ACE CAFE RADIO

    lundi 29 octobre 2012

    WSBK: FIXI Crescent Suzuki announces Jules Cluzel for 2013



    FIXI Crescent Suzuki has announced 24 year old Frenchman Jules Cluzel as Britain’s Leon Camier new team-mate for their 2013 World Superbike Championship campaign. In 2012 Cluzel finished runner-up in the World Supersport Championship with Honda, behind Kawasaki’s Kenan Sofuoglu, winning 4 races and bringing home another four podiums. Cluzel has also competed in GP Racing, earning a podium in Qatar in 2009 in the now-defunct 250 cc class, winning his first race in the Moto2 class at Silverstone the following year.
    In the aftermath of the controversial refusal from fellow-countryman Sylvain Guintoli (who had already signed the contract with FIXI Crescent Suzuki for 2013 before another offer from a rival manufacturer led him to scrap the agreement) the team had strongly considered giving the second GSX-R 1000 to 25 year-old Australian Josh Waters - also in the light of the positive results of the newly-crowned Australian Superbike champion during the Aragon test a forthnight ago - but then decided to opt for Cluzel.

    “I am really excited to be joining the FIXI Crescent Suzuki team - Cluzel said - It is a big step in my career, but one that I am very happy to take. When I was given the option to work with Suzuki in World Superbikes, I did not need to think about it twice and I just said a big “Yes!” straight away. I am really motivated by the whole project and I know that this is what I want. I will make sure I’m totally ready for the first race and plan to learn not only quickly, but also intelligently. I cannot wait to start work and I am also really pleased to be working with an English team. I now just want to get on the bike and see how it goes, do my best and challenge for some good results"
    FIXI Crescent Suzuki’s team principal Paul Denning is definitely happy with the choice “Securing Leon’s team-mate for 2013 hasn’t exactly been the smoothest process, but in the end we couldn’t be happier with the result! Jules is young, fast and aggressive and has shown that he can adapt to new bikes and new championships very quickly.”

    “His 250GP and Moto2 experience provides an understanding and feeling for stiffer, less forgiving ‘race-bikes’ which the WSBK machines have developed into, and we anticipate a quick transition to the GSX-R. Any rider who has won a Moto2 race - and finished ahead of riders like Stefan Bradl and Scott Redding in the Championship standings - and then come to such a competitive series as World Supersport and just missed out on becoming Champion in his first year, clearly has a great talent – we are excited to have Jules with us!”

    “Importantly, Jules has shown his commitment and is very excited to be with FIXI Crescent Suzuki in WSBK for 2013 - it’s nice to create a partnership where both sides are equally committed and share the same targets. The team is doing absolutely everything it can to make sure that the competitive base of the GSX-R, which we found towards the end of 2012, is taken forward so that we can provide Leon and Jules with machinery worthy of their talent"

    dimanche 28 octobre 2012

    Cherchez la femme! – Exhibition at the Tate Modern and London art sale celebrate the female form

    from http://www.classicdriver.com


    Phillips de Pury will be holding an 8 November photographic sale; while at the Tate Modern, the photography of William Klein and Daido Moriyama is on show until early January 2013.



    William Klein and Daido Moriyama are two greats of contemporary photography. They moved through the streetscapes of New York City and Tokyo, capturing fleeting moments of a hurried life, often in grainy black and white – all of it a world away from the glitz and glamour of 5th Avenue. Their visions often focused on women, interpreting age-old erotic themes in a cool, edgy manner. 

    London´s Tate Modern is now celebrating both artists with a joint exhibition and two short films in cooperation with Art.sy Films. In the videos, both photographers offer a rare glimpse of their philosophy of art. 



    Over the river in Belgravia, meanwhile, Phillips de Pury is holding a sale of collectible photographs on 8 November. For those unable to buy a Picasso or Rubens, a limited-edition print from Herb Ritts or Helmut Newton might be an alternative. The two stars of the Tate Modern exhibition will be represented by several pieces, for example Nude No. 2 (1969) from the Japanese artist's famous ‘Provoke’ series, or the shoots that the American created for Vogue magazine in the Sixties.


    Text: Alexandra Felts
    Photos: Roxanne Lowit (1), Daido Moriyama (2), William Klein (3), Patrick Demarchelier(4)

    Café Fabrications






    PAUL RICARD, 2 : ORTELLI/HALLYDAY REMPORTENT UNE COURSE FOLLE.



