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    mercredi 29 mai 2013

    1953 Ferrari 340/375 MM Berlinetta Competizione sold for almost 10M EUR


    1953 Ferrari 340/375 MM Berlinetta Competizione

    Competed in the 1953 Le Mans 24 Hours

    A rare 1953 Ferrari 340/375 MM Berlinetta Competizione was sold at an auction for 9.850.000 EUR.
    1953 Ferrari 340/375 MM Berlinetta Competizione1953 Ferrari 340/375 MM Berlinetta Competizione
    One of the three cars that competed in the 1953 24 Hours of Le Mans went under the hammer at RM Auctions, together with other Ferrari models such as the 288 GTO, F40, F50, Enzo and the track-only 599XX. The winner who took home the 340/375 MM Berlinetta Competizione is allegedly from UK and has several other Ferraris in his garage, including the breathtaking 250 GTO.
    1953 Ferrari 340/375 MM Berlinetta Competizione
    The car is powered by a V12 4.5-liter engine producing 340 bhp (253 kW), mated to a four-speed manual gearbox. With a design penned by Pininfarina, the 340/375 MM Berlinetta Competizione is the only Ferrari works car known to be driven by world champions Alberto Ascari, Dr. Nino Farina and Mike Hawthorn.

    Full details about the vehicle can be found at the source link below.
    Source: RM Auctions
    via Worldcarfans

    Royal Enfield Bullet - Old Empire Motorcycles


    Here's a little piece of motorcycling trivia for you. Do you know why riders in the '40s and '50s ended up wearing flying jackets and aviator goggles? Give up? It's because many of the English and American guys who'd flown planes in WWII took up motorcycling as something to do after the war was over. It not only put a little thrill into their comparatively dull civilian lives, but forming clubs that met and rode regularly was a good way to stay in touch with airforce buddies. So in many ways, the biking culture that we all enjoy today was a product of bored flyboys. And what better way to acknowledge this than to build a bike that's a lot more khaki canteen than it is café. Here's the ‘Fox’, Old Empire Motorcycles’ latest build.
    Alec from Old Empire Motorcycles walked us through the build. “The classic bullet 500 design has changed little through the many decades past from its conception. And for good reason, such a simple design that looks great, sounds great and is the perfect platform to create something special.”
    “The bike's nacelle houses all the unsightlys perfectly and is completed by our custom ‘Sturney Bars’ which are designed to mimic the shape of the housing exactly. Leather adorns the bike from the little leather knee pads to the handmade battery satchel and fuse box, all carefully thought about to keep the balance of the build.”
    The boys chose the name ‘Fox’ for this, the first of five builds based around what they've learnt from their Origin and Progeny builds. It's closest relative is the rather amazing ‘Pup’ build, which we featured here previously. The bike's stance is achieved by a healthy amount of front end chop and a new set of short, Hagon shocks out back.
    In a patriotic cap doff to another Great British institution, the bike proudly wears both a Brooks saddle and leather-wrapped grips. These are kept company by some more leather accessories including the knee-pads, battery leather satchel, and leathered-covered electrical box. But unlike their Brooks counterparts, these ones were made by the OEM guys themselves.
    The tank was sourced from a Harley Sportster before being subjected to much pounding and welding at the hands of OEM's metal masters. Our eyes tell us that nothing so sleek could have possibly come from a Milwaukee mule, but that would be underestimating the obvious skills Alec and the boys possess.
    Other beautiful details of note include the elegantly hidden indicators, brass filler caps, hand-made distributor cover and a blue tinted and capped headlight to allow the bike to be ridden at night without attracting too much attention from those damn Gerry bombers overhead.
    All up, I'm sure you'll agree that OEMs skill in manufacture of understated classics from a bygone era of motorcycling are second to none. And for those who like what they see, Alec has telegraphed us confirming that there's plenty more bikes in the hangar. Watch this space.
    from PIPEBURN

    THE RED TRACKER – YAMAHA SCORPIO ’08




    Spesifikasi :
    • Body Custom by STUDIO MOTOR Custom Bike
    • Painting & Airbrush by KOMET Studio
    • Shock Depan Teleskopik 41 mm Yamaha Byson
    • Velg Depan TK Japan 18X3.00 Inch + Shinko SR428 130/80-18
    • Velg Belakang Custom 14X5.00 Inch + Shinko SR428 180/80-14
    • Stang ZOX
    • Karburator Keihin PE28
    • Filter Udara TDR
    • Rantai + Gir TK Japan
    • Exhaust System Custom by Flash Muffler Custom
    • from Studiomotor.com

    V de V Endurance : DES BEAUX PLATEAUX ATTENDUS SUR LE TRACÉ VAROIS DU PAUL RICARD.


