Le tribunal de Commerce du Mans vient de mettre un terme à la procédure de sauvegarde qui pesait sur l'écurie depuis juillet dernier. Pas surpris par cette mauvaise nouvelle, Henri Pescarolo déclare que « tout reste ouvert » pour l'avenir.
Après plus de six mois passés sous procédure de sauvegarde, le Pescarolo Team vient d’être mis sous liquidation judiciaire. Une décision prise par le tribunal de Commerce du Mans, rapportent Ouest-France et Le Maine Libre. Tout comme en 2010, où Henri Pescarolo avait du vendre aux enchères Pescarolo Sport, le patron de l’écurie éponyme doit de nouveau faire face à cette situation très difficile…
Interrogé par le Maine Libre à la sortie du tribunal, Henri Pescarolo ne s’est pas déclaré surpris par cette décision de justice. « Le jour où notre nouvelle écurie-partenaire m’a laissé tomber en début de saison, je savais que nous aurions des problèmes après Le Mans. C’est logique après ces six mois passés sous procédure de sauvegarde. Depuis le mois de juillet j’ai regardé ce qu’il était possible de faire mais, dans le contexte économique actuel, c’est presque mission impossible. » Si l’écurie basée au Technoparc des 24 Heures du Mans a pu participer à l’épreuve sarthoise l’an passé, elle avait ensuite dû déclarer forfait pour le Championnat du monde d’endurance (WEC), faute de budget.
Gardant ses locaux, Henri Pescarolo veut se donner un peu de temps pour réfléchir avant de prendre une décision pour l’avenir. « Rien n’est fermé, tout reste ouvert. Je suis surtout déçu pour mon équipe. La plupart des gars travaillent avec moi depuis plus de dix ans et la création de Pescarolo Sport. C’est là ma grande tristesse. Maintenant, à 70 ans et après cinquante ans passés les mains dans le cambouis, je vais m’accorder un peu de recul pour analyser la situation et reprendre mes esprits. » Si il est désormais certain que l’équipe tricolore ne pourra pas aligner de voitures lors des prochaines 24 Heures du Mans, elle pourrait en revanche continuer à jouer un rôle de préparateur, "une ou deux voitures pour une autre écurie".
Interrogé par le Maine Libre à la sortie du tribunal, Henri Pescarolo ne s’est pas déclaré surpris par cette décision de justice. « Le jour où notre nouvelle écurie-partenaire m’a laissé tomber en début de saison, je savais que nous aurions des problèmes après Le Mans. C’est logique après ces six mois passés sous procédure de sauvegarde. Depuis le mois de juillet j’ai regardé ce qu’il était possible de faire mais, dans le contexte économique actuel, c’est presque mission impossible. » Si l’écurie basée au Technoparc des 24 Heures du Mans a pu participer à l’épreuve sarthoise l’an passé, elle avait ensuite dû déclarer forfait pour le Championnat du monde d’endurance (WEC), faute de budget.
Gardant ses locaux, Henri Pescarolo veut se donner un peu de temps pour réfléchir avant de prendre une décision pour l’avenir. « Rien n’est fermé, tout reste ouvert. Je suis surtout déçu pour mon équipe. La plupart des gars travaillent avec moi depuis plus de dix ans et la création de Pescarolo Sport. C’est là ma grande tristesse. Maintenant, à 70 ans et après cinquante ans passés les mains dans le cambouis, je vais m’accorder un peu de recul pour analyser la situation et reprendre mes esprits. » Si il est désormais certain que l’équipe tricolore ne pourra pas aligner de voitures lors des prochaines 24 Heures du Mans, elle pourrait en revanche continuer à jouer un rôle de préparateur, "une ou deux voitures pour une autre écurie".
Jérémy Maccaud(AUTOhebdo)
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