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    jeudi 30 avril 2015

    Porsche Carrera Cup France ; Sébastien Loeb Racing : Entre revanche et confiance au Mans…

    Porsche Cup 2015 Ledenon
    Le Sébastien Loeb Racing aborde le deuxième round de la Porsche Carrera Cup France 2015, sur le circuit Bugatti du Mans, avec un petit goût de revanche, mais aussi une certaine confiance. Si la malchance a malheureusement frappé Maxime Jousse, auteur de la pole position, avant le départ de la seule et unique course du meeting de Lédenon (la seconde ayant été annulée à cause des intempéries), l’écurie de Soultz-sous-Forêt a pu se réjouir d’un Top-5 prometteur de Joffrey de Narda.
    Sans oublier un doublé chez les Gentlemen Drivers réalisé par Christophe Lapierre – qui avait réussi la prouesse de se qualifier en première ligne – et Roar Lindland. C’est donc avec des ambitions élevées que les pilotes et l’équipe technique abordent, ce week-end, le défi Manceau.
    Dans le Gard, Maxime Jousse avait jusqu’alors réalisé un sans-faute quand un ennui mécanique, dans le tour de formation, avait mis un terme prématuré à ce qui promettait d’être une prestation de tout premier ordre. « Une réelle déception car nous avions les outils pour frapper d’entrée. L’annulation de la course du dimanche n’a rien arrangé : nous n’avons pu marquer qu’un point sur l’ensemble du week-end grâce à la pole position », confie Max, d’ores et déjà prêt à prendre sa revanche. « La performance est là, donc nous allons attaquer Le Mans sur la même dynamique, motivés. L’essentiel sera d’effectuer de bonnes qualifications et de jouer la gagne dans les deux manches. Avec le retard accumulé, je n’ai plus le choix. Il n’est déjà plus question de gérer ! »

    « C’était frustrant de ne pas pouvoir confirmer en un bon résultat notre super entrée en matière, mais le championnat est long et ce n’est pas dans ma nature de baisser les bras », prévient le Varois. « La saison dernière, nous avons déjà prouvé être redoutables au Mans où nous avions signé la pole sous la pluie et signé le meilleur tour en course sur le sec. J’espère être devant et ce sera à moi de bien me concentrer pour aller chercher la victoire et me relancer au classement. »
    Il risque ainsi de retrouver sur sa route son équipier Joffrey De Narda, dont les performances sur les hauteurs de Nîmes laissent présager qu’il se battra pour la gagne. Rappelons qu’en 2014, à tout juste 18 ans, il avait mené l’épreuve dès sa première apparition dans le championnat ! Cette perspective de jouer haut placé sera également dans l’esprit de Christophe Lapierre. Engagé au tableau des Gentlemen Drivers. Le triple champion de la catégorie reste en effet sur une première ligne et un leadership de cinq tours avant la conclusion sous la forme d’une victoire de classe.
    Ce succès, il figure également dans les projets de Lindland, son équipier et premier rival. « Je pense que j’aurais pu être un peu plus performant à Lédenon, mais Christophe s’y est montré extrêmement rapide et je suis heureux d’avoir contribué au doublé du Sébastien Loeb Racing », témoigne le vice-champion en titre. « C’est toujours très positif dé débuter ainsi un championnat. Dommage que la deuxième manche ait été annulée, car la pluie, j’adore ! .
    « Je suis désormais impatient de courir au Mans et de reprendre le volant de la voiture sur ce circuit que je commence à bien connaître. J’ai envie de faire encore mieux et je suis particulièrement motivé pour poursuivre sur cette lancée. Un beau circuit, de belles vitesses, il me tarde vraiment d’y être. »
    Dans le cadre de la deuxième étape du GT Tour, l’effectif de Sébastien Loeb et Dominique Heintz affrontera l’exercice des qualifications samedi 2 mai dès 8h40, puis la première course, d’une durée de 35 minutes, à 15h20. Le lendemain, dimanche 3 mai, la séance chronométrée débutera à 8h00 et le feu d’artifice final, un sprint de 25 minutes, à 14h05.
    Pour ne rien manquer de l’action et suivre la retransmission télévisée en direct de l’événement, rendez-vous sur le site officiel du Sébastien Loeb Racing.

