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    samedi 5 juillet 2014

    LE MANS CLASSIC : Alpine met son patrimoine à l’épreuve de Le Mans Classic


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    La renaissance de l’Alpine, matérialisée par la commercialisation de la Berlinette du XXIe siècle dès 2016, s’appuie sur l’exceptionnel patrimoine d’une Marque de légende. Pour illustrer ce lien entre l’histoire et le présent, des Alpine seront en piste lors de la septième édition du Mans Classic, entre le 4 et le 6 juillet 2014.
     Tous les deux ans, Le Mans Classic réunit des milliers de participants autour d’une passion commune : l’automobile. Créé en 2002, l’événement offre une formidable rétrospective des 24 Heures du Mans autour de 450 voitures réparties en plateaux allant de 1923 à 1979. Des centaines de clubs réunissant leurs adhérents et le concours Le Mans Héritage Club sont d’autres temps forts du rendez-vous sarthois.
     Pour cette édition 2014, Renault Classic y engage trois Alpine officielles. Elles sont confiées à des pilotes de renom, qui ont déjà participé aux 24 Heures du Mans avec la Marque, ou à des personnalités du monde automobile.
    • Alpine M65 : Piotr Frankowski (Pologne) / Richard Meaden (Grande-Bretagne)
    • Alpine-Renault A110 1300S : Jean-Pierre Prévost (France) / Christian Chambord (France)
    • Renault-Alpine A443 : Jean Ragnotti (France) / Alain Serpaggi (France)
     Ces trois Alpine seront accompagnées par d’autres modèles inscrits grâce au concours d’initiatives privées.
     La toute première apparition des automobiles créées par Jean Rédélé sur le Circuit des 24 Heures du Mans remonte à 1963. Cette année-là, trois Alpine M63 avaient pris le départ. Ce fut le début d’une grande aventure en trois actes.
     De 1963 à 1969, les « petites » Alpine visaient la victoire dans leur catégorie, aux indices de performance et énergétique. Ce fut la Période Bleue.
     A partir de 1973, lors du rachat de la Marque par Renault, de nouvelles ambitions permettaient à Alpine de viser la victoire au classement général. Dès 1976, la première Renault-Alpine de la Période Jaune signait la pole position et le meilleur tour en course. Deux ans plus tard, la quête était accomplie avec une victoire historique aux 24 Heures du Mans 1978.
     35 ans plus tard, Alpine faisait son retour au Mans en 2013. Comme à ses débuts, l’Alpine A450 montrait une magnifique robe bleue et des ambitions mesurées dans la catégorie LM P2. Après une année d’apprentissage, l’équipe terminait pourtant à la septième place scratch et sur le podium de sa catégorie en 2014 !
     Plateau 4 (voitures des années 1962 à 1965) : l’Alpine M65  
    • Pour la troisième fois consécutive, cette Alpine M65 appartenant à Renault Classic est au départ du Mans Classic.
    • Elle fut l’une des deux Alpine M65 engagées aux 24 Heures du Mans 1965. Ce modèle fut piloté par Mauro Bianchi / Henri Grandsire (abandon au 32etour).
    • Le même châssis, transformé en Alpine A210, fut encore au départ de l’édition 1966 pour Pauli Toivonen / Bengt Jansson (abandon au 217e tour)
    • Pour cette édition 2014 du Mans Classic, cette Alpine historique est confiée à deux journalistes : le Polonais Piotr Frankowski et le Britannique Richard Meaden.
    • Une seconde Alpine est engagée dans ce plateau 4 : l’Alpine A210 qui avait remporté l’Indice Energétique en 1966 avec Jacques Cheinisse et Roger De Lageneste.
    Bernard_Canonne_LMClassic2012-0Plateau 5 (voitures des années 1966 à 1971) : l’Alpine-Renault A110 1300S
    • Si la marque Alpine a régulièrement engagé ses prototypes aux 24 Heures du Mans, des équipages privés ont aussi participé à l’épreuve au volant des modèles emblématiques de la marque dieppoise. La Berlinette Alpine A110 fut évidemment l’une des vedettes de la seconde moitié des années 1960.
    • La Berlinette A110 1300S (moteur de 115 chevaux) engagée au Mans Classic appartient à Jean-Pierre Prévost, collectionneur d’Alpine et de Renault sportives, déjà vu au Mans Classic avec Alpine. Il la partagera avec Christian Chambord un autre passionné d’automobiles et propriétaire de plusieurs Alpine A110.
    • Plusieurs Berlinette A110 ont été engagées au Mans en 1964 (une 1100) et 1968 (deux 1300).
    • Dans ce même plateau 5, une Alpine A220 de 1969 appartenant et pilotée par Sylvain Stepak sera également en piste.
    Bernard_Canonne_LMClassic2012-29Plateau 6 (voitures des années 1972 à 1979) : la Renault-Alpine A443
    • La plus aboutie des Renault Alpine fait son retour sur le Circuit des 24 Heures du Mans. Evolution des Renault Alpine A422 et A442B, elle fut le modèle ultime de la Période Jaune.
    • En 1978 qualifiés en première ligne, Jean-Pierre Jabouille et Patrick Depailler s’installaient en tête dès la septième heure après avoir résolus des problèmes de vibrations. Devant 180 000 spectateurs, la Renault-Alpine la plus puissante (moteur V6 Turbo 2,2 litres développant 530 chevaux), creusait régulièrement l’écart jusqu’à la 18e heure.
    • Au terme des deux premiers tiers de la course, la Renault-Alpine A443 devançait la Renault-Alpine A442B. Les Porsche étaient à plusieurs tours. Au cœur de l’équipe, on décidait de baisser la pression de suralimentation du turbo de la voiture de tête. A 9h21, la Renault-Alpine A443 repartait des stands. Au volant, Patrick Depailler recevait la consigne d’assurer sa position. 32 minutes plus tard, il immobilisait sa voiture à Mulsanne, moteur bloqué. La Renault-Alpine A443 laissait la première place, et la victoire, à la Renault-Alpine A442B de Didier Pironi et Jean-Pierre Jaussaud.
    • Pour cette septième édition du Mans Classic, cette Renault-Alpine A443 est confiée à Jean Ragnotti et Alain Serpaggi, deux anciens pilotes Alpine aux 24 Heures du Mans.
    COJ19783440208Le prestigieux Concours Le Mans Heritage Club permettra également d’admirer une Alpine- Renault A310 V6 qui a participé à titre privé à l’édition 1977 des 24 Heures du Mans. Ce modèle surnommé « Le Poisson Dieppois » fera à un tour d’honneur au milieu de 23 autres véhicules restés dans leur configuration d’origine et qui ont marqué l’épreuve depuis 1923.

