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    mercredi 16 septembre 2015

    Lotus C-01 reigns supreme at the Glemseck 101


    At last weekend’s Glemseck 101 motorcycle festival, Superbike world champion Troy Corser demonstrated the immense performance of the new Lotus C-01, beating Kawasaki test-rider Francesca Gasperi’s 310bhp Ninja on the 1/8th mile sprint…

    Man and machine vs. woman and electronics

    “It was a struggle between man and machine, and woman and electronics,” commented Tobias Aichele of Classic Driver dealer Premiummotorrad, Europe’s only distributor of Lotus Motorcycles. “The Lotus waives all electronic aids such as traction control and ABS, but the Kawasaki is crammed with them.”

    A wheelie finish

    A lack of electronic aids wasn’t the only difficulty facing Corser – the Lotus’s wheelbase is extremely long, with all 200HP going directly to the rear wheel. Keen for a challenge, the Australian pro decided to try and wheelie the whole way. “With a little practice, I could ride the Lotus on the rear wheel for kilometres,” he said with a grin. 

    Looks familiar?

    If the colours of the Lotus seem familiar to you, don’t be alarmed. The exceptional bike was appointed by Classic Driver, and configured in our brand colours. It’s one of the first examples built, and after its impressive demonstration at Glemseck, can be seen in the Premium Motorcycle showroom at Motorworld in Stuttgart. You can read a detailed feature on our Lotus C-01 on Classic Driver soon. 
    Photos: Frederic Seemann for Classic Driver © 2015

    Judging the Jaguar Trophy with Ian Callum and friends


    As part of Classic Driver’s media partnership with the 2015 Concours of Elegance, we were invited to be part of the judging panel for the Jaguar Trophy – a single-marque concours of privately owned cars – alongside Ian Callum and the company’s new Heritage director, Tim Hannig…
    From 120 entries, more than 70 entrants were invited to have their Jaguars judged by the panel which, alongside Callum and Hannig, consisted of myself, long-standing Jaguar Heritage expert Tony O’Keeffe, Royal architect Graham Sharpe, and Octane magazine editor David Lillywhite. The day started with us gathering for a coffee to discuss the focal points of our judging criteria, and then heading out for an initial look around the field to narrow down the most promising candidates in each class.

    Sibling rivalry

    Once this was done, some interesting battles presented themselves, the most intense of which was a Jaguar XJR (formerly a Jaguar VIP fleet car) squaring up against its Daimler equivalent in the ‘Modern Classics’ category. Both were impeccable examples in interesting colours and with ultra-low mileages, but in the end it was the Jag’s higher potential to become a future classic that edged it past its cousin – plus its status as the last manual example ever built found favour with the keen ‘drivers’ on the panel.

    The £5 E-type

    In the ‘Sports Car’ category, a stunning Series 1 E-type Roadster was chosen for the quality of its restoration – largely completed by its owner – and its romantic history. Earlier in its life, it had been in such bad condition that it was sold for just five pounds; on the day, it truly looked a million dollars. Elsewhere, two interesting Mark Is took honours in the ‘Saloons’ and ‘Wild Card’ categories, the former singled out for retaining a characterful patina through its restoration, and the latter for its use of Mark II running gear. The new underpinnings gave the car a lower stance that styling sage Ian Callum was quite fond of – endorsements don’t come much more authentic than that.

    Best of Show

    It was an SS1 that, admittedly among very few competitors, won the ‘Pre-War’ category – but this was by no means a hollow victory, as we also chose it as ‘Best of Show’. The car’s relative rarity and excellent, yet highly original condition set it apart (it also won the RAC Club Trophy), and the loving owner couldn’t have been happier. “It’s been in our family since 1937, and I will never sell it.” By default, the car has become the first confirmed entry for next year’s Concours at Windsor Castle.
    Photos: Tom Shaxson for Classic Driver © 2015