    Porsche Carrera Cup France Le Mans : Chaud devant pour les nombreux prétendants

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    La deuxième manche de la Porsche Carrera Cup France, sur le circuit Bugatti du Mans, devrait une nouvelle fois offrir du grand spectacle. Dans le temple de l’Endurance, la hiérarchie qui s’est établie à Lédenon deux semaines plus tôt, sera t-elle confirmée ou infirmée ? Seule certitude, cette épreuve sera à suivre avec attention. Premier vainqueur de la saison, Steven Palette (Team Martinet by Almeras) conservera t-il l’avantage, lui qui avait signé au Mans en 2014 son premier podium dans la discipline ? Il y a fort à parier que Jim Pla (Racing Technology), Jules Gounon (Team Martinet by Almeras) ou encore Maxime Jousse (Sébastien Loeb Racing), malheureux dans le Gard, ne lui laisseront pas le champ libre. Même situation chez les Gentlemen Drivers où Christophe Lapierre (Sébastien Loeb Racing) devrait trouver une belle opposition avec Roar Lindland (Sébastien Loeb Racing), Oleksander Gaidai (Tsunami RT) ou encore le rookie Egidio Perfetti (Martinet Team Pro GT). Mais un paramètre ne sera pas à négliger, la météo…
    Le début de la 29ème édition de la Porsche Carrera Cup France, sur le circuit de Lédenon, n’a une fois de plus pas usurpé la réputation de coupe monomarque la plus disputée. Si le meeting gardois a été réduit à une seule course pour cause d’intempéries, la victoire du jeune Steven Palette a été acquise de haute lutte. Une première hiérarchie s’est dessinée plaçant le pilote du team Martinet by Almeras aux commandes du championnat, lui qui en 2014 avait été désigné « Espoir Carrera Cup France ».
    L’espoir se concrétise donc aujourd’hui. Steven revient sur cette entame couronnée de succès : « La saison démarre bien mais je n’aime pas me montrer trop confiant, j’ai tendance à rester un peu sur la réserve. Tout se passe très bien avec l’équipe et je me sens à l’aise. Nous travaillons très dur mais comme Lédenon l’a prouvé, cela en vaut la peine. Le niveau global de la Cup est plus élevé et conserver une place aux avant-postes durant la totalité du championnat ne devrait pas être une formalité. Ce sera très disputé, c’est certain. Cette première victoire me fait très plaisir mais je reste lucide, l’année vient à peine de commencer… Je prends les courses comme elles viennent, sans me mettre de pression. Le Mans a voulu me sourire en 2014, alors pourquoi pas cette année ! »
    A seulement deux points du leader au classement général, Jim Pla aborde cette nouvelle année avec détermination. Après une saison en Porsche Carrera Cup France en 2013, le Biterrois s’est ensuite exilé en Allemagne, toujours en Carrera Cup, avant de revenir sur ses terres. « Les courses de la Cup allemande sont toutes très disputées. Cette année passée outre-Rhin a été enrichissante et m’a permis de me forger une certaine expérience. Je sais que le match tout au long de la saison sera très serré mais je sais aussi que je peux compter sur une équipe de premier plan qui me soutient à fond. »
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    Complétant le trio de tête du classement général, le leader des Jeunes Talents (Rookies), Jules Gounon, a tout de suite pris ses marques. Incisif et déterminé, l’Espoir Carrera Cup France 2015 ne cache pas ses ambitions. Il souhaitait monter sur le podium de sa première course dans la discipline… son vœu est exaucé mais au Mans c’est bien une potentielle victoire que le jeune Ardéchois a dans le viseur.
    Le Team Martinet by Almeras a ainsi placé deux de ses voitures dans le trio de tête mais l’opposition est loin de baisser la garde, à commencer par le Sébastien Loeb Racing et son Vice Champion en titre, Maxime Jousse. En effet, auteur de la pole de la première course de la saison, Maxime avait du renoncer sur problème mécanique avant même d’avoir pu effectuer un tour en course. Cette première frustration associée à l’annulation de la deuxième course n’ont pas pour autant entamé sa motivation, au contraire, elles ont largement ouvert son appétit de victoire.
    D’autres animateurs du championnat se jetteront dans la bagarre à l’image de Vincent Beltoise, pensionnaire de la nouvelle équipe Saintéloc et dont l’équipier, un certain Grégory Guilvert commence à apprivoiser sa monture. A Lédenon, malgré des qualifications perturbées et un départ du fond de grille, la dextérité et la vitesse de pointe du Francilien lui ont permis de signer le meilleur tour en course et de remonter à la 8ème place.
    Joffrey de Narda, au sein du Sébastien Loeb Racing, Alexandre Cougnaud ou encore Nicolas Marroc dans l’équipe Martinet Team Pro GT sont d’ores et déjà de brillants animateurs de ce début de saison. Il ne faudrait pas non plus oublier chez Racing Technology Mathieu Jaminet, un Jeune Talent qui tient déjà toutes ses promesses.
    En marge d’un plateau faisant la part belle aux Jeunes Talents, les Gentlemen Drivers n’ont pas dit leur dernier mot. Le doublement titré Christophe Lapierre, déjà auteur d’une magnifique victoire à Lédenon, devra repousser les assauts de son propre équipier au sein du Sébastien Loeb Racing, le Norvégien Roar Lindland, de plus en plus incisif.
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    Mais un autre pilote est susceptible de s’imposer dans la catégorie, l’Ukrainien Oleksander Gaidai. Quelque peu en retrait sur la première manche, le pilote Tsunami RT est plein de ressources et fort capable de renverser la vapeur en quelques tours. Coup de chapeau à un nouveau venu dans la série française, Egidio Perfetti, seul pilote B évoluant dans l’équipe de Philippe Almeras, qui pour sa première course monte sur la troisième marche du premier podium. Un autre nouveau venu se retrouve en phase d’apprentissage de la discipline, Daniel Diaz-Varela, évoluant au sein du Yvan Muller Racing.
    Les courses se suivent et ne se ressemblent pas sur la Porsche Carrera Cup France mais elles véhiculent toutes des valeurs communes, des performances de haut niveau et un spectacle de qualité. Sur le circuit Bugatti du Mans, les passionnés seront à nouveau conquis.

