ACE CAFE RADIO

    vendredi 18 septembre 2015

    Your once-in-a-lifetime chance to own the entire Bertone collection


    Last year saw Bertone let out its death rattle, and finally succumb to the harsh realities of today’s automotive industry. Now, the design house’s entire collection of concepts, prototypes and production models will be auctioned off as a single lot by the company’s liquidators…
    Production models included in the 79-car roster include a Lamborghini Miura S, a Lancia Stratos and Alfa Romeo Giulia SS – but perhaps of more interest to those with Bertone-themed collections will be the list of prototypes and concept cars that, until now, have been locked into the company’s collection from their inception. These include the 1976 Ferrari Rainbow, the 1977 Jaguar Ascot, and the 1988 Lamborghini Genesis (that’ll be the red MPV you see in the pictures). More recent automotive gems include the 2004 Aston Martin Jet shooting brake and the 2011 Jaguar B 99 saloon. Bidding on the collection starts at just over €1.5m, and ends on 28 September.

    Start searching for a warehouse in Italy...

    As they’re regarded as an Italian national treasure, the other stipulation for potential buyers (along with acquiring the collection as a whole) is that the cars must remain in Italy. Also for sale are the company name and logo rights, with bidding starting at €3m – a relatively small sum, considering the recent $16.5m sale of Nuccio Bertone’s bespoke Ferrari 250 SWB.
    For more information, visit sivag.com.

    dépannage


    jeudi 17 septembre 2015

    FIA WORLD ENDURANCE CHAMPIONSHIP Austin : Alpine de retour aux Etats-Unis 51 ans après la M63


    Plus de cinquante ans après le premier engagement officiel d’Alpine aux États-Unis, la Marque fait son retour outre-Atlantique. Dès 1964, Mauro Bianchi et José Rosinski furent alignés aux 12 Heures de Sebring avec l’Alpine M63.
    img_9525
    En 2015, c’est dans le cadre du Championnat du Monde d’Endurance (FIA WEC) que l’Alpine A450b va poser ses roues sur le Circuit des Amériques, installé à Austin et inauguré il y a trois ans. De quoi raviver la flamme des nombreux amateurs d’Alpine aux États-Unis qui ont, durant des années, engagé en compétition les voitures produites à Dieppe.
    Pour Signatech-Alpine, la découverte de ce tracé de 5,513 kilomètres, avec plus de 40 mètres de dénivellation, sera l’occasion de marquer des points dans le Trophée Endurance FIA des équipes LM P2.
    Sur le Circuit des Amériques, 31 équipages seront au départ, dont huit dans la catégorie LM P2. Signatech-Alpine sera, à nouveau, la seule équipe 100 % française du plateau.
    Philippe Sinault (Team Principal Signatech-Alpine) : « Ce déplacement au Texas constitue une grande première pour Signatech-Alpine. C’est la première fois que notre Alpine A450b sort d’Europe, il y a une grande motivation et de l’enthousiasme. Pour les pilotes, le circuit d’Austin promet beaucoup. Sa réputation en fait déjà un monument, ce qui est très rare pour les tracés récents. Pour nous, ce sera une vraie découverte face à des rivaux qui y ont couru l’an passé. Nous attendons avec impatience les premiers essais libres pour confirmer le travail effectué sur notre simulateur Ellip6. Nous savons que le podium est un objectif élevé, mais c’est notre ambition ! »
    Nelson Panciatici : « Je suis heureux de découvrir un nouveau circuit. Sur le simulateur, le tracé est vraiment prometteur. Nous avons bon espoir après notre belle qualification et notre belle course sur le Nürburgring. La chaleur et l’utilisation des pneus seront peut-être des atouts pour l’Alpine A450b. Pour toute l’équipe qui travaille très dur, un podium serait une vraie récompense. Sur le plan personnel, j’ai envie de briller aux États-Unis, un pays que j’adore. »
    Paul-Loup Chatin : « J’ai vraiment hâte d’y être. Cette première étape hors d’Europe ouvre un nouveau chapitre dans la saison du Championnat du Monde. Austin est aussi l’un des plus beaux circuits récemment construits. Je pense que nous aurons une carte à jouer. Le tracé permet des dépassements avec de grandes courbes et de gros freinages. Nous sommes bien préparés et nous avons l’objectif de décrocher un podium pour toute l’équipe ! »
    Vincent Capillaire : « Le contexte rend cette épreuve très excitante ! Nous quittons l’Europe pour rouler aux États-Unis. Là-bas, la course automobile est très populaire. Il y a une culture du show et du spectacle. Cette ferveur est dans l’esprit du projet Alpine. Toute l’équipe a beaucoup travaillé et nous avons mesuré nos progrès sur le Nürburgring. La gestion des pneumatiques sera encore la clé du résultat. Si une opportunité se présente, nous devrions être en position de jouer un podium. »

    Rossi n’aura pas de meilleure opportunité pour un 10e titre / Rossi: No better chance for 10th title


    Matthew Birt revient sur le Grand Prix TIM de Saint-Marin et de la Riviera di Rimini.
                 
