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    jeudi 12 mars 2015

    WRC ; Les performances des pilotes

    Après un Rallye du Mexique passionnant, il est temps de se pencher sur les performances des pilotes de WRC. Voici la première partie de ce bilan.


    Sébastien Ogier (Volkswagen Polo R)
    Seuls Sébastien Loeb et Marcus Grönholm ont davantage gagné que Sébastien Ogier en WRC. Le pilote Volkswagen en est désormais à 27 succès et ne semble pas prêt de s’arrêter. Il a obtenu celui-ci non sans avoir le handicap de balayer la route pendant deux jours. Il a été particulièrement bien inspiré concernant son choix de pneus pour la longue spéciale d’El Chocolate (44 km), un domaine dans lequel excellait également Sébastien Loeb, là où le bon choix peut faire gagner de précieuses secondes.

    Mads Østberg (DS 3)C’est un Mads grognon qui a débuté le rallye, en raison d’un tête-à-queue précoce, dès l’ES1, après un problème de sélection de vitesses. Mais il a continué à son rythme, voyant ses adversaires sortir les uns après les autres, tout en remontant petit à petit au classement. En bagarre face à Andreas Mikkelsen, il a alors dû juguler son envie d’attaquer avec la nécessité d’apporter de gros points à Citroën Racing. Le Norvégien s’est parfaitement acquitté de sa mission en terminant au deuxième rang.

    Ott Tänak (Ford Fiesta RS)La popularité d’Ott Tänak et de Raigo Mölder a grimpé en flèche durant le week-end, et les images de leur plongée dans une réserve d’eau ont fait le tour du monde. Plus impressionnant encore, la voiture a pu être récupérée rapidement et, le lendemain, après une grosse performance des mécaniciens M-Sport, elle était prête à rouler. Tänak a même inscrit un point constructeur. Ma sa capacité à gérer son accident et à en parler si calmement montre à quel point le jeune Estonien a mûri.

    Dani Sordo (Hyundai i20)Au moment du départ, il restait quelques inquiétudes quant à la capacité de Dani Sordo à faire face à l’exigence du parcours mexicain, quelques semaines après s’être fracturé les côtes. Mais, à part quelques douleurs dans la difficile spéciale de Guanajuato, le dimanche, l’Espagnol n’a rencontré aucun souci. Il a perdu 45 secondes le vendredi en raison d’un problème de boite de vitesses, et la même chose le samedi à cause d’une crevaison. Mais sa cinquième place finale, la meilleure d’un pilote Hyundai, est une belle récompense pour quelqu’un qui n’a rien à se reprocher sur cette épreuve.

    Hayden Paddon (Hyundai i20)C’était un week-end difficile pour le Néo-Zélandais. Il a cassé une suspension après avoir heurté un mur vendredi et, le samedi, il a dû balayer les routes mexicaines. Il a ensuite perdu de la puissance moteur en raison des températures extrêmes. Mais, après avoir regardé tardivement les vidéos embarquées de ses coéquipiers, cela lui a donné de bonnes idées pour le dimanche.

    Martin Prokop (Ford Fiesta RS)Sixième, Prokop a signé son meilleur résultat depuis le Rallye de Sardaigne l’an dernier. Mais c’est arrivé après quelques hauts et quelques bas. Il a dû pousser sa voiture lors de l’assistance du vendredi matin, a évité un accident après une erreur de notes et a ensuite heurté une vache ! Tout est rentré dans l’ordre ensuite, jusqu’à l’avant dernière spéciale, où le Tchèque est sorti de la route, crevant un pneu après avoir heurté une pierre. Son haut fait restera le deuxième temps de la spéciale urbaine de Leon le vendredi.
    Lorenzo Bertelli (Ford Fiesta RS)Les pronostics n’étaient pas bons quand Bertelli a appris que le conteneur qui retenait sa voiture de reconnaissance, de nombreux outils et quelques pièces de rechange était bloqué. Il n’est arrivé dans la nuit du jeudi. Heureusement, il avait pu bénéficier de la solidarité de ses concurrents. Il a surpris dès le premier soir, avec un deuxième temps dans les rues de Guanajuato. Mais le vendredi, il est sorti de la route. Samedi, il s’est arrêté dès la deuxième spéciale et, dimanche, il a perdu une roue. Trois abandons en trois jours, ce n’est forcément pas satisfaisant, et même plutôt frustrant.
    ilotes de WRC.
    Jari-Matti Latvala (VW Polo R)
    Avant le départ, Jari-Matti Latvala était cité parmi les favoris à la victoire. Au final, c’est une grosse désillusion pour le Finlandais, et un deuxième rallye sans point. Il a d’abord eu des difficultés à bien prendre en main sa Polo R WRC. Mais, après avoir été rassuré par son équipe au service du vendredi midi, il a réussi à retrouver du rythme, jusqu’à occuper la deuxième position. Alors qu’il visait toujours la victoire, une nouvelle sortie de route, le samedi, sur une erreur de note, est venue mettre un terme à sa course. Désormais loin dans la course au titre, il dit vouloir prendre les rallyes les uns après les autres.
     

