Barry Sheene was a racing idol in the 1970s and his son Freddie Sheene recently made an appearance in the FIM CEV Repsol – with his goal simply being to have some fun!
Sheene senior was a double World Champion who won 23 Grands Prix and entertained the world with his larger-than-life persona.
Big shoes to fill indeed, but for his son Freddie he is not striving to emulate his father’s success. Sheene junior rode in Jerez in the first FIM CEV Repsol race of the year but still had time for a quick chat about his participation in the Moto2™ race on a Yamaha machine.
Freddie, welcome to the FIM CEV Repsol! It is a nice surprise to see you here. What made you decide to compete this year?
I started doing some track days in the UK and I met Mark, the team owner. He has given me the opportunity to ride over here and I guess he decided on the FIM CEV Repsol because he has run some bikes here previously and the weather is good!
You have mentioned that you actually have very little racing experience…
I did my first race last year, at Donington, and have done a couple more this year to get my licence. Now I am here doing the FIM CEV Repsol with Moto2 guys.
Do you have a goal with your racing?
I am 26 this year, so I don’t have goals and I don’t plan to progress to a bigger level than this. I just take it as it comes and I’m just enjoying riding, really. That’s all it is to me: having fun and getting on a bike.
What has made you start this, at your current age?
When I was younger, I wasn’t so involved with bikes and my dad didn’t push me into anything with it. I went to boarding school when I was younger, so I didn’t really grow up through bikes. Later on in life, when I was about 20, I went over to the UK. A lot of my friends were into racing and I started to gain a lot from watching the sport. Then last year I started riding and I really enjoy it.
How difficult is it to ride when you are a Sheene?!
[Smiles] I wouldn’t say it is difficult! You always have eyes on you, watching and that, but I don’t feel any pressure because I’m doing it for my own reasons and the main reason is to have fun. Anyone can look in from the outside and I think that I am doing it because I think I’m going to be the next Barry Sheene, but I’m not. I am realistic and I know where I might be able to end up, but at the moment I am just riding for fun to see how it goes.
Freddie Sheene, fils du double Champion du Monde Barry Sheene, a récemment fait une apparition dans le FIM CEV Repsol mais ne prévoit pas de succéder à son père et affirme ne courir que pour le plaisir.
Fils du double Champion du Monde Barry Sheene, l’un des héros des années 1970, Freddie a commencé la compétition sur le tard mais n’a pas l’intention de suivre les traces de son père. Sheene junior a récemment couru à Jerez pour la première manche du FIM CEV Repsol 2014 et a eu le temps de nous parler de sa participer sur Yamaha à l’épreuve Moto2.
Freddie, bienvenue dans le CEV ! C’est une bonne surprise de te voir ici. Qu’est-ce qui t’a poussé à venir courir ici cette année ?
« Je faisais quelques journées de roulage en Grande-Bretagne, où j’ai rencontré Mark, le propriétaire du team. Il m’a donné l’opportunité de venir courir ici et il a décidé de m’engager dans le CEV parce qu’il avait déjà eu des motos ici avant et que la météo est bonne ! »
Tu as mentionné que tu n’avais pas vraiment d’expérience en compétition…
« J’ai fait ma première course l’an dernier, à Donington, et j’en ai fait deux autres cette année pour avoir ma licence. Maintenant je suis dans le CEV en Moto2. »
T’es-tu fixé des objectifs ?
« J’ai 26 ans et je n’ai pas d’objectif, je ne prévois pas de progresser à un niveau plus élevé. Je prends ça comme ça vient et je me fais simplement plaisir. Pour moi il s’agit de m’amuser sur une moto. »
Pourquoi commencer maintenant, à cet âge ?
« Quand j’étais plus jeune, je n’étais pas trop porté sur les motos et mon père ne me poussait pas vraiment à faire quoi que ce soit. J’ai été scolarisé en pensionnat quand j’étais jeune et je ne voyais donc pas vraiment de motos. Plus tard, vers vingt ans, je suis parti en Grande-Bretagne. Beaucoup de mes amis couraient et j’ai commencé à m’intéresser à ce sport. Puis j’ai commencé à rouler l’an dernier et j’aime vraiment ça. »
Est-t-il difficile de porter ton nom de famille ?
« Je ne dirais pas que c’est difficile ! Il y a toujours des gens qui vous surveillent mais je n’ai pas de pression parce que je cours pour mes propres raisons et pour moi c’est avant tout pour le fun. Il y a sûrement des gens qui s’imaginent que je souhaite devenir le prochain Barry Sheene mais ce n’est pas le cas. Je suis réaliste et je sais jusqu’où je pourrai aller. Pour l’instant ce n’est que pour le fun et on verra où ça me conduira. »