    Présent dans le paddock MotoGP™ depuis près de vingt ans en tant que reporter pour Motorcycle News, Matthew Birt rejoint l’équipe de motogp.com pour la saison 2015 afin de vous proposer une opinion venant du coeur du paddock.
    À Misano, nous avons vécu tous les rebondissements d’une seule saison en 50 minutes et ma principale conclusion de tout ce chaos est que Valentino Rossi n’aura jamais une meilleure opportunité de remporter un 10e titre mondial.
    Durant les deux premières journées de Silverstone et de Misano, Rossi avait inquiété tellement il était loin de Lorenzo et devait très certainement se demander comment il allait pouvoir riposter face à l’impressionnante vitesse de l’Espagnol.
    Mais le meilleur dans les courses, et c’est probablement pour ça qu'elles génèrent autant de passion, c’est qu’elles restent imprévisibles et que tout peut arriver.
    Nicky Hayden l’avait parfaitement résumé il y a quelques années lorsqu’il semblait déjà avoir perdu le samedi après-midi.
    Il avait dit : « On ne sait jamais ce qui va se passer et c’est pour ça que nous sommes tous sur la grille le dimanche. »
    Et 24 heures plus tard, il savourait le cava sur le podium.
    C’est un propos que l’Américain a souvent tenu par le passé mais qui s’avère on ne peut plus juste pour Silverstone et Misano.
    Qui aurait pu anticiper le scénario de la course de dimanche dernier ?
    Rossi a manqué le podium pour la première fois en près d’un an et Lorenzo est tombé pour la première fois depuis la première manche de 2014 au Qatar.
    Et comme si ça ne suffisait pas, deux Britanniques finissaient sur le podium de la catégorie pour la première fois en 36 ans ! Et Scott Redding montait sur le podium après une chute et deux arrêts aux stands.
    Facile à prédire, non ?
    Quelle que soit la stratégie qu’ils allaient choisir dans des conditions qui changeaient rapidement, Rossi et Lorenzo étaient forcés de prendre des risques.
    Les deux couraient l’un contre l’autre plutôt que contre les conditions, à tel point qu’ils sont tous les deux restés en piste sur des pneus pluie détériorés bien trop longtemps pour finir sur le podium.
    L’erreur de Lorenzo a été d’avoir été trop prudent une fois de retour sur slicks. Surpris par la vitesse de Redding lorsque le Britannique l’a doublé (les slicks de Redding étaient déjà à température), Lorenzo a perdu son habituel sang-froid. Il a paniqué et a attaqué trop tôt, sur un pneu pas encore suffisamment chaud à l’arrière, et a violemment chuté dans le virage 15.
    Il s’en est heureusement sorti indemne. Je ne suis ni pour Rossi ni pour Lorenzo mais le Championnat mérite d’être décidé sur la piste et non au centre médical. 
    Lorenzo était encore en train de traverser le bac à graviers que l’on avait déjà compris que cette erreur non-provoquée, ce qu’il commet très rarement, était un tournant de la saison.
    Et c’est pourquoi Rossi a de nouveau l’ascendant avec 23 points d’avance et plus que cinq courses avant un titre qui ferait de lui, à mon humble avis, le plus grand pilote de tous les temps, indiscutablement.
    Mais la bataille est loin d’être terminée.
    Lorenzo pouvait facilement s’attendre à marquer 50 points à Silverstone et Misano, et donc à prendre le contrôle du Championnat du Monde. 
    Beaucoup de gens voyaient les choses aller dans ce sens, moi y compris.
    Mais maintenant il a dû retard à rattraper, une fois de plus.
    Lorenzo avait repris 28 points en l’espace de quatre courses grâce à une série de victoires inédites entre Jerez et Catalunya plus tôt dans la saison.
    S’il réussissait à nouveau, il arriverait à Valence pour la dernière course en tête et avec un maigre avantage.
    Et je vais laisser mon côté patriotique s’exprimer un instant pour dire qu’il était fantastique de voir deux pilotes britanniques sur le podium de la catégorie reine pour la première fois depuis 1979.
    J’ai vu Bradley Smith et Redding grandir et j'ai suivi leurs parcours depuis leur adolescence et les premiers podiums en 125cc et Moto2™.
    Les deux ont reçu leurs lots de critiques depuis leur arrivée en MotoGP™ mais ils ont continué de croire en eux et quand l’opportunité s’est présentée, ils ont su la saisir, comme Danilo Petrucci à Silverstone.
    Oui, ils avaient besoin de chance. Mais il y avait aussi du talent et du courage. 
    Le prochain rendez-vous sera le MotorLand Aragón. Qui peut prédire ce qui se passera là-bas ? Je vais me contenter d’attendre le dimanche et de voir ce qui adviendra.