    Après Anthony Beltoise et Henry Hassid, sacrés Champion de France GT FFSA hier, c'est le Team Audi France qui s'est imposé ce dimanche sur le Circuit Paul Ricard, pour la finale de la saison 2012. Au terme d'une course à rebondissements, avec un dépassement pour la victoire dans l'avant dernier tour, David Hallyday et Stéphane Ortelli s'imposent devant la Ferrari du team Sofrev-ASP pilotée par Eric Debard et Olivier Panis. Après une impressionnante remontée, Sébastien Loeb et Gilles Vannelet montent sur la troisième marche du podium à bord de la McLaren du Sébastien Loeb Racing. Philippe Ullmann et Jean-Paul Buffin confirment leur triomphe en Coupe de France GT FFSA par un nouveau succès !

    Le film de la course...
    Parti depuis la pole avec la Porsche du Team Pro GT by Almeras, Anthony Beltoise se fait voler la première place par la Ferrari du Team Sofrev-ASP pilotée par Morgan Moullin-Traffort. Olivier Panis, Franck Perera et Stéphane Ortelli suivent de près. L'Audi/Saintéloc de Soheil Ayari est quant à elle poussée par une autre voiture, puis percutée par la McLaren/ART Grand Prix et l'épreuve est neutralisée pour six tours.

    Au restart, le Top 5 reste inchangé avec Morgan Moullin-Traffort en solide leader, tandis que Sébastien Loeb entame sa remontée. Il trouve l'ouverture sur l'Audi/WRT de Laurent Vanthoor, puis l'Audi/Team Audi France de Stéphane Ortelli dans la boucle suivante. Le quart d'heure de course est atteint et les dix premiers sont regroupés en tout juste six secondes ! Assurés du titre de Champion de France la veille, Anthony Beltoise et Henry Hassid sont contraints à l'abandon à l'issue du 12e tour, radiateur percé, alors que Grégory Guilvert dépasse la Mercedes du Graff Racing puis la McLaren du Sébastien Loeb Racing pour intégrer le quinté à la mi-course.

    Les arrêts au stand obligatoires interviennent dans la foulée et c'est la Ferrari/Sofrev-ASP n°10 qui reprend la piste en tête. Eric Debard est suivi de la Porsche/Pro-GT de Roland Berville, de la Ferrari/Sofrev-ASP n°16 de Fabien Barthez, et de l'Audi/Team Audi France de David Hallyday. Le show Gilles Vannelet débute : 7e, le pilote du Sébastien Loeb Racing attaque avec succès la Porsche/Pro-GT n°3 de Romain Monti, l'Audi/Saintéloc de Paul Lamic, puis l'Audi/Team Audi France de David Hallyday. Il reste quinze minutes et la course devient folle.

    Gilles Vannelet semble inarrêtable et il grimpe au troisième rang, puis au deuxième... Mais il part en tête à queue et retombe à la cinquième place. Alors qu'il semblait filer vers la victoire, Eric Debard voit ses adversaires combler leur retarrd. Si bien qu'à dix minutes du terme, le trio de tête se tient en seulement deux secondes, puis une seconde à trois tours de l'arrivée. Deuxième, Fabien Barthez tente une attaque sur Eric Debard, et après une incompréhension les deux hommes vont au contact, causant l'abandon de Barthez. Cela profite à David Hallyday qui prend les commandes. Debard lui rend la pareille, mais c'est bien Hallyday qui a le dernier mot, dans l'avant dernière boucle. Dans le même temps, Gilles Vannelet se bat avec les deux Porsche du Team Pro-GT by Almeras, celles de Roland Berville et Romain Monti.

    Après une heure d'une course passionnante, le Team Audi France décroche sa première victoire de la saison avec David Hallyday et Stéphane Ortelli. Eric Debard et Olivier Panis concluent la saison par un nouveau podium pour le Team Sofrev-ASP, tandis que Gilles Vannelet et Sébastien Loeb se classent finalement au troisième rang. Les deux Porsche du Team Pro-GT by Almeras, des duos Berville/Perera et Monti/Cazenave, complètent le Top 5, devant l'Audi/Saintéloc de Lamic/Guilvert, la Ferrari/AF Corse de Ramindra/Sbirazzuoli et la Lamborghini/Autovitesse de Leimer/Cochet.

    La Porsche du Ruffier Racing conforte son succès en Coupe de France GT FFSA par une nouvelle victoire pour Jean-Paul Buffin et Philippe Ullmann. Le duo devance la Lamborghini de Georges Cabanne et Romain Brandela, vainqueur la veille.

