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    jeudi 1 octobre 2015

    GT TOUR ; IMSA Performance Matmut creuse l’écart avant la finale


    100% : pour la 12e fois en 12 courses, le Team IMSA Performance Matmut a poursuivi sa razzia de points en Espagne ! Une performance splendidement mise en valeur par une nouvelle médaille d’argent qui marque aussi son 7e podium de la saison !
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    Logiquement, l’équipe normande vire plus largement en tête du Championnat à la veille de la finale qui se jouera sur le circuit Paul Ricard. Mais comme à son habitude, les hommes d’IMSA Performance Matmut ne sont pas grisés par ce résultat et gardent la tête froide : les deux dernières courses à venir restent décisives !
    Course 1. Samedi 26 septembre 2015. 7e podium et bonne affaire !
    Une très belle course, un nouveau podium et une petite échappée au Championnat pilotes couronnent ce premier rendez-vous du week-end espagnol, mené de main de maître par l’équipe aux couleurs de la Matmut.
    Sur la lancée de sa pole position conquise à Magny-Cours, IMSA Performance Matmut signe une nouvelle première ligne.
    Lorsque les feux passent au vert, Olivier Pernaut concentre toute la détermination de l’équipe rouennaise et porte sans coup férir une attaque par l’extérieur sur Nicolas Misslin. Imparable ! « Au départ, je me suis mis en tête de ne pas freiner » témoigne tout sourire le natif d’Amiens. « En tout cas le but était de virer en tête et ça l’a fait ».
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    Piste dégagée devant lui, Olivier s’exprime librement; se construit rapidement une avance de 3 secondes sur la Porsche #17 et de 6 secondes sur la Ferrari #6, principale adversaire au Championnat mais qui rompt prématurément le bras de fer : à la sortie du premier virage la Ferrari s’immobilise à côté de la trajectoire ce qui motive l’intervention du Safety Car. Tout est donc à refaire ! Ce qu’Olivier Pernaut accomplira dès la relance.
    Parfaitement remis en action, le Picard repousse immédiatement ses poursuivants à deux secondes environ, un petit avantage qu’il gardera jusqu’à son passage de relais à Sébastien Dumez.
    C’est donc en leader que « Dudu » arrive en piste, suivi de près par Sacha Bottemanne extrêmement pressant. Résister outre mesure serait peu compatible avec la conquête du titre. Le Bordelais d’adoption ouvre donc la porte mais sans lâcher l’affaire et se maintient dans le sillage du leader jusqu’au ravitaillement, l’écart n’excédant jamais 3”. « Je n’ai pas cherché à contenir Sacha : il était trop chaud ! On joue le Championnat et je ne voulais pas prendre de risques inutiles. Ensuite j’ai suivi son rythme sans difficulté jusqu’à la fin du relais » confie Sébastien à son retour dans les stands.
    Raymond Narac attaque donc le dernier relais à 4 secondes derrière la Porsche #17, désormais aux mains de Benjamin Lariche. Jamais inquiété, tant son avance sur le reste du peloton est conséquente (26 secondes), le « patron » conserve facilement sa deuxième place. « C’est une bonne course » confirme le pilote rouennais. « Nous marquons de gros points car nos concurrents directs n’ont pas scoré. » 
    En effet, outre l’abandon de la #6, la Ferrari #20 (3e au classement provisoire du Championnat) n’a pas franchi la ligne d’arrivée. Franck Rava, le team Manager confirme mais reste lucide : « Nous faisons une très belle opération ! Nous n’étions pas focalisés sur la première place d’autant plus que notre stratégie était de nouveau très audacieuse : Raymond a fait face aux pilotes pros. Nous avons un peu creusé l’écart mais il faudra assurer demain ! »
    Course 2. Dimanche 27 septembre 2015. Encore des points importants !
    Outre l’inversion de l’ordre de ses pilotes, IMSA Performance Matmut applique une stratégie identique à celle qui avait parfaitement fonctionnée à Magny-Cours. La quatorzième position sur la grille de départ n’est donc pas insurmontable quand bien même est-elle accompagnée du handicap temps lié à la deuxième place de la course 1. Le team Imsa Performance ne vise donc pas les accessits mais plutôt à capitaliser de nouveaux points… Encore une mission accomplie !
    C’est à Raymond Narac que revient de prendre le départ de cette seconde course espagnole. Dès les premiers mètres, le Champion en titre vient contester la 12e place à l’ancien pilote de Formule 1, Olivier Panis. Les deux hommes, séparés par moins d’une seconde se livrent à un mano-à-mano intense qui ne cessera qu’avec l’ouverture de la première fenêtre de ravitaillement. « Nous avons a tout misé sur la première course et la stratégie a plutôt réussie » précise-t-il à l’issue de l’épreuve « Mais aujourd’hui, en pneus usés, c’était un peu compliqué dans le trafic. Je pensais remonter un peu plus haut dans les points…. »
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    Désormais installé aux commandes de la Porsche GT3 R aux couleurs de la Matmut, Sébastien Dumez doit observer les 12 secondes de la pénalité temps avant d’entrer dans l’arène au 12e rang. Au cœur du peloton, le pilote de la Porsche #1 s’applique à maintenir un rythme soutenu sans commettre d’erreur. Tenant parfaitement la stratégie établie, il boucle son relais 11e et laisse à Olivier Pernaut la conquête des précieux points.
    A l’attaque dès sa sortie des stands, le Picard passe rapidement les concurrents qui le précèdent et vient croiser le fer avec Gilles Vannelet pour le gain de la 8e place. Si son vis-à-vis parvient à se sortir de ses griffes en grimpant au classement, le rythme adopté par Olivier lui permet de briser rapidement la défense de Fabien Barthez pour pointer au 7e rang, position qu’il devra céder dans le dernier tour à l’Audi de David Hallyday.
    Un résultat qui reste réellement positif car ce sont 4 nouveaux points qui tombent dans l’escarcelle du team IMSA Performance Matmut. Ce que confirme le pilote une fois le casque enlevé : « Nous avons fait deux belles courses ! Mais aujourd’hui, nous sommes partis de plus loin… Dès que j’ai pris la piste je me suis retrouvé dans les roues de Gilles Vannelet…. L’important était d’assurer des points essentiels pour le championnat. ».
    A Franck Rava de conclure ce week-end espagnol : « Sur la course 1 nous avons réalisé une très bonne opération et nous avons assuré les points de la seconde place dans la seule optique du Championnat. L’équipe a réalisé un très bon travail face à une concurrence très présente. Certains de nos adversaires ont connu des difficultés et nous avons pu en profiter. Nous sommes arrivés avec un léger retard à cause des décomptes… Mais nous repartons de Navarra avec une légère avance de 20 points. Insuffisante toutefois pour assurer le titre. Rendez-vous pour la finale du GT FFSA au Paul Ricard ! »

