vendredi 11 avril 2014
1934 Moto Guzzi V
Written by Ian Lee.
It must be said that today we take a lot for granted. Go back 80 years and things would be very different. No mobile phones, no internet, and riding a motorcycle was an adventure in itself. This was the era that Triumph deemed automatic engine lubrication to be superfluous, that the riders of their machines could be trusted to manually work the oil pump as the bike needed it. Could you imagine doing that today on your UJM or custom? This was also the era that a small motorcycle firm named Moto Guzzi came to prominence. From their initial launch in 1921 of the ‘Normale’ model, the Guzzi brand thrived and made a name for itself by showing the passion Italians are so well known for. Today’s feature bike comes from the fledgling days of Moto Guzzi, just over a decade after the initial model launch, this V model bike was born. And 80 years on it looks just as good as ever.
Pumping out 18hp at 4300rpm, the horizontal single cylinder OHC motor can push the bike to a dizzying (for it’s day) 120kmh. Although the model V bike was produced from 1934-40, the engine evolved over the years, culminating in the racing engine found in the ‘Dondolino’ sports model of the 1950s. The engine technology is definitely agricultural, but aesthetically pleasing. External valve springs, a decompression lever and open face ‘bacon slicer’ flywheel make up componentry that in it’s day was the norm, but have all been relegated to motorcycle Valhalla.
Today’s bike is in the ownership of photographer Marc Schneider, a motorcycle fan who inherited the V after his father passed on. Marc’s father picked up the big red bike along with a Super Alsace as part of a package deal in 1981, and with little history known about this V model. The Moto Guzzi V was parked in a garage for over three decades and on inheriting it Marc adjusted the timing, fiddled with the carbs and the bike started with no issues.
By Marc’s own admittance, the bike is far from perfect, but he wouldn’t change it. As such, a breakdown on the way to the studio for the photoshoot, left the Moto Guzzi not running and a kilometre away from the studio. Such is the fun of owning a vintage motorcycle.
It’s not all doom and gloom though. According to Marc: “Fiddling with the friction dampers and the ignition timing is fun. And the sound the old thumper makes a joy. That’s why I’m happy to ride a bike that has lived for 80 years – and I’m looking forward to the next 80 years.”
via PIPEBURN
Hervé, 60 ans, au départ d’un tour de France TT
Dimanche 13 avril, Hervé va entamer une belle aventure et réaliser son rêve d’enduriste : il partira du Touquet pour un Tour de France Moto par les chemins, «à la découverte des habitants et des régions». Un projet qu’il murit depuis de longs mois et qui lui a demandé pas mal de préparatifs, notamment pour se faire guider dans les différentes régions qu’il va traverser, mais aussi pour organiser l’assistance de ce périple. «Enduriste depuis plus de 40 ans, j’aime les voyages «Découverte». Pourtant mon rêve le plus ancien était de découvrir mon pays par les chemins à moto. La France est un concentré incroyable de reliefs, de végétations, de climats différents.
J’aime les chemins, comprendre les reliefs, le sol, chaque mouvement de terrain chaque caillou entre lesquels poser une roue. L’obsession d’avoir compris parfaitement les éléments du chemin pour rester sur mes 2 roues envers et contre tout. A 60 ans je voulais mener ce projet avec ceux qui peut-être en rêvent aussi mais n’ont pas le temps de l’organiser.» explique-t-il.
Les principes de son Tour de France
• Avril-mai 2014 : milieu de printemps, journée longue et lumière idéale. Climat agréable.
• Un groupe de 8 personnes maximum pour rester discret.
• 60 guides pour faire découvrir leurs régions, 35 étapes de 170 km en moyenne pour environ 5500 km dont 90% de chemins, soit 6 semaines avec 2 jours de repos par semaine.
«J’ai pris les premiers contacts sur des forums. Il y a eu des réactions d’admiration mais aussi de doute, puis petit à petit le sentiment que c’était un vrai projet avec une véritable envie d’y participer s’est dégagé. Puis j’ai rencontré à l’occasion de voyage une bonne moitié des guides, ce fut l’occasion de rencontres extraordinaires. J’ai pris conscience que l’enduro est à la fois individuel et très collectif car nous sortons toujours en groupe pour pouvoir s’entraider. J’ai ressenti la volonté des uns et des autres de partager le plaisir de faire découvrir sa région. Cette grande boucle nous la ferons à 2. Des copains de motos ou des enduristes rencontrés via les forums nous rejoindront ponctuellement. Des amis et des personnes de nos familles nous accompagneront aussi pour quelques journées et partager l’aventure. »poursuit Hervé.
«Techniquement tout est prêt : reste la crainte de ne pas être à la hauteur malgré une bonne forme physique. Mais la peur n’évitant pas le danger et avec l’aide de tous nos guides le parcours devrait se faire sans problème majeur !»
Hervé dispose de deux motos pour son voyage une Honda 250 XR de 1996 et une 650 XR de 2000 avec un gros réservoir : «Je pourrai choisir en fonction des étapes, et cela me permettra d’en mettre une à dispo si quelqu’un veut rouler avec moi.»
Un blog permet de connaître le projet et de suivre l’aventure au jour le jour :
http://tdfrancemoto.blogspot.fr/
Nous ne manquerons pas de relater sur enduromag.fr le Tour de France d’Hervé.
