ACE CAFE RADIO

    mercredi 28 octobre 2015

    Ken Block Slays Tires in the Gymkhana Escort at the Donut Garage


    The Hoonigan is back, with a very tuned late Seventies rally car
    by Tom Harrison
    When TG visited Ken Block’s lair of much driftage earlier this year, the Hoonigan himself gave us a tantalising glimpse of something a bit special - a 70s MKII Ford Escort with several metres of extra wheelarch and a trick diff. 
    “First time I ever drove one [a MKII Escort] was in the Colin McRae Memorial Rally. That was my first time ever trying to drive a rear-wheel car in a rally. And I just sucked at it. I couldn’t believe how difficult it was,” Block told us. 
    “Ever since then, I wanted to get better at it and wanted to own one myself. So I bought a light tarmac build a couple years ago, and I broke it in the two [gravel] rallies I tried to race it in. So we decided to make it into an all-tarmac car, and for me, that meant making it a Gymkhana car.” 
    Well, this is that car, finally unveiled with a suitably smoky, typically Blocky burnout video. Beneath the MkII Escort’s bonnet, which has been unsubtly decked out with a huge American flag motif, is a 2.5-litre, naturally aspirated four-cylinder ‘Millington’ engine.

    The 333bhp on offer is sent to the rear-wheels via a sequential six-speed ‘box. Adequate in a machine born in the late Seventies. More than adequate is the 9,000rpm red-line…
    The body comes courtesy of Japanese firm Rocket Bunny, who borrowed heavily from Block’s other creations to come up with something that looks every inch the mini-Hoonicorn (the 845bhp, AWD Mustang that starred in Gymkhana 7). The custom fifteen52 wheels are shod with Pirelli rubber for optimum smokiness. 
      
    “I’m stoked with how the whole thing turned out,” says Block. “My team and Graham Quick at Quick Motorsport in the U.K. did a great job on the build of the car, Rocket Bunny did an awesome job with the exterior styling.”
    The car will make its first public appearance at the Gymkhana GRID Finale  in the U.K, with a “bigger video project” featuring the Escort slated for 2016. Need any drivers, Ken? 

    DAKAR 2016 : VITESSE GRAND V


    Suite à la décision du Pérou de renoncer à l'édition 2016, le Dakar s'est appuyé sur sa connaissance des territoires argentin et bolivien pour dessiner un tracé alternatif. Grâce à l'indéfectible appui du gouvernement argentin et au concours des autorités boliviennes, le nouveau parcours invitera à l'audace, sur des étapes techniques et rapides... mais pas seulement.
    Dans trois mois et demi, les pilotes et équipages du Dakar ont finalement rendez-vous à Buenos Aires ! Au terme de trois semaines d'un travail intense sur le terrain en commun avec les autorités des pays hôtes qui ont fait preuve d'une mobilisation exceptionnelle, les équipes du rallye ont pu construire un parcours dont les caractéristiques restent fidèles en tous points aux valeurs de l'épreuve.
    « C'est grâce à l'implication immédiate et à l'engagement sans faille des autorités boliviennes et argentines à nos côtés que nous avons pu trouver les solutions techniques appropriées afin de relever le nouveau défi qui s'est imposé à nous à la fin du mois d'août. C'est la fidélité au Dakar des institutions des deux pays qui permet aujourd'hui d'offrir aux concurrents une édition 2016 de qualité », souligne Etienne Lavigne, directeur de l'épreuve.
    Si les dates ont pu être préservées et le nombre d'étapes inchangé, le kilométrage de spéciale restera lui aussi équivalent et se déroulera sur des terrains dont la nature obligera toutefois les concurrents à enclencher un autre logiciel de pilotage et passer à la vitesse supérieure : moins de dunes et davantage de pistes techniques pour les trois premier jours, qui emmèneront le rallye jusqu'à San Salvador de Jujuy. Ensuite, un dispositif d'un type nouveau a été imaginé pour rejoindre la Bolivie et particulièrement le bivouac d'Uyuni, où les véhicules de toutes les catégories seront cette fois réunis. « Avant d'y arriver, les pilotes seront placés dans une configuration marathon inédite, explique Marc Coma, directeur sportif de l'épreuve. Nous allons mettre en place un parc totalement fermé à Jujuy pendant que les véhicules d'assistance anticiperont la longue route vers Uyuni. Le séjour bolivien garde la spécificité d'imposer aux concurrents trois jours de course en haute altitude ».
    Après avoir rejoint Salta pour la journée de repos du 10 janvier, le Dakar reprendra sa route en direction de Rosario en empruntant le parcours initialement dessiné pour l'édition 2016. Les six étapes à disputer dans les contreforts de la Cordillère des Andes avaient précisément été conçues dans la perspective d'une fin de rallye exigeante et corsée, avec plusieurs spéciales sablonneuses notamment dans le secteur de Fiambala. Marc Coma, qui a supervisé sur place les reconnaissances du parcours, prévient justement que « la notion d'endurance prendra tout son sens sur ces étapes, puisque les motos et quads auront une deuxième étape marathon à gérer dans la deuxième semaine. J'ai le sentiment que des rebondissements en tête de course sont plus que probables sur ces spéciales ».
    Le programme du Dakar 2016 :
    31/12 et 01/01 : Vérifications administratives et techniques
    02/01 : Podium à Buenos Aires / Prologue / Liaison vers Bivouac "0" proche de Rosario
    03/01 : Buenos Aires - Villa Carlos Paz
    04/01 : Villa Carlos Paz - Termas de Rio Hondo
    05/01 : Termas de Rio Hondo - Jujuy
    06/01 : Jujuy - Jujuy
    07/01 : Jujuy - Uyuni
    08/01 : Uyuni - Uyuni
    09/01 : Uyuni - Salta
    10/01 : Journée de repos à Salta
    11/01 : Salta - Belen
    12/01 : Belen - Belen
    13/01 : Belen - La Rioja
    14/01 : La Rioja - San Juan
    15/01 : San Juan - Villa Carlos Paz
    16/01 : Villa Carlos Paz – Rosario

