British Classic Car Meeting 2013: The roads

This year, the British Classic Car Meeting will hold its 20th event in the Engadine. To celebrate, Classic Driver presents some very special exclusive photographs of parts of the ‘Jubiläumsstrecke’ route.

Maloja Pass



Rather than poring over the cars preparing to compete in this year’s BCCM, we thought we’d take a look at some of the most beautiful, yet challenging stretches of this year’s course. We asked Stefan Bogner of Curves magazine to select his best shots of the Jubiläumsstrecke for us – no doubt they’ll tide you over until the event, which is to be held in St Moritz from 11-14 July 2013.

Julier Pass



This year’s route is split into three sections. From a starting point in St Moritz, entrants will travel the Maloja Pass to the demanding Vicosoprano region and back. The second route sees a return trip from St Moritz to Bivio via the Julier Pass, while the third takes the group along the wondrous Albula Pass, reaching a heady altitude of 2,312 metres along the way.

Albula Pass



For the first time in the history of the BCCM, the driving and navigational skills of participants will be tested over three days, with a concours d'elegance taking place on the fourth. Additionally, a regulation rally on a surprise route will see entrants compete both individually, and in teams of four.

Related Links: For more information on the 2013 BCCM, including registration info and guidelines, visitwww.bccm-stmoritz.ch For a look back at last year's meeting, see our article: British Classic Car Meeting St. Moritz 2012: Full House For more Alpine pass photographs by Stefan Bogner, and news of his latest productions, please visit www.curves-magazin.com

Text: J. Philip Rathgen(ClassicDriver)
Photos: Stefan Bogner / Curves Magazin

Championnat de France GT ; SÉBASTIEN LOEB RACING AMBITIEUX POUR LE COUP D’ENVOI.

Après des débuts remarqués en Championnat de France GT, récompensés par une médaille de bronze au classement général et plusieurs podiums en 2012, le Sébastien Loeb Racing entamera ce week-end à sa deuxième saison avec une soif de vaincre toujours plus grande ! L'arrivée dans ses rangs d'un équipage Champion de France et la présence de deux McLaren MP4-12C ne laissent planer aucun doute sur les ambitions de l'équipe. Mais l'adversité sera vive...

Anthony Beltoise et Laurent Pasquali, qui avaient décroché le titre en 2011, font donc à nouveau cause commune pour cette nouvelle campagne. Les deux parisiens partageront une McLaren MP4-12C de l'écurie basée à Soultz-Sous-Forêts, tandis que la seconde monture sera confiée à Nicolas Maroc et Nicolas Tardif. Les deux "Nico" poursuivent ainsi la collaboration entamée l'an dernier lors de la finale du GT Tour 2012 au Castellet, déjà au sein du team Sébastien Loeb Racing.

Des équipages talentueux nécessaires pour venir se mesurer à la meute du GT Tour qui alignera sur la grille des "gros calibres", anciens pilotes F1 ou spécialistes GT, armés de machines redoutables.La première hiérarchie des forces en présence devrait découler des essais qualificatifs qui se dérouleront dans le berceau de l'endurance le samedi 27 avril à partir de 10h45. Les vainqueurs inauguraux de l'édition 2012 seront connus à partir de 17h00 (départ de la course à 16h00). Le feu vert de la course dominicale sera quant à lui donné à 12h30, pour une épreuve diffusée en live sur Eurosport.

Les réactions.

Anthony Beltoise (McLaren MP4-12C #8) : "Que de changements cette année ! Après huit ans passés au volant d'une Porsche, je découvre une nouvelle voiture, une nouvelle équipe. Il n'y a guère que mon équipier Laurent Pasquali que je connais : nous avons gagné le Championnat 2011 ensemble... et je suis très heureux de le retrouver ! Je suis également très content du choix d'une voiture ultramoderne et performante. Nous avons fait plusieurs jours d'essais et la première impression est bonne : le potentiel de la voiture est indéniable et elle est efficace. Le championnat sera très disputé et la concurrence forte. Il y a six McLaren, des BMW, des Porsche, des Mercedes... Tout d'abord, nous viserons la meilleure place parmi les McLaren, ensuite le top 3 à la fin du championnat même si avant toute chose nous regardons vers le titre. Enfin quel beau calendrier ! A Spa, la McLaren sera bien... Imola, une piste très rapide, très technique et puis dès cette semaine, le Bugatti..."

Nicolas Tardif (McLaren MP4-12C #9) : "Ce championnat va être très relevé tant au niveau des pilotes A que B. Nous serons tous tirés vers le haut. Au sein du team Sébastien Loeb Racing, nous serons portés par Anthony et Laurent qui ont la connaissance pour gagner. Quant à Nicolas (Marroc), il est pour moi une source de motivation. Il a une belle pointe de vitesse et est pédagogue. Notre objectif est d'être le plus rapide et le plus régulier possible. Nous sommes hyper motivés et notre ambition est maximum. La présence de Sébastien Loeb n'est certainement pas étrangère à cet état d'esprit."

Source : Sébastien Loeb Racing

SuperMoto :Michelin back at the highest level…/ Michelin de retour au plus haut niveau

After a seven-year absence from the sport, Michelin returns to the Supermoto World Championship in 2013. The FIM-sanctioned series permits open competition between tyre manufacturers.

Après sept saisons d’absence, Michelin est de retour en 2013 en Championnat du monde FIM Supermoto ouvert de nouveau à la concurrence entre manufacturiers.

