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    vendredi 1 janvier 2016

    Dakar 2016 ; it's tomorrow !


    Teaser Oficial - Dakar 2016 par Dakar

    Christian Lavieille en piste pour un 13e Dakar


    L’ancien champion du monde d’Endurance (1998, 2000 et 2001) et vainqueur du Bol d’Or (1996, 1999, 2001) va piloter pour le Renault Duster Team Dakar.
    Christian Lavieille prendra le départ de son 13e Dakar. Pour l’occasion, il intègrera l’équipe officielle Renault Argentina, sous le nom de « Renault Duster Team Dakar », au volant d’un Renault Duster. Il retrouvera pour cette aventure, Jean-Michel Polato avec qui il s’est classé 8e général au Dakar 2011. 6e au général en 2015, et 2e de la catégorie essence, il aura à cœur de briller sur l’édition 2016.
    Rappelons qu’après 16 saisons sur 2 roues, et 15 sur 4 roues, Christian Lavieille comptabilise plus de 40 Rallyes Raids dont 12 participations au Dakar. Le prologue du Dakar sera donné le 2 janvier alors que la première spéciale débutera le lendemain pour une arrivée à Rosario le 16 janvier.
    Nous avons connu Christian Lavieille quand il collectionnait les victoires à moto au sein du Suzuki Endurance Racing Team, avec 3 Bols d’or (1996,1999 et 2001) et 2 titres de champion du monde (1998 et 2001). Nous l’avons ensuite aperçu lors des épreuves de l’Andros, puis retrouvé aux 24 heures du Mans auto sur Porsche avec son compère Luc Alphand, en 2002 et 2003. En 2006, il manageait avec bonheur le team National Motos aux 24 heures du Mans, qui remportait avec sa Honda un succès quasiment inattendu. Puis les choses furent plus compliquées pour le suivre, car ce garçon, grand sportif devant l’éternel, avait soif des grands espaces et s’était lancé avec bonheur dans le rallye-raid.
    Nous avions pourtant eu l’occasion de le rencontrer alors qu’il préparait un Dakar avec le team Dessoude et, avions été étonnés par son aisance à dialoguer avec l’ingénieur châssis pour faire évoluer son auto.
    Sur les pistes, sa vista, son coup de volant, son endurance physique et en un mot son talent, le firent remarquer comme un des tout meilleurs pilotes « indépendants ».
    Lorsque nous apprîmes son engagement par Renault Argentine pour piloter une Dacia Duster en janvier prochain sur le Dakar 2016, nous avons souhaité pouvoir connaitre sa réaction.
    Hormis la grande satisfaction de se voir retenu officiellement, avec beaucoup de pragmatisme, Christian Lavieille nous proposa de répondre à nos questions seulement à son retour d’Argentine, où il partait effectuer des essais.
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    Après cette campagne de tests voici le fruit de cette interview.
     Christian, combien as-tu réalisé de jours d’essais, dans quelle région ?
    Christian Lavieille : « Nous avons fait deux jours d’essais dans les dunes de Nihuil, du côté de San Raphael, Province de Mendoza, en Argentine ».
    Ton engagement est porté par Renault Sport ou Renault Argentine ?
    « L’engagement a été réalisé par Renault Argentine, qui a un support technique avec Renault Sport. La structure française a suivi le choix de la voiture, les options techniques et le développement qui a été fait autour. Après, pour ma part je dispose cette année du support de Renault Sport en termes de communication ».
    La Dacia Duster a donc été intégralement préparée en Argentine avec l’aide de Renault Sport, alors comment pourrais-tu présenter l’auto en termes techniques ?
    « Si tu veux, ils ont commencé en 2012-2013 directement là-bas en Argentine avec le Duster, qui constitue une grosse part de marché en Amérique du Sud. Ils se sont rendus compte que leur auto n’était pas très performante, alors ils se sont rapprochés fin 2013 de Renault Sport pour savoir quels choix techniques faire. Ils ont arrêté un type de châssis et un moteur pour le Dakar 2014 et ont poursuivi l’évolution en 2015. A partir de ces développements complémentaires, ils ont opté pour un moteur du groupe Nissan, un V8 5 litres de l’Infiniti, développant environ 360 chevaux avec la bride. C’est ce véhicule que pilotait en 2015 Emiliano Spataro, celui avec qui je serai équipier cette année et à qui appartient le team ».
    Quelles sont tes impressions premières au volant de ta future monture ?
    « Elles sont bonnes. Après, c’est une voiture de construction assez basique avec pont rigide à l’arrière. On n’est pas dans les toutes dernières évolutions avec 4 roues indépendantes, comme les dernières Toyota ou les Mini. C’est une voiture fiable au comportement sain, disposant d’un très bon train avant. Même si je n’ai pas en deux jours pu rouler sur tous les types de terrain que nous pouvons rencontrer au Dakar, l’auto m’a cependant procuré de bonnes sensations ».
    Vers quelle évolution as-tu souhaité voir s’orienter le travail et l’équipe aura-t-elle le temps d’apporter des modifications ?
    « J’ai attiré l’attention sur la question de stabilité à haute vitesse et orienté les ajustements pour avoir une voiture stable et sûre. Je suis persuadé que les réponses seront apportées à mes demandes ».
    As-tu suggéré des pistes de développement ?
