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    lundi 28 janvier 2013

    Lotus Elise Sport 190: The elitist Elise


    Many will agree that the Lotus Elise is the embodiment of the modern lightweight sports car. But with the S2 Sport 190, the Lotus Sport and Performance division posthumously applied Chapman’s famous mantra to a handful of the spritely little gems – giving them a racing disposition and a new aura of collectability.

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    In standard form, the Series 2 Elise has rightfully earned huge respect within the automotive community for its ‘back-to-basics’ dynamics, afforded by the reduced weight, supreme balance and decades of Lotus suspension expertise, stemming from the Chapman days.

    For this project, however, a few cars were plucked from the production line and sent to the in-house skunkworks that is Lotus Sport and Performance (LSP).


    Each series of the Elise has welcomed various special editions, and the S2 Sport 190 is arguably one of the best. The familiar 1.8-litre K-Series engine benefitted from a heavy reworking which pushed power to 190HP (187bhp), and earned it the internal name of VHPD – Very High Performance Derivative.


    The result was, among other things, an 8000rpm redline, a fearsome bark from the exhaust and a ‘lively’ idle that prompts comparison with a terrier straining at the leash. But the impressive power increase (around 60 per cent over standard tune) wasn’t the only change; the LSP division also equipped a short-ratio gearbox, lowered and stiffened suspension, and upgraded brakes. When you consider the weight reduction (to below 710kg), you start to understand the sort of performance this package must offer.


    Whether their owners ultimately use these cars on track or road, they’re a very rare sight. Fewer than 35 examples were produced, making the Sport 190 around ten times rarer than the pared-down 340R – and, of course, this makes them an attractive proposition for collectors.

    The Quartz Silver example pictured here is currently being offered by Classic Driver dealer Hilton & Moss in the UK, and is number 9 of the 33 factory-built Sport 190s. Alongside the typical Sport 190 enhancements, it also offers additional trimmings that include a carbonfibre undertray and air box, AP racing-spec brakes, four-way adjustable Ohlin suspension, and a blueprinted engine further uprated to 210bhp by LSP. Maintenance for this single-owner car has been exclusively administered at Hethel.
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    You can view the full advert for this Lotus Sport 190 in the Classic Driver Marketplace

    Hilton & Moss' full inventory can be found here

    Modern and classic Lotuses can be found in the Classic Driver Marketplace

    Text: Joe Breeze (ClassicDriver)
    Photos: Hilton & Moss

    Vintage US MOTOCROSS


    Q: what identifies a Vintage MX Bike?  A: Motocross Bikes fall into two eras.
    Those on the left have a shorter suspension, made up to 1974. Then the shocks began to get longer and slanted forward. We refer tp the latter half of the 70s as "Evo" becvause the suspension evolved to make rough ground easier to negotiate, and to accomodate courses with jumps. For each of these two categories there are size classes, age classes, and an assortment of additional ones like XR75s, women and four strokes. Size claasses are based on the engine capacity, e.g. 125, 250 amd Open which essentially means 360, 380. 400, 450 etc. And age classes are based on the rider's age - guys over 40, over 50, etc. Each class has two motos, and from that the day's result for that class is ca;culated using he Olympic system of low score wins. Study the chart below and not how the bikes changed as the 1970 went by. 


    dimanche 27 janvier 2013

    Le Chip Ganassi Racing était le plus fort à Daytona



    Il aura fallu attendre le dernier quart d'heure pour connaître le dénouement de cette 51ème édition des 24 Heures de Daytona, aussi bien en Daytona Prototype qu'en GT. Tout a finalement été une histoire de « splash & dash » dans les ultimes minutes. A l'issue d'une course épique, la victoire est revenue une nouvelle fois à la BMW-Riley du Chip Ganassi Racing with Felix Sabates après 709 tours, ce qui permet à Scott Pruett de décrocher un cinquième succès en Floride aux côtés de Juan Pablo Montoya, Charlie Kimball et Scott Dixon. Il aura manqué un rien (22s) à la Corvette DP/velocityWW de Max Angelelli, Ryan Hunter-Reay et Jordan Taylor pour mettre fin à la suprématie Ganassi. En GT, la course a là aussi été de toute beauté avec au final un doublé pour les Audi R8 GRAND-AM, Filipe Albuquerque, Edoardo Mortara, Oliver Jarvis et Dion von Moltke l'emportant de peu devant Frank Stippler, Ian Baas, René Rast et Marc Basseng, soit Alex Job Racing devant APR Motorsport.