    Dakar 2016 - Le parcours

    Près de 15 millions d’habitants vivent dans l’agglomération de Buenos Aires, qui s’est imposée comme un pôle majeur du continent sud-américain, à la fois sur les plans économique et culturel. La diversité saisissante de ses quartiers, du modernisme de Puerto Madero au charme désuet de Palermo, en passant par l’agitation de La Boca ou de San Telmo, comble le visiteur à l’oeil exercé. Mais pour le Dakar, la capitale argentine représente bien plus qu’une destination de tourisme : c’est avant tout là que tout a (re)commencé ! À l’heure d’un rebond indispensable après l’annulation de l’édition 2008, les Porteños ont accueilli les pilotes venus d’Europe, d’Afrique et d’Asie avec le même enthousiasme que leurs compatriotes. Pour tous, le souvenir de la foule réunie sur l’avenue du 9 juillet, au pied de l’Obélisque, symbolise le commencement d’une nouvelle ère. Dès cette soirée, le Dakar s’est senti accueilli avec passion. Après ce coup de foudre de 2009, les démonstrations d’affections réciproques se sont poursuivies entre les pilotes du rallye et leurs hôtes de Buenos Aires, théâtre des départs et arrivées des trois premières éditions sud-américaines ainsi que des retrouvailles de l’année dernière. Cette fois-ci, c’est un peu le hasard et pour beaucoup le destin qui a indiqué au Dakar le chemin de Buenos Aires.

    Au pied de la Cordillère des Andes, Salta a longtemps prospéré en tant que noeud d’échanges commerciaux. La ville a également joué un rôle important dans la lutte pour l’indépendance menée par le général Belgrano. À l’heure actuelle, elle est surtout devenue un centre touristique majeur pour tous les aventuriers en partance pour les sommets. Les voyageurs profi tent également de la majesté de la cathédrale de Salta, qui fait partie des incontournables édifi ces religieux du pays. Pour les concurrents du Dakar, qui ne seront encore qu’à mi-chemin de leur périple en arrivant à Salta, il pourrait également être utile de prévoir un détour par la cathédrale pour y formuler quelques prières…