    « Oui, tout à fait. Le gros chantier à propos duquel nous leur avons laissé deux pages et demi de notes, concerne l’accessibilité en cas de problème en course. Au départ, ce ne sont que des petits trucs, dont on se dit, on n’en a pas besoin mais en cas d’arrêt, s’il te faut accéder aux plaques, ou compléter du liquide de refroidissement ou de direction assistée et que tu perds beaucoup de temps à tout rassembler avant d’intervenir, tu te mordras les doigts de ne pas avoir anticipé cette situation. Je te prends un exemple. Les pelles étaient positionnées dans les portières arrière, or celles-ci étaient fermées par des Zus nécessitant un tournevis pour l’ouverture. Nous avons souhaité les repositionner derrière les roues de secours pour y accéder rapidement, juste avec une goupille à enlever.
    Nous avons suggéré avec Jean-Michel Polato mon coéquipier, une foule de choses qu’ils n’avaient pas forcément envisagées par leur manque d’expérience en rallye-raid. Avec les plaques qu’ils avaient prévues, en cas de plantage on risquait d’y rester deux heures, avec celles que nous avons préconisées, on pourra s’en sortir en un quart d’heure. En fait, on a établi une grande liste pleine de petits détails mais qui pourront nous rapporter beaucoup en cas de problème ».
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    Peux-tu nous parler de la structure d’assistance dont tu disposeras ?
    « Le team comprendra 25 personnes pour les deux voitures. Nous aurons deux ingénieurs, un électricien, trois mécaniciens par voiture, un team manager, une équipe pour la logistique, une équipe pour la communication via Renault Argentine, 2 camions T5, un camion T4 dans la course, plus quelques fourgons, un motor-home….
    Oui, nous aurons une belle structure. C’est une équipe jeune mais motivée et très déterminée. Comme tous les argentins à la culture automobile importante, nous avons affaire à des gens très passionnés. Il y aura une très grande opération de communication car Renault Argentine vient de lancer une série limitée Duster-Dakar, après avoir payé à Amaury Sport Organisation la licence pour exploiter la marque déposée Dakar ».
    Tu retrouves Jean-Michel Polato comme coéquipier, alors quels sont vos espoirs au classement, mieux qu’une sixième place déjà obtenue en 2015 sur Toyota avec Pascal Maimon ?
    « Tu sais le plateau réunit de plus en plus de voitures performantes, énormément de Mini, huit Toyota dernière génération, les DKR Peugeot…. Tu as ainsi 20 à 25 voitures qui sur le papier seront plus rapides en termes de performance. Après il faut prendre en compte les questions d’équipage, de régularité, d’équipe technique et de faits de course. Alors voilà, notre objectif, comme celui de Renault c’est de faire entre cinq et dix. Nous allons tenter de faire une course régulière. Tu ne peux pas établir un schéma de course pour un Dakar. Quand tu rentres dans le sable, si tu passes quatre mètres à gauche au lieu de choisir la droite, tu peux mettre le nez de l’auto dans une cuvette et y passer beaucoup de temps ! Il faudra donc être vigilants et faire une course sûre et solide ».
    Comment vois-tu la course au sommet cette année Peugeot ou Mini ?
    « De toute façon ça va partir très vite. Ce qu’il nous faut, c’est d’être dans le bon wagon, entre cinq et quinze, c’est l’idéal. Ainsi tu ne perds pas de temps dans la poussière, tu as un bon rythme avec ceux qui sont devant et juste derrière toi. Si tu es vers la trentième place par contre, tu te retrouves avec des voitures à doubler, tu prends des risques bêtement dans la poussière pour arriver à te rapprocher. Donc, devant ça va forcément cravacher, tout le monde voulant prendre une bonne place dès le début.
    On va monter jusqu’en Bolivie et le parcours sera très roulant et typé WRC, nous ne disposerons pas de grands espaces nous permettant de faire notre chemin en hors- piste. Sur la boucle retour ce sera peut-être un peu plus facile pour nous. Quoiqu’il en soit il y a une brochette de bons pilotes, venus de partout et qui roulent toute l’année donc ça va rouler vite. Pour nous il faudra aussi rouler vite, tout en gardant une petite marge de sécurité. Sur tout le début, ça peut être à l’avantage des Mini avec Nasser Al Attiyah, Nani Roma ou encore Orlando Terranova sans oublier un Giniel de Villiers sur Toyota. Il faut se souvenir que Carlos Sainz, en 2014 avec le buggy SMG, était rapide même dans le sinueux et les Peugeot (toujours en deux roues motrices), qui cette année ont fait un gros « step moteur » et opéré un important bond en avant au niveau châssis, auront des arguments à faire valoir, aussi ».
    La saison comprendra-t-elle d’autres épreuves avec Dacia à votre programme ?
    « Pour l’instant je ne sais pas. Il va falloir en discuter. De mon côté j’ai peut-être aussi un programme avec les chinois (Haval). En fait, tout va un peu dépendre des retombées du Dakar à venir ».
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    En attendant, Christian Lavieille peaufine sa préparation physique en prévision d’une course sans concession sur des terrains exigeants et rudes. Entre le 3 et le 16 janvier la bagarre fera rage et comme souvent pour figurer dans les dix premiers à l’arrivée, il faudra d’abord une voiture robuste et fiable mais aussi un équipage avisé, rusé et débrouillard.
    Sincèrement, nous pensons que le Duster N° 308 va tirer son épingle du jeu, même avec la concurrence très huppée que nous connaissons. Effectivement, Christian avec Jean-Michel Polato allient suffisamment d’expérience, de sagesse et de détermination pour réussir un très bon Dakar.
    Alain Monnot (le blog auto )
    Crédit Photos : Team Renault Duster Dakar et Michel Picard

