mercredi 30 juillet 2014
mardi 29 juillet 2014
BLANCPAIN ENDURANCE SERIES : TDS Racing montre tout son potentiel dans les Ardennes belges
Après une bonne Super Pole positionnant le team comme meilleur représentant BMW, la course du TDS Racing a confirmé les espoirs entrevus. La n°12 s’est toujours battu aux avants postes avant d’abandonner et la n°10 prend la 6èmeplace en Pro Am !
Tout au long des essais de ces 24 Heures de Spa, les BMW Z4 n°10 et 12 ne cessent de progresser dans une hiérarchie pourtant composée de pas moins de 61 voitures dont 16 équipages 100% professionnels ! En séance qualificative, la n°12 s’empare de la 17ème place (2ème en Pro Am, catégorie dans laquelle les équipages sont composés d’un pilote professionnel et d’un gentleman) et peut ainsi participer à la Super Pole du vendredi (seules les 20 plus rapides autos sont admises). Concernant la n°10, les quatre pilotes se relaient à son volant tout au long des essais et, lors de la séance qualificative, ils ne peuvent faire mieux que le 46ème temps qui ne permet pas d’accéder à la Super Pole !
Le vendredi, Nick Catsburg est chargé de qualifier la n°12. Grâce à deux très bons tours lancés, le pilote hollandais signe le 9ème temps absolu, le 2ème en Pro Am. Cerise sur le gâteau : la voiture du TDS Racing est la première BMW de tout le plateau et devant les équipes soutenues officiellement !
Le samedi à 16h30, Olivier Pla prend le départ 46ème et au bout d’une heure, grâce des bons temps au tour, il gagne vite 16 places, ce qui le hisse à la 30èmeplace. Les relais s’enchainent ensuite et la voiture rentre assez vite dans le top 20 (dés la 3ème heure). Tout au long de la nuit, la voiture flirte avec la 20ème place et, à mi course, grâce aux efforts conjoints des quatre pilotes, la voiture prend la 19ème place, la 9ème en Pro Am. La n°10 continue sa progression si bien qu’à 6 heures du terme de la course, la n°10 est 15ème, 5ème en Pro Am. Mais suite à des débris qui ont endommagé le devant de la voiture en début de course, les pilotes ne peuvent tirer le maximum de son potentiel et franchissent la ligne d’arrivée à la 16ème place au général, la 6ème en Pro Am….soit 30 places de mieux qu’au départ !!!
Eric Clément : « Ce fut difficile surtout qu’en début de course, nous avons perdu un élément avant important de la voiture. Nous terminons la course après une belle remontée et marquons des points.
Nous nous sommes régalés, j’espère renouveler l’expérience avec ce team car je m’y sens bien. C’est une équipe professionnelle, super sympa, une bande de copains en somme ! »
Benjamin Lariche : « Ce sont mes premières 24 heures et je suis content de les terminer. La course fut éprouvante car, au début, Nicolas a pris un débris sur la voiture. Ce fut difficile tout au long de la course car la voiture était endommagée et sous-virait. Un phare était cassé et, de nuit, ce fut compliqué. Nous terminons 16èmes après être partis 46èmes. C’est très positif et vu l’état de dans laquelle était la voiture, c’était compliqué de faire mieux. Ce fut une super expérience humaine, tout le monde a travaillé dur. »
Nicolas Armindo : « Je suis super content du résultat. On partait 46ème sur la grille et on finit 6ème en Pro Am. On pouvait espérer plus en termes de performance mais nous avons eu des soucis avec le pédalier, les phares mais comme toutes les écuries. La voiture a été bien préparée et a tenu jusqu’au bout. Tout le team a très bien travaillé, je suis content d’être dans cette super équipe. C’est une belle bande de copains, on s’y sent bien et je suis vraiment satisfait de leur travail. Merci à eux ! »
Olivier Pla: « Ce fut une course difficile. Suite à la sortie de piste d’une Ferrari au Raidillon, Nicolas a pris des débris qui ont endommagé le splitter avant et les ailettes. A partir de ce moment là, nous n’avions plus tout le potentiel de la voiture. C’est dommage car, au départ, elle était vraiment bien. Il y avait moyen de faire mieux que notre 6ème place.
Nous avons fait de notre mieux et nous n’avons rien à nous reprocher. Tout le monde a bien travaillé. Le team a fait un super travail, les arrêts au stand se sont très bien déroulés. Mais ce sont les aléas de la course, c’est tout !
