GT TOUR ; Paul Ricard : Vannelet/Guibbert vainqueurs, Narac/Armindo (IMSA Performance Matmut) champions !

Cinquièmes de l’ultime course de l’édition 2014, sur le Circuit Paul Ricard, Raymond Narac et Nicolas Armindo ont décroché le titre de Champion de France FFSA GT au volant de la Porsche du Team IMSA Performance-Matmut. Le dup devance Henry Hassid et Mike Parisy, dauphins malgré une grosse remontée depuis la dernière place sur la grille.

A bord de la Ferrari de l’équipe Sport Garage, Gilles Vannelet et Enzo Guibbert signent leur premier succès de la saison. Pour cette finale, ils ont devancé Olivier Panis et Eric Debard, qui offre avec ce podium le Trophée Teams à Sofrev-ASP. Saintéloc Racing se classe troisième de la course et du championnat avec David Hallyday et Grégory Guilvert.

Ange Barde et Olivier Grotz remportent la dernière manche de la Coupe de France FFSA GT, mais ce sont Thomas Nicolle et Pierre Hirschi qui s’imposent au classement final avec la BMW du Classic & Modern Racing !

Le film de la course

Parti de la pole à bord de l’Audi n°50 du Sébastien Loeb Racing, Anthony Beltoise réalise un excellent envol. Il mène les débats devant la Ferrari/Sofrev-ASP d’Olivier Panis et la Porsche/IMSA Performance-Matmut de Nicolas Armindo. La Ferrari/Sofrev-ASP de Morgan Moullin-Traffort prend l’avantage sur la BMW/TDS Racing d’Olivier Pla.

Ce dernier est toutefois victime d’une poussette qui le fait partir en tête-à-queue dans le troisième tour. Un troisième tour fatal au leader, Anthony Beltoise, dont la voiture est victime d’une crevaison ! Olivier Panis hérite des commandes et conserve l’avantage sur ses poursuivants, qui sont en pleine bagarre. Morgan Moullin-Traffort trouve l’ouverture sur Nicolas Armindo pour le gain de la 2e place. Soheil Ayari, avec la Ferrari/Team Duqueine, est quant à lui à la 4e position devant les deux Ferrari/Sport Garage et la Mercedes du Lechner Racing. En fond de grille au départ, Mike Parisy est déjà revenu 11e à la fin du premier quart d’heure.

L’intensité ne faiblit pas et la lutte en tête le prouve. Morgan Moullin-Traffort pique Olivier Panis au freinage pour prendre les commandes de l’épreuve après 20 minutes. Dans les instants qui suivent, Grégory Guilvert passe Ludovic Badey pour remonter huitième, alors que Mike Parisy est désormais dixième. Il est le premier à rentrer dans les stands après 33 minutes de course. Le reste de la meute l’imite dans la boucle suivante.

Compte tenu des handicap-temps, la Ferrari/Team Duqueine de Jean-Claude Police ressort en tête devant la Ferrari/Sport Garage de Gilles Vannelet et la Ferrari/Sofrev-ASP d’Eric Debard. Suivent la Mercedes du Lechner Racing et l’Audi/Sainteloc de David Hallyday. Vannelet ne tard pas à s’emparer du leadership, alors qu’il reste 22 minutes de course. Police doit d’ailleurs repasser par la pitlane pour observer une pénalité…avant de subir une crevaison ! Vannelet attaque pour conforter sa première place devant Debard. Avec la Porsche/IMSA Performance-Matmut, Raymond Narac se montre incisif pour pointer sixième, puis cinquième à un quart d’heure du terme. Son rival dans la course au titre, Henry Hassid grapille aussi quelques rangs, pour passer de la 13e à la 10e place.

Les mouvements se multiplient dans le peloton. Ainsi, l’Audi/Sainteloc de David Hallyday se bat avec la Mercedes/Lechner Racing de Mario Plachutta, Hallyday ayant gain de cause pour la 3e position. Narac poursuit lui ses dépassements pour revenir cinquième et devenir virtuellement champion. Hassid ne l’entend pas ainsi et cravache. Mais à huit minutes du drapeau à damiers, il écope d’une pénalité pour une collision avec une Ferrari du Team Sofrev-ASP. Un incident capital dans la course au titre.

Après avoir maîtrisé son sujet, Gilles Vannelet signe sa première victoire de l’année avec Enzo Guibbert et la Ferrari/Sport Garage. Le duo devance les solides Olivier Panis et Eric Debard, dont le podium scelle le titre de Sofrev-ASP au Trophée Teams. David Hallyday et Grégory Guilvert, après un âpre duel avec la Mercedes/Lechner Racing, offre un nouveau podium à Saintéloc Racing, alors que cette même Mercedes a subit une crevaison dans le dernier tour. Cela a profité à la Ferrari/Sport Garage d’Arno Sanatamato et Eric Cayrolle, 4e devant les nouveaux champions, les pilotes IMSA Performance-Matmut Nicolas Armindo et Raymond Narac. Le Team Martinet by Almeras obtient une belle sixième position avec Christian Ried et Matthieu Vaxivière. Après une grosse attaque et suite à sa pénalité, Henry Hassid termine finalement dixième avec Mike Parisy, les deux hommes étant finalement vice-champions de France.