    RETOUR DU BOL D’OR AU CASTELLET

    Après plus de 15 ans d’absence, le Bol d’Or fait son retour sur le circuit Paul Ricard au Castellet. Pilotes, team managers, organisateurs et spectateurs, tous semblent ravis de retrouver cette piste mythique nichée dans les collines du Var. Les 19 et 20 septembre, la dernière manche du FIM EWC permettra en outre de connaître le nouveau champion du monde d’Endurance.
    RETOUR DU BOL D’OR AU CASTELLET
    Le duel est serré entre le Suzuki Endurance Racing Team et le GMT94 Yamaha puisque seulement 23 points séparent le SERT, en tête devant la Yamaha officielle. Sachant qu’il y a 60 points à prendre (40 pour la victoire et 10 au premier classé après 8 heures puis 16 heures de course), le suspense reste entier. D’autant plus que, mathématiquement, le Team Bolliger Switzerland et le Junior Team LMS Suzuki sont les deux autres équipes à pouvoir encore prétendre également au titre mondial.
    Si ce retour sur ce grand circuit du Castellet fait rêver, avec son tracé de 5,8 kilomètres, il inquiète en même temps avec sa longue ligne droite de 1,8 kilomètres où les machines prennent plus de 320 km/h.
    BELLES BAGARRES EN TETE
    A l’issue des essais « pré-Bol d’Or » qui se sont déroulés cette semaine, Dominique Méliand, team manager du SERT, s’interroge sur la capacité des machines à soutenir ses longues sessions en pleine charge à chaque tour pendant 24 heures : « L’endroit est exceptionnel pour les spectateurs qui peuvent aller en bord de mer et venir assister à la course. Mais pour nous, comme sur les autres circuits, il y a des avantages et des inconvénients ! Le circuit a évolué et ces essais ont permis de dégrossir les réglages qui seront à peaufiner lors des essais officiels. Mais il est clair que la ligne droite du Mistral sera le juge de paix, les moteurs y sont plein gaz pendant au moins 18 secondes ! »
    Dans le rôle du chasseur, le GMT 94 Yamaha est galvanisé par sa récente victoire lors des 8 Heures d’Oschersleben. « Ce n’est que du bonheur de revenir au Castellet ! C’est un circuit unique au monde, chargé d’histoire, dans un cadre grandiose avec la mer, le soleil et les cigales ! Nous venons pour jouer devant et nous sommes en mesure de prendre la victoire et le titre, » assure Christophe Guyot, le team manager. « Le circuit n’est pas fatigant physiquement pour les pilotes mais il est très exigeant mentalement et demande beaucoup de concentration en raison des vitesses de pointe très élevées. C’est aussi un tracé très technique, favorisant la bonne boite de vitesses et le bon moteur, avec une piste large où l’on a peu de repères. »
    Ce circuit est nouveau pour un bon nombre de pilotes, mais pour d’autres, c’est un retour, comme pour Sébastien Gimbert, pilote Honda Endurance Racing qui se souvient du Bol d’Or 1999 où il était déjà au Castellet au guidon d’une Honda #111. « C’est un circuit de rêve qui m’a fait aimer la vitesse. Revenir sur une piste de cette envergure est vraiment génial. Et je suis ici un peu comme à la maison. J’habite à 60 kilomètres de là et je suis licencié au Moto Club Paul Ricard. Nous savons que le titre n’est plus à notre portée donc il faut gagner le Bol d’Or pour oublier notre manque de résultats de cette saison ».
    La stratégie est la même pour le SRC Kawasaki après ses abandons à Suzuka puis à Oschersleben. L’équipe de Gilles Stafler vient aussi pour la victoire sur cette course de 24 heures qui reste une de ses spécialités (le SRC a remporté le dernier Bol d’Or disputé à Magny-Cours en avril 2014).
    Le Team SRC Kawasaki a recruté Erwan Nigon comme pilote suppléant aux cotés de Gregory Leblanc, Fabien Foret et Matthieu Lagrive. « Nous avons travaillé les réglages et la consommation lors de ces essais pré Bol d’Or. Nous avons un équipage homogène qui peut tourner vite et régulièrement en 1’59 avec un petit avantage à Fabien Foret qui a réalisé son meilleur tour en 1’58 lors des essais. »
    Le Monster Energy Yamaha YART joue aussi « la victoire sinon rien » et retrouve Max Neukirchner au guidon, aux côtés de Broc Parkes, Ivan Silva et Sheridan Morais.
    Le dernier Bol d’Or disputé au Castellet en 1999 a été remporté par le SERT avec Terry Rymer, Jehan d’Orgeix et Christian Lavieille.

    Triumph .