    Bloodhound SSC: Where the world's fastest Rolex still keeps perfect time


    As Andy Green attempts to reach 1,000mph – a new World Land Speed Record – piloting the mind-boggling Bloodhound SSC in 2016, he’ll be checking his speed on trusty analogue Rolex instruments…
    Two bespoke, highly accurate (and vital) Rolex instruments will be installed in the Bloodhound SSC’s cockpit, either side of the dashboard: a speedometer and a chronograph. The analogue instruments will be independent of the car’s electronic heart, and will be used as a fail-safe back-up to complement the on-screen readouts.

    Critical phases


    There are two critical phases of the Land Speed Record run that will see the precision and reliability of the instruments come into play: first, in precision braking from over 1,000mph and, secondly, during the time-constrained turnaround between the two mandatory record runs. Clockwatching – as if Green needs anything else on his mind!
    Rolex’s involvement with the Bloodhound project is a fitting one. Its association with the world of speed stretches back to the 1930s, when Sir Malcolm Campbell was tearing up the land speed record books. Bloodhound SSC will be fully assembled by mid-2015, and will begin testing in England before its 2016 World Record attempt in South Africa. All going to plan, the next generation of speed hunters should be truly inspired. 
    Photos: Rolex
    You can find numerous new and classic Rolexes for sale in the Classic Driver Market.

    néo rétro

    vendredi 4 juillet 2014

    WSBK : Melandri conserve l'avantage sous le soleil de l'Algarve / Melandri holds on to top spot in the sun


    Sykes a progressé mais n'a pas pu rattraper l'Italien en FP2.

