ACE CAFE RADIO

    lundi 15 juin 2015

    THE NIGHT RIDER


    Midnight in Paris.
    Some sleep, some don't.


    THE NIGHT RIDER from Joris B. on Vimeo.

    LE MANS Signatech-Alpine KO mais Alpine reviendra en 2016 !


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    À moins de 90 minutes du départ des 24 Heures du Mans, Alpine créait l’événement devant 250 000 spectateurs réunis autour du circuit sarthois. Nouvelle étape d’une renaissance entamée en 2012, le show-car Alpine Célébration prenait la piste aux côtés d’une emblématique Alpine A110.
    Soixante ans après la création du A fléché par Jean Rédélé, Alpine Célébration donne une nouvelle image de la modernité à travers les attributs intemporels du style de la Marque. Elle fait suite à l’A110-50 et à Alpine Vision Gran Turismo, en croisant l’Alpine A450b sur la grille de départ des 24 Heures du Mans, pour franchir une étape supplémentaire dans l’exploration authentique des thèmes liés à la performance, à l’agilité, au style et aux sensations.
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    La visite du Président de la République Française François Hollande était un autre moment fort de cette journée. Invité dans le stand de l’équipe Signatech-Alpine, le premier Président à assister aux 24 Heures du Mans depuis 1972 s’est montré particulièrement intéressé et enthousiasmé par le projet présenté par Alpine.
    Au cœur de l’événement, Alpine a montré ses valeurs
    Placée en cinquième position sur la grille de départ, l’équipe Signatech-Alpine profitait d’un bon départ de Paul-Loup Chatin pour s’afficher dans le peloton de tête. La stratégie était ensuite adaptée aux divers événements du début de course.
    Une longue neutralisation était à l’origine d’un quintuple relais de Nelson Panciatici. Parti pour un unique ravitaillement avec les mêmes pneumatiques, il bénéficiait de l’entrée en piste de la voiture de sécurité pour faire le plein, chausser de nouvelles gommes et repartir pour trois relais.
    Grâce à cette décision, l’Alpine A450b pointait en troisième position lorsque Vincent Capillaire prenait le volant. Régulier et performant, il laissait le baquet à Paul-Loup Chatin, peu après 22h00, toujours sur le podium provisoire.
    Vingt-huit minutes après s’être élancé, Paul-Loup sortait de la piste à Mulsanne. Conseillé par son équipe technique, il tentait de relancer le prototype durant plus de deux heures. Sans succès, Signatech-Alpine décidait d’annoncer l’abandon lors de la onzième heure de course.
    Bernard Ollivier, Directeur d’Alpine : « Ce fut une journée intense pour Alpine qui a dévoilé l’état de ses travaux pour le futur avec Alpine Célébration. Malheureusement, après des premières heures exceptionnelles en piste pour l’équipe Signatech-Alpine, nous avons été contraints à l’abandon. Mais nous reviendrons ! »
    Philippe Sinault, Team Principal Signatech-Alpine : « Nous avions pris un excellent départ. L’objectif était d’être à portée de podium. Les deux premiers étant partis sur un rythme très rapide, la troisième place était une très bonne position pour commencer notre nuit. La stratégie établie pouvait nous donner un avantage déterminant. Mais Le Mans reste une course difficile. Nous ne connaissons pas encore les circonstances de la sortie de piste. Nous allons analyser tous les paramètres. Bravo, néanmoins, à toute l’équipe et à nos pilotes, qui ont fait un excellent travail en début de course et qui ont fait preuve d’abnégation lors des moments difficiles. »
    Nelson Panciatici : « Lancer ma course avec un quintuple relais d’emblée était une nouvelle expérience. J’ai pris un immense plaisir au volant de l’Alpine A450b. La voiture était extraordinaire. Nous étions très performants. Une sortie arrive parfois en sport automobile. C’est dommage, car je suis convaincu que nous aurions pu faire quelque chose de bien. »
    Vincent Capillaire : « Nous avions fait une excellente entame de course. Chaque pilote était sur un très bon rythme et la stratégie était parfaite. Nous savions où nous allions et nous avions une belle carte à jouer. Ne pas finir est dur quand on pense à l’énergie, au travail et à l’investissement de l’équipe et des partenaires dans ce projet. C’est le sport. Rendez-vous donc en 2016 ! »
    Paul-Loup Chatin : « Tout se passait bien. L’Alpine A450b était parfaite et j’étais en confiance. Au freinage de Mulsanne, j’ai tapé dans les freins et j’ai instantanément perdu le contrôle pour aller heurter le rail à droite. J’ai tout essayé pour repartir. En liaison avec l’équipe, j’ai fait une cinquantaine de manipulations et une centaine de tentatives pour redémarrer durant plus de deux heures. Je ne comprends pas comment c’est arrivé. La voiture avait un comportement exceptionnel et tout le monde avait fait un très bon travail. J’aurais aimé aller au bout et prendre encore plus d’expérience. »