    Les rayures bleues et blanches fièrement portées par les sélections de football ou de basket qui ont conquis le monde entier en remportant la coupe du monde ou les Jeux Olympiques, ont commencé par s’imposer à Rosario. En pleine guerre d’indépendance, en 1812 précisément, c’est là que le général Manuel Belgrano a dessiné et hissé pour la première fois le drapeau argentin, reprenant les couleurs de la cocarde utilisée par les révolutionnaires qu’il menait. Depuis, la ville qui borde le Rio Parana sur sa rive droite a largement prospéré, bénéficiant d’une situation géographique favorable, à égale distance de Buenos Aires et Cordoba, les deux métropoles qui la devancent dans le classement par habitants. Rosario a surtout gagné les coeurs d’Argentine et d’ailleurs grâce à quelques-uns de ses enfants. Le plus illustre d’entre eux reste Ernesto Guevara qui, bien avant de devenir le « Che », a vu le jour à Rosario. Bien plus tard, c’est aussi là que Lionel Messi avait tapé ses premiers ballons, notamment sous les couleurs du Newell’s Old Boys, un club pour lequel Diego Maradona avait également joué une poignée de matchs. L’accueil des pilotes et équipages du Dakar pendant les tout premiers jours de l’année 2014 a ensuite fait entrer la ville dans la riche histoire nationale des sports mécaniques. Cette fois-ci, elle sera l’objectif à atteindre par tous les pilotes et équipages.

    The perfect trio for a weekend on the lake


    It seems that the guys from ‘Weekend Heroes’ are our soulmates. How else do we explain the fact that they’ve chosen three of our all-time favourite classics for a perfect weekend on the lake?

    It needn't remain a dream


    The combination is so unusual as to floor us completely: in their latest video, the young gentlemen of Weekend Heroes depict an International Scout towing a Riva Ariston to the lake on a trailer, with a Lancia Flaminia Spider following on behind. And the best part? It doesn’t need to be only a dream since all three – the Riva, the Lancia and the Scout – can currently be found for sale in the Classic Driver Market. We can’t recommend strongly enough that you buy these three exceptional classics as not only an investment, but also for a great many unforgettable weekends.
    All listings from Weekend Heroes can be found in the Classic Driver Market.

    4WD..........


    mardi 27 octobre 2015

    The Barbour International Triumph Collection Autumn Winter 2015

    Barbour International’s inaugural collaboration with Triumph presents an authentic, modern collection inspired by the rich heritage of the two British motorcycling brands. Highlights include a sharp, masculine reinterpretation of the iconic International biker jacket.


    WEC 6 Hours of Fuji - 52 Mins Full Review


    Kalahari magic outside of the National Parks.

    An expedition into Botswana to find Kalahari magic outside of the crowded and expensive National Parks. With Andrew St.Pierre White and Paul Marsh