    Réactions
    Stéphane Ortelli (Audi R8 LMS, Team Audi France n°32), 1er Course 2 : « Nous avons bien réglé la voiture sur ce circuit que nous connaissons bien et sur lequel nous avions gagné en 2009. Trois ans, c'est long... Je suis fier de la fin course effectuée par David (Hallyday). Personnellement, je me suis régalé, notamment avec la présence de Sébastien Loeb. Il apporte de la fraicheur : quel dépassement il m'a fait ! J'ai pris un grand plaisir, nous avons eu une belle course, avec de belles voitures. Bravo à David pour sa performance extraordinaire. »

    David Hallyday (Audi R8 LMS, Team Audi France n°32), 1er Course 2 : « Que dire de plus après les commentaires de Stéphane ? Pour moi, le sport auto est une aventure humaine et j'ai besoin de sentir que l'on progresse. Il y a des années plus compliquées que d'autres et je vais retenir de 2012 de beaux duels, notamment avec Gilles (Vannelet), qui est un vrai gentleman. Nous évoluons dans un beau championnat et je suis très content pour le Team Audi France aujourd'hui. »

    Olivier Panis (Ferrari F458 GT3, Team Sofrev-ASP n°10), 2e Course 2 : « J'ai pris un bon départ même si j'ai été plus que surpris par l'envol de Franck Perera. Les gentlemen drivers ne se font pas de cadeaux et on l'a encore vu aujourd'hui. Bravo à Audi pour la victoire. Il y a eu de belles bagarres et je crois que c'est ce que les gens attendent. Au final, je pense que je préfère finir deuxième aujourd'hui. Avec la victoire, nous aurions échoué à un point du titre et ça aurait été vraiment très rageant. C'est tout de même une belle année. »

    Sébastien Loeb (McLaren MP4-12C, Sébastien Loeb Racing n°17), 3e Course 2 : « Nous avions envie de finir à une meilleure position, mais je suis malgré tout content de terminer sur le podium. J'ai pris un bon départ mais ça frictionnait un peu et j'ai pris large pour éviter les ennuis. Malheureusement, j'ai été touché et la voiture a été abimée en conséquence. Le comportement de l'auto se dégradait et ce n'était pas simple de tenir le rythme. Nous aurions pu obtenir un meilleur résultat, mais deux podiums en un week-end, c'est bien. »

    Philippe Ullmann (Porsche 911 GT3 R, Ruffier Racing n°73), 1er Coupe de France Course 2 : « Cette Coupe de France GT FFSA est une belle récompense. Nous nous sommes bien battus, en tentant de se rapprocher au plus près des pilotes du Championnat de France GT FFSA, aux côtés de qui nous progressons. Ruffier Racing nous a confié une excellente voiture et nous sommes très heureux de remporter cette Coupe. »

    Source : GT Tour avec Endurance-Info.com

    CITY CHALLENGE : HEXIS RACING REMPORTE LE COMBAT DE RUE DE BAKU!



    Décidément cette fin de saison 2012 est propice à Hexis Racing. Après avoir remporté les derniers meetings du Championnat du Monde GT1 (Donington) et de la Blancpain Endurance Series (Navarra), le team gardois s'est imposé dans les rues de Baku (Azerbaïdjan) à l'occasion du premier meeting du City Challenge qui s'est tenu devant 20 000 personnes. Fred Makowiecki et Stef Dusseldorp ont fait parlé la poudre en s'imposant sur l'heure de course (53 tours), sans la moindre contestation. Sans un problème mécanique dans la dernière demi-heure, Hexis Racing aurait même pu décrocher le doublé avec Alvaro Parente et Rob Bell. Fred Mako et Stef Dusseldorp avaient déjà donné le ton hier en qualifications. La McLaren MP4-12C #7 n'a pas été inquiété malgré l'arrivée d'une neutralisation à dix minutes du terme, le temps d'évacuer une Porsche Cup en panne sur le circuit. Le Vita4One Racing s'est également illustré en complétant le podium, Lauda/Kechele terminant deuxièmes à plus de 6 secondes, devant Buurman/Mayr-Melnhof. Quant à la troisième BMW Z4 GT3 du team de Michael Bartels avec l'équipage Villeneuve/Verstappen, elle s'est classée 7ème. Dans le clan Mercedes, Schneider/Afanasiev (HEICO Motorsport) ont échoué au pied du podium après un beau relais du quintuple Champion DTM. La seconde auto partagée par Parisy/Buhk a quant à elle terminé l'épreuve au sixième rang, derrière la Porsche 911 GT3-R/Mühlner Motorsport de Edwards/Al Azhari. Sur la SLS AMG GT3 #7, Mike Parisy s'est montré à son avantage en passant tour à tour la voiture sœur et la Porsche/Mühlner. Sean Edwards s'est lui aussi mis en évidence en bouclant le meilleur tour en course, avant de subir une pénalité pour un ravitaillement trop court. La sanction a d'ailleurs été la même pour la voiture sœur de Tandy/Thomas. Les équipes ont dû respecter un arrêt d'au moins 75 secondes avec changement de pneus obligatoires.

