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    mercredi 18 juin 2014

    The Race - 2014 Le Mans 24 Hours


    A dirty comeback: Ducati Scrambler revived for 2015


    To capitalise on the youthful culture and popularity of motocross in the 1960s and 1970s, Ducati deviated from its usual remit of producing sports machines by releasing a dirt bike aimed at the U.S. market. In 2015, the Ducati Scrambler will return…

    Little information has been released about the new Ducati Scrambler as of yet, other that it will go on sale next year and take the form of “two wheels, wide handlebars, a simple engine and a lot of fun.” Until its reveal later this year, we’ll have to settle for this teaser video that evokes memories of those wild bikes and their wilderness-seeking riders.
    Video: Ducati
    You can find several classic Ducatis for sale in the Classic Driver Market.

    Moto GP :De Puniet : « Mon objectif est d’être sur la grille MotoGP™ 2015 »


    Randy De Puniet, Suzuki MotoGP Test Team, CAT Test
    En piste à Montmeló cette semaine pour le développement du nouveau prototype Suzuki, Randy de Puniet a répondu aux questions de OffBikes.com et a discuté de son travail en tant que pilote d’essais mais aussi de son irrépressible désir de revenir dans la compétition.
    Depuis lundi et jusqu'à demain, sur le circuit de Barcelona-Catalunya, le Suzuki MotoGP Test Team, qui prépare son retour pour 2015, participe à trois journées de test. Une nouvelle occasion pour Randy de Puniet de comparer les capacités de la Suzuki face aux autres constructeurs.
    L'équipe a récemment roulé à Austin, en Argentine, à Phillip Island, quel est le programme de développement Suzuki pour le reste de la saison ?
    « Nous avons participé aux tests hivernaux de Sepang (1 et 2). Nous avons réalisé des essais à Austin, en Argentine, où malheureusement je n'ai pas roulé, à Phillip Island et à Barcelone cette semaine. Le programme est différent pour le mois de juillet puisque je me rends à Suzuka début juillet participer à des essais en préparation des 8 Heures qui auront lieu fin juillet. Je reprends le programme MotoGP seulement en septembre. Il y a donc un gros break. Nous devrions ensuite nous rendre au Mugello, à Aragón et à Valencia. La wildcard n'est pas confirmée, mais nous testerons sur le circuit de Valencia mi-octobre. Nous devions avoir un test à Brno au mois d'août, mais il a été annulé puis remplacé par celui de Phillip Island. J'ai donc saisi l'opportunité de participer aux 8 Heures de Suzuka pour continuer de rouler, essayer une moto différente et surtout pour participer à une course cette saison. »
    Jusqu'à présent, sur quels points a porté le développement de la Suzuki ? 
    « Nous avons principalement travaillé sur l'électronique : nous sommes passés du boîtier Mitsubishi au boitier Magneti Marelli dès le test de Sepang 1. Il y a beaucoup de travail sur ce point puisque même lorsque la moto ne roule pas, les ingénieurs continuent de travailler au Japon pour essayer de dégrossir les capacités du boîtier au maximum. Nous avons beaucoup progressé, mais il est difficile de savoir où j'en suis avec la moto puisque jusqu'à présent j'ai roulé sous des conditions qui n'étaient jamais les mêmes. Cette semaine, même si les conditions sont moyennes (météo incertaine), j'aurais un temps de référence avec tout le monde, le même jour. La piste est différente qu'elle le fut lors des essais de vendredi ou de samedi, mais nous aurons les temps dans les deux conditions. Quand il n'y a pas une base de temps, ce n'est pas évident de se rendre compte de la progression. »
    Vous travaillez essentiellement sur l'électronique, cela signifie-t-il que la moto est prête concernant le châssis ou le moteur ? 
    « Elle est prête, mais encore une fois, il est difficile de se rendre compte concrètement de son potentiel. Je pense que la moto est sur de très bonnes bases, mais en puissance pure, je ne sais pas où on en est. Il y a pas mal de points où il est nécessaire de rouler avec d'autres pour comparer et progresser d’autant plus. »
    Beaucoup de pilotes rencontrent des problèmes au sujet des pneumatiques, comment se comporte la Suzuki à ce niveau ? 
    « La Suzuki fonctionne bien avec les derniers pneus. En Malaisie, lorsque nous sommes passés du pneu dur 2013 à la version 2014, nous avons rencontré de gros problèmes sur l'angle maximum, comme la plupart des autres constructeurs. Nous avons beaucoup travaillé pour trouver une solution. Honda a connu beaucoup moins de problèmes sur ce point et a continué de progresser. Certains pilotes comme Lorenzo se sont focalisés sur cet aspect et l'écart s'est creusé. Depuis les derniers GP, Lorenzo est revenu aux avants-postes avec le même pneu, la Yamaha a donc aussi évolué. Il y aura toujours des problèmes avec les pneus, manufacturier unique ou non. Michelin revient en 2016 et ce sera un nouveau challenge. »
    Outre l'envie de rouler durant la période de break, d'où est venue l'idée de participer aux 8h de Suzuka ?
    « Tout d'abord, j'adore ce circuit. C'est une course mythique et pour Suzuki, c'est une course très importante. Je pense que nous avons une équipe qui a les moyens de remporter la course. C'est pour cette raison que je vais faire un maximum d'essais pour m'adapter au mieux à cette moto et être prêt pour gagner cette course. Gagner les 8 Heures de Suzuka serait top et m'apporterait beaucoup dans une saison un peu creuse. »