    Benelli 250 replica is a Carruthers tribute


    Comprising approximately 40 lots, the Auctionata sale that takes place in Berlin on 4 May is made up predominantly of classic cars. Lot 1, however, is this charming 1968 Benelli 250 classic racing motorcycle...

    Two-stroke replica

    Piloted by Australian rider Kelvin ‘Kel’ Carruthers, Italian motorcycle manufacturer Benelli won the 250cc World Motorcycle Championship in 1969 with its advanced four-cylinder racer. The1968 two-stroke replica shown here was built from many original parts sourced over a number of years, and was completed in 2013 as a stylish tribute to the original Championship-winning machine. According to its Auctionata description, the bike is offered in ‘fully functioning’ condition.
    Photos: Auctionata
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    ‘84 Suzuki GR650 – Anvil Motociclette


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    Want a quick and easy way to sort bikers into ‘buyers’ and ‘builders’? It’s easy – just talk about a tragically unpopular model. See, a buyer will judge a bike on its factory form. These are the guys that think showroom looks are somehow hard-wired into a bike’s DNA; the guys who will dismiss an entire model or range because they don’t like the size of the headlight or the shade of red on offer. Then there’s the builders. These are the guys who can see beyond the superficial to appreciate the soul of a bike, no matter how ugly it’s superficial, outward appearance. Italy’s Anvil Motociclette fancied themselves as the latter, and to test the theory they took on the challenge of customising the optimistically named Suzuki GR650 ‘Tempter’. It didn’t tempt us before, but it sure does now.
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    The Anvil ‘Pixie’ Seiemmezzo (or ‘Six Fifty’) was originally a Suzuki GR650 from 1984. The donor bike wasn’t exactly loved by the Anvil boys at the start of the build. “It is definitely the worst starting bike we’ve ever worked on,” says Anvil’s Marco. Calling it after one of the world’s greatest bands sure raised the bar, as did naming itanything but ‘Tempter’.
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    “The only reason why we decided to bang our heads in frustration to get this bike looking beautiful and loose hours of sleep in the process was its engine.” Large parallel twins like this scream ‘classic motorcycling’ from the rooftops in an unmistakable British accent, guv’nor.
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    The boys had eyed the model even before the build began, flagging it as a possible base for a customer who was after a bike with a traditional aesthetics wrapped up in a fresh, Anvil treatment.
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    “We’d come across this unfortunate model launched by Suzuki in 1983. It was so unpopular in Italy that it was available for only two years. So we started toying with the idea of ​​a two-cylinder build, a choice motivated by trying to give the customer a lightweight and manoeuvrable.”
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    On paper alone, it’s not hard to be impressed. 650cc’s, 51CVs (Italian for cavalli vapore, or steam horses – atax horsepower measurement) and only 180 kilos – on paper it has Kawasaki’s infinitely more popular W650 licked. But those aesthetics. Oh, the horror.
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    “After the purchase of the bike we started the complex task of the transformation. First, we completely cut the back of the frame off and then we rebuilt it from scratch with a new set of lines that suited our look a whole lot better.”
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    From the Japan-meets-Harley, chopper-esque beginnings, Anvil have clearly worked hard to transform the GR into a light and compact café racer with a touch of brat. The factory handlebars have been replaced with two Tommaselli clip-ons. The stock ‘chrome spittoon’ headlight has gone – replaced with an agricultural item that’s now small enough to be able to fit between the middle of the front forks.
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    “Instead of the old ‘elephant saddle,’ we made a seat tailored in a ‘Giuliari 70’ style and the rear fender is now a brushed aluminium unit. The horrendous mufflers were removed and were replaced with two torpedoes from an old Norton. The filter box and tray under the seat were dismantled and removed. Now thanks to two stainless steel flanges, there are cone filters that help with the new muffler’s freer flow.”
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    Thanks to the 16″ rim at the rear, they were able to mount a tire with a nice, deep profile. This change has clearly helped delete the bike’s original Easy Rider stance and has given the build a much more sporty appearance. Pronto!
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    ‘The visual strength of the bike is definitely the tank; it originally belonged to a Kawasaki S3 two-stroke. We reshaped it on the inside to allow it to fit on the new the frame and, as with all our builds, we left the wear and tear intact before painting and decorating.”
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    “The bike now looks better, and the mods make it agile and great fun to ride. It looks fast, but it’s enjoyable even if you do not want to travel at ten tenths. The riding position, without rear sets, is quite comfortable. And while it’s not a bike you’d welcome on long trips, this set-up does not exclude weekend get-aways from the city should the mood take you.” And we guess that with a bike like this, it would take you. Often.
    via PIPEBURN