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    jeudi 21 mai 2015

    Five memorable moments of the Mille Miglia


    The original Mille Miglia was a true endurance ‘road race’. Held on public roads in Italy between the years 1927 and 1957, it was one of the toughest tests of man and machine. We take a look back at some of the event’s defining moments prior to the start of the 2015 re-enactment…
    1936: Due to political tensions in North Africa, the 1936 Mille Miglia was held during severe fuel shortages. In response to the inevitable public outcry, organisers hosted a special class for vehicles running on wood or coal. Only one car from the class finished, a Fiat 508 Balilla ‘Gas’, crossing the line more than 18 hours behind the winning Alfa Romeo 8C 2900A of Antonio Brivio.
    1949: More than 300 cars entered the 1949 Mille Miglia. To reduce confusion, race organisers instructed teams to paint entrant numbers on their cars – a rule that stuck. It also marked the first year that Autostrada sections were widely eliminated.
    1950: Because the number 17 is unlucky in Italian culture, the 17th Mille Miglia was renamed 'The 1950 Mille Miglia for the Franco Mazzotti Cup’, after one of the event's founders. The race also witnessed four Marzotto (not to be confused with 'Mazzotti') family entrants; the brothers all drove Scuderia Marzotto/Ferrari-entered cars, including eventual winner Giannino Marzotto.
    1953: Film director Roberto Rossellini entered the 1953 Mille Miglia driving a Ferrari 250 MM Vignale. He failed to finish, suffering differential failure. According to reports, Rossellini raced against the wishes of his film star wife Ingrid Bergman (see photo), who later protested by lying on the car during a stop in Rome.
    1955: Sir Stirling Moss’s co-driver Denis ‘Jenks’ Jenkinson developed his own scrolling map-reading device for the 1955 Mille Miglia. The pair famously won by a large margin, setting a record average speed of nearly 100mph. Similar devices are used in rallying today.
    Photo: Alinari Archives / Getty Images

    WRC, Portugal : Un parcours magnifique !


    Avec le retour du rallye au nord du pays après quelque quinze ans, le parcours du Rallye du Portugal 2015 est nouveau pour la plupart des concurrents. Un parcours superbe, technique et piégeux.
    Après la première spéciale de Lousada tracée sur le circuit de Rallycross, l’étape de vendredi emmènera les concurrents tout au Nord, vers la ville de Ponte de Lima, autour de laquelle, à l’époque déjà, étaient tracées de nombreuses spéciales.
    L’ES2 (27,53 km) démarre en pente raide sur environ 2 km. Après une série d’épingles, la piste court sur les flancs de la Serra de Arga et domine la vallée de Lima sur plus de 20 km. Elle est assez large, très sinueuse et technique au milieu des pins. Le sol est soft et sablonneux, mais les cordes sont remplies de grosses pierres. La spéciale se termine par une descente étroite.
    Les concurrents vont enchaîner avec l’ES3 (Caminhos, 18,05 km) et l’ES4 (Viana de Castelo, 18,78 km) qui ont un peu le même profil avec une montée abrupte au départ et des plateaux plus moins rapides et sinueux peuplés d’éoliennes. L’ES3, dont l’arrivée se situe tout près de la frontière espagnole, est rapide, alors que l’ES4 est particulièrement glissante, surtout la dernière descente.
    Samedi, c’est dans un décor différent que les concurrents vont évoluer. L’action se déroule dans l’alto Douro, à l’Est de Porto. L’ES8, très sablonneuse, est étroite et se faufile entre de hauts talus jaunis par les genêts en fleur. La poussière risque d’être pénalisante.
    La spéciale suivante (Marao, 26,46 km) est magnifique. Les 11 premiers kilomètres sont une longue ascension à flanc de montagne, avec un impressionnant précipice côté gauche. Après le col (1232 m), la piste serpente au milieu d’imposants rochers sur 2 ou 3 km, avant de prendre un rythme plus rapide jusqu’à l’arrivée. Ca va aller très, très vite…
    La plus belle spéciale est peut-être la 3e et dernière de cette boucle, Fridao (37,67 km), la plus longue du rallye. C’est une succession de montées et de descentes au milieu du parc national d’Alvao, dans des pinèdes hélas dévorées par les incendies. La piste est large et lisse, un vrai billard sur près de 40 km, avec seulement quelques courtes portions asphaltées et parties plus étroites et bosselées. Un vrai bonheur !
    Dimanche, les deux passages dans Fafe auront la faveur du public. La spéciale, qui s’élance aux portes de la ville, est plutôt étroite. La piste, très sablonneuse, se faufile entre d’énormes rochers jusqu’aux fameux jump. Mais l’ES15 (Viera do Minho, 32,35 km) aura sans doute la faveur des concurrents. C’est un « gros morceau » ! La piste n’arrête pas de monter et descendre dans les forêts de Serra de Cabreira et le sol ne cesse de passer d’une terre dure et compacte à une couche de gravette instable. Cette spéciale paraît interminable.

    Tatoo.........


    DAKAR SERIES ; RUTA 40 stage 1