    On aurait pu penser à une course urbaine compliquée compte tenu de l'étroitesse de la piste et le trafic, mais tout s'est finalement bien passé. Si l'Eurovision qui s'est tenu il y a quelques mois en Azerbaïdjan n'a pas permis à la France de remporter le concours, c'est bien une équipe française qui s'est imposée pour ce City Challenge. Hexis Racing et le Vita4One Racing Team ont croisé le fer durant la saison régulière du Championnat du Monde GT1 et les deux équipes ont aussi bataillé dans ce combat de rues. Hartmut Beyer et son équipe vont maintenant travailler pour préparer d'autres courses urbaines. Ce City Challenge était un projet un peu osé, mais la mission est remplie.

    Jacques Villeneuve s'est montré prêt à renouveler l'expérience : « C'était pour moi une belle opportunité que de rouler ici. La voiture s'est très bien comportée durant le week-end, malgré une sortie de piste aux essais. Jos (Verstappen) et moi avions quasiment les mêmes réglages. La grille de départ était très professionnelle et il n'a pas été facile de se faire une place dans le trafic. Une GT3 est totalement différente de ce que j'ai l'habitude de piloter, et notamment une auto NASCAR. Bien sûr, les deux ont un toit, mais c'est la seule similitude. Cette ville est surprenante et je suis certain que le City Challenge est promis à un bel avenir. J'ai apprécié au point de revenir. »

    Fred Mako a connu un week-end parfait avec une pole assortie de deux victoires : « Ce week-end a été fantastique pour toute l'équipe. La performance a tout le temps été là. Il a fallu découvrir un tas de choses : une course en ville, des nouveaux pneus, un nouveau pays, etc... Les remises en questions ont été nombreuses. L'équipe a su tenir et a répondu présent. Le point le plus délicat a été l'évolution de la piste car d'une séance à un autre, la balance de l'auto était différente. J'ai pris le départ et je savais qu'il fallait virer en tête. J'avais tout de même quelques doutes car le couple de la McLaren est bon à partir de 75 km/h et le départ a été donné entre 50 et 60 km/h. De plus, la première vitesse de la McLaren est très longue. Frank (Kechele) a pris une longueur d'avance, mais j'ai tout mis en œuvre pour passer en tête au premier virage. »

    « Ce City Challenge était une belle fête avec une belle organisation. Je suis certain qu'ils ont pris beaucoup d'expérience pour le futur. L'accueil du public était bon. Nous pensions qu'il serait difficile de dépasser, mais Alvaro a prouvé le contraire. Le compromis global de la McLaren MP4-12C est bon et cette victoire supplémentaire vient récompenser tout le travail effectué. Stef a vraiment bien roulé tout le week-end et plus généralement toute la saison. Merci aussi à McLaren et Hexis Racing pour tout ce qu'ils ont accompli cette année. »

    Propos recueillis par Laurent Mercier(Endurance-Info.com)

    Scott Halbleib's BMW K100RT - “Number 3”





    VIA http://www.pipeburn.com

    WEC ;SHANGHAI : ASTON MARTIN ET LARBRE COMPÉTITION TERMINENT EN BEAUTÉ.



    C'est un grand jour pour l'écurie Aston Martin Racing qui a remporté sa première victoire de la saison 2012 du Championnat du Monde d'Endurance de la FIA lors de la dernière manche à Shanghai, après être partie de la pole, tout comme pour Larbre Compétition, qui s'est attribuée le Trophée FIA de meilleure écurie LMGTE Am.

    Si le titre Constructeur LMGTE avait déjà été décroché par Ferrari et le Trophée de la meilleure écurie LMGTE Pro assuré par AF Corse, son pendant dans la catégorie LMGTE Am restait ouvert pour le Team Felbermayr-Proton, mais pour cela, l'écurie allemande devait rendre une copie parfaite. En effet, l'équipe allemande avait 20 points de retard sur Larbre Compétition, qui avait marqué le maximum de points lors des 24 Heures du Mans alors que le double des points était attribué.