    Oh Lord won’t you buy me a… Porsche 356?


    Peer pressure clearly got the better of Janis Joplin, as she joined her friends and bought this Porsche 356C, famously painting it in a psychedelic livery as distinctive as her music…

    Counter culture

    Joplin bought the pre-owned Porsche 356C 1600 Cabriolet in Beverly Hills in September of 1968, following a recent split from her band, Big Brother and the Holding Company, which had burst onto the music scene the previous year. Not content with its comparatively bland Oyster White colour scheme, she gave the car to band roadie and close friend David Richards, who was entrusted with transforming it into something a little more flamboyant.

    The History of the Universe

    The resulting, hand-painted kaleidoscopic (mobile) mural, dubbed ‘The History of the Universe’, allegedly went down very well with the blues singer, who is said to have driven the car everywhere, ‘top down and feathers flying’. Indeed, Joplin was regularly photographed around San Francisco with the car, often joined by other celebrities – it became an icon of the psychedelic era, just as she did.

    Heirloom

    Joplin owned the car until her untimely death in 1970, after which it passed through the hands of her manager, before being returned to her family, with whom it has remained since. It’s been subject to numerous restoration jobs through the years – the paint was carefully re-done for the secondtime in the 1990s, having been stolen while under Joplin’s custody, re-sprayed in grey, and repainted again – and the canvas top has also been replaced.

    A star is born

    The star of the Cleveland Rock ’n’ Roll Hall of Fame (of which Joplin is an inductee) for the past two decades, it’s finally time for this air-cooled slice of popular culture to find a rebellious new owner. RM Sotheby’s will offer the car at its ‘Driven by Disruption’ sale in New York on 10 December 2015. Joplin might not have made amends, but she did make history. This striking Porsche was party to that – expect hippie hysteria on the day. 
    Photos courtesy of RM Sotheby’s / Getty Images (historic picture)
    You can find many (more sober) Porsche 356s for sale in the Classic Driver Market.

    This one-year-old Triumph was treated to a Turkish transformation


    Invariably, it’s the tired examples of machines from the latter half of last century that are used as donors for café racer-style makeover projects. However, Bunker Custom Cycles of Istanbul used a 2014-model Triumph Bonneville as the basis for its latest build…

    Bonnie goes to Istanbul

    Although it’s the stunning grey-and-gold paint scheme that initially seduces the eye, cosmetics were only a secondary priority for Bunker Custom Cycles when overhauling the year-old Triumph. The first was to unleash the Bonneville’s performance potential, with function defining the form: the suspension was re-worked to be lower at the front and higher at the rear for a more aggressive stance, and the cumbersome original tail was replaced with a sleek hand-made aluminium unit. Overall, the subtle modifications applied to the tuned-up Triumph are so well thought out that the Bunker Bonneville could easily be mistaken for a factory-issued special edition – a true testament to the quality of work performed by the Turkish workshop.
      
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    At JD Classics’ showroom in Maldon, Essex, in the UK, a very special Bentley awaits a new owner. In single-family ownership since 1968, the lavishly equipped R Type Continental is sure to beguile its new custodian with a layer of dust, a few dents – and some specially commissioned one-off features…

    Quite a story…

    Naturally, the majority of R Type Continentals were purchased new by prominent figures – and indeed, the battered Bentley currently offered by JD Classics was ordered new in 1954 on behalf of Philip. F. Scrutton, a world-class amateur golfer and pilot. He specified every conceivable option, along with a number of special requests, such as flared rear wings and cutaway spats, on the H.J. Mulliner body. But just a year later, custody was passed to another sportsman: motorcyclist Stanley Hailwood, father of future World Champion bike racer Mike ‘The Bike’. During this time, the elegant ‘Rover Grey’ coupé was put to work along the French Riviera, and entered in the Cannes Concours of Elegance. In 1968, another aviation enthusiast, Frank Cavanagh, bought the car while on business in London, and promptly shipped the Bentley back home to Australia. It remained there for 47 years, during which time it shared space in an aircraft hangar alongside a Bentley S1, a Ferrari 330 GTC, and a Cessna, all owned by Cavanagh.

    Do not wash!

    To us, the idea of leaving the unique Bentley in its current state seems more attractive than a costly restoration – after all, as the saying goes, ‘they’re only original once’. With such fascinating provenance, dust and dents that relay a fascinating ownership story are preferable to polished lacquer and immaculate leather. Nowadays, the ‘preservation classes’ are becoming more and more popular at world-class concours events, for which we’d tip this Bentley as a future star…
      
    Photos: JD Classics
    You can find the full JD Classics stocklist, including this very Bentley R Type, in the Classic Driver Market.