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    dimanche 20 juillet 2014

    This Ferrari ‘Daytona’ Shooting Brake is a one-off winged wonder


    When Luigi ‘Coco’ Chinetti Jnr. commissioned a bespoke shooting brake body to sit atop a Ferrari ‘Daytona’ chassis, he didn’t hire an Italian coachbuilding giant – but rather a small, UK-based independent. The result was quirky to say the least…

    Drive Italian; wear British?

    The son of Ferrari’s celebrated U.S. importer Luigi Chinetti was an advocate of the quintessentially British phenomenon of the shooting brake, having famously appointed Vignale to body a 330 GT as such in the late 60s. However, the early 70s saw him bypass Italian coachbuilding masters and call upon Surrey-based company Panther Westwinds. (And yes, that’s the same company that later released the amazing and madly expensive Panther Six).

    The Anglo-American Ferrari

    The recipient of the custom coachwork was to be a Ferrari 365 GTB/4 ‘Daytona’, more specifically chassis 15275. While Panther might not quite have had the design prestige or back catalogue of Pininfarina et al, the Chinettis were impressed by the company’s flair, attention to detail and build quality – and, perhaps just as importantly, were under contract to import its highly unusual retro-styled roadsters to the States. “We thought: Why don’t we make the first Ferrari made in England?” Coco Chinetti recalled in a 2001 interview.

    Everyday dilemma, extraordinary solution

    So, the Daytona was delivered brand-new from Ferrari North America to the UK along with some final renderings, leaving Panther to weave its British magic as best it could. This might explain the overhangs that are perhaps slightly too long for the eye to find ideal, but those ‘butterfly’ rear windows – perhaps inspired by the De Tomaso Mangusta – were a flourish of genius, useful whether shooting or shopping. “If you were shopping and parked like normal people do here, you can’t get access to the back of a wagon – whereas loading it from the side you always get some sort of access,” explained Coco. “And it was safer because I never liked being between two parked cars with my legs between the bumpers.”

    Pane in the posterior

    While Coco’s justification might seem a little too ‘real-world’ for such an oddity, he seemingly threw in a few quirks just for the sake of fully exploiting his artistic freedom. Step across the Panther-plaqued kick-plate and nestle into the Connolly hide of the driver’s throne, and your instinctive glance between the uppermost spokes of the Nardi wheel will return nothing but the same walnut panelling to be found behind you. You’ll need to look to your right at the centrally mounted instruments for visual feedback concerning the Daytona’s competition-bred mechanicals. Only don’t push them too hard: overzealous acceleration might see that shopping exit unceremoniously through the fixed rear pane.

    From CostCo to the Cartier concours

    Ultimately, the Daytona Shooting Brake is a shining star from the twilight age of coachbuilding. It might have flaws; it might not have been tailored in Milan or Turin – but you’re guaranteed it’ll be the only one, whether at a cash-and-carry, a country club or a concours.
    Photos: © Amy Shore for Classic Driver
    This unique Ferrari 365 GTB/4 ‘Daytona’ Shooting Brake is currently being offered for sale through Hexagon Classics.
    You can find hundreds more classic Ferraris for sale in the Classic Driver Market.

