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    mercredi 20 novembre 2013

    Mike di Meglio arrive en MotoGP™ avec Avintia Blusens


    mike di meglio avintia blusens
    Engagé par le team JiR en Moto2™ cette année, Mike di Meglio s’était fait une double fracture du sacrum (os du bassin) dans un violent highside le 25 août dernier à Brno, lors du GP de République Tchèque. Le Français a dès lors été contraint à rester immobilisé pendant de longues semaines, afin de laisser ses fractures se résorber, et à renoncer à la seconde partie de sa cinquième saison dans la catégorie intermédiaire. 
    Après cette difficile période qu’il a passée chez lui et dans l’incapacité de s’entraîner, le Champion du Monde 125cc 2008 a pu reprendre la piste la semaine dernière à Valence, lors du premier Test Officiel de la pré-saison MotoGP™ 2014. Le Toulousain retrouvait à cette occasion le team Avintia Blusens, avec lequel il avait déjà essayé la FTR-Kawasaki l’an dernier et chez qui il devrait bientôt être officialisé pour faire sa première saison dans la catégorie reine l’an prochain.
    Mike, la semaine dernière tu roulais pour la première fois depuis plusieurs mois. Où en es-tu de ta récupération et comment se sont passés ces tests sur le plan physique ?
    « Au niveau de ma blessure et d’où elle était placée, je n’ai pas du tout eu de douleur. Il fallait que je fasse attention, que j’évite de chuter, mais maintenant c’est bon. Les essais ont surtout été durs physiquement parce que ça faisait trois mois que je n’avais pas fait de moto ou de sport, et que j’étais resté allongé un mois et demi dans un canapé. Ça a donc été compliqué physiquement, surtout à Valence parce que c’est un circuit qui tourne beaucoup à gauche et qui est physiquement éprouvant. Au début je n’arrivais pas à faire plus de trois ou quatre tours et c’était compliqué de me remettre au MotoGP en ne faisant que des petits runs. »
    Et les essais en eux-mêmes ?
    « A Valence ça a été compliqué, le résultat était bien vu de là où je venais, étant donné que ça faisait longtemps que je n’avais pas roulé et que je n’étais pas du tout prêt physiquement. Je n’étais pas très loin des pilotes qui étaient devant moi mais c’était compliqué d’évoluer en faisant aussi peu de tours. Après on est parti à Aragón et ça allait beaucoup mieux là-bas, j’ai pu faire des runs plus longs, étudier plus de choses sur mon pilotage et mieux m’adapter à la MotoGP. J’ai franchi une autre étape sur mon pilotage, c’était mieux et j’étais donc assez satisfait. Je pense que je peux faire beaucoup mieux mais le problème est que physiquement, je suis encore limité. On aura d’autres essais à Jerez la semaine prochaine (du 27 au 29), je serai en meilleure forme que lors des derniers essais mais je ne serai pas encore à 100%. L’important sera donc d’avoir un bon entraînement hivernal pour que je puisse retrouver ma condition physique. »
    Qu’as-tu pensé de la FTR-Kawasaki ?
    « Elle m’a beaucoup plu. Je l’avais essayée l’an dernier à Brno et depuis elle a bien évolué. Je suis vraiment content des sensations que j’ai eues. »
    Où en sont les négociations avec le team ?
    « On est en train de fignoler les détails et ça devrait être signé la semaine prochaine. »
    Ce sera donc ta première année en MotoGP™. Dans quel état d’esprit abordes-tu cette nouvelle étape dans ta carrière ?
    « Je suis déjà très content du travail qu’on a fait durant ces quatre journées d’essais. J’ai vraiment apprécié d’avoir une grande structure derrière moi, une équipe très professionnelle et tout le travail qui a été fait. Après il faudra voir comment se comporte le nouveau châssis. On va avoir beaucoup d’essais cet hiver et on va essayer d’évoluer pour que je puisse, au fil de la saison, me rapprocher de mon coéquipier (Héctor Barberá) et des pilotes qui seront devant. Il faudra voir ce que vaudra notre moto par rapport aux autres mais je pense qu’il faudra surtout se battre contre soi-même en essayant de tout le temps aller le plus loin possible, sans trop se focaliser sur les autres. »
    Il y a beaucoup de différences au niveau du matériel entre le Moto2™ et le MotoGP™, notamment en ce qui concerne l’électronique, un domaine dans lequel tu vas avoir beaucoup de choses à découvrir…
    « Pour mes premiers essais on a essayé de partir sur la base d’Aoyama, qui utilisait très peu d’électronique, c’est une configuration qui me convient plus que celle que j’avais utilisée l’année dernière à Brno, où j’avais une moto qui avait beaucoup d’assistances. L’équipe m’explique comment tout fonctionne, moi j’apprends, après j’ai un style de pilotage où j’aime beaucoup utiliser la puissance de la machine. Il faut donc que je gagne en expérience, au fur et à mesure, et eux ils vont essayer de comprendre ce dont j’ai besoin pour aller plus vite. »
    Tu seras donc en piste à Jerez la semaine prochaine et ensuite, quel sera ton programme pour la trêve hivernale ?
    « Avec ma blessure, j’ai eu une longue période de repos avant l’hiver, même si j’aurais préféré finir la saison avec JiR, et maintenant je vais pouvoir me préparer à fond, à Toulouse, où je vais être entouré de professionnels qui vont m’aider à progresser physiquement. Je suis resté trois mois dans un canapé alors on va dire que j’ai eu ma période de repos avant l’heure ! »

    Out of Nothing

    This is the inspiring true story of four tenacious men from the Pacific Northwest and their journey to conquer the world records of motorcycle land speed racing at the Bonneville Salt Flats. This rare and special film will remind you how perseverance against all odds can send the most unlikely men roaring into glory.