Cela s’est très bien passé avec le team. J’ai été très bien accueillir et ce fut un plaisir de rouler avec eux. Ils sont professionnels et sérieux. C’est vraiment agréable de pouvoir rouler avec des équipes comme celle là. »
Course de la n°12 (Nick Catsburg, Henry Hassid, Jens Klingmann, Pierre Thiriet)
Nick Catsburg est chargé du départ. Il conserve sa place mais est poussé quelques tours plus tard. Au bout d’une heure de relais, il passe le volant à Jens Klingmann à la 16ème place. Après tous les ravitaillements, le pilote allemand est 12ème et dans le top 5 de la catégorie Pro Am. Les relais s’enchainent et les trois pilotes continuent à se maintenir dans les cinq premiers de la catégorie. En effet, Jens Klingmann, après son premier relais, ne s’est pas senti en forme et, par mesure de précaution, le team a préféré le préserver. Réduit à trois, les pilotes roulent toute la nuit et au petit matin, alors que la n°12 est en tête du Pro Am, Henry Hassid connait un souci. Arrivé dans une partie très rapide du circuit, l’accélérateur se bloque et il tire tout droit. Au vu des dégâts, la voiture doit abandonner non sans avoir pris 13 points au championnat.
Nick Catsburg: “Le début de la course ne fut pas facile. Quelques tours après le départ, je fus poussé par un autre concurrent. Ensuite, j’ai essayé de suivre les autres pilotes. J’étais assez lent, je pensais que nous avions commis une erreur dans le set-up ou au niveau de la pression des pneus. Jens a connu le même problème que moi. Mais quand je suis remonté dans la voiture, elle était bien mieux certainement parce qu’il faisait moins chaud à ce moment là. A la fin, nous avions une très bonne voiture et notre rythme était bon. Je pense que nous pouvions suivre le rythme des leaders en Pro Am. Malheureusement, Henry a eu un accident.
Ce que le team a montré cette semaine est assez impressionnant parce que nous nous sommes battus avec des teams BMW qui ont le soutien de l’usine et des pilotes « usine ». Nous sommes un team plus petit avec un budget moins important comparé à eux. Je pense que l’équipe peut être satisfaite avec le temps réalisé en Super Pole. Nous avons connu quelques soucis lors des premiers essais et Jacques Morello a fait des changements sur la voiture et nous nous retrouvés aux avants postes. Bien sûr, nous sommes déçus mais nous avons réalisé de belles choses. »
Jens Klingmann: « Mon premier relais a été assez difficile. Il faisait vraiment chaud dans la voiture et l’équilibre n’était pas celui que nous escomptions. Heureusement, ce fut bien mieux lorsque les températures sont descendues. En tout cas, j’ai pris beaucoup de plaisir. C’est la première fois que je courrais avec le TDS Racing. Le team a fait vraiment du bon travail. J’ai dit à BMW que, comparé au Marc VDS Racing, le team est plus petit mais ses membres font le même boulot et ils ont de brillantes idées. Je fus vraiment surpris. En qualification, nous avons montré notre potentiel, nous avons été les plus rapides de toutes les BMW. C’est vraiment un signe positif et même si nous nous n’avons pas fini la course, nous avons montré que nous étions performants…. »
Pierre Thiriet : « Cela s’est très bien passée jusqu’à la sortie de piste qui nous a couté la course. Nous étions très compétitifs et la voiture était vraiment bien. Nous visions le podium en Pro Am et, en plus, nous étions bien placés avec la 6èmeplace au général. Tout allait bien mais malheureusement, nous avons dû abandonner.
Le pilotage d’une GT3 n’est pas évident pour moi, c’est moins naturel qu’une LM P2. Mais j’ai eu de très bons coachs et ils m’ont aidé à apprendre la voiture. Je me suis senti de mieux en mieux dans la BMW, elle était facile à piloter et j’ai fait de bons temps lors de mes relais. Je suis satisfait de cette nouvelle expérience ».
En Belgique, le team a montré son réel potentiel tout au long de la semaine et a prouvé que les courses longues devenaient une spécialité de l’équipe. L’une des voitures fut la meilleure représentante BMW aux essais et, pendant la course, la n°12 a occupé la tête de sa catégorie. Grâce aux efforts des pilotes, le team a marqué beaucoup de points en vue du championnat et repart de Belgique en 3ème position au championnat. Maintenant, toute l’équipe, qui a encore une fois de plus fait un travail exceptionnel, va profiter de la pause estivale. Puis, il sera temps de se rendre en Allemagne pour la finale des Blancpain Endurance Series, les 1000 km du Nurburgring (21 septembre).
par TDS Racing via Endurance-info.com
Heated historics: The best of the 2014 Silverstone Classic
In sweltering summer sunshine, this year’s Silverstone Classic lived up to its billing as the world’s biggest classic motor racing festival…
It’s hard to know where to start with the Silverstone Classic, such was the sheer variety of attractions, both on the track and off. And there really was something for everyone. With more than 1,100 cars in action, ranging from pre-War Grand Prix machines, right through to the hilariously over-developed Super Touring Cars of the late 90s (and almost everything in between), each generation had something it could relate to, out on the circuit.
