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    lundi 31 août 2015

    Collectors take home $128m-worth of cars from Gooding auction


    Gooding’s $128m Pebble Beach auction included no fewer than three eight-figure results – giving an average sale price of more than $1m per lot overall – but it was the one-of-two Fiat 600 Eden Roc that proved to be the real surprise of the night, selling for a premium-inclusive $660,000…

    Gooding gets it Eden Roc off for $660k

    Bidding for the wacky Pinin Farina-bodied beach shuttle was perhaps spurred on by the pretty girls that came along for the ride across the block – a tactic Gooding might like to have employed for the Cal’ Spider which, at $15.3m hammer, came in slightly below the $16-18m estimate. That said, with variants of the topless Ferrari a relatively regular sight at auction this year, the premium-inclusive figure of $16.83m will still be considered a victory; one that can be added to the sales of the $16.5m Bertone-bodied ‘Sharknose’ 250 SWB and $10.1m Porsche 956 in David Gooding’s figurative trophy cabinet. The Le Mans-winning Porsche was perhaps helped by the recent announcement from Peter Auto that Group C racing will be strongly featured in its 2016 event programme – so the new owner will be able to demonstrate his acquisition in anger at its old stomping ground in the 2016 Le Mans Classic.

    Porsches in need of a piggyback

    The green ’73 2.7 RS Lightweight and RSR models garnered $935k apiece (another Lightweight sold for $962.5k), while the ’75 3.0 RSR brought $1.3m – the latter well beyond estimate, although it did include a matching transporter. However, not all the competition Porsches did well: the ex-Works 906 was a non-seller, and the Porsche 906E made a modest $1.65m, which is an absolute steal if you consider that you’d have to pay more for a 918 Spyder on the current market.

    Welcome trends

    On the topic of contemporary supercars, the McLaren P1 sold for $1.93m (RM’s P1 sold for $50,000 more the night before, although that example included a number of MSO options) – a tidy profit for the previous owner in any case. Another ‘trending’ model, the Ferrari 512 M, made a lofty $599,500.

    Speedster surprise

    The R-Type Continental ordered new by Ian Fleming was unsold at $1.15m, the celebrity link a little too tentative in comparison to the example owned by Aristotle Onassis that RM sold for $1.21m on Friday. The ‘barn-find condition’ cachet drew fevered bidding on the Porsche 356 Speedster, however, with the price settling at just over half a million dollars against a $325-375k estimate. Another dizzying result saw a Ferrari 250 GTE make almost $800,000.
    Please note, all results are inclusive of buyer’s premium, and do not account for all post-auction sales.
    Photos: Rémi Dargegen for Classic Driver © 2015
    All the news from this year's Monterey and Pebble Beach events can be found in our comprehensive overview.

    GT Tour ; MAGNY-COURS : Porsche et Audi !


    COURSE 1: DEUXIÈME VICTOIRE ET LEADERSHIP POUR LES PILOTES IMSA PERFORMANCE-MATMUT !


