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    mercredi 28 novembre 2012

    Travis and Lyn-Z are at the Willow Springs Raceway to test out the new custom built motorcycle crafted by Roland Sands. After Travis is forced to get two haircuts in one day, Lyn-Z heads to Tony Hawk’s halfpipe for a fun skate session.


    VDEV:ESTORIL, PROTOS : TATUUS VAINQUEUR, ACCARY/DHOUAILLY (NORMA) TITRÉS.



    L'issue du Challenge d'Endurance Protos 2012 était indécise, avec quatre pilotes prétendant au titre : David Zollinger et Philippe Mondolot (Norma M20 FC Palmyr n°1) et Sébastien Dhouailly et Thomas Accary (Norma M20 FC CD Sport n°26).

    Mondolot et Zollinger, assistés à Estoril par Fabien Thuner, partaient avec un avantage théorique sue leurs rivaux puisqu'en cas d'une victoire de leurs rivaux, une troisième place leur aurait suffi ppur coiffer une quatrième couronne consécutive historique dans le Challenge.

    Les aléas de la course et surtout de la mécanique en ont décidé autrement puisqu'alors que le titre semblait acquis à Zollinger et Mondolot, le moteur de la Norma n°1, chose rarissime, a rendu l'âme. La course d'Accaru et de Dhouailly n'a cependant pas été un long fleuve tranquille et a été au contraire très mouvementée, les deux jeunes pilotes parvenant à marquer les points suffisants pour décrocher le titre au terme d'une saison très disputée.

    L'autre évènement de cette ultime manche a été la victoire de la Tatuus PY 012 engagée par le constructeur italien -hors classement- et qui a remporté sa première victoire en VdeV. La Tatuus de Brandon Maisano et Fabio Francia a devancé à l'arrivée la Ligier JS53 Evo n°11 du team MecaMoteur de Yann Clairay, Julien Schell et Robin Longechal - la deuxième place consécutive de cette Ligier après Magny-Cours- et la Norma M20 FC Palmyr n°3 de Grégory Fargier, Christian Vaglio-Giors et Marc-Antoine Dannielou qui ont lutté jusqu'au bout pour sauvegarder les chances de Zollinger et Mondolot. En l'absence des Wolf GB08 officielles, trois constructeurs différents, Tatuus, Ligier et Norma étaient représentés sur le podium, ce qui augure bien de la saison 2013.

    Les essais

    La pluie était présente et il fallait prendre la piste de bonne heure. Sébastien Dhouailly frappait fort d'entrée et dès son sixième tour il réussissait un chrono de 1'53''605 qui ne sera pas battu ni même approché, le plaçant ainsi que son coéquipier Thomas Accary dans des conditions idéales pour la course. Derrière la Norma n°26, la grille de départ avait fort bonne figure, avec Yann Clairay (Ligier n°11) deuxième, David Zollinger (Norma n°1), troisième, Brandon Maisano (Tatuus n°12) quatrième), Nick Padmore (Norma TFT n°34) cinquième, Kevin Bole Besançon (Norma CD Sport n°25) sixième, Grégory Fargier (Norma Palmyr n°3) septième et Stéphane Daoudi (Norma Extrême Limite ARIC n°19) huitième. Le départ promettait d'être chaud...

    La course

    La piste est détrempée et tous les concurrents partent en pneus pluie. Yann Clairay est le meilleur partant et la Ligier prend la première place devant la Norma de Dhouailly alors qu'à l'arrière du peloton plusieurs voitures partent en tête-à-queue sur le mouillé.

    Zollinger est troisième, serré de près par la Norma n25 de Bole-Besançon, très bien parti tout comme Daoudi cinquième devant la Tatuus de Francia qui a pris un départ prudent et qui se fait bientôt doubler par Fargier. Bole Besançon en parfait équipier parvient à doubler Zollinger pour accroître les chances de titre de Dhouailly et Accary qui sont à ce moment-là virtuellement champions. Avantage Dhouailly/Accary.

    Peu après le safety car intervient pour permettre de dégager la Norma n°91 et la Ligier n°75. Au restart, Dhouailly se fait piéger, part en tête-à-queue et retombe en huitième position. L'avantage va désormais à Zollinger et Mondolot ! Avantage Zollinger/Mondolot.