    Thierry Neuville (Hyundai i20)
    Si le résultat final est décevant pour Thierry Neuville, c’est à nouveau un rallye positif pour le Belge, qui a réussi à immiscer la Hyundai dans le territoire de Volkswagen. Il a été parmi les pilotes les plus rapides du début de course, avec deux meilleurs temps, avant de partir en tonneau. Il a su revenir et terminer au huitième rang. Encore mieux, il a su s’insérer entre deux Volkswagen lors de la Power Stage, et marquer deux points de bonus. Signe encourageant, il a signé cette performance au volant d’une Hyundai i20 WRC modèle 2014, contre des Polo R WRC de dernière spécification.
    Elfyn Evans (Ford Fiesta RS)
    Evans n’a jamais paru à l’aise sur les routes mexicaines mais il a roulé intelligemment et s’est hissé au quatrième rang, égalant son meilleur résultat. Il a lui aussi souffert de l’adhérence fluctuante mais a été un de ceux qui a su éviter les problèmes. Ce qu’il vient de vivre sera à mettre sur le compte de son expérience.

    Kris Meeke (DS 3)
    Le Britannique arrivait au Mexique avec l’envie de ne pas faire d’erreur. En fait, c’était tout le contraire. Pourtant doté d’une bonne position de départ, il n’a pas su en profiter, sortant de la route dans El Chocolate, à quelques mètres de l’endroit qui a coûté cher à Hayden Paddon. Il est revenu ensuite et a su faire de bons chronos, se battant contre lui-même l’essentiel du temps.
     
    Robert Kubica (Fiesta RS)
    Lui aussi aurait pu profiter d’une bonne place sur la route. Il était en bagarre pour la place de leader quand il a heurté un mur et est parti en tonneau. Revenu le samedi, il a surtout passé son temps à faire attention, surtout en raison de ses problèmes de roues. Son meilleur temps dans une spéciale disputée samedi est une maigre consolation. Et pour lui donner du baume au cœur, les fans ont désigné sa Fiesta comme ayant la plus belle livrée.
    Andreas Mikkelsen
    Andreas Mikkelsen (VW Polo R)
    Avec deux sorties l’an passé au Mexique, Andrea Mikkelsen voulait cette fois ne pas rencontrer de problème. Il s’est calé dans une stratégie de prudence qui lui a permis de rafler un troisième podium après Monte-Carlo et la Suède. Il était déçu d’avoir été battu par Mads Ostberg pour la deuxième place, il avait à cœur de ne pas faire d’erreur.

    Benito Guerra (Ford Fiesta RS)
    C’est l’une des plusieurs sorties que le Mexicain effectuera cette année. Encore une fois, la pression était forte pour signer un bon résultat à domicile. Malheureusement, il a rejoint la liste des abandons dès le vendredi. Il est revenu en piste le samedi, avec une voiture réparée, à l’exception de la barre antiroulis à l’arrière. Ca ne l’a pas aidé à faire de son mieux. Il s’est classé douzième.
     
    via WRC.com

    This week’s highlights from the Classic Driver Market


    Bizzarrini 5300s are known for their striking colour combinations, but few suit those voluptuous curves as well as this tasteful shade of green. The car’s mechanical condition is supposedly just as impressive, a claim supported by its post-restoration appearance at Villa d’Este…

