mardi 4 juin 2013
HONDA CB900F BY CRD
The Honda CB900F was never the prettiest of bikes. But with a solid 95 bhp on tap, it offered a big performance jump over the CB750. It was mostly aimed at the European market, where it was known as the Bol D’Or—after the famous endurance race.
The Spanish shop Cafe Racer Dreams has now revealed the potential of the CB900F with this exquisite custom. It’s been given a hefty upgrade in dynamics, too: as well as the Ducati SS fairing, it’s now sporting the front end from a Monster S2R and assorted Ducati brake components.
It’s the personal ride of Pedro ‘Pery’ García, the founder of CRD, and technically the first bike out of the Madrid stable. Being the ‘shop bike,’ it’s been endlessly modified over the past three years—but perfection has now been achieved.
The rebuilt engine is hooked up to a sinuous 2-1-2-4 exhaust system made by GR, with K&N filtration up front and rejetted Keihin carbs to match. The Tarozzi clip-ons seen on the first incarnation have been replaced by modified Renthal Ultra Low bars, sitting behind a simple Motogadget instrument. The tank is original, but subtly modified to match the new seat unit, which fits snugly onto a modified rear subframe. The tires are Bridgestone BT45 front and back, fitted to 18″ wheels.
The look is clean and simple, with striking red and silver paint and a classic racer vibe. A concealed battery, now hidden in a box under the swingarm, adds to the minimalist aesthetic.
CRD’s order book is now full, with over ten commissions in the works and recent orders from Paris and Germany. They’re not accepting any more work until at least October, but the good news is that this CB900F is for sale. Contact CRD via their website or Facebook page.
Images by Alberto Lessmann.
from BIKEEXIF
24H DU NÜRBURGRING - DANS LE RÉTRO !
A l'occasion de la 41e édition, un livre retraçant l'histoire de l'épreuve a été édité par McKlein Publishing. Ecrit par Wilfried Müller et Jörg Ufer, malheureusement uniquement en allemand, "Die Geschichte der ersten 40 Rennen" (L'histoire des 40 premières courses) relate chaque édition sur 4 pages. S'intercalent des sujets sur des pilotes (Stuck, Röhrl, Duez, Alzen, Strycek...), pour un total de 336 pages, illustrées par plus de 600 photos. La fin du livre propose l'intégralité des classements de ces 40 éditions. Prix : 49,90 € sur gruppec.de et au Dottinger Hohe, le fameux magasin proche du circuit proposant un très large choix de miniatures et de livres, ou un peu moins cher sur un site d'e-commerce bien connu, dans sa version française.
Depuis 2001, chaque épreuve fait l'objet d'un annuel et depuis 2009 il est bilingue allemand-anglais. Les éditions 2006 à 2008 et 2010 sont épuisées. La sortie de l'annuel 2013 est prévue en octobre, au prix de 35 €. L'édition 2012 est au même prix sur gruppec.de, le site de Gruppe C Motorsport Verlag, l'éditeur de ces annuels, celle de 2011 est désormais à 25 € et les éditions précédentes non épuisées ne sont qu'à 20 €.
C'était la troisième fois que la course était interrompue par les conditions météorologiques défavorables. Le brouillard s'invita aussi en 1992, puis en 2007, avec à cette occasion un arrêt de 6 heures. Cette fois, l'interruption dura plus de 9 heures. Avec 88 tours, soit 2233 km, la distance parcourue par le vainqueur est logiquement la plus petite depuis la création de l'épreuve. Le record fut établi en 2011, avec 156 tours, soit 3959 km.
41 éditions ? Si nous comptons avec le format initial d'une course de 24 heures, éventuellement interrompu par les conditions météorologiques, il n'y eut réellement que 40 éditions seulement. Celle de 1973 fut d'origine disputée en deux manches de 8 heures, avec interruption à minuit, en raison du choc pétrolier.