    Malheureusement pour l'équipe allemande, c'est sa rivale française qui a réalisé un sans faute en signant une victoire nette et sans bavure. Avec un tour d'avance sur son principal adversaire, la Corvette C6.R n°50, pilotée par Julien Canal, Patrick Bornhauser et le renfort de choix Pedro Lamy a franchi la ligne d'arrivée en première position de la catégorie LMGTE Am après une course sans souci. Un dénouement qui aurait pu être plus précoce sans les exclusions pour non-conformité technique des 6 Heures de São Paulo et de Bahreïn, un appel étant en cours contre cette dernière décision.

    La pole que Paolo Ruberti a décrochée hier a certes rapporté un point de plus au Team Felbermayr-Proton, mais en terminant deuxièmes des 6 Heures de Shanghai, Paolo Ruberti, Christian Ried et Gianluca Roda, derrière leur adversaire, ont vu le Trophée s'échapper. L'écurie allemande termine donc deuxième de la course et du Championnat, tout comme Krohn Racing monte sur la troisième marche du podium de la course et du Championnat avec la Ferrari 458 Italia n° 57 grâce à Tracy Krohn, Niclas Jönsson et Michele Rugolo.

    La messe était dite depuis longtemps en faveur d'AF Corse et de Ferrari dans la catégorie LMGTE Pro et chaque constructeur avait remporté au moins une épreuve, à l'exception d'Aston Martin, souvent placé, mais jamais gagnant. Pourtant, chacun leur tour, Darren Turner et Stefan Mücke ont été les plus rapides de la catégorie en qualifications avec la Vantage V8 n°97.

    Le duo anglo-allemand n'avait plus qu'une seule chance pour concrétiser le potentiel entrevu lors des séances qualificatives et il s'est magistralement acquitté de la tâche avec une victoire limpide : seule la Porsche n°77 de Team Felbermayr-Proton, pilotée par Richard Lietz et Marc Lieb, termine dans le même tour que la voiture anglaise, mais à près d'une minute.

    L'écurie Aston Martin Racing se classe tout de même deuxième au Trophée FIA de la meilleure écurie LMGTE Pro, devant son homologue allemande, mais derrière AF Corse. Si les deux Ferrari d'AF Corse ont vu le drapeau à damier, l'équipe italienne, victorieuse à cinq reprises cette année espérait sans doute clôturer la saison 2012 différemment. Ainsi, la 458 Italia n°71 d'Andrea Bertolini, ancien Champion du Monde FIA-GT, et d'Olivier Beretta monte sur la troisième marche du podium, mais l'écart avec les vainqueurs du jour est d'un tour. Enfin, la voiture sœur n°51 de Giancarlo Fisichella et Gianmaria Bruni a perdu huit tours dans les stands pour changer une courroie d'alternateur, ruinant les chances de la paire transalpine.




    La saison 2012 du Championnat du Monde d'Endurance de la FIA, première du genre, a couronné des équipes et un constructeur qui ont non seulement marqué le plus de points, mais aussi et surtout remporté le plus grand nombre de victoires, même si Larbre Compétition a été exclus par deux fois. Ferrari, AF Corse et Larbre Compétition ont mérité leur titre et leurs trophées.

    Source : FIA WEC

    WEC SHANGHAI : TOYOTA RACING ET ADR-DELTA L'EMPORTENT!



    Cet après-midi, Toyota Racing a dominé de bout en bout les 6 Heures de Shanghai, en République Populaire de Chine, la huitième et dernière manche de la saison 2012 du Championnat du Monde d'Endurance de la FIA. Alex Wurz et Nicolas Lapierre ont terminé un tour devant l'Audi R18 e-tron quattro n°2 d'Allan McNish et de Tom Kristensen.

    Audi a toutefois une bonne raison de se réjouir : en franchissant la ligne d'arrivée en troisième position, André Lotterer, Benoît Tréluyer et Marcel Fässler marquent suffisamment de points pour décrocher le titre de Champions du Monde des Pilotes, le premier pour ce nouveau championnat de la FIA. Le trio est entré dans l'histoire en juin dernier avec la première victoire d'une voiture hybride aux 24 Heures du Mans, une victoire qui sera suivie de deux autres aux 6 Heures de Silverstone et aux 6 Heures de Bahreïn.

    La victoire de la TS030 Hybrid n°7 de Toyota Racing en Chine est la troisième de la saison et le résultat confirme un début de saison remarquable pour le constructeur japonais. En six courses, il a remporté trois victoires et a mis la barre très haut en termes de performance : la saison 2013 met déjà l'eau à la bouche ! Tout comme Toyota, Audi a connu une course sans aucun souci et le titre de Champion du Monde des Constructeurs LMP1 décroché dès le mois d'août montre que le constructeur allemand l'a bien mérité.