    VTC

    samedi 19 juillet 2014

    Breslau Poland 2014 Saturday : Last Stage


    Red Bull Romaniacs.Walker ne lâche rien


    Jonny Walker a remporté une nouvelle victoire lors de la 3e journée du Red Bull  : Romaniacs.
    Par 
    Alors que le champion en titre Graham Jarvis débutait la 3e journée en tête après avoir empoché la victoire la veille, il lui fallait composer avec la pression de Jonny Walker – son grand rival pour le titre final, et vainqueur du Red Bull Hare Scramble le mois dernier.
    Revenir sur les pas de Jarvis était la seule obsession de Walker et, à mi-parcours, il avait déjà effacé ses cinq minutes de retard.
    Alors que les conditions devenaient de plus en plus difficiles lors des épreuves de l’après-midi, aucun des deux pilotes ne fut capable de faire le trou. Lors d’un finish spectaculaire sur le toit d’une usine de charbon abandonnée, Jarvis franchit la ligne en premier, mais c'est bien Walker qui s’adjuge la victoire en temps ajusté. Alors qu’un rien les sépare au classement général, le dernier jour de course s’annonce palpitant. 
    Le départ de la troisième journée du Red Bull Romaniacs 2014.
    Blake Gutzeit© Jonty Edmunds/Future 7 Media
    La troisième place est revenue à Wade Young pour la deuxième fois d’affilée. Il semblerait que l’adolescent sud-africain soit bien affirmé, et il est maintenant en position de décrocher un podium à Romaniacs.
    Débutant la journée à la cinquième position, Paul Bolton s’est fendu d’un joli ride pour glaner la quatrième place d'Andreas Lettenbichler, qui termine donc 5e.
    Annett Fischer, la physiothérapiste lors du Red Bull Romaniacs 2014
    Annett Fischer dans ses œuvres© Jonty Edmunds/Future 7 Media

    Répare moi vite – J’ai une course demain

    On ne ressort pas indemne du Red Bull Romaniacs. Ce n’est pas juste dur pour les motos, ça l’est aussi pour le corps et l’esprit. D’interminables kilomètres sur les terrains les plus compliqués de Roumanie rend la vie dure aux motards. Pour s’assurer que les compétiteurs restent dans la meilleure forme possible, la physiothérapeute réputée Annett Fischer est mobilisée pendant toute la course afin de soulager les douleurs.
    Physio personnel de Stéphane Peterhansel sur le Dakar, Fischer s’y connaît en réparation de corps meurtris.
    « C’est ma quatrième année sur le Red Bull Romaniacs », explique-t-elle. « J’ai vu toutes sortes de blessures sur cette course – des douleurs musculaires ou aux articulations, jusqu’aux blessures aux genoux et aux corps abimés. »
    « Cette année, j’ai beaucoup travaillé avec Andreas Lettenbichler. Il est arrivé avec une blessure au cou avant même le début de la course. Les soins peuvent aider les motards à terminer les courses, mais au final c’est vraiment leur force mentale qui les aide à continuer. Ils sont tellement déterminés à terminer – c’est incroyable ».

    Que nous réserve demain ?

    La fin de ce Red Bull Romaniacs a beau approcher, il reste encore quelques 180 kilomètres à parcourir lors du dernier jour. Avec cette lutte pour la victoire tellement serrée, le finish s’apparentera à une bataille sans merci. Chaque erreur peut être fatale. La fameuse montée de la coline Gusterita sera également au programme de l’après-midi. Parvenez à conquérir cette pente quasi-verticale et vous serez venu à bout de la 11e édition du Red Bull Romaniacs.
    Christian Häusle participe au Red Bull Romaniacs malgré son amputation de la jambe droite.
    Christian Häusle et sa prothèse© Jo Wolframm

    Héro « Iron Class »

    Nom : Christian Häusle
    Age : 53
    Ville : Dornbirn
    Pays : Autriche
    « J’ai perdu ma jambe droite dans un accident lorsque j’avais 13 ans. Le sport m’a aidé à prendre en main mon destin. J’ai commencé le ski à l’âge de 15 ans, et cinq ans plus tard je suis devenu double champion du monde de ski pour handicapés et vice champion paralympique. Mon destin tragique s’est révélé être une énorme motivation pour atteindre mes objectifs.
    « Après avoir concouru lors du championnat du monde Superbike à la fin des années 1990, j’ai commencé l’Enduro il y a cinq ans. Pour pouvoir participer au Red Bull Romaniacs Iron Class, je travaillais ma force et mon endurance jusqu’à cinq fois par semaine. J’ai toujours été fasciné par cette course, et maintenant je veux voir si je peux la dompter. »
    « Lors de la deuxième journée, j’ai heurté une pierre avec ma botte. Après l’impact, ma prothèse a tourné de 90 degrés. Nous avons du appeler mon orthopédiste pour savoir comment mon membre artificiel pouvait être réajusté correctement. »