    A BMW bike fit for Lawrence of Arabia


    If Lawrence of Arabia had crossed the desert by motorcycle, rather than by camel, he’d almost certainly have opted for this intriguingly modified BMW R100GS…

    Utilitarian cool

    Aside from the obvious khaki colour scheme, modifications include a pared-back sub-frame and exhaust system, dynamic engine tuning, chunky off-road tyres and – hipster alert – a handlebar-mounted Leica camera. Incidentally, this bike is currently offered for sale in the Classic Driver Market. It might appeal primarily to urban hipsters, but if you are planning a trans-Saharan adventure, this could be just the tool for the job. How it fares in guerilla train-wrecking raids, on the other hand, is another question altogether. 
    Photos: Autosalon Stich
    You can find this bike and many others offered for sale in the Classic Driver Market.

    The advocate’s devil – a very special MGB GT V8

    An MGB that accelerates as quickly as a Ferrari? Anything’s possible, as we've learned this week from our reader, Rolf Jäger. The Munich-based lawyer owns this MGB GT V8, from which RPI Engineering has coaxed a devilish 275bhp…

    As luck would have it...

    The story began in March this year, when Jäger attended Retro Classics in Stuttgart with a friend. He had no intention of purchasing anything, until a track-prepared MGB on one exhibitor’s stand caught his eye. “After taking a closer look and having a very informative chat with its owner, my interest became concrete,” says Jäger. “However, I pointed out that my intentions were not so much directed at fast lap-times, but more at everyday adrenalin.” And after an early experience with an MG Midget as a trainee lawyer in London, anything but a restored vehicle was out of the question. “The seller pricked up his ears,” he says. “He had something very special in his collection, but would first need the blessing of his wife, as it concerned their holiday car.”

    The virus takes hold

    Three days later, more information reached Jäger. Said holiday car was a right-hand-drive MGB GT V8 from 1976, with its performance essentially doubled by RPI Engineering in England from a humble 137bhp to a scintillating 275bhp. The owner also had the photos you can see here, taken by advertising photographer, Mario Brunner. “When I saw the performance specifications, I was infected, and convinced this was the car,” he says. Had his hand not been in plaster due to a ski injury several days before, he would have gone to test the car immediately. While the hand healed, Jäger extensively researched the history of the monstrous MGB, only succumbing to the ‘virus’ more and more severely.

    To Munich...

    The time had come: the evaluation and first test drive were all that stood in the way of Jäger signing on the dotted line for the MGB. Having travelled to Munich, he had ample opportunity to familiarise himself with the special features of the coupé, such as the four-speed overdrive gearbox, manually switchable cooling fans, stainless steel exhaust system and thoroughly optimised chassis. Meanwhile, the 4.6-litre Rover V8 was developing around 275bhp at 2,750rpm. 

    When the wolf wakes...

    Acceleration from 0-100km/h takes about 5.2 seconds, around the same time as the Ferrari 512 BB of the same year. This begs the question of how the car handles. “It's very civilised,” laughs Jäger, “if you don’t wake the wolf in sheep’s clothing…” There’s more to this MGB than its muscle-car performance, though. Details such as the contemporary fabric roof awning with wind deflector, leather heated seats with red piping, the map light from Hella, and the sheepskin carpets; they all add so much charm to the little MG. We imagine Jäger would have signed for the car with his blood, if he’d had to. 
    Photos: Mario Brunner