    Si éclats de rire et champagne étaient de mise à un bout de la voie des stands, larmes et déchirements prédominaient à l'autre bout. Les lauréats du Trophée de la meilleure écurie privée LMP1 Rebellion Racing étaient en lice pour rafler la quatrième place au classement général avec la Lola-Toyota n°12 de Nicolas Prost et Neel Jani, le duo ayant pris la tête des écuries privées LMP1 dès le troisième tour. Malheureusement, ce fut la consternation lorsque la voiture s'est arrêtée sur la piste à huit minutes de l'arrivée : Nicolas Prost et Neel Jani venaient de voir s'envoler la troisième place au classement Pilotes. L'écurie suisse a pu se consoler quelque peu avec la première place des écuries privées LMP1 pour la voiture n°13 et le seul pilote chinois Cong Fu ‘Frankie' Cheng, qui se tenait fièrement aux côtés de ses coéqupiers Andrea Belicchi et Harold Primat sur le podium.

    On retrouve les deux HPD ARX 03a-Honda de JRM et Strakka Racing aux deuxième et troisième places. Karun Chandhok, David Brabham et Peter Dumbreck, au volant de la voiture n°22 de JRM, ont survécu à une collision après avoir dû remplacer le capot arrière lors d'un ravitaillement et n'étaient qu'à huit secondes de la Lola de Rebellion lors du passage sous le drapeau à damier. Nick Leventis, Danny Watts et Jonny Kane, dans le baquet de la voiture n°21 de Strakka Racing, étaient eux à trois tours après une course qui ne fut pas un long fleuve tranquille.

    L'Oreca 03-Nissan n°25 d'ADR-Delta a signé sa seconde victoire d'affilée et son quatrième succès de l'année, un exploit énorme pour la petite écurie britannique indépendante qui lui permet de déposséder Pecom Racing de la deuxième place au classement final du Trophée Endurance FIA de la meilleure écurie LMP2. L'équipage d'ADR-Delta, Tor Graves et John Martin, rejoints par Matthias Beche à Shanghai, a pris le contrôle de la catégorie en début de course et a déroulé jusqu'à l'arrivée. La HPD ARX 03b n°44 de Starworks Motorsports, équipe détentrice du Trophée LMP2, monte sur la deuxième marche du podium et devance la Morgan-Nissan n°24 d'OAK Racing.

    Source : FIA WEC

    Jorge Lorenzo crowned 2012 World Champion - Casey Stoner crowned king of Phillip Island



















    With TWOWHEELSBLOG 

    Motorcycle racing is unpredictable, just ask Dani Pedrosa who was trying to keep the MotoGP championship going until the final round and make rival Jorge Lorenzo work for it, instead the Repsol Honda rider put his wheels outside the racing line at the Honda Hairpin (a strange twist of fate) during the second lap and crashed out of the Phillip Island race at the start of the second lap, handing the 2012 MotoGP championship crown to Jorge Lorenzo.
    53,100 fans (the highest ever Sunday attendance) showed up to watch and say good-by to home boy Casey Stoner who desparately wanted to win in his final MotoGP appearance at the Island before he retires, and he ran away with the victory - his 45th of his career - and celebrated his sixth consecutive win on the Australian circuit who named turn 3 after him, making de facto Phillip Island, Stoner’s Island.
    With Pedrosa out of the running Jorge Lorenzo went into cruise control and finished second (he has never finished lower in the entire season) and more than nine seconds behind, but he didn’t have to do more to take his second MotoGP title today as Stoner was clearly unbeatable. Early in the race a sickly Cal Crutchlow out raced his team mate Andrea Dovizioso and the Honda satellite riders Alvaro Bautista and Stefan Bradl, to take the third spot on the podium.
    A highly entertaining battle for fourth lasted for the entire race distance between Dovizioso, Bautista and Bradl which the Italian won on the final lap. In the very uncompetitive sturggling Ducati challenge, Valentino Rossi took 7th ahead of Nicky Hayden and Karel Abraham who kept the two factory riders busy for the first part of the race before he began to fade.
    Aleix Espargaro beat his Aspar team mate Randy de Puniet to the finish line by 0.043s to take 10th after the French rider had qualified 9th.
    Despite the glorious sunny weather only 15 riders finished the race, Hector Barbera, Danilo Petrucci, Michele Pirro and Ivan Silva all got points.
    Kris McLaren who replace injured Yonny Hernandez, didn’t start the race after missing the 107% cut off.
    After three intense back to back flyaway rounds, the final round of the season will be at Valencia in two weeks time (November 9th to 11th).
    MotoGP Phillip Island Race Results:
    01- Casey Stoner – Repsol Honda Team – Honda RC213V – 27 laps in 41’01.324
    02- Jorge Lorenzo – Yamaha Factory Racing – Yamaha YZR M1 – + 9.223
    03- Cal Crutchlow – Monster Yamaha Tech 3 – Yamaha YZR M1 – + 14.570
    04- Andrea Dovizioso – Monster Yamaha Tech 3 – Yamaha YZR M1 – + 23.303
    05- Alvaro Bautista – San Carlo Honda Gresini – Honda RC213V – + 23.432
    06- Stefan Bradl – LCR Honda MotoGP – Honda RC213V – + 23.467
    07- Valentino Rossi – Ducati Team – Ducati Desmosedici GP12 – + 37.113
    08- Nicky Hayden – Ducati Team – Ducati Desmosedici GP12 – + 38.387
    09- Karel Abraham – Cardion AB Motoracing – Ducati Desmosedici GP12 – + 52.613
    10- Aleix Espargaro – Power Electronics Aspar – ART GP12 – + 1’00.299
    11- Randy De Puniet – Power Electronics Aspar – ART GP12 – + 1’00.342