                         Rossi: No better chance for 10th title
    So, have you all caught your breath yet after what was a manic and memorable Misano MotoGP race?
    With nineteen years of experience reporting on MotoGP™ for Motorcycle News, MotoGP™ Commentator Matthew Birt knows the Championship inside-out. For the 2015 season he joins the motogp.com team to bring you exclusive news and opinion from inside the paddock.
    We had a season’s worth of drama in less than 50 minutes, and to write a summary to do all the action justice, this column would be of War and Peace proportions.
    My main conclusion from all the mayhem is that Valentino Rossi is never going to get a better chance to capture a 10th world title.
    For the first two days at Silverstone and Misano, Rossi was worryingly outpaced by Jorge Lorenzo, and woke on race day morning at both wondering how the hell he was going to live with the Spaniard’s blistering speed.
    The great thing about racing, and a reason why we all love it so much, is that it is brilliantly unpredictable and anything can happen.
    It was Nicky Hayden that once summarised it perfectly a few years back when he seemed out of contention on Saturday afternoon.
    “You never know what’s going to happen and that’s why we line-up on Sunday, “ said Hayden.
    And 24 hours later he was guzzling cava on the podium.
    That’s a quote I’ve heard the American roll out frequently in the past and it certainly rings true for Silverstone and Misano.
    Who could have foreseen the scenario that played out last Sunday?
    Rossi missed the podium for the first time in nearly a year. And Lorenzo crashed out for the first time since the opening round of 2014 in Qatar.
    Adding to the craziness, two British riders finished on a premier class podium for the first time in 36 years! And Scott Redding did so after a crash and two pit stops.
    Yeah, that was all really easy to predict.
    Whatever Rossi and Lorenzo did in the rapidly changing conditions was a high-risk strategy.
    Both were racing each other, more than the conditions, to such an extent that they both stayed out too long on deteriorating rain tyres to finish on the podium.
    Lorenzo’s biggest downfall was being too cautious when back out on slicks. Freaked out by Redding’s speed when the Briton passed him, (Redding’s slicks were already up to working temperature) Lorenzo lost his normal ice cool clarity. He panicked and pushed too soon with insufficient heat in the rear tyre and fell heavily at turn 15.
    Thankfully he was unhurt. I have no allegiance to Rossi or Lorenzo, but this Championship deserves to be decided on track and not in a medical centre.
    Lorenzo was still rolling through the gravel when you immediately understood that his rare unforced error was a monumental turning point.
    And that is why Rossi is now back in the ascendancy by 23-points, with just five races now between the Italian and a title success that in my humble opinion will earn him the undisputed right to be known as the greatest of all time.
    This battle though is far from over.
    Lorenzo could easily have expected to take 50-points at Silverstone and Misano and put himself well in control of the World Championship.
    That was how some thought the script was going, including me.
    Now he’s playing catch up again.
    Lorenzo clawed back 28-points on Rossi in just four races with a career best winning streak between Jerez and Catalunya earlier in the season.
    Should he repeat that then he would arrive for the final race in Valencia with a slender points lead.
    I’ll quickly let my patriotic side take over and say it was an incredible feeling to see two British riders on a premier class podium for the first time since 1979.
    I’ve seen Bradley Smith and Redding go from boys to men and tracked their journey from aspiring teen hopefuls to the top step of the podium in 125s and Moto2™.
    Both have taken their fair share of criticism since moving to MotoGP™, yet their belief in themselves has never waned and you will not meet two more dedicated and committed young men in the paddock.
    And when an opportunity for a podium presented itself, they grasped the opportunity, as Danilo Petrucci did at Silverstone.
    Yes, they needed some luck. But it was earned more through skill, talent and bravery.
    Next up is Motorland Aragon. Who can predict what is going to happen there? I’ll just let them line-up on Sunday and see what happens.