    Bole Besançon fait le forcing et revient très vite sur la Ligier de Clairay. Il enchaîne les meilleurs tours en course tandis que Dhouailly cravache également, mais il est à plus de vingt secondes de la tête alors qu'il doit impérativement terminer devant la Norma n°1. Après 45 minutes de course et un beau duel, Dhouailly ravit la septième place à Nick Padmore.     

    La Tatuus se met dans le rythme et Francia attaque Fargier et lui prend la cinquième place. Cette cinquième place est bientôt la quatrième, car Bole Besançon a tapé à l'avant gauche et doit rentrer au stand pour réparer, perdant trois tours sur le leader.Avantage Zollinger/Mondolot.

    Dhouailly fait le forcing et remonte progressivement sur Fargier, alors que Daoudi et la Norma Extrême Limite n°19 se rapprochent de la Norma n°1 de Zollinger, qu'il parvient ensuite à dépasser pour prendre la deuxième place. La piste sèche progressivement et la Tatuus de Fabio Francia revient elle aussi sur Zollinger, tandis que Dhouailly n'est plus qu'à trois secondes de Fargier.

    Daoudi s'arrête peu avant le cap des deux heures de course, tout comme Francia peu après, l'italien étant relayé par Maisano sur la Tatuus et Zollinger par Fabien Thuner sur la Norma n°1 dont les pilotes sont toujours virtuellement champions. AvantageZollinger/Mondolot.

     Robin Longechal prend le relais de Clairay sur la Ligier n°11 et Marc-Antoine Dannielou celui de Grégory Fargier sur la Norma Palmyr n°3. Maisano s'est mis tout de suite dans le  rythme  et le jeune pilote cannois est le plus rapide en piste avec sa Tatuus, revenant progressivement sur Longechal. A la suite des changements de pilote et des ravitaillements, la Norma CD Sport n°26, désormais pilotée par Thomas Accary, a pris la première place, devant la Tatuus de Maisano, la Ligier de Longechal et la Norma de Thuner. De nouveau avantage Dhouailly/Accary.

    Cet avantage se confirme peu après en un break qui semble décisif car Fabien Thuner s'arrête sur le circuit, moteur défaillant. La Norma sera ramenée sur un plateau au stand d'où  elle ne repartira pas. L'issue du Challenge semble scellée...

    Nouveau safety car pour dégager la Norma, alors que la pluie refait son apparition. La course est relancée un peu plus  tard, mais pour un seul tour seulement  car la pluie redouble de violence  et trois protos ont fait un tête-à-queue, projetant beaucoup de graviers sur la piste.

    Coup de théâtre peu après la mi-course puisque le leader Accary rentre au stand pour un arrêt qui n'était pas prévu. La Tatuus de Maisano passe en tête, alors que la Loigier de Longechal, après un tête-à-queue, a concédé du terrain. On change les bougies et les pneumatiques sur la Norma n°26 et l'arrêt se prolonge. L'espoir revient dans le camp Palmyr...

    La Norma n°26 reprend finalement la piste, mais elle est désormais neuvième, alors que pour être titrés Accary et Dhouailly doivent finir au pire sixièmes ! Avantage Zollinger/Mondolot, mais la course est encore longue....

    Accary attaque, il est le plus rapide en piste et tente de revenir dans les bons points. A un peu moins de deux heures de l'arrivée, Brandon Maisano redonne le volant de la  Tatuus PY 012 à Fabio Francia qui reste leader devant la Ligier n°11 que Julien Schell a prise en mains.  Philippe Dumas prend le dernier relais sur la  Norma n°26 qui après sa remontée occupe asse vite la cinquième place, suffisante pour le titre d'autant que la Tatuus dont c'est la  seule course de l'année est hors classement.Avantage Dhouailly/Accary.