Une victoire de Mercedes sur 24 heures n'est pas anodine, tant cette marque reste liée au Mans à l'accident de 1955 puis à un degré heureusement moindre aux échecs retentissants des 24 heures 1988, 1991, 1998 et 1999. S'il s'agit de la première de Mercedes dans cette épreuve, pour la SLS AMG GT3, qui débuta en compétition sur la Nordschleife le 25 septembre 2010 (photo ci-contre) avant de rencontrer le succès dès la manche suivante, c'est la troisième victoire sur 24 heures. Elle suit celles récoltées à Dubai en 2012 et en début d'année, également par l'équipe Black Falcon. La marque allemande a aussi à son palmarès deux autres classiques : Le Mans bien sûr, avec les victoires d'une 300 SL en 1952, puis d'une Sauber C9 en 1989, mais aussi Spa-Francorchamps, avec celles d'une SSK en 1931, puis d'une 300 SE en 1964.
Au palmarès des 24 heures du Nürburgring, BMW reste très largement devant, avec 19 succès, soit 46 % des épreuves, devant Porsche (11 victoires), Ford (5 victoires), Chrysler (3 victoires), et enfin Opel, Audi et Mercedes, chacun une fois victorieux.
Un succès dans une course de 24 heures tient en tout cas à peu de choses. En témoigne le freinage raté de la Mercedes victorieuse à 9h01, peu après le second départ donné à 8h19, dans le premier virage. Elle alla embrasser délicatement le mur de pneus, sans dommage apparent. Une intervention rapide du véhicule adapté évita toute conséquence sérieuse à cette mésaventure.
Willst du mich heiraten ? C'est le message qui survolait le Nürburgring dimanche à l'heure du départ. Même sans avoir étudié l'allemand, le cœur qui accompagnait le message ne laissait guère de doute quant à sa signification ! Si quelqu'un connaît la réponse de l'intéressé(e)...
Depuis 2010, une BMW nous présente une décoration dénudée et différente de chaque coté du véhicule. Voici la version 2013, dans les premiers tours. Bien sûr trop de rails ou d'autres concurrents veulent l'approcher de trop près et la carrosserie fut de nouveau rapidement transformée, rafistolée à coups de ruban adhésif, notamment à l'arrière. Cette année la BMW 130 i GTR termine 117e.
David Legangneux(Endurance-info)
Custom Yamaha XV Virago 535 Specifications and Pictures
Winter in Minsk was long … But sometimes it’s very handy, especially if you want to finish everything before the warm sun and dry asphalt). (Lots of pics)
And this winter, just enough to fully expose the dark side of good and light, at first glance, Yamaha Virago.
At the end of last season, it became clear that the cold winter evenings will be boring and you will have something to occupy yourself.) Besides, I never liked the stock bikes, the previous 2 I thoroughly reworked, but this time I wanted something more radical. The choice fell on the Virago that is one of the most popular among novice motorcycle customizer. it is simple, reliable and inexpensive. Many people like Bobber motorcycle in style, but for some reason there was a stereotype that they are terribly impractical and not comfortable. This is not so!)
Experiment! All smooth roads!)
Experiment! All smooth roads!)
I bought it, drove, and began to work. Here are some main features of Yamaha XV Virago 535:
- Remove all unnecessary)
- Replacement footrests
- To simplify wiring
- Replacement of shock absorbers
- Installation kliponoff
- Lamp from Brat style
- Manufacture of fasteners for lights
- Klippon
- Speedometer
- Stop diode with integrated turn signals
- The rear panel
- Plastic sidewalls
- Front turn signals
- Handles
- Mirror
- Modification and Altering seat
- Rear tire
- Front wheel (thanks to club 45, Omsk)
- Painting and finishing tank
- Corrugated
- General painting, logo
- Replacement footrests
- To simplify wiring
- Replacement of shock absorbers
- Installation kliponoff
- Lamp from Brat style
- Manufacture of fasteners for lights
- Klippon
- Speedometer
- Stop diode with integrated turn signals
- The rear panel
- Plastic sidewalls
- Front turn signals
- Handles
- Mirror
- Modification and Altering seat
- Rear tire
- Front wheel (thanks to club 45, Omsk)
- Painting and finishing tank
- Corrugated
- General painting, logo
As a result, and we’ve got conceived in the early motorcycle with its own style and character)
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