ACE CAFE RADIO

    vendredi 7 novembre 2014

    The short but glorious flight of the GM Firebird concepts


    Is it a car? Is it a plane? Well both, sort of. GMC’s Firebird concept of 1953 was the first of a trio of concept cars that brought fighter jet styling and technology to the road…
    Born into the heart of GM’s legendary Motorama era, the Firebird concepts served not only to whet the public’s appetite for its more grounded production cars – but also as test-beds for the feasibility of gas turbine engines in automotive applications.

    1953 Firebird I

    Debuting in 1953 at the inaugural Motorama show, the first Firebird was the earliest instance of a gas turbine engine used in a car. Wings, tailfins and a bullet-shaped body/fuselage drew the crowds, although the highlight was the 370HP ‘Whirlfire Turbo-Power’ engine that spun at up to 13,000rpm.


    1956 Firebird II

    Deemed more practical than its single-occupant predecessor, the Firebird II could seat a family of four beneath its canopy – if the children hadn’t already been sucked into the front inlets, that is. This time, the pioneering features were a titanium body, electric gear selection and independent suspension all round.


    1959 Firebird III

    While the original Firebird was built strictly as a styling exercise, the Firebird III would come to directly influence several of Harvey Earl’s later designs. Its surface treatment was passed on to the 1959 Cadillac, while the 1961 model inherited the rear ‘skegs’ (those would be the upside-down fins that hung from the rear).


    Photos/Videos: GMC
    You can find several classic GMCs for sale in the Classic Driver Market.

    WRC : Hirvonen met un terme à sa carrière


    Le Finlandais Mikko Hirvonen (34 ans) va mettre un terme à sa carrière en Championnat du monde des Rallyes FIA à l’issue du Wales Rally GB 2014. Avec 163 départs, Mikko sera le « Flying Finn » qui aura disputé le plus de rallyes mondiaux.
    Après un retour chez M-Sport cette saison, Mikko Hirvonen a décidé de mettre un terme à sa carrière mondiale longue de 13 années, de quatre titres de vice-champion du monde, de 15 victoires et 68 podiums.
    « J’ai tellement d’incroyables souvenirs de ces 13 saisons ! », a expliqué Mikko sur son site internet. « J’ai eu l’opportunité de réaliser mon rêve d’enfant. J’ai voyagé dans le monde entier, rencontré des gens fantastiques et j’ai aimé chaque course et chaque bagarre que j’ai pu livrer contre des pilotes d’exception. Certaines que j’ai gagnées et d’autres que j’ai perdues, mais ce qui est sûr c’est que je m’en souviendrai jusqu’à la fin de mes jours avec un grand sourire aux lèvres. »
    La première fois que nous avions rencontré Mikko Hirvonen, c’était au Rallye de l’Auxerrois 2001, une manche du Championnat de France des Rallyes sur terre que le tout jeune Finlandais était venu disputer sur une Ford Puma S1600. Timide et discret, il logeait au même hôtel que nous, avec son manager Timo Jouhki. Mikko s’était surtout fait remarquer par sa générosité au volant ; il avait arraché tellement de piquets de clôtures et de pieds de vigne !
    Un an plus tard, il débutait en WRC au Rallye de Finlande, avant de disputer la saison mondiale 2003 sur une Ford Focus RS WRC, puis de signer chez Subaru l’année suivante. Une ascension fulgurante mais stoppée par une saison 2004 difficile qui l’a contraint à relancer sa carrière sur une Ford/Michelin privée en 2005 (podium en Espagne) avant de réintégrer le team officiel Ford l’année suivante. Après deux saisons chez Citroën Racing en 2012 et 2013, Mikko était de retour au bercail M-Sport cette saison. Sur ses 162 rallyes disputés, 116 l’ont été sur des Ford.
    Mikko Hirvonen a loupé le titre mondial 2009 pour un petit point face à Loeb. « Cette année-là, la victoire au Rallye de Finlande, à la maison avec ma famille et mes amis, restera comme un souvenir unique. Il y a aussi eu notre première victoire en Championnat du monde au Rallye d’Australie 2006 et celle au Wales Rally GB en 2007. Je me souviens de ce podium que nous avons partagé avec Marcus (Grönholm) et Seb (Loeb). »
    Comme Markku Alén, Mikko restera un « Flying Finn » sans couronne. Il a eu la malchance de mener carrière en même temps que l’ogre Sébastien Loeb. «  Avec Seb (Loeb), ce furent les plus belles batailles, celles que j’ai le plus adorées, qu’elles aient été gagnées ou perdues. C’était fantastique ! Seb a été un adversaire et un coéquipier pour qui j’ai eu et j’ai toujours beaucoup de respect et je pense que c’était réciproque. »
    Mikko Hirvonen a donc décidé de mettre un terme à sa carrière en WRC à l’issue du Wales Rally GB, mais il n’a pas fait une croix sur le sport automobile. « Comme tout passionné de sport automobile, je ne suis pas seulement un adepte de rallye. J’ai toujours aimé avoir un œil sur d’autres disciplines. Mais si j’ai l’opportunité de relever de nouveaux défis dans un futur proche, ce sera avant tout pour le plaisir. Pendant toutes ces années de compétition, j’ai beaucoup pensé à moi. La course a occupé une grande place dans mon existence et le rythme des rallyes a toujours été intense. Je souhaite également me concentrer d’avantage sur d’autres choses importantes qui font partie de ma vie, comme mes enfants et ma famille. »