    samedi 27 octobre 2012

    L'Aston DB5 ex-Paul McCartney à vendre !


    L'Aston DB5 ex-Paul McCartney à vendre !
    La maison de vente aux enchères RM Auctions proposera à la vente le 31 octobre prochain un modèle qui ravira les fans des Beatles amateurs de belles mécaniques : l' DB5 de 1964 qui fut la propriété de Paul McCartney cherche en effet preneur !

    Sir McCartney passa commande de cette Aston Martin DB5 quelques jours après le passage du groupe au « Ed Sullivan Show », célèbre émission musicale diffusée sur CBS entre 1948 et 1971, et la première du film « A hard day's night » qui eu lieu le 6 juillet 1964 à Londres.

    A sa sortie d'usine, les tissus couvrant l'intérieur de la DB5 étaient couverts de notes de musique en référence à son heureux propriétaire. Tissus aujourd'hui disparus suite à sa récente restauration, mais dont quelques échantillons seront toutefois remis en souvenir au nouvel acquéreur.

    Son dernier propriétaire – un collectionneur anglais - l'a en effet déposée dans les ateliers de Walter Baroni à Milan, et un cuir gris recouvre maintenant l'intérieur de l'habitacle. Entre autres restaurations, la carrosserie a été repeinte suivant sa couleur d'origine (bleu sierra), les cylindres ont été révisés et les freins refaits.

    L'estimation de cette Aston Martin DB5 – châssis n° 1653R – qui se porte comme un charme oscille entre 300 000 et 380 000 livres (373 500 à 473 000 €).
    Aston Martin DB5 1964 ex-Paul McCartney
    Aston Martin DB5 1964 ex-Paul McCartney
    Aston Martin DB5 1964 ex-Paul McCartney
    Aston Martin DB5 1964 ex-Paul McCartney





    Embarking on an Epic Motorcycle Journey: Doin’ it Baja


    Doin' It Baja chronicles the 2200 mile motorcycle trip taken by Arto Saari, Heath Kirchart, Keegan Sauder, and Patrick O'Dell from San Diego to the tip of Baja California, Mexico. They were joined by friends Harvey Foster, Kynan Tait, and Hime Hu, and lead by the indomitable Bill Bryant.

    Watch each part here!
    Part 1/8: http://bit.ly/Baja-1
    Part 2/8: http://bit.ly/Baja-2
    Part 3/8: http://bit.ly/Baja-3
    Part 4/8: http://bit.ly/Baja-4
    Part 5/8: http://bit.ly/Baja-5
    Part 6/8: http://bit.ly/Baja-6
    Part 7/8: http://bit.ly/Baja-7
    Part 8/8: http://bit.ly/Baja-8

    ‘Old Bill’, George Brough’s own 1922 racing SS80, sells for £291,200



    On 23 October 2012, H&H Classics achieved the highest price for a Brough motorcycle at public auction when it sold the celebrated bike known as ‘Old Bill’ for £291,200. 

    Once owned and raced by marque founder George Brough, the 1922 Brough SS80 was appearing on the open market for the first time in over 50 years. H&H Classics reports that bidding came from three continents, with keen interest both in the room and on the telephone. 

    It is “now the centrepiece of a significant overseas collection”. 