    Que fais-tu en dehors de ton rôle dans le développement de la Suzuki MotoGP ?
    « Je fais beaucoup de sport et j'analyse beaucoup les courses. Je commence à m'organiser pour la saison 2015, dans l'éventualité où je reviens dans le Championnat du Monde. Cette saison m'a permis de réfléchir sur beaucoup de notions. À mon sens, si je reviens en 2015 avec Suzuki, cette saison aura été bénéfique. J’ai pu me remettre dans le bain des GP avec un team Factory en travaillant avec des personnes compétentes. J’ai surtout retrouvé du plaisir sur la moto, notion que j'avais perdue la saison dernière. C'était important pour moi sur le plan personnel de savoir où j'en étais et sur ce que j'avais envie de faire dans le futur. »
    « Cependant, j'avoue m'ennuyer. Je dispose d'un top team, d'une vraie moto, et je regarde les autres rouler. Je ne voulais pas revivre une situation comme la saison dernière, mais il y a quelque chose qui me manque. »
    Eugene Laverty était présent à Okayama et à Phillip Island, comment s'est passée votre collaboration ? Quelle a été ta réaction en rapport à son test ? 
    « Je sais que le contrat avec son équipe en Superbike précisait un essai de la Suzuki MotoGP. Je ne savais pas quand, mais il y a deux mois, l'équipe m'a annoncé qu'il participerait au test de Phillip Island puisque la semaine d'avant il roulait en Malaisie. En dehors de ça, je pense qu’il n'a pas été très correct avant son arrivée avec certaines déclarations. Je ne suis pas rentré dans ce jeu. Mon but était évidemment d'être devant lui, tout comme pour lui, son but, c'était d'être devant moi. Aux yeux de Suzuki, je ne pense pas que nous étions en compétition. »
    Nobuatsu Aoki fait-il toujours partie du développement ? 
    « Oui, mais malheureusement il est tombé à Motegi il y a un mois environ. Il n'est pas présent cette semaine. Il est remplacé par Takuya Tsuda, pilote du Superbike japonais. En général, il ne roule pas beaucoup, mais il réalise un travail important. »
    Nous arrivons dans la période des négociations pour la saison prochaine. Certains pilotes italiens avouent avoir été approchés par Suzuki, quelles sont tes relations avec Davide Brivio (Team Manager Suzuki MotoGP) à ce sujet ? 
    « Nous avons de très bonnes relations. Maintenant, il est tout à fait normal que les pilotes en fin de contrat tentent de négocier au mieux leur avenir. Suzuki est une usine qui fait son retour en 2015. Il est donc logique qu’elle soit au coeur des convoitises. Il reste maintenant à différencier si les pilotes approchés se servent de cette offre pour faire monter les enchères ou si leur envie est d'être véritablement un pilote Suzuki. Mon but est clair : je veux récupérer une des deux motos. Je fais mon travail au mieux dans ce sens et nous verrons comment les choses évoluent. »
    Dans l'éventualité où l'aventure avec Suzuki ne donne pas suite en 2015, as-tu une porte de sortie ?
    « J’ai un contrat avec Suzuki pour le futur, comme pilote test ou ailleurs. Je suis en mesure d’accepter ou non. C'est pour cette raison que nous aimerions connaitre rapidement le plan de Suzuki pour la saison à venir puisque je ne cache pas mon envie de courir de nouveau, mais pas dans n'importe quelle condition. Pour le moment, nous n'en sommes pas encore à ce point là. Mon objectif principal est la MotoGP. S'il y a un plan en Superbike supporté par l'usine pourquoi pas, mais mon véritable objectif est d'être sur la grille MotoGP 2015. »
    Que penses-tu de ce début de saison actuelle avec la domination écrasante de Marc Márquez ? 
    « Les GP du Qatar, d'Italie et de Catalogne ont offert des courses magnifiques. Mais, il est difficile de contester les sept victoires de Márquez. On pourrait croire que c'est facile pour lui, mais ce dimanche, on a bien vu que ce n'était pas le cas, de même au Mugello. Pedrosa était en mesure de remporter la victoire dimanche, mais Marquez est toujours au-dessus du lot grâce à une confiance sans faille. Je pense que c'est une belle saison. Pour le public, cette course à Barcelone a été magnifique avec tous les pilotes de pointe en lutte pour la victoire. »
    Propos recueillis par OffBikes.com
    Randy De Puniet's bike, Suzuki MotoGP Test Team, CAT Test

    BRAND NEW BIKE, LOW KM, USED JUST ONE RACE…


    The “customs”  is something epic. Is a bike that took a long time to coming back home, because “she” arrived by ship just some days ago: alone, after the show, and trough a long trip. But this time, this was something she was looking for: because she needs some relax, some quite days. She made a big show during the last January, she got a lot of attention, used every day, strong, hard and crashing by our Luca Viglio. And every day reciving a lot of attention by the mechanics of the Boano Racing Staff, that take good care of her. Now is all finished, she were looking for some relax that she founded, and now she is here, because we were looking for her. We want her back with us.
    And we love to see how it is now, we love to see all the sign, the scratches, the dents and all this sand on her. Not a sand like many other, but the “fuckin’ Sand” of a desert that made the Dakar so epic: sand that tell us a great Story. And we remember very well  the last December, when she was an awesome new bike, and a shining Beta 4500RR full custiomized to obtain the perfect bike to ride the hardest race of any time.
    But now she is here, and looks like a survivor. Her beauty is now perfect, she is looking great more then ever.