialist LSL.
    Moto Guzzi Ayrton Senna 20th Anniversary tribute motorcycle by Marcus Walz.
    The styling is classic, the power-to-weight ratio is ample, and the engineering is immaculate. We think Ayrton would have approved.
    Moto Guzzi Ayrton Senna 20th Anniversary tribute motorcycle by Marcus Walz.
    via the BIKEexif

    Merzouga Rally Stage 6

    Here is the hour long, Le Mans start blast for the finish line at the Merzouga Rally 2013. This is a navigational rally do a road book is used to navigate in conjunction with compass headings and trip computers. In this stage, Lyndon's trip computer failed at one point and so he had to re-calibrate his spare (on the go) and continue.