    Motor City Outlaw


    WRC Rally de Espana 2015 Les brèves espagnoles


    Au menu des brèves espagnoles, dix ans d’invincibilité française stoppée par Mikkelsen, une première victoire à 26 ans, une autre à 46 ans, un titre à 23 ans, de l’eau au goût amer...
    Andreas Mikkelsen aura dû attendre son 64e rallye WRC pour décrocher sa première victoire mondiale à 26 ans, et après 12 podiums depuis 2013. Andreas est le 75e pilote à remporter un rallye WRC et le 3e Norvégien après Petter Solberg et Mads Ostberg.
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    Son copilote Ola Floene était en larmes à l’arrivée de la Power Stage ! A 46 ans, il remporte lui aussi son premier succès mondial. Il est le premier copilote norvégien vainqueur d’un rallye WRC. Sa première participation remonte au RAC Rally 1995. Ola est revenu aux côtés d’Andreas au Rallye de Sardaigne 2014.
    Ce fut un triomphe norvégien en Espagne puisque Marius Aasen (23 ans) a remporté le Drive DMack Fiesta Trophy 2015. On le retrouvera sur une Ford Fiesta R5 l’an prochain.
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    Rallye très difficile pour l’équipe M-Sport avec deux pilotes en Rally2. Néanmoins, M-Sport est encore mathématiquement en lice pour le titre de vice-champion Constructeurs. M-Sport est à 33 points de Citroën et 29 de Hyundai.
    Il se murmure que le WRC pourrait revenir très prochainement en Catalogne. Le RallyRACC-Catalunya 2016 pourrait se dérouler en début de saison. A suivre....
    Après trois meilleurs temps WRC-2, Eric Camilli n’avait plus qu’à rallier l’arrivée pour signer son premier podium de catégorie. Malheureusement, le collecteur d’échappement de sa Ford Fiesta R5 a cassé dans l’ES19. Malade, son équipier Teemu Suninen a lui aussi réalisé quelques bons chronos.
    Malade lui aussi, Yazeed Al-Rajhi n’avait pas fait toutes les reconnaissances et n’a pas pris le départ. Son équipe MY Racing avait pourtant reconstruit entièrement la Ford Fiesta RRC détruite au Rallye d’Australie.
    Les Français étaient invaincus au RallyRACC-Catalunya depuis 2005, presque dix ans ! Depuis 1991, ils ont remporté 17 fois ce rallye grâce à François Delecour, Didier Auriol, Philippe Bugalski, Gilles Panizzi, Sébastien Loeb et Sébastien Ogier.
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    Vu au parc d’assistance Daniel Elena (qui fête aujourd’hui ses 43 ans, bon anniversaire Danos), heureux dans son nouveau métier de copilote en Rallye Tout-Terrain et prêt à relever le défi du Rallye Dakar. Daniel et Seb s’entraînent en ce moment au Maroc sur Buggy.
    Yves Matton, Yvan Muller et Stéphane Lefebvre vont disputer le Rallye du Condroz dans deux semaines.
    L’équipage n°119, Roger Oto/Elisabeth Ferrer a reçu une réprimande de la FIA pour avoir pris une bouteille d’eau après la spéciale n°12. La copilote était déshydratée et a accepté de l’eau offerte par des personnes à une station-essence. Dans son immense bonté, la FIA ne les a pas pénalisés... Ca s’arrose !
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    Avec une 4e victoire cette saison, Quentin Gilbert aurait pu s’adjuger le titre WRC-3 ce week-end. Mais ses points marqués en Corse ont été annulés en raison de pompes à eau non conformes sur les DS3 R3. Il a revanche conservé ses points au championnat Juniors. Quentin mène le classement WRC-3 avec 19 points d’avance sur Tempestini. Le titre se jouera au Wales Rally GB.