    Two other Brough Superiors found new owners at the sale, the 1928 SS100 achieving £100,800, the 1937 11/50, £28,000. 

    from http://www.classicdriver.com

    Mighty Atlas: The all-new Range Rover launches in Morocco


    Travelling in near silence at 120km/h, the rev-counter barely breaking the 1500rpm mark, I looked across at my driving companion. “The indicator’s tick is a little loud,” I opined. “Perhaps,” he replied, “but there must be something else wrong with it, surely?” 

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    Tranquillity resumed in the cabin as we considered the matter further. Can the all-new Range Rover really be THAT good?
    I have to say, having driven it at motorway speeds, in devil-may-care Moroccan town and country traffic, down impossibly steep dunes, up rock beds, across streams and even three-wheeling it through a ravine, that it met every task placed before it with aplomb. It is without doubt the world’s best all-round vehicle. Could we even be in “best car in the world” territory? We could, we could – and here’s why.
    We covered the salient technical points of the aluminium-bodied car elsewhere on Classic Driver. It’s lighter (by over 400kg, say four adults), more aerodynamic, uses less fuel, is faster and more spacious inside. A fantastic achievement by the British company’s engineers, ably responding to the instructions of a typical customer: “Don’t change it, just make it better”.
    Step up into the beautifully appointed cabin, take hold of the wheel, thumb the starter, twist the selector into Drive and press the accelerator. Everything, from the now slightly slimmer wheel (and superb electric power steering), to the way it steps smartly off the mark, shows that in creating the fourth-generation Range Rover the company has done just that. And much more.


    The Range Rover has always occupied a special place in the market. “On its own,” so the company proudly states. And so were we for much of the Moroccan launch test route, halfway through the Atlas Mountains or up to our axles in soft sand.
    Many of you will know just how good a Range Rover is off road. Some of you might not, and there could even be a few who would doubt the wisdom of driving a £100k (yes, ‘on its own’ has other meanings, too) luxury car up a goat track. Fear not, the next time the urge to count sheep in some of the most inaccessible places in the world comes upon you, take a new Range Rover for the trip, it’s built for anything.
    After an hour or so of a twisting and turning journey on a slippery road composed of red earth and bare rock, things start to turn surreal. Is this normality? Did we ever drive on metalled roads? We are chatting away without a care in the world, only a few inches from the edge of a precipice, yet as calm as if we’d just finished a round of golf. Remarkable, and well deserving the sweet mint tea and Moroccan pastries that met our V6 diesel Range Rover at the summit of the two-hour climb.
    (And please note that much of the route for the two-day event was completed with the Terrain Response system in auto, the system analysing conditions underfoot and automatically choosing the most appropriate setting.)


    While the supercharged petrol V8 is the fastest in the catalogue – able to run at 155mph when fitted with optional 22in wheels – the diesels will be the biggest sellers. Current owners will be familiar with the oil-burning V8. In its latest form it produces 339HP, enough to reach 62mph in 6.9 seconds (5.4 for the s/c petrol V8). Only a whisker behind, however, comes the new V6 diesel, made possible both by further improvements to the engine, and the new, drastically lighter chassis.
    For all but those with deep, Savile Row pockets, this is the model to buy. Yes, it’s a little tardier off the mark and at low revs but, higher up, when the second turbo kicks in, it’s only a whisker slower from 50 to 70mph. True, also, it lacks the eight-cylinder petrol and diesel cars’ Dynamic Response system that does away with traditional anti-roll bars, and this does result in a slightly less composed ride as well as compromising ultimate off-roading, as the axles have less travel.
    It does, though, make the drive to the bank manager that much smoother, saving £6800 over the equivalent diesel V8. More than enough to include the full-size Panorama roof in your order (a £1500 option, but standard on the Autobiography editions). We loved this, and drove much of the way up the mountain with it fully open – you have to have it.


    What else? There’s definitely more room in the back, and the optional Executive Class rear seating would be the way to go for chauffeured cars. The soft-close doors and powered lower and upper tailgates are par for the course in a market which we firmly believe includes the Bentley Continental Flying Spur and the Rolls-Royce Ghost.
    Yes, it does have capabilities (as with 200mph supercars) that owners are never likely to use.
    But, like the bedrooms in the Hotel Palais Namaskar, Marrakech, with each suite having its own swimming pool, it’s nice to know they are there if you need them.


    Reassuringly expensive? There’s an element of that in the pricing, ’tis true, but when one examines the £200k or so required for Rolls-Royce Ghost ownership, it’s tempting to think, “Hmm, £98,395 for a supercharged V8 Autobiography isn’t bad at all”. And the car itself is even better than that – it’s quite superb. 

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