    Dans quelques jours, les V de V Endurance Series s'installent au Paul Ricard pour trois journées de compétition. Courses sprint ou endurance, voitures modernes ou anciennes, GT, monoplace ou sports prototypes, toutes les disciplines sont représentées pour un week-end qui promet d'être passionnant, sur la piste comme en dehors. Eric Van de Vyver et son équipe ont concocté un programme riche pour ces journées pendant lesquelles les temps morts seront peu nombreux ! Le spectacle sera aussi dans les paddocks puisque diverses animations sont également prévues pour fêter ce passage des V de V Endurance Series sur le magnifique site du circuit varois.

    Le Village V de V sera installé derrière la tribune des stands avec des espaces ludiques pour les adultes et les enfants, des expositions, et des stands de vente. A noter également que la piste de karting aux abords du circuit sera ouverte. Tout au long du week-end, les grid girls et Red Bull accompagneront le public dans les paddocks et dans les tribunes pour leur offrir boissons et friandises, tout en oubliant pas de mettre l'ambiance avant le départ de chaque course. On compte aussi sur la fanfare Pena de Martigues pour donner du rythme et de la bonne humeur à ces journées au Castellet !

    Après une grosse journée d'essais, libres puis qualificatifs, le vendredi, les premières courses seront lancées dès 9h le samedi, avec la première des trois manches du championnat Monoplace V de V ; les Funyo entreront en piste dans la foulée. Les catégories GT/Tourisme et Protos se qualifieront, elles, le samedi pour ensuite disputer leur endurance de 4 heures le dimanche. Quelle que soit la discipline, les pilotes sont ultra motivés pour aller chercher le meilleur chrono durant les manches de qualifications, que ce soit pour bien figurer sur la grille de départ, ou pour défendre une bonne place au championnat qu'ils ont pu acquérir après les deux premières épreuves disputées en Espagne et en Italie. Les V de V Endurance Series, toujours soutenues par Michelin et d'autres fidèles partenaires, attendent donc un public nombreux. À n'en pas douter, le spectacle et la bonne humeur seront au rendez-vous, que l'on soit dans les paddocks ou dans les tribunes du Paul Ricard.


    Endurance VHC
    Les passionnés de véhicules historiques ne vont pas manquer ce premier rendez-vous de la saison. Qu'on se le dise, ces voitures sont bien là pour en découdre sur la piste et pas pour s'exposer « gentiment » dans les paddocks ! Pour autant, chacun pourra tout de même aller les admirer de plus près entre les différentes séances de roulage programmées, mais c'est surtout dans l'action que l'on admire la beauté de ces anciennes mécaniques. Emmenées par des pilotes habitués à jouer les funambules pour garder la trajectoire, ces voitures dépourvues d'électronique, et à l'adhérence logiquement inférieure aux GT et protos modernes, offrent souvent de belles dérives contrôlées qui ravissent le public. De nombreuses catégories composent ce plateau Endurance VHC des V de V Endurance Series, mais l'on peut déjà constater que de nombreux protos seront au rendez-vous du Paul Ricard ; une tendance à la hausse depuis les saisons passées. L'équipe Courage Classic vient avec une magnifique Chevron B60 (Jean Legras / Jean-Philippe Debrie), de même que Châteaux Sport Auto avec une Chevron B19 (Frédéric Da Rocha / Patrice Lafargue) restaurée à la perfection. Une troisième Chevron, une B36 de 1976, sera pilotée par le Britannique Nigel Greensall et l'Américain Richard Bryan. Les Lola ont aussi grandement participé à l'histoire de l'endurance. On les retrouve donc logiquement ici aujourd'hui avec la T210 (1970) du duo anglais Gathercole/Brashaw et la T70 Spyder (1966) de David Ferrer et Mister John of B. Deux autres Lola T70 (MK2 - 1966 et MK3B - 1970), engagées par l'équipe PWRT, sont également attendues. Deux Osella sont engagées par Wassermann Racing : une PA 6 de 1976 (Christian Perrier / Gérard Bouvet) et une PA 8 de 1979 (Gérard Pargamin). Chez Méca Moteur, Yann Le Calvez pilotera, lui, une très jolie Elva Mk8. Enfin, les connaisseurs ne pourront s'empêcher d'admirer la sublime Porsche 906 de 1966 de Sylvain Régnier ; et des Porsche on en retrouve aussi un panel complet du côté des GT.