    A l’issue d’une prestation tout simplement parfaite, Raymond Narac, Olivier Pernaut et Sébastien Dumez signent leur deuxième victoire de la saison en Championnat de France FFSA GT  ! Après avoir signé la pole, le trio de la Porsche/IMSA Performance-Matmut a dominé les débats de bout en bout, décrochant un succès synonyme de première place au classement Pilotes pour un point ! Ils devancent désormais leurs dauphins du jour, Arno Santamato, Eric Cayrolle et Stéphane Lémeret. Les trois hommes de la Ferrari/Sport Garage ont précédé sur le fil l’Audi/Sébastien Loeb Racing de Christophe Hamon, Christian Bottemanne et Lonni Martins, auteurs de leur premier podium.
    Porsche Lorient Racing remporte le Gentlemen Challenge avec la Porsche pilotée par le trio Mouez/Loger/Blasco.
    Le film de la course.
    En pole, Olivier Pernaut prend le meilleur départ au volant de la Porsche/IMSA Performance-Matmut, suivi de Nicolas Misslin et sa Porsche/StratégiC. Troisième sur la grille, Philippe Giauque retrograde au 10e rang après un départ mouvementé à bord de la Ferrari/AKKA-ASP n°20. Cela profite aux Ferrari/Sport Garage n°6 et n°9 de Stéphane Lémeret et Maxime Pialat. Christophe Hamon grimpe quant à lui dans le Top 5 avec l’Audi/Sébastien Loeb Racing n°5.
    Après quelques mouvements dans le peloton, Philippe Giauque remonte à la 8e place, suivi dans son retour par David Hallyday. La hiérarchie s’établit avant même la fin du premier quart d’heure. Olivier Pernaut mène solidement devant Nicolas Misslin, tandis que Stéphane Lémeret et Maxime Pialiat s’expliquent pour la troisième place. Pialat qui est d’ailleurs sous la menace de Christophe Hamon et Pierre Combot, mais l’ordre n’évolue guère jusqu’à la première salve des arrêts obligatoires. Seul Misslin s’est fait une chaleur avant d’emprunter la pitlane en résistant à Lémeret.
    Après les premiers changements de pilotes, intervenus à la demi-heure de course, et les handicap-temps, la Porsche/IMSA Performance-Matmut conserve les commandes, avec désormais Raymond Narac au volant. Le Champion de France en titre creuse l’écart, et ce d’autant plus que ses poursuivants, Sacha Bottemanne et Nicolas Tardif, écopent d’un drive-through pour non respect de la ligne de course située à la sortie des stands. Bottemanne revient troisième après sa pénalité, entre son père Christian (Audi/Sébastien Loeb Racing) et Eric Cayrolle (Ferrari/Sport Garage n°6). Jean-Luc Beaubelique (Ferrari/AKKA-ASP n°20) a de son côté retrouvé le quinté, suivi à distance par Tony Samon (Ferrari/Sport Garage n°12).
    Après plusieurs tentatives, et alors que Narac a pris le large avec une trentaine de secondes d’avance, Bottemanne fils parvient à trouver l’ouverture sur Bottemanne père à la mi-course. Christian Bottemanne qui doit d’ailleurs céder devant Eric Cayrolle quelques tours plus tard pour la troisième place. Les écarts n’en restent pas moins réduits, ces trois hommes étant regroupés en à peine trois secondes alors que le cap de l’heure de course se profile à l’horizon.
    L’heure est au deuxième arrêt réglementaire, avec quelques changements dans le classement. Si IMSA Performance-Matmut, représenté par Sébastien Dumez, est intouchable, le deuxième se nomme désormais Arno Santamato. Le pilote de la Ferrari/Sport Garage n°6 devance Lonni Martins et son Audi/Sébastien Loeb Racing n°5, tandis que la Porsche/StratégiC de Benjamin Lariche est reombée au pied du podium.