    Et de cinq pour Ganassi Racing with Felix Sabates...
    La dernière heure n'aura pas été de tout repos pour les différents protagonistes encore en lutte pour la victoire. C'est sous un régime de neutralisation qu'ont débuté les 60 dernières minutes, le temps d'évacuer des morceaux de gomme sur la piste. Ils étaient alors quatre roues dans roues en DP avec Angelelli (Corvette DP/VelocityWW), Montoya (BMW-Riley/Ganassi), Barbosa (Corvette DP/Action Express Racing) et Allemendinger (Ford-Riley/Michael Shank Racing). En GT, Rast (Audi/APR), Lazzaro (Ferrari/AIM) et Lietz (Porsche/Magnus) étaient au coude à coude. Dès le restart, AJ Allmendinger était poussé hors de la piste par Joao Barbosa avant d'écoper dans la foulée d'une pénalité d'une minute. Juan-Pablo Montoya prenait rapidement la poudre d'escampette avec une avance de 8 secondes sur Angelelli à l'entame de la dernière demi-heure. Ganassi Racing et Velocity ont un peu joué au chat et à la souris pour savoir à quel moment allait arriver le splash & dash, et surtout d'attendre une éventuelle neutralisation qui ne viendra pas. A dix minutes du drapeau à damiers, rien à l'horizon, et c'est deux minutes plus tard que l'ancien pilote de F1 s'est engouffré dans la voie des stands, un tour avant son homologue de la Corvette DP. Juan-Pablo Montoya n'avait plus qu'à aller cueillir la 5ème victoire du Chip Ganassi Racing aux 24 Heures de Daytona. La dernière marche du podium est revenue à la Ford-Riley/Michael Shank Racing de Allmendinger/Wilson/Pew/Negri/Ambrose, à 55 secondes.

    Audi/Audi/Ferrari en GT...
    « Chaque tour durant la dernière heure a été un tour de qualification » nous confie Filipe Albuquerque, pilote de l'Audi/Alex Job Racing. Les derniers instants ont été très intenses pour les cinq premiers de la catégorie GT. Alex Job Racing a bien failli faire le hold-up avec l'Audi de Albuquerque devant la Porsche de Faulkner. Il ne fallait pourtant pas oublier la Porsche/Magnus de Lietz, l'Audi/APR de Rast, l'Audi/Rum Bum de Winkelhock et la Ferrari/AIM de Wilkins. A 20 minutes du terme, le stand Magnus fait passer le message à Richard Lietz de ne plus se préoccuper de la consommation et de tout donner. L'Autrichien était alors sous la pression de l'Audi de René Rast, très incisif avec un Markus Winkelhock au contact. Alex Job Racing faisait arrêter ses deux autos au même moment, si bien qu'à six minutes de la fin, Albuquerque menait un train d'enfer devant trois furieux, à savoir Winkelhock, Lietz et Rast. Le quatuor a offert une bagarre de haute volée, personne ne voulant lâcher le morceau. On pensait les positions figées au baisser du drapeau blanc où les trois Audi s'acheminaient vers un triplé avec Albuquerque, Rast, Winkelhock devant la Porsche/Magnus, mais Winkelhock et Lietz ont dû mettre un terme au train d'enfer, en proie à une panne d'essence. De trois Audi sur le podium, on passait alors à deux et la Ferrari 458 Italia /AIM Autosport de Assentato/Longhi/Stanton/Lazzaro/Wilkins n'en demandait pas tant pour s'installer sur la dernière marche du podium. L'équipage Balzan/Beretta/Pier Guidi/Frezza est aussi grimpé de deux places sur la Ferrari 458 Italia/Scuderia Corsa Michelotto pour échouer au pied du podium. La première Porsche s'est finalement classée 5ème, avec celle du Magnus Racing de Armindo/Lietz/Potter/Lally.

    Pour les débuts de la catégorie GX, les Porsche ont été à la fête avec un triplé. La Porsche Cayman/Napleton de Donohue/Lewis/Norman/Canache a connu une course tranquille en menant de bout en bout. L'équipage a devancé de six tours celle du Bullet Racing de O'Young/Rogers/Clay/Thomas/Thomson et BGB Motorsports de Davis/Eversley/Mosing/Foss/Tecce.

    Le classement de la course est ici.

    by Laurent Mercier(Endurance-info.com)

    » Miss Liz Chérie...The French Pin up Sensation ! »

    By Robert Schoehuys for the Pinup Speedshop calendar 2012
Stylisme: Juliette Blondel
    By Ewa Cieszkowska (Paris, FR)
Make-up: Emy Lee

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Stylisme: Juliette Blondel

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