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    samedi 29 novembre 2014

    Barcelona - Wheels and Waves

    Barcelona - Wheels and Waves from Thomas Krause on Vimeo.

    MotoGP ; Une transition en bonne voie pour Loris Baz


    Le rookie français a fait son deuxième test en MotoGP™ avec NGM Forward Racing cette semaine à Jerez et a dressé un bilan positif de ses premiers essais sur Forward-Yamaha Open avec OffBikes.com.

    Loris Baz, NGM Forward Racing, Jerez Test
    Jeudi, le team NGM Forward Racing terminait son dernier test avant la trêve hivernale sur le circuit de Jerez. Pour Loris Baz, ce test représentait sa deuxième sortie au guidon de la Forward-Yamaha. Le pilote français revient sur les objectifs de ses premiers tours de roue en catégorie MotoGP™ et dresse un bilan positif.
    À Valence, tu découvrais la Forward-Yamaha, quelles ont été tes premières impressions ?
    « Mes premières sensations ont été très bonnes. Par rapport à une Superbike, les différences principales portent sur la rigidité de la moto et sur les vitesses de passage en courbe. Pour être honnête, je ne m'attendais à rien afin de ne pas être surpris voire déçu. Il y a un ensemble d'éléments qui font que la MotoGP est beaucoup plus réactive aux mouvements qu'on peut avoir dessus ou aux propriétés de la piste. Je me suis rapidement habitué aux freins. Globalement, j'étais très satisfait de mon premier contact à Valence. »
    Quels ont été les premiers points sur lesquels vous avez travaillé ?
    « Au départ, nous avons travaillé afin de trouver ma bonne position sur la moto. C'était encore l'objectif cette semaine à Jerez. Parallèlement, le but était de s'habituer à la MotoGP en effectuant le plus de tours possibles afin de prendre la mesure de la moto petit à petit, sans commettre d'erreur, tout en prenant le plus de plaisir. »
    L'équipe a testé les suspensions Kayaba, comment se comportent-elles sur la Forward-Yamaha ?
    « Il n'est jamais facile de changer lorsqu'on tente de s'habituer à quelque chose. L'équipe dispose d'une très bonne base avec les Öhlins. Kayaba est d'abord une inconnue pour toute l'équipe avant d'être une inconnue pour moi. Il y avait beaucoup de mouvements parasites avec les Kayaba. Il était donc assez difficile d'avoir la même confiance que le lundi à Valence. Dans tous les cas, ça m'a permis de continuer à réaliser des tours avec la moto. Malgré tout, j'ai réussi à améliorer et c'est ce qui comptait le plus à ce moment. »
    Loris-Baz-NGM-Forward-Racing-MotoGP-Valencia-Test-581434
    La pluie est venue perturber la deuxième journée du test à Valence, était-ce une difficulté supplémentaire dans ton apprentissage ?
    « J’ai tout de suite été bien sur le mouillé avec un bon rythme. J'ai chuté à deux reprises. La première chute était entièrement de ma faute alors que la seconde était liée à ma position de pilotage : je n'arrivais pas toucher le sélecteur comme il le fallait. J'ai donc touché le sélecteur sans enclencher la vitesse et j'ai perdu l'avant. Globalement, je suis satisfait du potentiel de la moto et des pneus sur le mouillé. »
    Quels étaient les objectifs du test à Jerez cette semaine ?
    « Le but était de continuer à améliorer ma position car à Valence j'étais vraiment plié sur les bouts droits et je n'arrivais pas à me caser sur la moto. C'était très compliqué et il fallait que nous progressions sur ce point. Nous avons fait un grand pas en avant dès le premier jour. Désormais, j'arrive presque à rentrer mes coudes devant mes genoux. Le but est aussi d'être plus à l'aise en virage. Il y a encore des améliorations à faire pour les prochains essais mais ces modifications m'ont permis d'être plus à l'aise dans mon pilotage et d'être plus fluide. Évidemment, l'objectif était aussi de continuer à me familiariser avec la moto et de progresser petit à petit. »
    Concrètement, quels sont les points qui ont été modifiés sur la Forward-Yamaha pour correspondre à ton gabarit ?
    « Nous avons reculé légèrement la selle, avancé les demi-guidons et baissé les cales-pieds. L'équipe a amené de nouveaux éléments à Jerez pour les baisser davantage. Pour les prochains essais, nous allons essayer de les baisser encore légèrement, de reculer et de rehausser la selle. Nous ne serons alors pas loin de la position idéale pour moi. »
    Les temps que tu réalises à Jerez ne sont pas éloignés de ceux de ton coéquipier Stefan Bradl, quel bilan dresser de ce test ?
    « Jerez est un circuit que j'apprécie beaucoup plus que Valence. Très rapidement, j'avais plus de repères et j'ai réussi à me placer dans un rythme plutôt correct. Toutefois, le temps était capricieux. Mercredi était une bonne journée malgré tout mais le temps s'est rafraîchit assez vite. Sur une piste plus fraîche, j'avais des sensations différentes. Je n'ai pas été en mesure de trouver la limite et d'améliorer en fin d'après-midi. Néanmoins, je reste très satisfait des temps qui ont été réalisés le matin. »
    Quels seront les objectifs pour l'équipe et toi lors du prochain test à Sepang début février ?
    « En plus de ma position de pilotage, nous allons travailler autour des points sur lesquels nous avons encore quelques difficultés comme les zones de freinage ou la maniabilité. Nous allons essayer de trouver une meilleure direction qui me convienne mieux que celle que nous avons actuellement. Pour le moment, nous roulons avec les réglages de base. Nous allons commencer à modifier ces réglages en nous inspirant peut-être de ceux d'Aleix Espargaró afin de nous rapprocher des meilleurs chronos. »
    L'électronique fait habituellement partie d'un des éléments compliqués dans l'appréhension d'une MotoGP, quel a été ton cas ?
    « J’ai eu la chance d'évoluer dans une équipe Superbike disposant d'une électronique très développée. En MotoGP, le niveau est encore supérieur mais ce sont des éléments avec lesquels j'ai déjà l'habitude de travailler que ce soit le Traction Control, le Wheelie-Control ou encore la gestion de l'ouverture des gaz. Ces contrôles fonctionnent différemment sur cette MotoGP mais la base reste similaire et ce n'est pas un problème pour moi. »
    L'année 2014 se termine sur ce test à Jerez, que prévois-tu durant la trêve hivernale ?
    « Comme d'habitude, je prévois de la préparation physique. On va dire que les freins carbone travaillent plus les bras que les freins aciers d'une Superbike. Je vais donc axer mon entraînement autour d'un renforcement musculaire. Je vais essayer de faire un peu de moto (Cross ou Supermotard). Le mois de février sera vite arrivé. »
    Propos recueillis par OffBikes.com