    Expedition Overland: Alaska/Yukon Ep10

    A breakdown has stranded the team as they begin the Dempster Highway in the Yukon. The guys must work together and overcome time crunches to maintain schedules. The road is dangerous and close calls are part of the experience. But the top of the world awaits and nothing has prepared them for that!


    GO .....2016 !!!


    Pipeburn’s 2015 Bike of the Year Award


    With 2015 disappearing faster than petrol down the throat of a badly tuned race carb, it’s time to take stock of the past 12 months and see what bikes really floated our collective boats. In this, our sixth year of making a fuss about the world’s best custom beasts, we’re glad to say that the brouhaha surrounding this weighty, exhaust-shaped prize seems to be getting bigger and bigger. But the award itself is nothing without the guys it’s intended to honour; the bike builders that bless us daily with their art and expect pretty much nothing in return. Here’s to you, you big, oily, talented lunatics. As always, we’ve revisited every bike from this year (all 180-odd posts) to count and re-read your comments, tally Facebook likes and whip out our trusty awesome-o-meter to come up with our top 10 bikes for 2015. So, without any further ado…

    10. KTM 520 EXC-R – Chad Edwards

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    We love bikes that make you think. Like great music, it’s the ones that confuse you at first that prove to be the ‘growers’ in the long run. It’s less about the bike itself and more about your ability to connect the new synapses needed to appreciate it. Cue ‘Ol’ Keithy’ by Chad Edwards. Earning a rather amazing 8k in Facebook thumbs, it proved that there is a way to combine flat track looks and motard zip in the same killer package. Anybody from KTM reading this? If so, please make this bike now. More here.

    9. Yamaha Scorpio – Thrive Motorcycles

    Speaking of connecting new synapses, we’re very happy to welcome Jakarta’s Thrive Motorcycles to the BOTY awards for the second time in three years. This wild, go-anywhere creation draws more than a little inspiration from Star Wars speeder bikes and it looks to have about the same off-road abilities. The only thing it’s doesn’t have is the blasters… at least not yet. More here.

