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    mardi 9 juillet 2013

    UNE VICTOIRE QUI TOMBE À PIC POUR LE SÉBASTIEN LOEB RACING.



    Après Le Mans lors du meeting inaugural du Championnat de France GT FFSA, le team Sébastien Loeb Racing renoue avec la victoire. Anthony Beltoise et Laurent Pasquali remportent la deuxième course du Val de Vienne, prenant ainsi leur revanche après avoir été privés de podium suite à une crevaison la veille. La voiture sœur a également réalisé un solide week-end : Nicolas Marroc et Nicolas Tardif poursuivent leur montée en puissance, avec notamment un Top 10 le dimanche. De quoi aborder avec confiance une deuxième partie de saison qui s'annonce ambitieuse.

    Les réactions...
    Laurent Pasquali, 8e et 1er, McLaren MP4-12C n°8 : « Nous avons connu quelques coupures moteur dans mon premier relais samedi. En plus de ma bagarrer avec l'Audi n°36, j'ai passé une grande partie de mon temps à tenter de trouver une solution. J'ai en fait un peu joué à la console avec mon volant. Du coup, je n'ai pas vu le temps passer ! Nous étions bien partis pour un podium... J'avais réussi un bon départ, et tout se présentait de la meilleure des façons. C'était sans compter sur ce morceau de métal qui a provoqué la crevaison... Heureusement, aujourd'hui nous avons connu plus de réussite. Anthony a fait un super travail pendant tout son run et m'a donné une auto parfaite pour la fin de course. Il faut surtout remercier l'équipe qui a accompli un travail remarquable ce week- end, le plus difficile de la saison. Merci à elle. Les vacances n'en seront que meilleures. Je suis très content de gagner à nouveau. »

    Nicolas Marroc, 11e et 9e, McLaren MP4-12C n°9 « Nous payons un manque de roulage vendredi... et des qualifications moyennes. Nicolas a passé un gros cap ce week-end, il a encore gagné en confiance et cela commence à porter ses fruits. Il hausse régulièrement son niveau de jeu et les points que nous marquons ce week-end le sont grâce à lui. Dimanche, j'ai pris un bon départ pour venir en 9e position mais la suite a été plus compliquée à cause d'un problème de pare-brise, du trafic... Je suis heureux de cette nouvelle victoire pour l'équipe qui fait énormément d'effort. Elle tombe à point nommé ! »

    Course 1.
    Après une première séance qualificative extrêmement disputée (onze pilotes en 1,5 sec), Laurent Pasquali prend d'assaut la 6e place de la grille et devance Nicolas Tardif (12e rang), auteur de sa meilleure qualification de l'année à 1.3 sec de la pole seulement. A l'extinction des feux, Laurent Pasquali se propulse dans les échappements de Fabien Barthez, soit deux places de gagner ! De son côté, Nicolas Tardif laisse passer l'agitation du départ. Devenu chasseur, il prend le meilleur sur la Ferrari n°28 puis butte sur la McLaren n°7 avant de trouver l'ouverture dans le 12e tour. Libéré de son vis à vis, Nicolas part à la poursuite de la BMW n°5, qu'il rejoint juste avant la valse des changements de pilotes.

    Premier membre du Sébastien Loeb Racing à marquer son arrêt, Laurent Pasquali cède les commandes à Anthony Beltoise. Bien que compté deuxième à son entrée en piste, Anthony voit tous ses espoirs partir en fumée : dans l'entrée aux stands, un débris métallique est venu se ficher dans le pneu arrière gauche de la n°8. Résultat, six places perdues, que ni l'intervention du Safety Car ni le meilleur temps provisoire dans l'avant dernier tour ne parviennent à compenser. Il se classe finalement 8e, grappillant quelques points pour le championnat.

    Autre performance de choix, celle de la voiture sœur. Ressorti 17e après sa prise de relais, Nicolas Marroc fond sur ses adversaires et tourne dans les temps du leader. Il termine 11e après une solide remontée.

