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    mercredi 18 mars 2015

    Lords of the Atlas - Mexican 1000

    Team ICON RAIDEN hammers two Triumph Tiger 800xc's across 1000 miles of Mexican desert in the NORRA Mexican 1000. 


    Is now the time to buy a Maserati Merak SS?


    The Maserati Merak is one of those wedgy sports cars that – with its sharp lines and crisp edges – reminds us of the best of the 1970s. At Goodwood on 21 March, Bonhams will be offering one of the youngest specimens for sale – and it could well reach a record price...
    Like its contemporaries, the Ferrari 308 GT4 ‘Dino’ and Lamborghini Urraco, the Maserati Merak has remained a bit of an underdog in the collectors’ market, while nevertheless being one of the strongest design statements of the 1970s. If you find one for sale on the European market, it usually goes for less than 50,000 euros. Even in period, the Merak’s comparatively small three-litre V6, the same as used on its sister car, the Citroën SM, left it in the shadow of more powerful sports cars of that era. Even within its own family, the meatier Maserati Bora – with its 4.7-litre V8 – left the Merak with little chance to shine. The fact that the brothers, bar the engines, shared almost all technical components, did little to sway the critics. Today, a Maserati Bora costs about five times as much.
    But the dark ages of the Merak could soon be over. At a sale by Auctionata, in Berlin recently, a Merak in less than perfect condition doubled its estimate of 16,000 euros.

    24 years in the same hands

    The 1982 Maserati Merak SS shown here is one of the last produced, and one of only 300 built in right-hand drive. SS stands for ‘Super Sport’ and describes the most powerful version – with 220HP. The Merak, with its Giallo Fly paintwork, lingered for 24 years with the same owner and is well known on the Maserati Club scene, where it has won awards in a number of events. It comes up for sale on 21 March at the Bonhams Goodwood Members' Meeting sale. The estimate is a mere 35,000 to 45,000 pounds sterling. How much longer can the Giugiaro-designed wedge remain at a price like that?
    Photos: Bonhams

    This Dutch Ferrari Testarossa is our kind of ‘Miami Ice’


    Prins Classics welcomes a gleaming white 1987 Ferrari Testarossa to its snow-covered Netherlands premises, in this beautifully shot video clip...

    The movie car for Miami Vice


    Swapping sea and sunshine for ice and snow, this Prancing Horse is a long way from where it made its name – as Don Johnson’s car of choice used for apprehending drug traffickers along sunny South Beach, in the 80s undercover police drama series, Miami Vice. In the video, a similar Bianco-coloured flat-12 supercar is seen starting from cold in a private garage, before tackling snow-covered woodland roads and, finally, arriving at the classic car specialist’s premises.
    Video courtesy of Wim Prins
    Discover numerous Ferrari Testarossas for sale in the Classic Driver Market.

    Green Racing : Prost et e.dams Renault triomphent sans vice à Miami

    Miami_Prost
    par e.dams Renault
    C’est l’Amérique pour l’équipe française ! En s’imposant dans les avenues de Miami, Nicolas Prost a été le premier à faire retentir la Marseillaise sur un podium de Formule E et s’est offert, par la même, le commandement du championnat. Et pour faire bonne mesure, le team e.dams Renault creuse l’écart (31 points d’avance) au classement des équipes, malgré les ennuis qui ont frappé Sébastien Buemi.
    En dépit d’un retard considérable dans le programme – dû aux intempéries de la veille – qui a réduit les essais libres à une demi-heure et les qualifications à huit minutes par séance, les Américains se sont agglutinés en masse autour du circuit. Et malgré le désavantage de s’élancer dans le premier groupe de qualification, Nicolas Prost signait un remarquable troisième chrono. Il lui vaudra une première ligne après le déclassement de Nelson Piquet. Quant à Sébastien Buemi, parti en tête-à-queue après un blocage de roues intempestif, il s’alignait en treizième position.
    Sans un regard pour les vices de Miami étalant leur bronzage sur les yachts amarrés près du circuit, Nicolas Prost allait mener une course toute d’intelligence. Troisième derrière le poleman Jean-Eric Vergne et Daniel Abt pendant la première séquence, il s’emparait de la deuxième place après le changement de voiture. Blotti dans le sillage d’Abt, il profitait d’une meilleure gestion d’énergie pour le déborder sans coup férir à deux tours de l’arrivée. Résistant au retour d’un Speed bien nommé, Nicolas remportait ainsi avec autorité sa première victoire en Formule E. Sébastien Buemi, en panne de radio, était, pour sa part, victime de surconsommation d’énergie et devait se contenter de la treizième position finale.
    Miami_podum
    Nicolas Prost : « C’était une journée parfaite ! D’abord, un grand merci à l’équipe qui m’a offert une voiture très performante de bout en bout et une excellente stratégie. J’étais particulièrement content de ma qualification, obtenue sur une piste qui n’était pas encore propre. Ensuite, la course s’est déroulée sans problème et nous avons bien géré la consommation pour pouvoir attaquer à la fin. »
    Sébastien Buemi : « Avant tout, je tiens à féliciter Nicolas pour sa victoire, il la méritait bien. De mon côté, hélas, la journée a été plus difficile. Un souci en qualification avec un blocage de frein et ensuite, plus de radio pendant la course. Je n’avais plus d’indication sur ma consommation et j’ai été obligé de ralentir dans les derniers tours. Un samedi à oublier ! La revanche à Long Beach ! »
    Alain Prost (co-fondateur) : « Je suis très heureux et très fier, à la fois pour Nicolas et pour l’équipe. Cette victoire était méritée, en particulier aujourd’hui au terme de sa meilleure course de la saison. Cela concrétise le travail collectif, auquel j’associe, bien sûr, Sébastien, qui a connu, hélas, quelques problèmes techniques. Le championnat est encore long mais nous allons nous battre pour défendre nos positions jusqu’au bout. »
    Jean-Paul Driot (co-fondateur) : « Je suis vraiment ravi pour Nicolas ! Il a montré, depuis la première course, toute sa vélocité et sa capacité à gérer l’énergie. Ce premier succès est amplement mérité. C’est une récompense aussi pour l’équipe et pour Renault dont le soutien nous permet d’être aussi performants dans ce championnat qui prend sans cesse plus d’ampleur. »
    Résultat de la course : ici
    Championnat pilotes. 1. Prost, 67 points ; 2. Di Grassi (Audi-Abt), 60 points ; 3. Bird (Virgin), 52 ; … 5. Buemi, 43.
    Championnat équipes. 1. e.dams Renault, 110 points ; 2. Abt-Audi, 79 ; 3. Virgin, 78.
     
    via Endurance-Info.com