    8. Honda CB550 – Old Empire Motorcycles

    Old Empire are amongst Pipeburn’s favourite builders. Like an open fire and a good book, they never fail to deliver bikes that impress in both the head and the heart departments. Little wonder that this beauty, named after a famous British Torpedo plane, raked in the clicks and likes. We’re sure the Norfolk lads will be celebrating in their own very English way tonight. Pint of cucumber and corgi sandwiches, anyone? More here.

    7. Yamaha XV1000 – Plan B Motorcycles

    The first of two Viragos in this year’s awards, Plan B’s XV1000 has enough coolness to fix global warming andgive The Fonz a good run for his money with the leftovers. Amazing pipes. Sleek lines. Beautiful details. It’s almost the perfect incarnation of a modern Café. And just when you were thinking that Viragos were yesterday’s news, too. More here.

    6. AJS – Young Guns Speed Shop

    With an explicit understanding of what makes classic bike design tick and a gentlemanly hat tip to Ian Barry, this masterclass in bike building managed to teach even our jaded, old eyes a thing or two about bi-wheeled beauty. With nary a bolt nor beam out-of-place and near perfect symmetry, this AJS may be the only one of its marque on the site but what it lacks in friends it more than makes up for in sheer, jaw-dropping good looks. More here.

    5. The Triumph Salt Racer

    April’s biggest hit was this tougher-than-nails Bonneville Thruxton. It was built with a big budget and for the soul purpose of breaking records at South Australia’s Lake Gairdner – Bonneville’s Down Under twin and a place renowned for its fast salt conditions. And fast is just what happened. Make sure you watch the video. More here.

    4. Yamaha XT600 – Nick van Woert

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    Take one part Yamaha XT600, add a big dose of Picasso-esque Cubism, then follow that with a generous serving of A-10 Warthog and you’ll be getting close to understanding what makes Nick van Woert’s killer Yammie so amazing. Have a brutal urban assault mission you need to conduct? Well, here’s your bike – and it’ll do it all while winning awards to boot.  More here.

    3. Triumph Bonneville – The Bullitt

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    ‘Modern classic’ is a term that gets chucked about a lot in the bike world. And more often than not, it’s nothing more than meaningless mouth wind. But then there’s Patrick Flynn’s ‘Bullitt’. Our writer Martin called it ‘the best looking Bonnie ever built, bar none.’ Looks like his bold statement has more than a few supporters, too. With enough stance to kill old ladies at 50 paces and lines that makes the word ‘perfection’ seem laughably inadequate, we somehow always knew that this bike would land itself a place in the pointy end of this year’s award proceedings. What a stunner. More here.

    2. Yamaha XV750 – Hageman Motorcycles

    Viragos. Is there nothing they can’t do? Once again the killer combination of a shitty old Yamaha and the inimitable Greg Hageman delivers the goods like a shot of racing fuel to the heart. Part hot rod, part café racer and part bobber, the bike seems to defy genres while ticking the ‘cool as hell’ box so hard, it has probably torn through the paper. If there was an award for the bike that came out of nowhere to almost win, this would be our champagne-drenched champ. Bravo Doctor Hageman, bravo! More here.

    1. ‘The Musket’ – Hazan Motorworks

    We thought. We mulled. We considered and then we thought some more. For the third year in a row, it looked like the powerhouse that is Maxwell Hazan and his magic hands were going to take home the trophy. Was it too much? Should we share the love and give it to someone else? Or maybe re-write the rules to make two-time winners ineligible for the trifecta? But who were we kidding! In 2015, there was simply no other custom bike that came close to the can’t-believe-it’s-real perfection of what has to be Max’s greatest ever creation. So, we’re proud and honoured to make it official. Pipeburn’s Bike of the Year Award for 2015 goes to Max Hazan and his amazing ‘Musket’. Thank you Max for letting us show the world your bike. More here. (And if you’d like to see his past winners, just click here.)
    We’d also like to take this opportunity to thank everyone who helped us make this award and Pipeburn itself happen. Cheers to our writers Martin, Marlon and Ian. Massive thanks to Paul McKinnon from Evolution Motorsports in Sydney who makes our trophies, and to Hewia Motorcycles for the background to the trophy hero photo. We’d also like to express our never-ending gratitude to all the builders and readers who supported us in 2015. Without you guys we’d be nothing. Cheers and beers.
    via PIPEBURN

    Shinya Kimura's Faster Son

    Shinya Kimura's Faster Son from Nick Clements on Vimeo.