    Course 2.
    Le départ de la course dominicale est donné comme la veille sous une météo estivale. Bien décidé à mettre un point d'arrêt à la série en cours, Anthony Beltoise (McLaren n°8), de sa quatrième position sur la grille, ne laisse personne venir s'intercaler entre le poleman et lui : il gagne rapidement deux positions ! Même état d'esprit chez Nicolas Marroc (McLaren n°99) qui remonte six places avant même la fin du premier tour pour venir débattre avec la Ferrari n°20 et la Porsche n°73.

    La course est donc partie sur les chapeaux de roue avec, pour preuve, l'écart creusé par le leader Morgan MoullinTraffort, et son dauphin Anthony Beltoise. Plus rapide, le Parisien enfonce le clou et signe un temps qui restera la meilleure performance en course. Il profite ensuite d'un retardataire pour doubler son vis-à-vis et s'emparer des commandes de l'épreuve. Poursuivant son attaque, il se construit une avance suffisante pour aborder sereinement l'épreuve du changement de pilotes contrairement à Nicolas Marroc, 9e, qui fini son relais bien « occupé », pris en sandwich entre Jean-Philippe Dayraut et Olivier Panis. Maintenant installé dans le baquet de la McLaren MP4-12C n°8, Laurent Pasquali ressort en tête des stands avec une douzaine de secondes d'avance, ce qui lui permet de contenir ses poursuivants à distance jusqu'au drapeau à damier. Un peu plus loin derrière, Nicolas Tardif ne cessera de défendre becs et ongles sa 9e position qu'une fois la ligne d'arrivée franchie. Le team renoue donc avec la victoire et place ses deux voitures dans le Top 10.

    Prochaine étape du Championnat de France GT FFSA à Magny-Cours les 7 et 8 septembre.

    Source : Sébastien Loeb Racing
    via Endurance-Info

    MV Agusta Brutale Corsa


    MV Agusta Brutale Corsafrom TWOWHEELSBLOG
    MV Agusta has released today the first image (just one, unfortunately) and the data sheet of the Brutale Corsa, a ultra-refined version of its advanced ‘naked’ bike that, with a price of 20,990 Euros in Italy, goes straight to the top of the four-cylinder naked range of the legendary manufacturer.
    The Brutale Corsa mounts the already known 1078 cc 4-stroke 16-valve engine producing 158 hp and 100 Nm of torque, and can be recognized at first glance by its dedicated red and white livery and the excellent quality of its components. The MV Agusta engineers paid a lot of attention to details: specifically dedicated 17″ lightweight forged wheels and a cool, fully-adjustable Öhlins fork ensures a pretty impactful visual approach and an overall improvement of the bike’s driving dynamics. Even the billet steering head has been specifially made for this variant.
    In terms of sheer aesthetics - in the comparison with the already known versions of the Brutale 1090 - the Brutale Corsa comes with a frame painted in glossy black and a fine hand-stitched saddle, while brake levers, footpegs and the plugs of the brake and clutch fluids are all billet. The protection pads for the tank were specifically created for this model too, while the sporty license plate holder, rear fender and front fender spoiler - all of which made of carbon fiber - are graced with the MV Agusta Corse logo. Now, we just need to wait for more official images.

    Seeley Honda




    Colin Seeley began his motorcycle career as an apprentice for Vincent Motorcycles. He then raced in the British and world championship sidecar competitions between 1961 and 1967 and, with his own-design motorcycles powered by AJS, Matchless and, later, Norton engines. When the Associated Motor Cycles (AMC - the British company founded by the Collier brothers as a parent company for Matchless and AJS manufacturers) closed its in-house race shop in 1963 due to financial problems, Seeley purchased the equipment and spares for his racing motorcycles. After retiring from competition, he concentrated his efforts on designing and constructing Seeley Motorcycles, initially powered by the above mentioned engines. In the mid seventies Seeleyproduced some special, lightweight road bikes with Honda 750cc SOHCengine and front forks, featuring his own tanks, seats and exhausts. Patrick Douki found one of these bikes in a cave, where it was left in the silence 30 years ago. Via Pat Barabas (Classic France Racer).



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    mécanicienne