Toyota en mesure d'accrocher la victoire après son succès à Fuji ?
© DPPI / Clément Marin
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Si Nicolas Lapierre et Alexander Wurz n'avaient pas roulé depuis plusieurs années à Shanghai, ils ont pu dominer les Audi R18 e-tron quattro avec la Toyota en devançant les LMP1 de plus d'une seconde.
Nicolas Lapierre a frappé fort dans la deuxième séance d'essais libres à Shanghai en signant un chrono de 1'50''573 au volant de la TS030, reléguant la R18 e-tron quattro de Tom Kristensen et Allan McNish à plus d'une seconde. Si les pilotes Toyota ont passé la première séance à peaufiner les réglages de la n°7, le Français effectuant le long relais, c'est dans la deuxième séance que le constructeur nippon s'est illustré avec cette fois-ci Alexander Wurz travaillant pour la course tandis que le pilote tricolore a pris le relais dans les dernières minutes.
« La première séance était assez difficile », confie Alexander Wurz, qui n'étais plus revenu à Shanghai depuis 2007. « Nous avons dû un peu ajuster la voiture mais elle fonctionnait déjà bien sur les longs relais. J'ai pu trouver un très bon rythme et j'ai été également chanceux avec le trafic. Néanmoins, il faudra faire attention car les limites de la piste son très poussiéreuses et ce sera intéressant de voir cela en course. La piste a évolué par rapport à nos premiers tours de ce matin comme nous l'avions prévu. Je suis assez satisfait mais il reste des secteurs à améliorer sur la voiture . »
Son coéquipier Nicolas Lapierre partage ce sentiment en confirmant la difficulté dans les premiers tours à équilibre la TS030. « Shanghai est un circuit agréable à parcourir. La surface était vraiment sale au début de la première séance, je pense que ça fait un moment qu'elle n'a pas été utilisée, mais ça allait mieux tour après tour. L'équilibre n'était pas fantastique au début car le tracé est plutôt bosselé et nous ne nous attendions pas à être autant en difficulté. Alex a été le plus longtemps au volant l'après-midi, vérifiant certains réglages et travaillant sur l'évolution des pneus sur un tracé assez abrasif. Nous avons bien progressé mais il reste des points à améliorer. »
« La première séance était assez difficile », confie Alexander Wurz, qui n'étais plus revenu à Shanghai depuis 2007. « Nous avons dû un peu ajuster la voiture mais elle fonctionnait déjà bien sur les longs relais. J'ai pu trouver un très bon rythme et j'ai été également chanceux avec le trafic. Néanmoins, il faudra faire attention car les limites de la piste son très poussiéreuses et ce sera intéressant de voir cela en course. La piste a évolué par rapport à nos premiers tours de ce matin comme nous l'avions prévu. Je suis assez satisfait mais il reste des secteurs à améliorer sur la voiture . »
Son coéquipier Nicolas Lapierre partage ce sentiment en confirmant la difficulté dans les premiers tours à équilibre la TS030. « Shanghai est un circuit agréable à parcourir. La surface était vraiment sale au début de la première séance, je pense que ça fait un moment qu'elle n'a pas été utilisée, mais ça allait mieux tour après tour. L'équilibre n'était pas fantastique au début car le tracé est plutôt bosselé et nous ne nous attendions pas à être autant en difficulté. Alex a été le plus longtemps au volant l'après-midi, vérifiant certains réglages et travaillant sur l'évolution des pneus sur un tracé assez abrasif. Nous avons bien progressé mais il reste des points à améliorer. »
Via AutoHebdo Jacques-Armand Dupuis