    ERC : Maurin prendra la route en premier


    Le Français Julien Maurin ouvrira la route lors de la première manche du Tour de Corse.
    MAURIN 530
    Maurin était le 3e pilote à choisir sa position de départ pour les six spéciales de vendredi et il a décidé de s’élancer premier au volant de sa Ford Fiesta R5. 
    Bryan Bouffier partira 2e (Fiesta RRC), devant Kevin Abbring (Peugeot 208T16). Stéphane Sarrazin partira 4e. Le plus rapide en qualifications, Kajetan Kajetanowicz , sera 5e. « Je ne sais pas quelle est la meilleure position sur ce rallye, mais je ne crois pas que ça soit trop important », explique le pilote polonais. 
    Esapekka Lappi, d’ores et déjà assuré de décrocher le titre, s’élancera 6e, Romain Dumas 7e (Porsche 997 RGT), Jaromír Tarabus 8e, Craig Breen 9e, Bruno Magalhães 10e et Robert Consani 11e. 
    La journée de vendredi comprend un totale de 6 spéciales pour une distance totale de 135,40 kilomètres. Les choses sérieuses débutent à 08h31 heure locale. Tous les détails ici

    reflet.....

    jeudi 6 novembre 2014

    Iron & Resin - Fall Collection

    Iron & Resin have been supporters of the magazine since the start. Check out the Fall 2014 lookbook to see what they've been up to, soak in their killer aesthetic, and check out their quality goods. Brothers in arms! 


    MOTO GP : Rossi : « Remporter le titre n’est pas impossible » / Rossi evaluates title chances for 2015


    Présent en conférence de presse jeudi à Valence, Valentino Rossi a discuté de ses chances de lutter pour le titre MotoGP™ l’an prochain.

    Gran Premio Generali de la Comunitat Valenciana Press conference
    Avec deux victoires et un total de douze podiums cette année pour sa quinzième saison dans la catégorie reine, Valentino Rossi (Movistar Yamaha MotoGP) a été nettement plus performant qu’en 2013 et espère continuer à gagner en compétitivité l’an prochain.
    Lors de la conférence de presse précédant le Grand Prix Generali de Valence, le nonuple Champion du Monde a été invité à parler de ses chances de revenir au sommet de la hiérarchie en 2015 et a affirmé : « Je ne pense pas que ce soit impossible pour l’an prochain. C’est l’objectif et je le dis parce que nous sommes capables de progresser d’ici l’an prochain. Le travail pour la saison prochaine a déjà commencé, au long de la saison et même depuis le dernier test de la saison dernière. Nous avons déjà démontré un bon potentiel. »
    « Je pense que je peux progresser l’an prochain, d’autant plus que mon team et plus particulièrement Silvano (Galbusera, son chef mécanicien) auront une année d’expérience en plus. Il pourra progresser parce qu’il connaîtra mieux le MotoGP. Nous pouvons aussi améliorer la façon dont nous travaillons puisque ce n’était que notre première saison ensemble. Je le connais mieux maintenant, il me connaît mieux et sait ce que je veux de la moto. »
    Rossi annonce cependant que la tâche s’annonce ardue, notamment en raison du niveau de ses adversaires, dont Marc Márquez (Repsol Honda) ou encore son coéquipier Jorge Lorenzo (Movistar Yamaha MotoGP) : « Mais ce sera très, très dur et je m’attends tout d’abord à ce que Jorge soit très fort dès le début de la saison. Il a eu des problèmes au début de l’année mais après le Sachsenring il a été fort sur tous les circuits et c’est clairement un prétendant. Puis il y a Marc, il ne faut pas oublier qu’il a remporté douze courses cette année. C’est dix de plus que moi et il a beaucoup de points d’avance ! »
    « Pour essayer de remporter le Championnat face à ces deux-là, nous devrons franchir une autre étape et je vais essayer. »
    Gran Premio Generali de la Comunitat Valenciana Press conference
    In Thursday’s press conference at Valencia Movistar Yamaha MotoGP’s Valentino Rossi spoke about his target to win the MotoGP™ title in 2015.
    Rossi has produced another remarkable set of performances in 2014, improving on his 2013 form with 12 podiums and two victories this year – in his 15th premier class campaign.
    The nine-time World Champion believes a tenth World title is achievable and gave this assessment of his chances, “I think that it is not impossible next year. This is the target and I say that because we can improve from this year to next year. Already the work for next year started, throughout all this season, in fact from the last test of last season. We have demonstrated good potential already.”
    “I think I can improve next year, especially my team and especially Silvano (Galbusera - Crew Chief) with one year more of experience. He can improve because he knows MotoGP better. We can also improve the way of working between us because it has just been the first season. I know him better now and he knows me more, and the way I want the bike.”
    However, Rossi also acknowledged, “But at the same time it will be very, very hard, because firstly I expect Jorge to be very strong from the beginning. At the beginning of this year he had some problems but from Sachsening he’s been so strong at all the tracks, so he is a real contender. Then with Marc we cannot forget that he won 12 races this year. That is ten more than me and he has a lot of points advantage!”
    “So to try to fight for the championship with these two guys we have to make another step. I will try.”