J’aime les chemins, comprendre les reliefs, le sol, chaque mouvement de terrain chaque caillou entre lesquels poser une roue. L’obsession d’avoir compris parfaitement les éléments du chemin pour rester sur mes 2 roues envers et contre tout. A 60 ans je voulais mener ce projet avec ceux qui peut-être en rêvent aussi mais n’ont pas le temps de l’organiser.» explique-t-il.
Les principes de son Tour de France
• Avril-mai 2014 : milieu de printemps, journée longue et lumière idéale. Climat agréable.
• Un groupe de 8 personnes maximum pour rester discret.
• 60 guides pour faire découvrir leurs régions, 35 étapes de 170 km en moyenne pour environ 5500 km dont 90% de chemins, soit 6 semaines avec 2 jours de repos par semaine.
«J’ai pris les premiers contacts sur des forums. Il y a eu des réactions d’admiration mais aussi de doute, puis petit à petit le sentiment que c’était un vrai projet avec une véritable envie d’y participer s’est dégagé. Puis j’ai rencontré à l’occasion de voyage une bonne moitié des guides, ce fut l’occasion de rencontres extraordinaires. J’ai pris conscience que l’enduro est à la fois individuel et très collectif car nous sortons toujours en groupe pour pouvoir s’entraider. J’ai ressenti la volonté des uns et des autres de partager le plaisir de faire découvrir sa région. Cette grande boucle nous la ferons à 2. Des copains de motos ou des enduristes rencontrés via les forums nous rejoindront ponctuellement. Des amis et des personnes de nos familles nous accompagneront aussi pour quelques journées et partager l’aventure. »poursuit Hervé.
«Techniquement tout est prêt : reste la crainte de ne pas être à la hauteur malgré une bonne forme physique. Mais la peur n’évitant pas le danger et avec l’aide de tous nos guides le parcours devrait se faire sans problème majeur !»
Hervé dispose de deux motos pour son voyage une Honda 250 XR de 1996 et une 650 XR de 2000 avec un gros réservoir : «Je pourrai choisir en fonction des étapes, et cela me permettra d’en mettre une à dispo si quelqu’un veut rouler avec moi.»
Un blog permet de connaître le projet et de suivre l’aventure au jour le jour :
http://tdfrancemoto.blogspot.fr/
Nous ne manquerons pas de relater sur enduromag.fr le Tour de France d’Hervé.
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60 ans,
au départ d’un tour de France TT,
Hervé
DP Customs 2001 Triumph Bonneville
Written by Martin Hodgson.
When you’re a workshop that specialises in Ironhead Harley-Davidson’s and a customer asks you to build them a custom 2001 Triumph Bonneville, there is only one way to prepare, boil the kettle and start watching Guy Ritchie films. And that is exactly what Brothers Jarrod and Justin Del Prado of DP Custom Cycles did when they were approached to build their first British bike. The customer request was clear; a simple and clean looking bike, dark in colour and fun to ride but the spanners they were swinging would have to change.
Having exclusively built custom Harley’s the DP Brothers had one problem, virtually no metric tools with which to work. Their impressive collection of imperial hardware would get a well-earned rest as they set about transforming the Bonnie into the sleek custom that stands before you. With the engine removed from the bike, FCR 39mm Keihin carbs were fitted and a custom 2 into 1 exhaust and handmade muffler were designed and fabricated to get the Triumph drinking and breathing properly.
The suspension is vastly improved with progressive springs at the front end and an impressive pair of Works shocks at the rear. Pulling the Bonnie to a halt is a Brembo caliper up the pointy end powered by an ISR master cylinder, while the rear now benefits from an EBC rotor and EBC high performance pads being final piece in the stopping puzzle. Adding to the tough look of the bike, something synonymous with DP Custom cycles, is a blacked out set of wheels and Avon Distanzia rubber.
With parts from some of the best manufacturers in the world fitted the DP Brothers then showed off their fabrication skills with the beautifully crafted seat pan and sheet metal tail section that now hides a Ballistic battery. Never to do anything by half measures the boys then rewired the bike from scratch, a process very different to a Harley, while no stone was left unturned until it was perfect and the last of the electrical components were hidden under the seat in a custom enclosure. Brandon at Walkers Way did the paint work and according to Jarrod “He lays matte clear on like a surgeon.”
Finishing off the Bonnie is set of Biltwell Inc. Tracker bars, aluminium throttle, and grips. With their first British bike build behind them DP Customs are now confident they’ve cracked the Triumph code learning all the little idiosyncrasy of the mark along the way. From the different wiring, to the clutch cover bearings that required a custom tool to remove and even the extra effort needed to do simple jobs like remove engine covers. “In the end, we learned we’ve got the minerals to do a Triumph!” enthused Jarrod Del Prado.
So while DP Customs have named the bike “Rusi” it’s hard not to go back to the beginning of this bikes Guy Ritchie inspired build and find a character that best represents this Bonneville. A take no prisoners, tough looking Brit with American hardware and Bullet-Tooth Tony the London Bounty Hunter with his Desert Eagle .50 is exactly that. But as Tony would say, when you’re as tough as this Triumph, with the bite to match the bark, “You can call me Susan if it makes you happy.”
via PIPEBURN
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