    Aux côtés de l'armada des 911, on retrouve la 914/6 de Corse GSM, pilotée par Louis Antonini. Pour le reste, les Porschistes auront l'embarras du choix dans le viseur de leur appareil photo : 3.0 RS 1974 chez LD Racing ; 3.0 SC 1987 chez Classic Team 74 ; 2.8 RSR 1973 chez Scuderia Cubana ; 3.3 Turbo 1978 pour l'écurie d'Armagnac 911 ; 3.0 RS 1974 chez Force Motorsport ; 2.8 RSR 1974 pour Crubilé Sport... Au total, on retrouve ainsi une douzaine de Porsche sur ce plateau Endurance VHC ! On a l'habitude de voir rouler les Allemandes dans ces catégories historiques, mais elles ne seront pas les seules à prétendre à la victoire. Les De Tomaso Pantera sont des voitures impressionnantes à plus d'un titre, elles seront deux au départ au Castellet : la première de l'équipe ART avec Denis et Jean-Claude Allemang, et la seconde engagée par Karl Pedraza. Les deux Alfa Roméo Giulia de XP Racing et du GB Team feront tout pour être dans le rythme, tout en se disputant la meilleure place dans leur catégorie tourisme. Enfin, Eric Van de Vyver ne rate jamais une occasion de faire rouler sa TVR Griffith 200 (1964), et il sera accompagné par le journaliste du magazine Echappement Pierre Gary.

    La liste des engagés est  

    Vainqueurs Paul Ricard 2012 : Moreau/Langin - Porsche 911 3,0 RSR (Gr.4) - Polybaie


    Endurance GT/Tourisme
     Le challenge GT/Tourisme reste l'un des plus appréciés. Non pas que les autres disciplines soient inintéressantes, mais c'est en premier lieu parce que le public aime venir découvrir les versions compétition des Supercar que l'on rêve tous d'avoir dans le fond du garage un jour. Ferrari F458, Porsche GT3, Audi R8, Dodge Viper, Chevrolet Corvette ou quelques véhicules plus « exotiques » comme les impressionnantes Mosler MT 900. Un beau panel de GT à admirer, d'autant que deux impressionnantes Mercedes SLS GT3 vont se joindre à ce peloton d'une trentaine de voitures. On retrouvera, entre autres, à leur volant les Suisses Philipp et Manuel Zumstein dans cette écurie du G-Private Racing. On parlait de Ferrari F458, on attend aussi au départ celle du JMB Racing, qui est une version GT3.

    Le Paul Ricard est la troisième épreuve du calendrier 2013, et les débats sont déjà bien entamés en tête de la catégorie principale, le GTV 1. La Porsche du Crubilé Sport et la Ferrari de l'équipe Visiom sont à égalité de points en tête du classement après le Mugello. On espère d'ailleurs que la F458 de Jean-Paul Pagny aura pu réparer sa boîte de vitesses après avoir fini la dernière épreuve bloquée sur le 5e rapport. La GT3-R de Gibon/Belloc (IMSA Performance Matmut) est 3ème au général, mais avec un retard anecdotique de seulement 3 points. Autant dire que ces trois voitures sont pour le moment côte à côte ; le Paul Ricard sera donc pour elles l'occasion de tenter de prendre une véritable avance au classement. Derrière, la bataille fait rage et certains pourront même se joindre d'ici la fin de saison au trio des leaders, car d'autres pilotes ont déjà pu démontrer tout leur potentiel, même s'ils ont parfois joué de malchance ; on pense notamment à la GT3-R de Frédéric Ancel.

    Dans la catégorie suivante, le GTV 2, c'est la performante équipe de Porsche Lorient Racing qui est aux avant-postes avec deux voitures placées en tête au général. La 997 Cup S n°63 de Lelièvre/Neyrial/Polette devance la 997 Cup S n°36 de Demorge/Roy/Demorge. Un beau doublet, mais l'Audi R8 LMS d'AB Sport Auto (Chaix/Teneketzian) n'est pas si loin avec 22,5 points, contre 39 pour les premiers et 24 pour les seconds. Accidentée en Espagne, elle n'a donc pas marqué de points, mais a fait une magnifique course au Mugello en terminant 4e et en s'imposant dans sa catégorie GTV 2. Attention aussi à la Mosler d'Eric Van de Vyver et Thierry Proust, qui n'est pas si loin, et qui fera tout pour revenir sur le podium de la catégorie GTV 2. On sait d'ailleurs qu'Eric affectionne particulièrement ce circuit du Castellet.