Coupe de France FFSA GT

En Coupe de France FFSA GT, le Team Duqueine a dominé les débats avec la Ferrari d’Ange Barde et Olivier Grotz, qui s’imposent . Deuxièmes du jour avec la BMW du Classic & Modern Racing, Thomas Nicolle et Pierre Hirschi remportant le classement final de la Coupe de France FFSA GT, devant Gilles Duqueine et Philippe Colançon. Troisièmes ce dimanche, les deux hommes auront été les plus victorieux cette saison.

Les réactions :

Raymond Narac (Porsche/IMSA Performance-Matmut), Championt de France GT avec Nicolas Armindo : « Nicolas a fait une course parfaite. Le niveau du championnat est énorme. Honnêtement, je ne pensais pas qu’il était si relevé. Tous les teams ont énormément travaillé et certains m’ont bluffé. Nous parvenons à gagner et je suis très heureux de décrocher un nouveau titre de Champion de France GT après celui décroché en 2007 avec Soheil Ayari. C’est un très beau championnat et c’est une belle récompense pour les 10 ans de notre partenariat sans faille avec la Matmut. »

Nicolas Armindo (Porsche/IMSA Performance-Matmut), Championt de France GT avec Raymond Narac : « C’était ma première fois en Championnat de France GT et mon retour en France. Nous avons du beaucoup travailler cette saison, et nous avons beaucoup donné. Ça a été une sacrée année. J’ai simplement essayé de faire abstraction de la course au titre au départ et j’ai essayé de bien roulé. »

Jérôme Policand (Team manager, Team Sofrev-ASP), vainqueur du Trophée Teams : « Gagner le Trophée Teams est une belle consolation même si le titre Pilotes a une autre saveur. Nous avions de très bons équipages, mais nous avons mal commencé la saison. Nous avons redressé la barre à partir de Spa. Giauque/Moullin-Traffort était notre duo le plus compétitif, mais le tandem Panis/Debard a montré aujourd’hui qu’il fallait compter sur lui, tout comme la paire Badey/Beabelique qui a décroché des victoires. Nous n’avons pas de regret. Nicolas et Raymond sont de beaux champions. Sébastien Loeb Racing a aussi fait du super boulot, tout comme Saintéloc. C’était un super spectacle et les bagarres ont été magnifiques. C’est ce que les gens veulent. »

Thomas Nicolle (BMW/Classic & Modern Racing), Vainqueur Coupe de France GT avec Pierre Hirschi : « Nous sommes libérés ! Je suis « à la maison » et je n’avais pas le droit à l’erreur devant ma famille, mes amis et les partenaires. Après la course d’hier, avec notre problème de pédale d’accélérateur, je pensais que c’était fini pour nous. Nous avons réussi à couvrir les 75% de la distance de justesse et j’ai alors promis à Pierre (Hirschi) que nous gagnerions la coupe aujourd’hui. C’est le cas et je suis très content. »

Le classement de la course est ici

via  par GT Tour

‘83 Yamaha SR500 Flat Tracker

Here’s something that you probably didn’t know. The movie ‘On Any Sunday’ not only won an Academy award, invented the world’s first helmet cam and single-handedly changed the Western world’s attitude to motorcycling – it also introduced large areas of the world to the wonders of both Flat Track racing and BMX bicycles. Which, if it’s not too long a bow to draw, means that it’s probably also responsible for today’s star bike. Meet Poland’s Pan Sławomir and his very mean, very green flat track Yamaha, ‘Storm Buddy.’

“My name is Sławomir and I am 28 years old. I grew up and still live in Warsaw. Although I’m not a professional mechanic, I was have always been interested in anything with two wheels. In my youth it was BMX bikes, but when I started to earn some money and I could afford a little more, I decided to get a motorcycle.”

“After several years of riding a stock bike, me and my best friend Paul decided to build our first custom bikes – my choice was a Yamaha XS400 in a café racer style, however it turned out that it just wasn’t what I was looking for; it was way too uncomfortable for daily rides and to be honest the build was not properly done. It had some major flaws – mechanically and visually. Then I realised that I was probably capable of building something decent myself, something that I would be proud of, too. So I decided to prove my theory and build myself an SR500 tracker.”