    Dakar : plus de 9000 km à parcourir / more than 9,000km in Argentina and Bolivia


    Pour rallier le podium d’arrivée à Rosario le 16 janvier, les 143 motards au départ du Dakar à Buenos Aires le 2 janvier devront parcourir 9319 km et affronter les cordons de dunes, les pistes sinueuses et caillouteuses à plus de 4500 mètres d’altitude, les zones de fesh-fesh et autres traversées de rios.
    Après le prologue qui mènera les concurrents de Buenos Aires à Rosario, la première étape entre, Rosario et Villa Carlos Paz, est composée de pistes vallonnées et sinueuses à travers la campagne argentine. Pour rejoindre Termas de Rio Hondo, les participants devront avaler les 450 km de spéciale ajoutés aux 236 km de liaison de pistes rapides.
    La troisième étape, commune à toutes les catégories, longue de 663 km dont 314 km de spéciale chronométrée, a été dessinée pour les opportunistes. Les chasseurs de spéciales devraient être à l’affût mais c’est sans compter sur les éventuelles précipitations.
    Les concurrents vont plonger dans le vif du sujet lors de quatrième étape avec le premier vrai test sur une boucle autour de San Salvador de Jujuy. Ils vont évoluer à plus de 3500 mètres d’altitude avec des changements de rythmes incessants liés à l’alternance de terrains sablonneux et caillouteux. Il s’agit surtout de la première partie de l’étape marathon n°1 avec un parc complétement fermé, une première depuis 1998.
    Les motards vont prendre de la hauteur avec la seconde partie de l’étape marathon. Pour rallier Uyini (Bolivie), ils devront s’élever à 4600 mètres d’altitude, point le plus haut de toute l’histoire du Dakar. La vigilance sera de mise dans tous les domaines.  En plus de la gestion de la mécanique et particulièrement des pneumatiques, chacun devra se montrer attentif aux réactions de son propre organisme. Techniquement, c’est une étape qui nécessite de bonnes connaissances en navigation avec les premières portions d’hors-piste.
    La sixième spéciale entre Uyuni et Uyuni est la plus longue de cette édition. Or la distance, elle se déroule entre 3 500 et 4 200 mètres d’altitude et propose des changements de rythme constants. L’alternance entre la terre et le sable peut s’avérer déroutante, surtout si la pluie s’en mêle.
    La fin de la première semaine de course constitue toujours un objectif intermédiaire. Toutefois, il faudra encore venir à bout de cette journée usante, composée de traversées de rios pour rejoindre le bivouac à Salta pour une journée de repos bien méritée.
    Les rescapés de la première semaine vont partir à l’assaut des premiers secteurs de dunes pour rallier Belen où les experts du franchissement pourront pleinement s’exprimer et faire peut-être la différence.
    La neuvième spéciale en boucle autour de Belen sera le théâtre de la seconde étape marathon pour les motards. Le défi du jour pourra se révéler pimenté avec la hausse des températures et des portions de navigation délicates.
    Les fameuses dunes de Fiambala seront au programme de la dixième étape entre Belen et la Rioja. Avec le plus gros kilométrage de dunes et du hors-piste sur l’essentiel de la distance, cette spéciale a été tracée pour les spécialistes du désert.
    La onzième étape (La Rioja – San Juan) sera dans la continuité de la précédente où le sable sera omniprésent avec notamment des portions de fesh-fesh. La concentration et la patience seront les maitres-mots.
    L’avant dernière-épreuve, la plus longue avec plus de 900 km à parcourir conduira les pilotes à Villa Carlos Paz. Attention à ne pas commettre d’erreurs qui pourraient se payer chères à la veille de l’arrivée.
    Conçue avec des pistes sinueuses en montées-descentes, d’autres plus rapides sur sable, la dernière étape mènera les concurrents à Rosario. Pour la plupart d’entre eux, les 699 km à boucler jusqu’au podium final seront ceux de la délivrance. À savourer sans la moindre modération…
     143 bikers entered for this year’s Dakar will start the 9,319km marathon in Buenos Aires on January 2 and, hopefully, complete the event in Rosario on January 16. This year’s menu features a cocktail of dunes, fesh-fesh, twisty, rocky trails and dry river beds as competitors climb to altitudes of more than 4,500 metres.
    After a prologue that will take competitors from Buenos Aires to Rosario, the event’s first real stage from Rosario to Villa Carlos Paz will include twisty, undulating dirt roads through the Argentine countryside.
    Stage 2’s run to Termas de Rio Hondo will take the form of a 450km test, as well as 236km in road sections, while the next day’s action (663km, including 314km against the clock) could be a chance for the opportunists to steal an early advantage, especially if the weather is wet.
    The difficulty will increase a notch on Day 4 with a loop around San Salvador de Jujuy that will take participants to altitudes in excess of 3,500 metres. For the first section of the 2016 event’s first marathon stage (with the first genuine overnight parc ferme since 1998), there will be plenty of variety and rhythm changes as the ground switches from sandy to stony. 
    The second section will see the bikers climb even further to Uyini, Bolivia, where they will reach 4,600m, the highest altitude ever visited by the Dakar. In addition to having to take care of their machines and tyres, competitors will need to be especially attentive to their own bodies. The day will also necessitate strong navigational skills as the route heads off road for the first time since the start.
    Stage 6 (Uyuni-Uyuni) will be the longest of the fortnight, with more changes of rhythm at altitudes of between 3,500 and 4,200 metres over a blend of dirt, sand and river beds that could become treacherous if it rains.
    It will no doubt come as a huge relief to see the back of the first week’s last stage before a welcome and deserved day of rest in Salta, northwest Argentina.
    Duly revitalised, survivors will kick off Week 2 with the rally’s first dunes en route to Belen where the more experienced riders could pull out some big gaps.
     