    Benjamin Lariche voit revenir sur lui la Ferrari/AKKA-ASP n°20 de Morgan Moullin-Traffort et, alors que la jonction est faite, il est malheureusement contraint de s’arrêter en bord de piste suite à un problème technique.
    Si Arno Santamato signe le meilleur tour en course et grapille plusieurs secondes sur Sébastien Dumez, le leader n’est pas inquiété. Après 1h30 d’une manche parfaitement maîtrisée, le team IMSA Performance-Matmut coupe la ligne d’arrivée en vainqueur, Dumez/Narac/Pernaut reprenant les commandes du classement général pour un petit point. Et c’est justement les deuxièmes du jour, Arno Santamato, Eric Cayrolle et Stéphane Lémeret qui occupent la deuxième position du classement provisoire. Les trois hommes de Sport Garage, dominateurs du Trophée Equipes, ont devancé d’une courte tête Lonni Martins, Christophe Hamon et Christian Bottemanne, qui s’offrent un premier podium avec l’Audi/Sébastien Racing n°5 après une belle remontée depuis la quatrième ligne.
    Au pied du podium, Morgan Moullin-Traffort, Jean-Luc Beaubelique et Philippe Giauque marquent des points importants dans la lutte pour le titre. Pierre Combot, Tony Samon et Enzo Guibbert complètent le Top 5 à l’issue d’une prestation solide avec la Ferrari/Sport Garage n°12. Suivent David Hallyday, Philippe Gaillard et Mike Parisy, finalement sixièmes après être remontés au cours du dernier relais.
    Porsche Lorient Racing s’impose dans le Gentlemen Challenge. Eric Mouez, Gilles Blasco et David Loger devancent avec leur Porsche l’Audi du Team Speedcar. Un temps leader, Julien Goujat et Florent Petit ont écopé d’une pénalité pour non respect du temps imparti dans les stands. Franck Martinez, Frédéric Dufour et Philippe Colançon montent sur la troisième marche de ce podium.
    Raymond Narac, vainqueur (Porsche/IMSA Performance Matmut n°1, avec Olivier Pernaut et Sébastien Dumez) : « Le meeting avait bien commencé avec les essais, qui nous ont permis de trouvé le bon set-up en termes de pneumatiques, ce qui est toujours important. Olivier a su conserver la tête dans le premier virage et contrôler (Nicolas) Misslin (Porsche/StratégiC n°17, 2e sur la grille). Ensuite, on a misé sur une stratégie agressive pour moi, avec des pneus neufs. Il était important de creuser l’écart pour que Seb soit tranquille. Tout s’est déroulé selon le plan. On prend la tête du Championnat, exactement comme l’an passé ici. Cela nous avait porté chance. On verra bien. C’est vrai que l’on souhaitait mettre la pression sur la Ferrari/Sport Garage n°6. Ils ont bien résisté (en terminant 2e). Maintenant, cela va être à celui qui évitera la faute. Il va falloir être régulier et performant, ce ne sera pas facile 2015_MagnyCours_Dumezjusqu’au bout ».
    Sébastien Dumez, vainqueur (Porsche/IMSA Performance Matmut n°1, avec Olivier Pernaut et Raymond Narac) : « Je tiens vraiment à féliciter toute l’équipe, grâce à elle, on vit une saison très agréable. Sur la course, Olivier a plutôt géré, Raymond a poussé et moi je me suis contenté de gérer notre avance, en pensant aussi, en vue des prochaines courses, à ne pas trop usé les pneus et les freins. En tout cas, c’est toujours agréable de prendre la voiture en étant leader de la course, je n’avais plus qu’à suivre les recommandations de notre super ingénieur, Félix. Comme l’a dit Raymond, il va falloir faire le moins d’erreurs possibles (dans la lutte pour le classement général) ».