    Honda CB900 – Wrench Kings


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    The Dutch lads from Wrench Kings are back with another Honda, this time around it’s a barnstorming 1982 CB900 Bol d’Or designed and built to be as tough as its owner. But long before the Wrench Kings team of Joost, Bram & Laurens were spinning the spanners on this CB they were living corporate lives in the giant playground that is Dubai. Cheap fuel and a host of toys had the guys playing with roadbikes, jet skis, cool cars, quads and just about everything that had an engine. But after years of living abroad they decided to return to their native Netherlands and establish Wrench Kings. It’s a brand that is growing rapidly and when big Dutchman Bob, a tattooist at Bunker Tattoo shop in Breda saw what the guys were doing he had to have his own Wrench Kings custom creation.
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    As Bram describes it, the Dutch are tall, but Bob is massive so a small 250cc Café Racer was never going to work. So with an extensive search underway the team knew they’d found a winner when an old barn revealed this CB900 Bol d’Or that hadn’t been started for 15 years. Despite the time sitting idle it was in remarkably good condition and with Bob’s design brief of a clean, tough machine with one particular colour for the tank, the guys got to work. Stripped down the subframe has been cut off and a new one fabricated to support the new seat design. The flat diamond stitched leather seat enables for two up riding and the rear pegs have been retained. The big 900 tank is not easy to get right but with Bob’s desire for an army green paint colour WK broke it up with a yellow horizontal line and a blacked out bottom half that visually hides the odd angles that would normally hold the side covers.
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    Powering the big Bol d’Or is the legendary 901cc air-cooled 4 cylinder that was introduced to replace the increasingly uncompetitive 750cc engine Honda had relied on for a decade. Despite being air-cooled the near square bore engine was one of the first big capacity sportsbikes that could scream hard making power all the way through the rev range. Although that was not quite the case with this example, a dead battery, 15-year-old fuel and gummed up carbs meant it was going nowhere fast. But typical of a Honda the guys only needed to rebuild the Keihin carburettors and add some fresh fuel and it purred to life. The standard double wall headers have been heat wrapped and reverse cone mufflers in black added to each side. For a clean and functional look the wiring has been completely redone and the airbox ditched in favour of a bank of pod filters.
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    By modern standards the CB900 is a heavy bike, but in its day it was described as “arguably the best Honda had built for the street” and Wrench Kings have made sure to take nothing away from these early qualities and add some further improvements. The twin downtube frame provided increased rigidity over many earlier CB’s and in 1982 the addition of Honda’s TRAC front fork system meant a machine that stayed remarkably level even under hard braking. Out back the CB900 always came with adjustable springs, but Wrench Kings have added fully adjustable shocks that also feature helper springs, a great addition with a big rider on board. Braided lines get the most out of the standard brakes and remove any fade from the twin 280mm front discs and big single 297mm out back.
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    A set of tracker bars in black with a similar rise to the factory naked version take care of the steering duties, but much of the original clutter has been removed. The big master cylinder stays put but the enormous ‘80s switchblocks are gone and so too the ugly instrument cluster. Only an indicator switch remains on the handlebars with the light and ignition switches hidden with the wiring in a custom-made box mounted under the seat. A single analogue speedo is all the information Bob requires while new grips and levers add to the blacked out look of the bike. The big Honda headlight that was once a bird’s nest of wiring is replaced by a smaller item with an LED halo ring mounted to the forks on drilled ears. Keeping everything road legal are the bullet indicators front and rear with smoked lenses and a minimalist old school tail light that is fender mounted.
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    The finishing touch is the Wrench Kings logo on the side and lettering at the rear of the tank in a soft cream. It’s a logo you can expect to see a great deal more of as the guys plan to continue to build better and better bikes with a bar, clothing line and Wrench Kings burgers all on the way. But for now when Bob puts the tattoo gun down he has an army green custom tracker capable of 12 second quarters at his disposal and it makes for one hell of a tough rolling billboard for a Dutch brand on the rise.
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    [Photos by Gijs Spierings.com] via PIPEBURN

    GT TOUR ; FINALE, CIRCUIT PAUL RICARD : SÉBASTIEN LOEB RACING CONCLUT PAR UN DOUBLÉ ! RAYMOND NARAC, OLIVIER PERNAUT ET SÉBASTIEN DUMEZ NOUVEAUX CHAMPIONS !


                            
    La dernière course du Championnat de France FFSA GT n’a pas manqué de rebondissements ! Le team Sébastien Loeb Racing a terminé la saison par un doublé : partie de la pole, l’Audi n°3 de David Hallyday, Philippe Gaillard et Mike Parisy s’impose devant la n°5 de Lonni Martins, Christophe Hamon et Christian Bottemanne. Sport Garage complète le podium avec la Ferrari de Gilles Vannelet, Paul Lamic et Enzo Guibbert.
    Malgré une course mouvementée, Raymond Narac, Olivier Pernaut et Sébastien Dumez décrochent le titre de Champion de France FFSA GT ! Si AKKA-ASP était d’ores et déjà assuré de remporté le « Trophée Teams », que David Loger et Eric Mouez étaient couronnés au Gentlemen Challenge, Valentin Simonet est sacré dans le Junior Challenge.
    Le film de la course.
                                
    Auteur de sa cinquième pole consécutive avec l’Audi/Sébastien Loeb Racing n°3, Mike Parisy conserve la tête à l’extinction des feux. Il est rapidement suivi de la voiture sœur confiée à Lonni Martins, qui gagne un rang dès le premier freinage, tandis qu’Enzo Guibbert complète ce tiercé au volant de la Ferrari/Sport Garage n°12. Le départ est mouvementé, avec plusieurs contacts dans la meute après les deux premiers virages, et plusieurs concurrents sont contraints à l’abandon. C’est le cas de la Ferrari/AKKA-ASP n°20, victorieuse la veille, qui doit rendre les armes alors que ses pilotes étaient les principaux challengers pour le titre. La Ferrari/Rinaldi Racing, l’Audi/Saintéloc n°23 ou encore la Renault R.S. 01/Duqueine Engineering font partie des autres victimes de ce premier tour.
                                