    Les conditions extrêmement chaudes de vendredi après-midi à l'Autodromo Internacional do Algarve ont posé quelques soucis aux pilotes du Championnat du Monde eni FIM Superbike, qui ont été bien peu nombreux à progresser sur leurs chronos au cours de la seconde séance d'essais de la manche portugaise.
    Marco Melandri (Aprilia Racing Team) n'a signé que le cinquième temps mais conservait la première position sur le classement combiné, avec 0.047s et 0.059s d'avance sur le Champion en titre Tom Sykes (Kawasaki Racing Team) et Jonathan Rea (Pata Honda World Superbike Team), les deux pilotes les plus rapides cet après-midi.
    Eugene Laverty (Voltcom Crescent Suzuki), Chaz Davies (Ducati Superbike Team), Sylvain Guintoli (Aprilia Racing Team), deuxième le matin, et Alex Lowes (Voltcom Crescent Suzuki) complétaient le Top 7 de cette première journée à Portimao, en s'étant tous classés à moins d'une demi-seconde de Melandri.
    Leon Haslam (Pata Honda World Superbike Team) a pour sa part fini huitième, devant Loris Baz (Kawasaki Racing Team) et Davide Giugliano (Ducati Superbike Team), qui a réussi à trouver une place dans le Top 10 pour être provisoirement qualifié en Superpole 2 après avoir rencontré de nombreux problèmes techniques le matin.
    Sylvain Barrier (BMW Motorrad Italia) se retrouvait ainsi à la onzième place mais demeurait le premier pilote de la catégorie EVO et terminait avec une demi-seconde d'avance sur Toni Elias (Red Devils Roma Aprilia), Sheridan Morais (Iron Brain Grillini Kawasaki) et Claudio Corti (MV Agusta Reparto Corse). Fabien Foret (Mahi Racing Team India) et Jérémy Guarnoni (MRS Kawasaki) ont quant à eux fini dix-neuvième et vingtième.
    Présent en piste le matin, Luca Scassa (Team Pedercini) a été forcé à déclarer forfait, n'ayant pas encore suffisamment récupéré de sa chute du mois de mai. L'Italien a été remplacé cet après-midi par son compatriote Riccardo Russo, habituellement engagé en Superstock 1000. 
    La journée a été particulièrement compliquée pour les pilotes du Team Hero EBR, Aaron Yates et Geoff May, qui ont conclu au-dessus du temps maximal de qualification.
    Sylvain Guintoli, Aprilia Racing Team, Portimao FP1

    Sykes improves but is unable to displace Marco after FP2.
     The hot weather and blisteringly hot temperatures for FP2 saw only a handful of riders improve leaving Aprilia Racing Team rider Marco Melandri at the top of the combined standings a fraction ahead of the improving Tom Sykes (Kawasaki Racing Team) who elevated himself to 2nd despite running off track in the final few moments of the session.


    Behind the top two Jonathan Rea (Pata Honda World Superbike Team), Eugene Laverty (Voltcom Crescent Suzuki), Chaz Davies (Ducati Superbike Team), and Sylvain Guintoli (Aprilia Racing Team) were 3rd to 6th respectively.

    Alex Lowes (Voltcom Crescent Suzuki) got the better of Leon Haslam (Pata Honda World Superbike Team) and Loris Baz (Kawasaki Racing Team) with Davide Giugliano moving up several places in the final ten minutes to claim 10th and the final automatic Superpole 2 place as it stands.

    Sylvain Barrier (BMW Motorrad Italia) was once again the best classified EVO rider in 11th overall ahead of Toni Elias (Red Devils Roma Aprilia), Sheridan Morais (Iron Brain Grillini Kawasaki) and the much improved MV Agusta Reparto Corse machine of Italian Claudio Corti who was 14th.

    Luca Scassa (Team Pedercini) who rode in FP1 withdrew from the event, the Italian still not fully fit from his early season crash. He was replaced and FP2 by Riccardo Russo who made a midday switch from the Superstock 1000cc category that he was originally supposed to ride this weekend.

    At the back of the field both Team Hero EBR riders had a torrid opening day with both Aaron Yates and Geoff May currently outside of the qualification maxima.
    Tom Sykes, Kawasaki Racing Team, Portimao FP2