    Bentley’s Speed 6 is the Continental’s sharper, sexier, two-seater sibling


    At the VW Group night on the eve of the Geneva Motor Show, Bentley revealed a new two-seater coupé that would theoretically sit alongside the Continental GT: the EXP 10 Speed 6…

    A new car for new customers

    While the Bentayga SUV lumbers through its development process, Bentley has given us a taste of another, more focused model line. At present, it’s still designated as an ‘EXP’ concept – but in reality, the sharp-suited Speed 6 is a public reaction testbed for the styling of a new two-seater sports car due within the next three years. Positioned next to the Continental GT, the Speed 6 would take the fight to the likes of the Aston Martin V12 Vantage and Jaguar F-type V8 S – however, specifics regarding the engine are yet to be defined. It seems likely that the turbocharged 4.0-litre V8 would be used in the production version but, given the name, might we see Bentley raid the VW parts catalogue for a V6 to fettle back home in Crewe? Whatever the outcome, CEO Wolfgang Dürheimer promises the type of ‘luxury performance’ expected of a Bentley. The price is estimated to be around £120,000, positioning it only slightly below its heavier, more luxurious bigger brother.
    Photos: Bentley
    You can find both modern and classic Bentleys for sale in the Classic Driver Market.

    DAGGER CYCLES GS500


    Dagger Suzuki 1THUMBRoberto and Paolino of Dagger Cycles graduated pretty swiftly from barn find builds to more modern projects utilising the now ubiquitous Triumph Bonneville and Scrambler. Harking back to their roots, the guys from Biella in the foothills of the Italian Alps, were presented with this 1984 GS500 by owner Nicholas. Thankfully regular maintenance ensured that the years had been kind to the Suzuki and the condition belied three decades of use.
    Dagger Suzuki 2Nicholas wanted a distinctly urban custom, with café and retro eighties styling influences. To set the visual ball rolling an Emigo headlight cowl was freed of its screen part and painted matt black, immediately deviating from the traditional brat look of tiny headlight and stripped-out cockpit.
    Dagger Suzuki 3Ah, what do I know? The dash is stripped-out with a mini all-in-one speedo in place to placate excitable Carabinieri. Stock bars have been powdered coated and flipped upsidedown for a hunkered, racy position. Whilst the powder man was doing his thing a host of other parts were given a coating; foot and hand controls, fork legs, wheels etc.
    Dagger Suzuki 6To contrast all that black, the jewel in the crown, Suzuki’s fine half-litre four-banger received the attention of Scotch Brite pads, and a whole lot of elbow grease, to give a clean, brushed look. The zorsts didn’t escape and were given the dark powder treatment, including the new megaphone mufflers. A good service and tune-up was all that was required to keep the engine on-song.
    Dagger Suzuki 5Rear shocks are 2″ longer than standard and uprated, in case Nicholas is transporting a sturdy pillion. Classic style Continental tyres suit the slightly post-apocolytic look and thankfully do not seek to offer adhesion off-road. Fork gaiters keep blingy chrome out of sight and give the front end a chunkier feel, in balance with the fairing.
    Dagger Suzuki 4
    The fuel tank and side panels were first treated to a good, thick base of deep gloss black, before the Dagger Cycles “Black Rising Sun” logo added contrast by way of matt black and grey lettering. Nicholas is a tattoo artist and has been heavily influenced by Japanese Irezumi style of ink, and initiated the rising sun design.
    Dagger Suzuki 7The two-up friendly seat pan and upholstery was taken care of in the workshop, and the chopped subframe rails now house mini indicators. The licence plate, footpegs and mudguard brackets are also Roberto and Paolino’s handiwork.
    Dagger Suzuki 8
    There’s good reason to use plenty of black, in different textures; it works. Nicholas is super pleased with his new ride and will no doubt be waxing lyrical about Roberto & Paulino’s efforts to anyone who’ll listen. Not that his customers can really go anywhere.
    To keep up with their next build, check out the Dagger Cycles Facebook page.
    via The Bike Shed