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    lundi 14 juillet 2014

    Red Bull Romaniacs : les sections les plus dures


    Vue dans les Carpates lors des Red Bull Romaniacs 2013 à Sibiu, Roumanie
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    La réputation de course de hard enduro la plus difficile au monde n’est pas usurpée quand on parle des Red Bull Romaniacs. Le prologue insensé dans les rues de Sibiu, puis les quatre journée d’enduro dans les Carpates roumaines font de cette épreuve un passage obligé pour les meilleurs enduristes au monde. Enthousiastes au départ, ils le sont moins à l’arrivée… pour ceux qui franchissent l’arrivée.
    RedBull.com vous propose de découvrir quelques sections qui font des Red Bull Romaniacs une course si redoutable.

    Le pilote Husaberg Graham Jarvis lors du prologue des Red Bull Romaniacs 2013 à Sibiu, Roumanie.
    Premier défi : le prologue© Red Bull Content Pool

    Le prologue

    Avant de s’enfoncer dans les bois, les Red Bull Romaniacs débutent par un prologue urbain dans la ville de Sibiu en Roumanie. Devenu célèbre de par le monde, ce prologue offre un grand nombre d’obstacles sorti de l'imagination d’un esprit tordu et qui mettent à mal les 387 concurrents engagés dès les premiers tours de roue. Troncs d’arbre jonchant le sol, poutres à balancier, wall ride et même un toboggan. Imaginez un parcours de jeu vidéo devenu réalité et vous aurez une idée du carnage qui en résulte.

    Chris Birch sur sa KTM lors des Red Bull Romaniacs sur la section de Bad Shape en 2013
    Chris Birch dans l'enfer de Bad Shape© Red Bull Content Pool

    Bad Shape

    La section de Bad Shape demeure gravée dans la mémoire de la plupart des concurrents qui ont déjà participé aux Romaniacs. Et l’endroit porte bien son nom (“mauvais état” en français). L’an passé, beaucoup ont versé des larmes en essayant de gravir cette montée bordée d’arbres lors du premier jour de course. Même des pilotes top niveau tels que Chris Birch (vainqueur des Romaniacs en 2010) sont restés plantés sur le chemin. Et oui, Bad Shape sera bien au menu cette année encore !

    Un pilote sur les sommets des montagnes au Red Bull Romaniacs 2013 en Roumanie.
    Les montagnes des Carpates© Red Bull Content Pool

    Les montagnes

    Le prologue, les montées impossibles et les flaques d’eau géantes font partie de la légende des Romaniacs, mais pour les pilotes, l’essentiel de la course se passe seul dans les montagnes. Peu d’endroit au monde procurent un tel sentiment d’isolement que les Carpates, plongé dans une Nature sauvage et peu accueillante. Parvenir en haut de ces montagnes sera une épreuve de force, mais la récompense est à la hauteur des efforts.

    Un concurrent des Red Bull Romaniacs roule à l'intérieur d'une ancienne usine lors du second jour de course
    Arrivée du second jour dans l'usine désaffectée© Red Bull Content Pool

    L’usine

    Ce qui fait aussi la particularité des Romaniacs, c’est également que l’on peut s’attendre à tout, comme rouler à l’intérieur d’une ancienne usine de transformation du charbon désaffectée lors du second jour de course. Des escaliers en béton au tapis roulant, tout est bon pour se transformer en obstacle à l’intérieur, avant de franchir l’arche Red Bull de l’arrivée sur le toit du bâtiment.

    Le pilote Beta Ben Hemmingway roule au-dessus d'une mare d'eau lors des Red Bull Romaniacs 2013 à Sibiu en Rouamnie.
    La mare© Red Bull Content Pool

    La mare

    Les organisateurs des Red Bull Romaniacs, toujours partants pour corser la difficulté, avaient décidé en 2013 de pousser les riders à l’eau, littéralement. Les concurrents devaient en effet franchir une mare de 50 mètres de long, obligés de l’attaquer à pleine vitesse pour espérer atteindre l’autre extrémité au sec. Les plus doués s’en sont sortis avec des aquaplanings de toute beauté. Pour les autres, c’était l’heure du bain…

    La montée de Gusterita, la dernière section des Red Bull Romaniacs
    L'arrivée en haut de Gusterita© Red Bull Content Pool

    La Gusterita

    Cette dernière “ligne droite” avant l’arrivée des Red Bull Romaniacs qu’est la côte de Gusterita se présente sous la forme d’une mur vertical que les pilotes doivent négocier sans élan, la rendant ainsi quasi impossible. La grimpée se transforme en rodéo, alors que les concurrents doivent garder les gaz ouverts tandis que la moto gigote péniblement. Arrivez en haut et à vous la fin du calvaire.

    10 million-dollar Porsches from the Classic Driver Market


    1965 Porsche 904 GTS
    While countless Ferrari classics are these days worth millions, there are relatively few in the Porsche family that can claim such high values. Nevertheless, we found 10 Porsches of a type that have been known to crack the magic million-dollar mark...
    It's only a matter of time before more follow. Take the massive potential of the 1973 911 2.7 RS, which has seen enormous price jumps in recent years: €500,000-plus is no longer a rarity for this classic 911. And early this year we witnessed auction house Gooding & Company sell one of only 200 Porsche 911 Carrera RS 2.7 ‘Lightweight’ models, with the coveted M471 sports package, for 1.4 million U.S. dollars.
    You can find other Porsches with the potential to become million-dollar classics in the Classic Driver Market.