    A 1h30 de l'arrivée, le Top 5 est le suivant : Tatuus 12 (Francia), Ligier 11 (Schell), Norma 3 (Vaglio-Giors), Norma 34 (Rihon) et Norma 26 (Dumas)

    Philippe Dumas prouve que ses fonctions de Team Manager chez Hexis Racing n'ont pas atténué sa pointe de vitesse, car c'est lui qui réalise les meilleurs chronos  et bientôt il prend la quatrième place à Jean-Lou Rihon et la Norma TFT. Dumas se rapproche de la Norma Palmyr de Vaglio-Giors et celui-ci s'arrête pour redonner le volant à Grégory Fargier qui repart en pneus slicks et à cinq secondes de Dumas. Fargier attaque au maximum et fait meilleur tour en couse sur meilleur tour en course...A ce rythme, il a repris la troisième place à Dumas qui assure tranquillement la quatrième place.

    Le classement n'évoluera plus. La Tatuus PY 012 remporte sa première victoire, la Ligier JS53 « Evo », deuxième à un tour, marque les points de la première place.

    Stéphane Daoudi a fait le forcing en fin de course et établit le meilleur tour en course en 1'44''581 avec la Norma Extrême Limite ARIC n°19.

    Thomas Accary et Sébastien Dhouailly, au terme d'une saison très disputée, remportent le Challenge Protos 2012 au volant de la Norma M20 FC n°26 CD Sport, le team de Claude Dégremont.

    Christophe Papin (Norma M20 F) termine dixième, associé à Jean-François Yvon et Maxene De Leenheer, et remporte le titre 2012 de la catégorie Open.

    A noter que les quatre constructeurs ont remporté chacun une victoire au moins, avec un net avantage pour Norma avec cinq victoires : Catalunya, Le Mans, Motorland Aragon, Nogaro et Magny-Cours contre une chacune à Ligier (Dijon), Wolff (Paul-Ricard) et Tatuus donc à Estoril.

    Les résultats sont ici  

    by Claude Foubert(Endurance-Info.com)

    VDEV:6H ESTORIL GT : VISIOM MALHEUREUX, IMSA VAINQUEUR, MILESI TITRÉ.



    Pour cette Finale du Challenge d'Endurance GT/Tourisme sur le circuit d'Estoril, on s'attendait à un duel serré entre les deux prétendantes au titre 2012, la Ferrari 458 GT2 n°2 du Team Visiom de Jena-Bernard Bouvet, Jean-Paul Pagny et Thierry Perrier d'une part et la Porsche 997 RSR IMSA Performance Matmut n°52 de Patrice Milesi épaulé au Potrugal par Raymond Narac.

    Las, le combat attendu n'a pas eu lieu, faute de combattants, puisque la Ferrari Visiom déjà malchanceuse lors de la manche précédente à Magny-Cours, trahie par son électronique, n'a pu aller au-delà du tour de formation, ouvrant grand la porte au succès finale de Patrice Milesi et du team rouennais.

    Les essais
    Julien Jousse avait fait parler la poudre pendant ces qualifications, montrant que son titre LMP1 Le Mans Series 2011 ne devait rien au hasard et il s'était adjugé la pole position au volant de l'Audi R8 LMS n°46 AB Sport Auto en 1'52''401. Jousse devançait le champion FFSA GT 2011 et 2012, Anthony Beltoise (Porsche 997 Cup S Almeras n°65) de quatre dixième de seconde. La deuxième ligne associait la Porsche 911 GT3-R n°6 du Ruffier Racing et la Porsche 997 Cup Almeras n°67 de Philippe Almeras alors qu'en troisième ligne on trouvait Frédéric Ancel avec la Porsche 911 GT3-R n°7 du Lorient Racing et la  Ferrari 458 Visiom n°2 de Jean-Bernard Bouvet. La première Mosler, celle de l'Escuela Española de Pilotos, était septième alors que la Porsche IMSA n°52 ne pointait qu'au neuvième rang seulement. Les choses semblaient donc bien engagées pour les pilotes Ferrari.