    COURSE 2 : RENTRÉE VICTORIEUSE POUR SÉBASTIEN LOEB RACING !


    2015_MagnyCours_Course_2_PodiumSous les yeux de son patron Sébastien Loeb, le team Sébastien Loeb Racing a brillé sur le circuit de Magny-Cours, théâtre de la cinquième manche du Championnat de France FFSA GT. Après un podium la veille de la voiture sœur, l’Audi n°3 a décroché son deuxième succès de la saison. Partis de la pole et après un dépassement victorieux dans le dernier tier de l’épreuve, David Hallyday, Philippe Gaillard et Mike Parisy s’imposent devant la Ferrari n°36 du Team Duqueine, longtemps leader avec Bruno Strazzer, Romain Brandela et Dino Lunardi. La Ferrari n°20 du Team AKKA-ASP, confiée à Jean-Luc Beaubelique, Philippe Giauque et Morgan Moullin-Traffort complète le podium après une solide prestation.
    La victoire dans le Gentlemen Challenge s’est jouée dans le dernier tour, l’Audi/Speedcar de Julien Goujat et Florent Petit prenant la tête dans le dernier tour au dépend de la 911 GT3-R/Porsche Lorient Racing d’Eric Mouez, David Loger et Gilles Blasco.
    Le film de la course.
    Auteur d’une troisième pole consécutive avec l’Audi/Sébastien Loeb Racing n°3, Mike Parisy se fait griller la politesse par Dino Lunardi au départ. Au volant de la seconde Ferrari du Team Duqueine, Anthony Beltoise est quant à lui devancé par Morgan Moullin-Traffort (Ferrari/AKKA-ASP n°20). Enzo Guibbert (Ferrari/Sport Garage n°12) se maintient dans le Top 5, tandis que son équipier Eric Helary grimpe de la huitième place. Bonne remontée également d’Olivier Panis (Ferrari/AKKA-ASP n°16), qui passe du douzième au neuvième rang. Après trois tours, Panis doit s’incliner devant Markus Winkelhock (Audi/Saintéloc n°23). L’Allemand suit une cadence élevée et trouve l’ouverture sur Lonni Martins (Audi/Sébastien Loeb Racing n°5) avant la fin du premier quart d’heure.
    En tête, Dino Lunardi est suivi comme son ombre par Mike Parisy, les deux hommes étant séparés par moins d’une seconde. Même schéma pour Morgan Moullin-Traffort et Anthony Beltoise, à la lutte pour la troisième position. Enzo Guibbert suit toujours à distance et c’est dans cet ordre que le peloton entame les premiers arrêts obligatoires.
    L’ordre est inchangé au retour en piste. Bruno Strazzer, désormais à bord de la Ferrari/Team Duqueine n°36, mène en effet devant Philippe Gaillard et son Audi/Sébastien Loeb Racing. Derrière le tandem, deux pilotes s’expliquent : Jean-Luc Beaubelique et Gilles Duqueine. Si Duqueine trouve une première fois l’ouverture à la 40e minute, Beaubelique le recroise. Cinq minutes plus tard, Duqueine pense avoir enfin gain de cause mais avant même la fin de ce tour, il part en tête à queue ! Quant à la Porsche/StratégiC de Sacha Bottemanne, passée en quelques instants de la 11e à la 7e place, elle écope d’une pénalité pour non respect du temps imparti dans les stands.
    Bruno Strazzer gère son avance sur Philippe Gaillard… qui voit revenir sur lui Jean-Luc Beaubelique alors que la mi-course est passée. Gilles Duqueine est à proximité mais il se fait percuter violemment par Tony Samon qui a semble-t-il connu un problème au freinage. Les deux pilotes sont contraints à l’abandon et cela profite à Sacha Bottemanne, cinquième derrière Fabien Barthez malgré sa pénalité. Il s’empare d’ailleurs du quatrième rang au cours d’une fin d’heure très animée. En effet, Bruno Strazzer se manque dans un virage et doit laisser passer Philippe Gaillard, nouveau leader ! Gaillard ne conservera que quelques boucles ce statut, Strazzer reprenant son bien.
    Les deuxièmes changements de pilotes obligatoires interviennent et le Team Duqueine ne perd pas son leadership. A l’entame du dernier relais, Romain Brandela est suivi de Philippe Giauque et David Hallyday. Hallyday ne tarde pas à se mettre en route. Il passe Giauque à 25 minutes du terme et ne s’arrête pas en si bon chemin. Il attaque avec succès Brandela à moins de 20 minutes de la fin. C’est le dépassement de la gagne puisqu’il ne sera plus rejoint !