    YAMAHA Yard Built: KEDO's SR400 Stallion & Bronco

    Enjoy the legend Yamaha SR400 as customized Cafe Racer and Street Tracker. Built by KEDO for YAMAHA Yard Built Project.

    YAMAHA Yard Built: KEDO's SR400 Stallion & Bronco from ONNO PHOTOGRAPHY on Vimeo.

    Snapshot, 1969: Planes, Soultrains and Automobiles


    The year is 1969 and James Brown has made it, man! At the pinnacle of his career, the ‘hardest working man in showbiz’ is clearly enjoying the material perks of success…
    With his legs casually crossed, one hand buried in the pocket of his midnight blue two-piece, the other resting on the radiator of a brand-new Lincoln Continental Mark III, James Brown has little patience for an impromptu photoshoot. Having just emerged from his personalised Learjet 24A with his band, this image of the ‘Godfather of Soul’ was captured by photographer Julian Wasser at Los Angeles airport for Life magazine. Do you reckon he feels like a sex machine?
    Photo: Wasser/The LIFE Images Collection/Getty Images

    CAFE RACER DREAMS XR600


    CRD XR600 1
    This season’s new black seems to be the Street Tracker or Scrambler, or perhaps some Frankenstein love child of the two. No longer though is it acceptable to slap a set of knobblies on a street bike and adorn it with more adventurous connotations. Cafe Racer Dreams aren’t some new upstart, they’ve been banging the custom drum for a long time and have produced some wonderful bikes in the process. Need confirmation? Click here for some of what we have featured from Pedro and Efraon over the past couple of years.
    CRD XR600 2
    Starting with a proper donor usually leads to a true multi-tasking result, in this case an XR600. Well, not quite proper, the Honda arrived in  appalling condition and needed more work than the usual elaborate strip and rebuild that CRD apply to their builds. On this project the customer wanted something similar to a CRD XR600 from a couple of years back, the Apollo, obviously with some upgrades and a bit more punch.
    CRD XR600 3
    Making subframes suit certain designs can be futile, so Pedro saved the compromise and chopped the old one off, preferring to fabricate from scratch. A skimpy rear fender hangs off the new structure in an attempt to keep crud away from the fancy bits. One of these being the Öhlins rear shock, very fancy.
    CRD XR600 4
    Exhausts are a contentious issue. Some like flowing continuous bends that involve either expensive equipment and brain that can make a protractor work or arms like Hugh Jackman and bag of dry sand, others prefer the welded section approach. Personally I’m torn but in this case; if you can weld then let the world know. Escapes GR based in Galica on Spain’s far west coast put together this race style 2-into-1 stainless system with a two stroke-esque muffler.
    CRD XR600 5
    The slim waistline comes courtesy of a handmade and upholstered seat flowing into the CG125 fuel tank. It does make me wonder what happens when a pizza delivery guy or courier needs a replacement fuel tank from a breakers yard, “Sorry sir, the dude with the beard and cool pick-up truck bought the last ones we had”.
    CRD XR600 6
    Crackle finish high-temp black paint and raw edges to the cooling fins is the sort of attention to detail that keeps the order book full at CRD. And another shot of that exhaust; it looks like it grew there, out of a steel vine, should such a thing exist.
    CRD XR600 7
    The Baja 1000 is off the cards so excessive suspension travel up front has been reduced to give a flatter, meaner stance and allow the new owner to get a little more aggressive on the brakes.
    CRD XR600 8
    The paint job is subtle enough to let the rest of the workmanship do the taking whilst looking purposeful and smart.
    CRD XR600 9
    The wheelset is by Excel with Continental TKC 80 tyres. Just a side note, if you’re a forum jockey with no real knowledge of what actually works in the real world; then please pipe down. Conti’s knobbly dual sport tyre can be pushed very hard on asphalt and the results enjoyed in abundance. I’ve done it, our mates have done it and loads of others have done it; they work, fact.
    CRD XR600 10
    The CRD website will give you an idea of the breadth of the guy’s experience, and if you like what you see don’t be put off by their location if you’re from distant shores, working with a project and shipping globally is no problem. They also run a hugely successful Facebook page so keep up to date with their latest work.
    the bike shed