    The ninth stage will take the form of a loop starting and finishing in Belen and will be the first day of the bikers’ second marathon leg. The main challenge will be some delicate navigation and higher temperatures.
    The second part of the second marathon run from Belen to La Rioja will visit the infamous Fiambala dunes. This will be the longest day of off-road riding and dunes, handing an advantage perhaps to those who revel in competing in desert landscapes.
    Stage 11 (La Rioja-San Juan) will be very similar, with more sand and even portions of fesh-fesh in places as the ordeal’s conclusion draws a little closer.
    The penultimate day will be the longest of the 2016 Dakar, with more than 900km to cover as the convoy returns to Villa Carlos Paz and everyone taking care not to make any silly, last-minute mistakes.
    The final 699km run to the finish in Rosario will throw up a mix of undulating, twisty terrain and faster stretches over sandy ground. For the majority of competitors, it will be a day of deliverance and one they will no doubt savour if they are not locked in any last-gasp battles.

    This Vincent Black Prince has had the same owner for 60 years


    On 7 January, Bonhams will offer this striking one-owner Vincent Black Prince at its Motorcycles Auction in Las Vegas. That would certainly be one way to blow away those January blues…

    One owner since new

    A “two-wheeled Bentley” said the company-founder Philip Vincent, of the bold new Vincent Black Prince, with its all-enclosing bodywork that allowed gentlemen to commute in their suits rather than a pair of old leathers. Unbelievably, this beautiful example is still owned by the man who bought it new in California in 1955, having covered around 135,000 miles since. Along the way, the Black Prince gained some unusual modifications, such as the deep pearl-black paintwork (much better and more durable than the factory paint) with gold pinstripe detailing, only adding to its unique appeal. Bonhams has estimated that the bike will fetch 90,000-110,000 US dollars. 
    Photos: Bonhams
    You can find a small selection of Vincent motorcycles listed for sale in the Classic Driver Market. 

    Land Rover takes over London as Defender prepares to say goodbye


    Ahead of the sale of the unique Defender 2,000,000 next weekend, Land Rover has created a nostalgic film in which the enduring model’s 67-year production run is celebrated by ‘taking over’ London for one special day…

    Land Rover London


    Featuring cameo appearances from some of the more unusual Land Rover models over the years, including a Series II ice cream van and a special-edition ‘Paul Smith’ Defender, the short clip portrays a ‘Land Rover London’ complete with Defender black cab and a pub called ‘The Huey’. As production of the Defender enters its final phase, Bonhams will sell the unique ‘2,000,000’ modelon 16 December at its Bond Street headquarters, the proceeds of which will go to charity. We guess this really is the beginning of the end…  
    Video: Land Rover
    You can find a selection of Land Rover Defenders listed for sale in the Classic Driver Market. 

    Happy New Year !!!!!!!!!!!!!!