Supermoto is a blend of motocross and circuit racing which combines fun, speed and spectacular drifting. It switched to a control tyre formula in 2006 but approaches from the riders and teams have now led to it permitting open competition between tyre firms once again.

Michelin has long been active in the French Supermoto Championship and has won the last three titles. This year, it will join its French partners as they step up to the world series.

The 2013 campaign will mark the return of Team Luc1’s Sylvain Bidard to the discipline’s premier competition after an absence of four years. “It’s an highly satisfying move for us, and also an honour to be representing Michelin at world level,” notes Team Luc1’s team manager Ludovic Lucquin. “The sport is growing fast and the return of competition between different tyre makes will bring added interested to the world championship.”

Other Michelin riders will include Stéphane Blot (Team Blot) and a dozen Italian riders.

Despite taking world crowns in 2004 with Thierry Van den Bosh (KTM) and in 2005 with Boris Chambon (KTM), Michelin is forecasting a lower key return to the discipline. “We will use the 2013 championship to get a feel for what is going on,” says Piero Taramasso, manager of Michelin Motorsport’s two-wheel programmes. “The Supermoto World Championship is extremely competitive. However, thanks to the quality of our products and the level of our riders, I think we will be able to target one or two wins and podium finishes.”

You will be able to follow the FIM Supermoto World Championship at www.motoracinglive.com

Discipline à mi-chemin entre le cross et la piste, le Supermoto allie à la fois fun, vitesse et glissade. Restreint à une seule marque de pneumatiques depuis 2006, le championnat du monde est de nouveau ouvert à la concurrence sous l’impulsion des pilotes et des teams.

Engagé depuis de nombreuses années en Championnat de France couronnées par trois titres acquis lors des trois dernières saisons, Michelin accompagnera ses partenaires français en Mondial Supermoto.

La saison 2013 marquera le retour de Sylvain Bidard (Team Luc1) au plus haut niveau après quatre saisons d’absence. « C’est une énorme satisfaction pour nous et un honneur de représenter Michelin en mondial » reconnait Ludovic Lucquin, team manager du team Luc1. « La discipline est en plein essor, le retour de la concurrence entre pneumaticiens donne vraiment beaucoup d’intérêt au championnat du monde. »

Michelin équipera également Stéphane Blot (Team Blot) et une dizaine de pilotes italiens.

Couronné en 2004 avec Thierry Van den Bosh (KTM) et Boris Chambon (KTM) l’année suivante, Michelin modère ses ambitions pour son retour. « Cette année sera une saison d’observation. Le championnat du monde Supermoto est très concurrentiel » admet Piero Taramasso, responsable Michelin Compétition 2 roues. « Mais compte tenu de la qualité de nos produits et du niveau des pilotes, nous tenterons de remporter des victoires et de terminer sur les podiums. »

Toute la saison du Championnat du Monde FIM Supermoto est à vivre surwww.motoracinglive.com

Calendrier 2013 :

28 avril	Capua	Italie
26 mai	Vairano	Europe
23 juin	Sosnovà	République  Tchèque
30 juin	Kuressaare	Estonie
14 juillet	Rijeka	Croatie
01 septembre	Carole	France
22 septembre	Sicile, Palerme	Italie

Maserati Quattroporte: Beauty and brawn

The original Frua-designed Quattroporte surprised many with its impressive performance but elegantly unassuming exterior. Forty years later, the same design ethic was very much behind the modern interpretation of the four-door saloon.

With the new 2013 model unveiled late last year, the Quattroporte (translated simply as ‘four door’) has now seen six iterations over 50 years. The fifth-generation model was introduced at the Frankfurt Motor Show in September 2004, and came with a Ferrari-derived 4.2-litre V8 developing 400bhp and propelling the car to a top speed of 170mph – not that its graceful saloon shape would suggest it.
The Quattroporte is a luxury limousine during the week, and a focused sports car at the weekend, capable of tackling cross-Continent highway jaunts to the Alps, where its dynamic performance can then be enjoyed on the twisty mountain roads, too.
The voluptuous, muscular styling was the responsibility of Pininfarina, and harks back to the original 1963 Tipo 107 Quattroporte. A lavish interior coupled sportiness with space and comfort, offering a virtually endless raft of personalisation options that included 10 shades of leather, and briarwood, rosewood or mahogany trim options.


But the evocative design could only carry the car so far commercially. It was far from perfect and early cars were somewhat flawed by their ‘Duo Select’ gearbox: an electro-hydraulic sequential manual controlled through steering-wheel-mounted paddles. It was poorly received – its fully automatic function clumsy and awkward while moving through stop-start traffic, and the manual mode slow and uncooperative when you wanted to take control. As a result, Maserati was forced to update the system and in 2007 the car’s underpinnings were heavily redesigned to accommodate a more conventional automatic gearbox connected directly to the engine, rather than at the rear axle.


Quality control appeared to have been thrown out of the window too, and interiors were strewn with cheap plastics and gaping panel gaps, not at all representative of a prestige product from the Trident marque.
Despite the issues, the original Quattroporte was arguably far better looking than its German rivals (and perhaps even its successor), and the sophisticated, practical appeal is a tempting proposition. Early cars are available for less than a third of their original price and, if you can surmount the niggles and the mid-teens consumption, Quattroporte ownership should offer a rewarding experience. Besides, being greeted by that timeless Pininfarina body every morning might on its own be worth the price.

Related Links The Quattroporte seen here can be found in the Classic Driver Marketplace

Text: Classic Driver
Photos: Ferrari Antwerpen