    En GTV 3, Richard Feller et Manuel Nicolaidis ont réalisé une très belle course au Mugello sur la Porsche 997 Cup de RMS. C'est d'ailleurs cette voiture qui est en tête de la catégorie, du moins en ce qui concerne Manuel Nicolaidis, puisque Richard Feller n'avait pas disputé la 1ère manche du championnat. Seconde en GTV 3, la Cup de Porsche Alméras va devoir redoubler d'efforts pour revenir sur le leader.

    En GTV 4, la Ginetta G50 de l'équipe espagnole de Escuela Española de Pilotos continue son chemin, et du côté des silhouettes S1, c'est toujours l'originale SF V8 Yacouba de Solution F qui mène le bal. Si les deux premières épreuves de la saison se sont déroulées sur une durée
    de 6 heures, ici au Castellet, les GT s'élanceront pour une course de 4 heures, le dimanche après-midi en clôture de ce week-end au Paul Ricard.

    Vainqueurs Paul Ricard 2012 : Milesi/Narac - Porsche 997 RSR (GTV 1) - IMSA Performance Matmut

    La liste des engagés est ici 

    Endurance Proto
     Deux courses disputées dans ce championnat 2013, et de magnifiques batailles à tous les niveaux, que l'on parle des leaders ou des duels au sein du peloton. Cette lutte acharnée se traduit par un classement général encore indécis, une chose plutôt logique puisque nous abordons ici, au Paul Ricard, la troisième des sept courses prévues au championnat. Une seule chose est sûre, et surtout en endurance, c'est la constance tout le long de la saison qui paye au-delà de belles performances sur certains rendez-vous. La Norma n°8 de TFT (Capillaire/Cavailhes/Doguet) pointe ainsi aux avant-postes avec 51 points, en ayant pourtant terminé deux fois sur la 3ème marche du podium, à Catalunya puis au Mugello. Les vainqueurs en Espagne (Norma n°40 Palmyr - Mondolot/Zollinger/Fargier) et en Italie (Wolf n°45 Avelon Formula - Latif/Bellarosa) sont, quant à eux, troisièmes ex æquo au championnat, puisque chacun de ces équipages a réalisé un score vierge en dehors de leur victoire. Sur la Norma n°1 de CD Sport, c'est Thomas Accary qui réussit à inscrire son nom à la deuxième place du général. Même logique de calcul pour les 5e ex æquo (Tatuus MSR Corse Bernoldi/Sernagiotto/Lacorte et Norma CD Sport Delafosse/Bossy) puisque les pilotes ont à la fois réalisé une belle performance et un zéro pointé sur l'ensemble des deux premières manches.

    D'autres équipes avaient fait l'impasse sur l'épreuve italienne, mais sont de retour ici, c'est par exemple le cas des deux Ligier JS 53 engagées par l'écurie de Philippe Alliot, Springbox Concept.

    On approche la trentaine de voitures pour ce rendez-vous du Paul Ricard, la course, comme les séances de qualifications, devrait donner lieu à de belles passes d'armes, que ce soit face au chrono, dans les dépassements sur la piste, ou dans les chassés-croisés au sein des stands. Performance et stratégies de course sont les valeurs essentielles de l'endurance, les premières épreuves nous ont démontré qu'à la fois le leader pouvait plonger dans le classement au fil des heures et, qu'à l'opposé, on pouvait viser le top 5 même en partant loin sur la grille. On est ici sur une épreuve de 4 heures (contre 6h en Espagne et en Italie), il y aura donc un tiers de temps en moins pour espérer rattraper un retard ou une erreur. Les stratégies dans l'ordre de passage des pilotes, notamment entre pros (pilotes A) et genlemen drivers, peut ainsi être l'une des clés de la réussite.De nombreux engagés en Endurance Proto connaissent bien cette piste du Paul Ricard, les temps devraient donc être assez proches, et l'on s'attend aussi à une belle bataille pour décrocher le meilleur tour en piste de ce week-end. Ligier, Tatuus, Wolf, Norma, les quatre constructeurs engagés dans les V de V Endurance Series ont les moyens d'aller chercher une place sur le podium pour cette première course dans l'hexagone.

    Vainqueurs Paul Ricard 2012 : Bellarosa/Latif - Wolf GB08 - Avelon Formula

    La liste des engagés est 

    Source : VdeV Endurance Series
    via Endurance-Info