    Tandis que Mike Parisy creuse un petit écart sur Lonni Martins et Enzo Guibbert, Arno Santamato doit quant à lui batailler, avec une porte gauche qui s’ouvre constamment suite à un contact. Il doit céder coup sur coup devant les attaques de Nelson Panciatici, dans le 6e tour, puis d’Anthony Beltoise dans la boucle suivante. Le premier quart d’heure est atteint avec quatre secondes entre les deux hommes de tête. L’ordre n’évolue plus avant le premier arrêt au stand, la Porsche/IMSA Performance, partie en fond de grille, étant remontée dans le Top 10.
                                 
    Après ces ravitaillements, qui voit la Renault R.S. 01/Boutsen Ginion Racing rester dans les pits après un début d’incendie, l’Audi/Sébastien Loeb Racing n°3 de Philippe Gaillard précède désormais la Ferrari/Sport Garage n°12 de Paul Lamic et la Ferrari/Team Duqueine n°36 de Bruno Strazzer. Quatrième compte tenu du handicap-temps, Christian Bottemanne remonte fort. Il dépasse Strazzer à la mi-course, puis Lamic cinq minutes plus tard pour se hisser à la deuxième place. Un autre Bottemanne s’illustre, Sacha, qui grimpe jusqu’à la sixième position. Mais au même instant, tous les regards sont braqués vers la Porsche/IMSA Performance-Matmut, leader du championnat… qui vient de percuter un « marqueur ». Raymond Narac parvient à rejoindre les stands et repartir après une réparation efficace à l’avant-droit. Autre malheureux, la Ferrari/Team Duqueine n°8 qui doit repasser par la pitlane pour un changement de roue alors qu’elle pointait 5e.
                            
    Les deux Audi du Sébastien Loeb Racing mène les débats avant les deuxièmes arrêts réglementaires. Elles sont suivies des Ferrari/Sport Garage n°12 et n°6, et de la Ferrari/AKKA-ASP n°16. Le classement reste inchangé à l’entame de la dernière demi-heure, hormis pour la Ferrari/AKKA-ASP de Fabien Barthez qui perd plusieurs positions suite à un problème de démarreur. La Porsche/StratégiC est pour sa part arrêtée en piste alors qu’elle occupait le sixième rang.
                           
    David Hallyday conforte son leadership sur son équipier Christophe Hamon, creusant l’écart au fil des tours. Les deux hommes du Sébastien Loeb Racing possèdent d’ailleurs une belle marge sur les Ferrari/Sport Garage de Gilles Vannelet et Stéphane Lémeret, tandis que la Ferrari n°36 du Team Duqueine complète le quinté devant l’Audi n°24 du Saintéloc Racing et que la Porsche/IMSA Performance-Matmut pointe huitième.
    Après 90 minutes intenses, le drapeau à damiers s’abaisse sur la saison 2015 avec un doublé du Sébastien Loeb Racing. David Hallyday, Philippe Gaillard et Mike Parisy l’emportent devant Lonni Martins, Christophe Hamon et Christian Bottemanne. Gilles Vannelet a résisté à Stéphane Lémeret jusqu’au bout et offre le podium à ses coéquipiers Paul Lamic et Enzo Guibbert, la voiture sœur suivant de près avec Arno Santamato et Eric Cayrolle. Derrière Bruno Strazzer, Nelson Panciatici et Romain Brandela, Valentin Simonet, acompagné de Grégory Guilvert et Marc Sourd, s’assure du sacre au Junior Challenge.
                               
    La huitième place finale permet aux pilotes IMSA Performance-Matmut d’être couronnées. Raymond Narac, Sébastien Dumez et Olivier Pernaut sont les nouveaux Champions de France après une saison marquée par deux victoires et une régularité à toute épreuve. Raymond Narac décoche ainsi son troisième titre dans la catégorie reine au niveau nationale. Contraints à l’abandon prématurément, Morgan Moullin-Traffort et Jean-Luc Beabelique terminent vice-champions. Pour sa dernière course en Championnat de France GT, Olivier Panis se classe neuvième avec Fabien Barthez et Eric Debard. Le Team AKKA-ASP confirme ainsi sa suprématie dans le Trophée Teams.
                                  