    La course
    La pluie tombait au moment du départ et la Ferrari 458 perdait toute ses chances dès le tour de formation comme nous l'a gentiment expliqué Thierry Perrier : « Nous avions changé notre stratégie de course et c'est donc moi qui prenais le départ au lieu de Jean-Bernard Bouvet.  Tout allait bien au départ...première, seconde, troisième...au freinage, je rétrograde en seconde et là, plus d'image, plus de son ! Plus de moteur ! Je coupe tout qui peut se couper, les phares, l'essuie-glace, et je tente de redémarrer...Rien à faire. Je demande à ce qu'on me ramène au stand, et là l'opération a duré 13 tours pour revenir au box !! Une fois rentrée la Ferrari dans le box, Yann Michel et les mécanos se sont empressés. On a tout d'abord pensé à de l'eau dans l'essence, comme le problème s'était déjà présenté lors des essais libres. On a vidangé le réservoir sans succès et en fait on s'est finalement aperçu que c'était l'airjack, un capteur, qui s'était mis en défaut, et qui empêchait totalement la marche du moteur. Comme 20 tours s'étaient déjà écoulés depuis le départ, nous n'avions plus aucune chance de revenir dans la course et nous avons donc décidé d'en rester là pour préserver la voiture qui part cette semaine pour Rotterdam d'où elle sera acheminée vers Dubai pour les prochaines 24 Heures. Cette panne, c'est vraiment dommage car nous avons fait une belle saison... »

    La meute était donc lâchée à l'issue de ce tour de formation. Harry Teneketzian avait pris le départ sur l'Audi n°46 et il ne pouvait rivaliser  avec Anthony Beltoise qui s'emparait donc de la première place. Il allait demeurer au commandement pendant la première heure de course avant de devoir s'immobiliser sur le circuit en panne de transmission. Le safety car entrait en action et la Porsche était ramnée au stand où elle allait demeurer longuement pour la réparation. Sacha Bottemanne et la Porsche 911 GT3-R n°6 du Ruffier Racing passaient en tête de la course, devant quatre autre Porsche : la 997 Cup Almeras n°67 de Philippe Almeras, la 997 Cup IMSA n°53 de Franck Racinet, la 911 GT3-R n°7 de Frédéric Ancel et la Porsche 997 RSR IMSA de Patrice Milesi.

    Ce dernier était bientôt relayé par Raymond Narac qui tentait aussitôt de ramener la voiture vers l'avant. Après le restart, les ravitaillements et les changements de pilote, Frédéric Ancel et Benjamin Roy (Porsche Cup n°36) se succédaient en tête de la course, les deux GT du Porsche Lorient Racing faisant belle impression. Un nouveau safety car survenait peu après en raison d'une touchette entre la Porsche RMS n°54 et la Porsche Crubilé Sport n°25.

    La Porsche n°6 reprenait le contrôle des opérations et peu avant la mi-course, elle précédait les deux Porsche IMSA, la 53 devant la 52. La course devenait un festival Porsche, les voitures allemandes occupant les onze premières places, devant lAudi R8 LMS n°46 !!

    Raymond Narac reprenait le volant de la Porsche et passait très vite en première position. Alors qu'une deuxième place était suffisante à son coéquipier Milesi pour remporter le titre 2012, Raymond Narac prenait de la marge....La Porsche n°6 (Jean-Paul Oudin) était deuxième et la Porsche n°7 (Gilles Blasco) troisième. Frédéric Da Rocha partait à la faute avec la Porsche 911 GT3-R n°5 du Ruffier Racing et devait abandonner. C'était ensuite Blasco qui partait dans le bac à gravier. Il parvenait à regagner les stands, relayé par Frédéric Ancel après quelques travaux de couture opérés par les mécaniciens. C'était au tour de IMSA d'être frappé par la malchance, puisque la Porsche n°53 abandonnait sur problèmes de boîte de vitesses. La Porsche n°6 passait elle aussi par les stands pour un problème de transmission, la Porsche Almeras n°67 passant en deuxième position.

    La pluie n'a pas cessé  et la piste est inondée au point que la course doit être à nouveau interrompue, cette fois pour permettre aux commissaires d'évacuer une partie de l'eau dans des endroits très piégeux.       