    Fancy flying a Spitfire?


    At Heringsdorf Airport on the German-Polish island of Usedom, the ‘Hangar 10’ museum has an astonishing collection of classic warbirds. The best part is that you can even take a passenger flight. In a Spitfire...?
    The Supermarine Spitfire Mk IX T9 in the aviation museum Hangar 10, which sits on the edge of the Baltic Sea, is an extremely rare piece of aeronautical history. Unlike the usual single-seater aircraft, this two-seater model was produced in the 1940s in only very small numbers. The plane even has dual controls, to enable instructors to teach their students the art of take-off, flight and landing, and also to take any necessary corrective action. However, the two pilots have no direct visual or audible contact with each other: the teacher would sit in a separate cockpit behind the pupil and was dependent on the radio link to his front man. A certain amount of trust in the abilities of the student pilot was also imperative – since the pilot in the rear cockpit is unable to see the runway in the approach for landing.

    A turbulent history

    At the heart of the British classic sits an imposing Rolls-Royce Merlin 76 engine, its 27-litre capacity and 12 cylinders giving a whopping great 1,650HP. With the help of a four-blade variable-pitch propeller, the Spitfire can make rapid progress through the skies and sudden, steep climbs. If the throttle is pushed fully forward, a speed of about 650km/h is possible and, with so much power, a competent and sensitive hand is needed for take-off and landing. The story of this actual Spitfire is enough to send a slight shiver down your spine: in December 1943, the machine was delivered to the Royal Air Force and suffered damaged shortly after. After being repaired, it completed more than 300 missions in Normandy, before taking up a more peaceful role after the end of the War.

    A hangar full of surprises

    Also unusual is the location of the Spitfire in the Hangar 10 museum, on the northern German island of Usedom, right on the border with Poland. Other former warbirds from the 1940s include an American P-51 Mustang, a Russian Yak 9 and even a Fieseler Storch from Germany. In the not-too-distant future, the museum is also planning to welcome the only remaining airworthy two-seater Messerschmitt 109. Hangar 10 is the result of the determination of local pilot, aircraft enthusiast and entrepreneur Volker Schulke to realise his family’s dream of a flying vintage car museum.

    An airman's dream come true

    But now for the best part: aviation enthusiasts can actually fly in these rare gems. Anyone who dreams of such an experience can come to the twice-a-year ‘Air Fighter Academy’ days at Hangar 10 where, for the sum of 2,700 euros, you can take a half-hour flight in the Spitfire Mk IX T9 or her American counterpart the Mustang P-51D. The pilots of these rare classics are the renowned Spitfire expert Charlie Brown and Mustang professional Rob Davies, both from England. The atmosphere in Hangar 10 is very friendly, and each passenger is able to say what he or she hopes to get from the upcoming flight. No more than five guest flights per machine per day are arranged and, since the Heringsdorf Airport has an approximately 1.2-kilometre grass runway, conditions are ideal for these warbirds, which are better suited to grass slopes than paved runways. If the guest has a pilot’s licence (and the pilot agrees), the passenger is even allowed to take control of the stick, as both planes are equipped with dual controls. Otherwise, it is enough simply to enjoy the breathtaking climb rate and 1940s experience aboard the two former fighters.
    Photos: Richard Paver / Hangar 10 / Jürgen Schelling
    Find out more about classic flights in 2015 at www.hangar10.de.