    THERE'S NO DOUBT BONNEVILLE IS THE WORLD'S FASTEST PLACE


    by Michael Banovsky Photography  by Alexandra Lier
    A special place like Bonneville deserves a special book, a book that’s able to show the culture built up around Utah’s most famous salt flats. The World’s Fastest Place by photographer Alexandra Lier is a tribute to the “vanishing era of internal combustion and fossil fuel racing,” as the publisher states, and so somehow seems more intimate.
      
    Each portrait, be it spectator, mechanic, driver, or car, is perfectly presented on the salt. You’d never mistake it for anywhere else, and the steely stare that most of the drivers exhibit helps to convey both how special and dangerous this place can be.
      
    Thankfully, it’s not just a superficial look at land speed racing; Kevin Robert Thomson helped with the text and Lier herself drivers a Plymouth Barracuda in Germany. She first visited the salt flats in 1999, and this book, The World’s Fastest Place, is the result of spending lots of time in Bonneville. 

    Tudor reveals Heritage Black Bay Black


    Just three months after it revealed the one-off Heritage Black Bay One, Tudor has announced that it will offer a black-bezelled Black Bay alongside the popular red and blue variants already on sale…

    Since 2012, the Tudor Heritage Black Bay has proved immensely popular with watch enthusiasts everywhere, for its unashamed vintage looks and affordable price. This new black version harks right back to the Tudor ethos – to sell something with the case quality and classic looks of a Rolex, while utilising an out-of-house movement in order to keep the price down. It was the ‘poor man’s Rolex’, if you will, but in no way was that a bad thing.
    On sale now, the Black Bay Black comprises visual elements from a number of references taken from Tudor’s back-catalogue. With its guard-less ‘big crown’, black bezel and cloth Nato-style strap, it takes on a much more rugged, understated and classic character in comparison to its coloured brethren – there’s definitely an air of the ‘James Bond’ Rolex Submariner about it. We can’t wait to get our hands on one. 
    Photos: Tudor
    You can find a number of both vintage and modern Tudors listed for sale in the Classic Driver Market.

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    lundi 26 octobre 2015

    Land Rover Defender - The ultimate Camper conversion

    Land Rover Defender - The ultimate Camper conversion built by Alu-Cab. A spectacular modification to a land Rover Defender that turns it into a two-person camping truck. This vehicle was built in Cape Town South Africa and can be ordered from the company that built it. This is Andrew St Pierre White's review of this vehicle. But is it better than the similar Toyota Land Cruiser 78 built for me? Find our here.


    One Hundredth of a Second - Short Film (Témoigner ou intervenir ?)


    Time For A Video Break…


    Time For A Video Break…
    We’re not far away from kicking off a new week of Speedhunting, which means it’s time to take a quick look back at a few of the videos we’ve been watching over the past seven days.
    We don’t need to tell you why Back To The Future was filling up social media feeds last week, but we can’t go without sharing at least one DeLorean-related clip…
    MARTY is the name given to a very unique DMC-12 dreamed up by engineers at Stanford University. No, it doesn’t fly, but what this DeLorean does do is embrace present-day technology, specifically electric-power and self-drive. Oh, and it drifts by itself too!
    Next up, we’re in Jay Leno’s Garage to check an ultra-rare machine from the ’70s – a Mercedes-Benz C111. This prototype model, of which only a handful were ever made, was primarily used for R&D purposes, and early on in its development used 3-rotor and 4-rotor Wankel engines. This recently-restored C111-II example from the Mercedes-Benz Classic Center might be powered by a 3.5L V8 (again, for testing in period), but it’s absolutely amazing nonetheless.
    During the week, Paddy brought us coverage from the final round of the 2015 Extreme Drift Allstars championship held at the MotoArena Toruń stadium in Podium. There’s some amazing drift talent in Europe, and you’ll see plenty of that in the official Drift Allstars video of the event.
    Finally we have the second instalment in the Z Dream build: Episode 2: Rebirth. This time, Sung and the guys visit Signature Autobody where their S30 has arrived for body work after being seam-stitched and caged at GReddy. Look out for a sneak peak of the engine and the Datsun’s Rocket Bunny aero kit…
    The Speedhunters

    HOW TO RIDE BITCH

    HOW TO RIDE BITCH from Alex Vivian on Vimeo.