    THE DEUSKY 510


    SPIRIT OF ZELLER: A BMW R NINET HOMAGE


    Spirit of Zeller: a BMW R nineT homage by Officine Sbrannetti
    Thanks to BMW Motorrad’s aggressive (and slightly genius) marketing strategy, custom R nineTs were popping up before the bike had even hit showroom floors. And now that the furor has died down, local distributors are having a go too.
    BMW Italy recently invited dealers to participate in an R nineT build-off and one dealer turned to Officine Sbrannetti to build their entry. This is it, and as far as we’re concerned, it’s a shoo-in.
    Spirit of Zeller: a BMW R nineT homage by Officine Sbrannetti
    Officine Sbrannetti is a fairly young operation, run by five friends out of an old house in La Spezia. They started up two years ago—spending the first nine months converting the house into a workshop before tackling their first motorcycle.
    This R nineT is only their seventh build, but it’s an absolute cracker. “We had an idea in our heads,” says founding member Jody Basso. “We chose to base our R nineT on an important historical BMW motorcycle.”
    The iconic BMW Rennsport RS54 racebike.
    That motorcycle was the legendary BMW RS54 Rennsport (above), piloted to second place in the 1956 500cc World Championship by Walter Zeller. Since the profile of the R nineT is radically different, the goal was to build a modern homage, rather than an exact replica—while carrying over as many details from the Rennsport as possible.
    The BMW R nineT’s original fuel tank was handed over to Pierluigi Tagliagambe from TP Design in Massa. He finished it in a mix of matte and gloss black, with a textured aluminum stripe to mimic the white pinstripes on vintage BMWs. The areas where a racer’s thighs and arms would make contact with the tank were then distressed, giving the bike a track-worn vibe.
    Spirit of Zeller: a BMW R nineT homage by Officine Sbrannetti
    Turning their attention to the seat, the team fabricated a metal base that could be attached using existing fittings.
    Leather artisan Andrea Lava of LA1972 upholstered it in aged leather, and also created a matching tank belt and sternum pad, embellished with the name and number of the bike.
    Spirit of Zeller: a BMW R nineT homage by Officine Sbrannetti
    Officine Sbrannetti prefer to use metal when fabricating parts, rather than plastic or fiberglass. In keeping with this they asked another friend, Emanuele of Della Signs, to make a set of number boards.
    “The plates and numbers are aluminum, held together by nails,” explains Jody. “It’s very skilled handiwork.”
    Spirit of Zeller: a BMW R nineT homage by Officine Sbrannetti
    The boards were fitted using hand-made brackets, with the front bracket doubling up as a mount for a small MMB speedo. The Sbrannetti crew then trimmed the stock front fender and modified a rear fender from Officine 08. Both were fitted using custom-made braces, with the rear fender aligned to hug the wheel in the style of the RS54.
    Staying with the vintage feel, the valve covers and swingarm were stripped and finished in a light grey. But now the black wheels and gold forks looked out of place. So they were anodized in silver and black respectively by another La Spezia company, Style & Performance.
    Spirit of Zeller: a BMW R nineT homage by Officine Sbrannetti
    Style & Performance also supplied the nineT’s finishing kit: aluminum rear-sets, clip-ons, a new top triple tree, and a unique filler hole flange for the fuel tank to enable the use of a Monza gas cap.
    “For the exhaust system, we wanted the effect of the open exhausts from competition bikes in the 1950s,” says Jody, “but that noise had to be ‘acceptable’.” To achieve this, they turned to Sicilian company MASS. “They proved to be incredibly helpful, developing a new system from scratch, completely approved for road use.”
    Spirit of Zeller: a BMW R nineT homage by Officine Sbrannetti
    Despite this, the R nineT as it’s shown here (complete with racing slicks), is not road legal. “We realized our project purely as a racing version, with no compromise,” explains Jody. Even so, there’s a version of the front plate with a headlight, and a license plate holder.
    Spirit of Zeller: a BMW R nineT homage by Officine Sbrannetti
    In a final tribute to Walter Zeller and his Rennsport, Officine Sbrannetti dubbed their R nineT “Spirit of Zeller.” And as modern interpretations of vintage race bikes go, it’s as good as it gets.
    Spirit of Zeller: a BMW R nineT homage by Officine Sbrannetti
    via BIKEexif