Birthday celebrations
Both Maserati’s centenary and the Ford Mustang’s 50th birthday were marked by dedicated parades, the former led by Alfieri Maserati (son of Ernesto, one of the Trident Marque’s founding brothers), the latter aptly supplemented by a brace of P51 Mustangs overhead. Perhaps the most impressive sight, though, was the World Record cavalcade of 84 historic Grand Prix cars, assembled to celebrate the 50 Grands Prix held at Silverstone since 1948. The parade was spearheaded by Sir Stirling in a Maserati 250F he once raced, alongside David Brabham fittingly aboard a BT24 driven in period by his father, the late, three-time World Champion 'Black Jack'.
Fierce competition
The racing promised so much and it didn’t disappoint. Sunday’s ear-splitting FIA Historic Formula 1 race was a breathless affair, eventually won by Martin Stretton in a Tyrell 012 following a spectacular five-way battle. The RAC Tourist Trophy was equally enthralling; Jackie Oliver and Gary Pearson in their gorgeous yellow Ferrari 250 GT SWB narrowly beat James Cottingham (from Classic Driver dealer DK Engineering) in his stunning Jaguar E-type after an intense scrap.
There was plenty to see off the track, with well over 100 car clubs displayed in the infield, ranging from the obvious (Ferrari) to the more obscure (Rover P6). Bonnie Tyler played to the crowds on Saturday evening, and the two jet fighters we recently featured were both sold by Silverstone Auctions, the ‘near airworthy’ Harrier fetching an impressive £105,800. We sincerely hope it’ll make a return to the skies.
A rare opportunity
Where the Classic really differs from other historic events is in how it attracts cars seldom seen elsewhere, such as the plethora of 90s GT legends, which included no fewer than seven McLaren F1 GTRs (both in short and long tail guises), Ferrari F40 LMs, Jaguar XJ220s and the 1998 Le Mans-winning Porsche GT1, returning to Silverstone for the first time in 16 years. Although the mouthwatering assortment was run as a demonstration only, their pace would suggest otherwise. The other star attraction was, of course, the Group C race, which ran well into dusk on the Saturday evening. Even on the wide expanses of the Grand Prix circuit, the ground-effect monsters were a real spectacle.
Photos: © Tim Brown for Classic Driver
You can find numerous historic racing cars in the Classic Driver Market.
STEVE’S R80RT
Sometimes life has a habit of sitting you down on your arse and forcing you to reassess, as happened to Bike Shed regular contributor, Steve, who has had a few dramas, that ultimately led to him build bikes like this, his latest, R80. Steve was riding his V-Max and suffered a huge heart attack. He managed to keep upright and ended up in hospital for two weeks while the ticker mechanics worked out if a top end rebuild was required. Steve didn’t fancy having his crank cases split so lay there waiting, wondering what to do with the Beemer sat in the garage. Then it struck, “Soul’d Out” – “fuelled by passion”. Steve followed his recalcitrant heart and got to work designing a custom build, but before work could begin he needed slightly more practical surroundings, so discharged himself from hospital, deciding to see out the summer before going back in for an overhaul.
If bikes could talk then this one would have a tale or two. Originally it was owned by a vicar who rode it to Russia and back, before a school teacher from Swindon bought it.
Once out of hospital Steve relaxed for exactly no hours before stripping the old air head down, curing oil weeps and leaks with a new gasket and seal set. The comprehensive service records showed that the clutch was only 3000 miles old so that was left alone, the output shaft was also good so reunited with the engine, using the correct Castrol Optimax grease of course. Once painted and topped up with fresh oil the engine was ready to be installed, but not into the original frame, that needed some jazzing up.
An extra frame rail was grafted in to accommodate the handmade, fully adjustable, twinshock saddle. Tank mounts had to be removed and relocated, all other unnecessary appendages were ground off and smoothed. A local outfit took care of the loud, pearl orange paintwork on the tank, frame and hugger whilst Steve entrusted the black parts to his own hand. Apart from the yokes, wheels, battery box, front engine cover and top cover, these are coated in fresh black satin powder.
With a considerable amount of the original bike missing this R80 is evenly balanced at exactly 97kgs at both ends. Braided hoses add a bit more feel to the brakes and Continental TKC 80s give just enough grip for enthusiastic riding.
A daydream in a hospital bed to reality in just a few weeks, that’s perseverance personified. Steve, must be pretty proud of himself.
Whilst the parts were at the paint shop everything that could be cleaned, greased, oils and refreshed was and readied for the fun part, assembly.
Steve spared no expense when ordering parts and carefully put everything back together using new fasteners and plenty of diligence. The new owner can rest assured that this ride isn’t going to fall apart on the way home. Cat out of the bag!
Yes, Steve needs the loot so is sadly having to part with his pride and joy. If you like what you see get in touch, you might need to be quick though in case he changes his mind. Click here for Steve’s contact details. You can see Steve’s previous R100 Boxer-build Here and his CB750 Here.
via The Bike Shed
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