    Les positions sont en effet bien établies. Le Sébastien Loeb Racing file vers la victoire, la deuxième de l’année pour Mike Parisy, Philippe Gaillard et David Hallyday. De quoi se replacer en embuscade dans la course au titre. Le Team Duqueine, grand animateur de cette manche, obtient un nouveau podium avec la Ferrari de Bruno Strazzer, Romain Brandela et Dino Lunardi. Egalement toujours en lice pour la couronne finale, Jean-Luc Beaubelique, Philippe Giauque et Morgan Moullin-Traffort décrochent un cinquième podium cette saison.
    Après une longue et régulière remontée, le Team IMSA Performance-Matmut se classe quatrième avec Raymond Narac, Olivier Pernaut et Sébastien Dumez. Suffisant pour conserver la tête du championnat devant Stéphane Lémeret, Eric Cayrolle et Arno Santamato, cinquièmes du jour avec la Ferrari/Sport Garage. Fabien Barthez, Eric Debard et Olivier Panis coupent la ligne d’arrivée au sixième rang avec la Ferrari/AKKA-ASP n°16.
    Le Gentlemen Challenge a réservé son lot de rebondissements. Eric Mouez, Gilles Blasco et David Loger ont longtemps mené pour le compte de Porsche Lorient Racing, jusqu’au dernier tour à dire vrai. Mais c’est bien le Team Speedcar et l’Audi de Florent Petit et Julien Goujat qui emporte la mise sous le drapeau à damiers.
    2015_MagnyCours_Hallyday-ParisyMike Parisy, vainqueur (Audi/Sébastien Loeb Racing n°3, avec David Hallyday et Philippe Gaillard) : « C’est un week-end réussi, avec ma troisième pole consécutive et la victoire. Mes équipiers ont été très bons. Je suis ravi d’avoir contribué à ce succès pour le team et pour Audi. Concernant le départ, je ne bénéficie pas de la même vitesse de pointe que les Ferrari, or elles me cernaient sur la grille. Dans cette position, la pole est presque un handicap, car je sais que j’ai de grandes chances de me faire doubler au premier virage. C’est difficile à gérer. Mais peut-être que ce sera mieux la prochaine fois. Maintenant, on est dans la position du chasseur en Championnat. On va rechercher à attaquer au maximum. On a connu des embûches en début de saison, on revient. A nous d’essayer de finaliser le travail et d’avoir un peu de chance, aussi ».
    David Hallyday, vainqueur (Audi/Sébastien Loeb Racing n°3, avec Philippe Gaillard et Mike Parisy) : « Quand on part en pole, c’est toujours plus facile. Le team a effectué du très bon boulot, la voiture était nickel, y compris les pneus qu’avait utilisés Mike lors du premier relais. C’est formidable de faire ce résultat quand Séb (Loeb) est présent. De mon côté, j’étais un peu malade, mais j’ai serré les dents, sans essayer de me freiner car on ne peut pas se permettre de ne pas y aller à fond. On a toujours eu l’espoir de revenir dans la course au titre. Cependant il était préférable de ne pas se concentrer sur le classement. Il nous fallait surtout être rapide et fiable. On va continuer dans cette optique, mais aujourd’hui, on a pris le bon chemin pour la fin du Championnat et cela fait plaisir ».
    Philippe Gaillard, vainqueur (Audi/Sébastien Loeb Racing n°3, avec David Hallyday et Mike Parisy) : « Mike partait en pole et a fait un super relais. De mon côté, j’ai essayé de me maintenir en tête. La voiture était vraiment excellente. Je l’ai laissée ensuite à David et il a réalisé un travail magnifique ».

    Relive the Rolex Monterey Motorsports Reunion 2015 in 99 high-speed images


    Now in its 38th year, the four-day Rolex Monterey Motorsports Reunion turns the Laguna Seca Raceway into a moving automotive museum – one that entices the very finest automotive legends, whether man or machine…
    After two days of increasingly vigorous practice sessions, the Saturday of Monterey Car Week saw the long-awaited green flag brought down on a full weekend of on-track battles at Laguna Seca, with the grids comprising some of the most notable historic racing cars in the world. Whether spectators went to see Testa Rossas dice with DB3Ss, a field of Mustang GT350s fight for supremacy, or early BMW M-cars squirrel down the perilous corkscrew, they were treated to an awe-inspiring (and eardrum-troubling) overload of motorsport history’s finest offerings. We can’t wait until the circus arrives at the Revival…
    Photos: Rémi Dargegen for Classic Driver © 2015