    WSBK : Sykes wins 7 lap sprint race at Laguna / Sykes s’impose dans un sprint de 7 tours à Laguna




    Action all the way in second US WSBK race.

     


    The second WSBK race at Laguna Seca was as hot on track as the air temperature as after 25 exciting laps, Sykes claimed the race two win.

    From the start it was Tom Sykes (Kawasaki Racing Team) who once again grabbed the holeshot into turn one and as the packed field sorted themselves out around the first few turns it was Sylvain Guintoli (Aprilia Racing Team) and race one winner and team mate Marco Melandri who slotted himself into second and third ahead of the fast starting Eugene Laverty (Voltcom Crescent Suzuki).
    Sylvain Guintoli, Aprilia Racing Team, Laguna Seca FP1

    Guintoli applied the pressure immediately and after following the reigning champion for a couple of laps made his move, taking the lead into turn 6 on lap 5 only to lose it immediately as Sykes fought back. Melandri also seized the moment to take advantage of an off line Guintoli to move into third as the battle at the front now raged between six riders after Davide Giugliano (Ducati SuperbikeTeam) and Toni Elias (Red Devils Roma Aprilia) looked to get in on the act.

    Lap 11 saw the red flags shown after Alex Lowes suffered a spectacular crash at the Corkscrew. The British rider was taken to the medical centre for further checks.

    After a short delay the race was restarted over 7 laps with grid positions decided by the race positions prior to the stop. That meant Sykes was still on Pole with the Aprilia duo of Melandri and Guintoli alongside. Row two for the restart saw Laverty, Elias and Giugliano.
    Loris Baz, Kawasaki Racing Team, Laguna Seca FP1

    When the race resumed the action was fast and furious but after only one completed lap the red flags were out again as Sylvain Barrier (BMW Motorrad Italia) crashed out on the start and finish straight.

    However and at the third time of asking the race distance was completed with Sykes taking the win ahead of Guintoli and Jonathan Rea (Pata Honda World Superbike Team) who completed the podium places after Marco Melandri crashed out of the lead followed a short time later by Davide Giugliano who had been charging through the field.
    Jonathan Rea, PATA Honda World Superbike Team, Laguna Seca FP2

    Eugene Laverty (Voltcom Crescent Suzuki), Toni Elias (Red Devils Roma Aprilia) and Loris Baz (Kawasaki Racing Team) rounded out the top six whilst in the EVO category the best classified rider was once again David Salom (Kawasaki Racing Team) who finished a respectable 8th overall.





    Sykes, Guintoli et Rea sur le podium de la seconde course en Californie.


    Parti en pole position pour une seconde course de 25 tours au Mazda Raceway Laguna Seca, Tom Sykes (Kawasaki Racing Team) est parvenu à conserver l’avantage dans le premier virage devant Sylvain Guintoli (Aprilia Racing Team) et son coéquipier Marco Melandri, vainqueur de la première course, ainsi que Eugene Laverty (Voltcom Crescent Suzuki). 
    Guintoli a tout de suite essayé de mettre la pression sur le Champion du Monde en titre et a brièvement pris la première position dans le cinquième tour avant d’être repris par Sykes puis par Melandri, alors que Davide Giugliano (Ducati SuperbikeTeam) et Toni Elias (Red Devils Roma Aprilia) étaient en embuscade juste derrière les leaders.
    La course a été interrompue par drapeau rouge dans le onzième tour suite à la chute d’Alex Lowes dans le Corkscrew. Suite à cet incident, la course a été relancée pour 7 tours mais a de nouveau été arrêtée, dès le deuxième tour, en raison de la chute de Sylvain Barrier (BMW Motorrad Italia), qui est tombé sur la ligne droite du circuit californien et a percuté le pit-wall. 
    Le Français était heureusement conscient à son arrivée au centre médical, suite à laquelle les autres pilotes ont repris leurs positions sur la grille pour un troisième départ, pour un nouveau sprint de 7 tours.
    Sykes a alors réussi à s’imposer devant Guintoli et Jonathan Rea (Pata Honda World Superbike Team), qui a pris la troisième place devant Eugene Laverty (Voltcom Crescent Suzuki) et Elias alors que Melandri et Giugliano étaient tour à tour partis à la faute alors qu’ils luttaient pour le podium.
    Loris Baz (Kawasaki Racing Team) a pris la sixième position, devant le premier pilote de la catégorie EVO, David Salom (Kawasaki Racing Team), qui a marqué un important nombre de points en finissant huitième. Jérémy Guarnoni (MRS Kawasaki) a de son côté terminé onzième, derrière Alessandro Andreozzi (Team Pedercini) et Leon Camier, remplaçant de Claudio Corti au MV Agusta Reparto Corse.
    Sykes repart de Laguna Seca avec 39 points d’avance sur Guintoli tandis que Rea passe à la troisième place du classement général, à 55 points du Champion en titre et avec deux petites longueurs d’avance sur Baz.

    et le casque ?