CAFÉ RACER 76

Is the Alfa Romeo 6C 2500SS Villa d'Este the most elegant classic car ever?

As one of the high points in Alfa Romeo’s fruitful relationship with coachbuilder Touring, the 6C 2500SS Villa d’Este Coupé epitomises automotive elegance – and that applies beneath the graceful coachwork, too…

The proportion-perfect 6C 2500SS Villa d’Este Coupé was the last in a long line of legendary six-cylinder Alfa Romeos, a breed that had enjoyed fame and competition fortune during the inter-war years. While its developmental roots lay back in the mid-20s (when engineer Vittorio Jano had sired Alfa’s celebrated straight-six), the configuration was by no means outdated in the immediate post-War period. In fact, the Tipo 256 – also based on a 6C 2500 chassis – had proven itself still relevant in the late 1930s, performing well at Le Mans, the Mille Miglia and in the Tripoli-Tobruk.

A second christening

Incidentally, the Tipo 256 racing car had also been bodied by Milanese coachbuilder Touring – and in the late 40s, it was invited by Alfa Romeo to be the latest house to style a road-going version, of course using its patented Superleggera construction technique. The platform was the shortest-wheelbase chassis of the 6C 2500; the engine it hosted was a triple-Webered version of the 2443cc straight-six, making it an ‘SS’. Shown at an early Villa d’Este concours (namely the 2nd iteration, at which it won the Coppo d’Oro), the gorgeous coupé was green-lit for a limited-production run – and also given the ‘Villa d’Este’ suffix in celebration of winning the coveted award.

Concours queen by name...

Initially planned as a 25-car run for Alfa Romeo’s most wealthy clientele, production would ultimately extend beyond 30 cars (including a handful of convertibles): the most generally agreeable figure is 36. Of these, one is owned by the Villa d’Este hotel and displayed as an art piece. Further testament to its elegance should not be needed; but it’s there should it be required. Pedigree of its mechanical underpinnings and coachwork notwithstanding, the Villa d’Este Coupé can also claim to be the last hand-built Alfa Romeo – thus representing a pinnacle in the storied marque’s timeline.

Photos: © Steve Hall for Classic Driver

Ogier dans le top-ten au Lausitzring

Le Champion du monde des Rallyes FIA 2013 était ce week-end au volant d’une Audi R8 LMS « ultra » sur le circuit du Lausitzring à l’occasion de la troisième manche du championnat ADAC GT Masters. Le pilote Volkswagen a terminé dans le top-ten.

L’an passé, Seb Ogier avait participé à une manche de Porsche Mobil 1 Supercup sur le circuit de Monaco. Cette année, après avoir assisté à une course d’ADAC GT Masters à Oschersleben fin avril, le Champion du monde des Rallyes a été invité à participer au meeting du Lausitzring sur une Audi R8 LMS « ultra » (550 chevaux) du team Prosperia C Abt Racing.

Le Français était associé à l’Allemand Markus Winkelhock, Champion du monde FIA GT 2012 sur l’Audi N°12. Le team engageait deux autres Audi R8 LMS « ultra » pour ses équipages « experts » : René Rast/Kelvin Van der Linde sur la N°10 et Fabian Hamprecht/Nicky Thiim sur la N°11.

Vendredi, les essais libres des deux champions du monde ont été contrariés par des ennuis mécaniques. C’est donc sans avoir bouclé beaucoup de tours que Seb et Markus ont pris part aux qualifications. L’Audi N°12 s’est classée 12^e des Qualifs 1 et seulement 19^e des Qualifs 2.

Samedi, la course 1 (60 minutes) a tourné court pour la N°12 (13^e à l’arrivée) : « Markus a été envoyé en tête-à-queue par un concurrent au départ. Il est reparti en fond de peloton et on n’avait plus aucun espoir », a déclaré Sébastien Ogier. « Du coup, ça m’a enlevé un peu de pression et j’ai pu me concentrer sur mon pilotage et prendre de l’expérience. »

Le lendemain, Sébastien Ogier a pris le départ de la course 2. L’Audi N°12 a terminé 8^e : « J’ai pris beaucoup de plaisir ce week-end. J’ai progressé au fils des tours et mes chronos n’étaient pas mauvais. Nos résultats auraient pu être mieux, mais on a eu un problème aux essais et nous n’avions pas beaucoup roulé. C’était une super expérience et je tiens à remercier le team et mes équipiers. »

Une session freeride de rêve dans l’Utah

Suivez Ronnier Renner et ses amis pour une session extraordinaire dans le désert de l’Utah.

fait partie de deux types de privilégiés : ceux dont le nom de famille est un palindrome et ceux qui gagnent leur vie grâce au FMX. De l’avis de tous, il est bien plus intéressant de faire partie de la deuxième catégorie.

Le pilote américain a emmené ses amis du Ronnie Renner Freeride Tour dans le désert autour de Caineville, dans l’Utah, où les possibilités pour les pilotes de motocross sont infinies. Lignes de rêve, style éblouissant, paysages somptueux : la vidéo ci-dessus se passe de commentaire !