Then Sławomir found someone selling an ‘83 SR500 near Warsaw. It was in decent condition and was going for a reasonable price. And so began a process that lasted nearly two years. Yes, the daily grind got in the way, but Sławomir notes that there were also delays while waiting for the various paint, metal and blasting subcontractors or simply because he had more pressing things to do. More pressing than build a bike? Do such things actually exist?

The work all began by cutting, redesigned and making the bike’s rear frame section – a job that has . “After that it was time to fit the fuel tank; it was a gift from a friend who found it in the scrap yard. I don’t know exactly what bike it comes from, but most probably it was a small 200cc, 2-stroke Yamaha.

Then came time for the engine. From the beginning I wanted to paint it to match the overall design, so I had to disassemble it down to the last screw to prepare it for glass blasting, a head shave, a bore and a larger, higher compression piston. After painting the selected parts, it was rebuilt with new genuine bearings, seals and gaskets. In addition to the new engine, a Mikuni TM36 carburetor was fitted.”

“Next on the list was the lights and electrics. I’d decide that the whole flat track style really required a number board, which I handmade from steel with an aftermarket headlight built-in. I’m also a big fan of the ‘clean look’ so I decided to build the tail light into the frame. Then I added a new, smaller battery under the seat, relocated the ignition there as well and rewired all the electrics.”

Of course, A faster bike needs more powerful brakes, so Sławomir repurposed some Brembo 320mm discs with two piston calipers from a Yamaha FZ6 and master cylinder from a Kawasaki ER5 to supply the squeeze when needed. Of course, the bike’s wheels, frame and rear arm also got some attention in the form of a good ol’ sandblasting and some new powder coating in addition to some new bearings, seals and spokes.

“The paint job is from Drozd Design and is intended to reference the Yamaha racing designs from 70’s. As mentioned, the bike was meant to be as comfortable as the street tracker style will allow while keeping it street legal, so it was necessary to add some mirrors, indicators and a handmade front fender.”

“And last but not least, I have to thank my best pal Paul who spent countless hours helping me with this project. I named it a “Storm Buddy” as a nod to him. It’s also a reference to the ‘Ted’ movie and, obviously, so is the teddy bear paint on front plate.”

via PIPEBURN

Shaw Speed & Custom

Award winning Shaw Speed & Custom is a Harley Davidson custom bike builder based in the UK.
They produce stunning innovative machines with design influences from Road Racing and Classic Bikes to Dirt Bikes.
This film features just a few of their machines which include the Bell & Ross Nascafe Racer, XR1200TT, Pigster, AirForce Sporster, XR1200RR and Gentleman 39.
Their moto is ‘Rideable Customs’

A CHEEKY W650 FROM GENTLEMEN’S FACTORY

By Wesley Reyneke | Rather Be Riding

Motorcycling and fashion have been holding hands for quite some time now. Fashion houses are commissioning builds and using motorcycles in their marketing. And conversely, custom shops are turning to merchandise to help grow their brands.

Somewhere in the middle you’ll find Gentlemen’s Factory. Based in an old factory in Lille, France, it’s an apparel and dry goods producer now applying its aesthetic to bikes. And judging by this Kawasaki W650, they’re doing it right.

“Gentlemen’s Factory is more than a clothing brand for those who love motorbikes,” says co-founder Laurent Savone. “It’s a fellowship of men who live and breathe a passion for motorbikes each and every day.”

“We used to do design and photography work for other brands,” he continues. “So our studio quickly turned into a place for all kinds of creations. We customize motorbikes, fixies and skateboards.”

Gentlemen’s Factory has already rolled out four builds—and this folksy Kawasaki W650 is the latest. It was built in collaboration with Comete Motorcycles, who have just set up shop in the same premises.

“We wanted to create a simple and agile custom,” explains Laurent, “as light as a BMX, and which could be used in town or on a speedway track.”

The W650 certainly appears more svelte now, thanks in part to its new fuel tank. It’s a Suzuki VanVan unit, adorned with an eye-catching illustration hand-painted by Laurent’s business partner Bruno Allard. Flowing off it is a slim, full-length leather seat—designed by Laurent and executed by Comete.

Tossing the stock side covers, battery and air boxes has shed more visual weight. The bike now runs on K&N filters and the carbs have been upgraded with a Dynojet jet kit. The electronics—along with small Lithium-ion battery—are housed in a discreet, custom-made battery box under the seat.

The rest of the bike has benefited from simple changes: There’s a pair of Progressive Suspension shocks (taken from a Harley-Davidson Sportster), blacked-out reverse cone mufflers and a set of Dunlop Trailmax tires. The rear fender is a modified Harley item, and the lighting is all from the Wrenchmonkees online store.

It’s an uncomplicated, slightly kooky build—and we dig it. Perfect for hopping curbs all day, or tearing up a dirt track without the fear of binning it. We’re looking forward to more from these gentlemen.

Gentlemen’s Factory website | Facebook

via BIKEexif