    1958 BMW 507 SERIES II ROADSTER


    BMW 507 Roadster 740x414 1958 BMW 507 Series II Roadster
    The BMW 507 Roadster is a car that was built by BMW between 1956 and 1959, despite its beauty the 507 almost bankrupted the company and by the time production ceased, only 252 had been made.
    Despite its Germanness, the 507 was actually the idea of an Austrian-born American man by the name of Max Hoffman. Hoffman was the largest importer of european cars into the United States and frequently made recommendations to marques like Mercedes-Benz, BMW, Alfa Romeo and a number of others. He’s credited with conceiving a number of cars including the Mercedes-Benz 300SL Gullwing, the Alfa Romeo Giulietta Spider and the now iconic Porsche 356 Speedster.
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    Hoffman spent significant time talking to the heads of BMW about cars that were missing from their vehicle line-up in the mid to late 1950s, his idea for the BMW 507 Roadster was to create a sports convertible based on the BMW 501 and BMW 502 saloons. It would be priced at a point between the expensive 300SL and the comparatively cheap Porsche Speedsters, Austin Healeys and MGs.
    Powered by an aluminium alloy, BMW OHV V8 with a capacity of 3168cc the 507 produced 150hp at the rear wheels and was fitted with a close ratio 4-speed manual transmission. The 507 could make the 0-62 dash in 11.1 seconds and had a top speed of 122mph – both very reasonable numbers for a sports car of the late-50s.
    BMW 507 740x414 1958 BMW 507 Series II Roadster
    The stunning design of the car was created by Albrecht von Goertz (chosen at Hoffman’s insistence) and all of the body panels are hand-beaten aluminium. It’s interesting to note that no two 507s are identical and as a result each of their soft-tops had to be made specifically for the car it would be attached to. The roof from one car wouldn’t fit the one next to it, a complication that contributed to the spiralling costs of the project.
    Despite (or perhaps because of) the BMW 507s high sticker price when it was released, it won over a number of celebrity owners. Elvis Presley had one that he eventually gave to Ursula Andress. John Surtees had one and even Bernie Ecclestone owned one for a time before selling it at auction for $904,000 in 2007.
    The value of the remaining 202 507s is increasing its meteoric rise, the value of the car shown here is estimated to be between $1 million and $1.4 million, but we won’t know for sure till it rolls across the auction block in New York with RM Auctions on the 21st of November 2013.
    BMW 507 Engine 740x555 1958 BMW 507 Series II Roadster
    BMW 507 Front 740x596 1958 BMW 507 Series II Roadster
    BMW 507 Interior 740x555 1958 BMW 507 Series II Roadster
    BMW 507 Side 740x414 1958 BMW 507 Series II Roadster
    Photo Credits: Michael Furman ©2013 Courtesy of RM Auctions
    via SILODROME

    CAFE RACER DREAMS BMW R90/6


    BMW R90/6 cafe racer
    Some custom motorcycles are so outlandish that they grab your attention immediately, while some are so understated and classy that, once you notice them, you can’t look away. Case in point: Cafe Racer Dreams‘ #38.
    This stunning ’74 BMW R90/6 belongs to José Martín Espinosa, a prominent figure in the Spanish fashion industry. He commissioned the build after a series of email conversations with CRD and a couple of visits to their Madrid headquarters, fully entrusting the creative direction to them.
    BMW R90/6 cafe racer
    The Beemer’s stance has been altered by shortening the forks and swapping out the rear suspension for shorter-than-stock Hagon units. A shorter, hand crafted subframe supports the custom made seat. The battery has been relocated to underneath the swingarm, leaving the area behind the airbox free of clutter save for the ignition, which has been moved to under the seat.
    BMW R90/6 cafe racer
    Both fenders are stock BMW items—the original front fender has been adapted to fit the rear, and a R100 fender fitted to the front. Along with the tank, they’ve been sprayed a luxurious black with subtle white pinstriping—true to the original paint scheme. Bespoke fender braces add to the bike’s overall classic appeal, as do the crash bars and Firestone Deluxe Champion tyres.
    BMW R90/6 cafe racer
    CRD turned to their own catalogue for finishing kit—the turn signals, tail light, Renthal Ultra-Low bars and mufflers can all be bought from their online store. The headlight is also a CRD unit, but it’s been modified to house a Motogadget speedometer and various controls. On the handlebar, Motogadget’s stealthy m-Switch units replace the standard BMW switches.
    BMW R90/6 cafe racer
    I once asked CRD’s Pedro García what his personal design philosophy was. His reply was: “Less is more, and pay full attention to the final finish.” In my opinion, CRD #38 is the epitome of this philosophy. An elegant vintage custom, with a host of finer details that only become apparent as you dig deeper.
    Check out previous CRD builds in the Bike EXIF Archives, and keep up with CRD’s news on their Facebook page. Images courtesy of Rafa Gallar.
    BMW R90/6 cafe racer
    fromBIKEEXIF