    A deux heures de l'arrivée, le classement est le suivant :

    1 Porsche 52 - 2 Porsche 7 - 3 Porsche 67 - 4 Porsche 33 - 5 Porsche 36 - 6 Porsche 34 - 7 Porsche 32 - 8 Porsche 55 - 9 Mosler 11 - 10 Porsche 93.

    Au cours de la dernière heure de course, la Porsche Cup portugaise n°33 du Team Sport 5 pilotée par les locaux Mario et Lonni Martins a fait une jolie remontée et vise désormais le podium.

    A 1h15 du drapeau à damiers, la Porsche n°33 passe en deuxième position, Lonni Marins ayant dépassé Jean-Louis Alloin sur la Porsche n°67. Alloin s'arrête peu après, Philippe Almeras prenant le dernier relais.

    A une demi-heure de l'arrivée, alors que la Porsche IMSA n°52 a deux tours d'avance sur la Porsche n°33, la pluie redouble de violence et la direction de course décide de renvoyer le safety car en piste. Va-t-on rouler sous SC jusqu'à l'arrivée ? Finalement non, car la course est relancée à dix minutes du terme de l'épreuve. Raymond Narac se permet un dernier arrêt pour permettre à Patrice Milesi de faire le dernier tour de la course, un tour d'honneur en quelque sorte pour fêter la victoire d'Estoril et le titre GT/Tourisme 2012.

    Narac et Milesi l'emportent donc avec deux tours d'avance sur Lonni et Mario Martins, deuxièmes avec la Porsche Cup n°33 et trois sur la Porsche Cup n°67 de Jérémy Alloin, Jean-Louis Alloin et Philippe Almeras.

    Au classement du Challenge 2012, Patrice Milesi est titré, devant les pilotes de la Ferrari 458 Visiom, Jean-Bernard Bouvet, Jean-Paul Pagny et Thierry Perrier, Raymond Narac prenant la troisième place.

    C'est le troisième titre GT/Tourisme consécutif pour IMSA Performance Matmut, après les succès de Christophe Bourret et de Pascal Gibon en 2010 et de Anthony Pons en 2011,

    Le résultat de la course est ici

     by Claude Foubert(Endurance-info.com)

    Studio Motor's '88 Kawasaki GPZ600




    MINI POWERED BY YAMAHA R1


    While I’ll be the first to admit that motorcycles are unfamiliar territory to me, the idea of motorcycle engines swapped into cars has always been exciting. Of course you can’t really just toss a bike motor into any old car – it should be something very small and very light. Something like this Mini built by Speedhunters reader Robert Valk.
    Robert has owned the Mini for eight years now and during that time he’s transformed it into quite the pocket rocket.
    We’ve seen a number of different motors swapped into Minis, and the Yamaha R1 engine is a perfect choice. The motor is mated to an R1 sequential gearbox, both of which were installed by Robert himself.
    Robert says the motor setup is good for 160 high winding NA horsepower. Other work includes twin radiators, adjustable suspension, a full cage, and more.
    The 10 inch steel wheels have been widened to 7 inches at each corner and mounted with 160/490-10 slick tires. You can also see the custom side exit exhaust in this shot.
    Further shedding kilograms from the car is a complete fiberglass front end and trunklid. To say that the car is a lightweight would be a huge understatement. Robert says that the complete car weighs in at just 550 kilograms, or 1,200 pounds.
    I’m guessing there aren’t too many 160 horsepower cars out there that are as fun to drive as Robert’s Mini.

    DODGE D 200 by ICON


    with egarage.com
    from the desk of ICON 4×4
    Chatsworth CA
    In its ongoing mission to modernize the best in classic automotive designs, ICON has partnered with Banks Power to build a very special one-off Dodge D200. Set to debut at SEMA 2012, the ICON D200 will be based on the landmark 1965 crew cab, one of the vehicles to pave the way for America’s passion for powerful, reliable, crew cab trucks. Conceived in concert with ICON’s new custom Derelict and Reformer series, the overarching goal of the design study will be to create a modernized daily driver capturing the brawny, iconic design of the 1965 Dodge truck. The fully restored ICON D200 will echo all of the classic crew cab’s design strengths with mild custom nuances, and decidedly modern performance and comfort.
    1x1.trans Dodge D200 by ICON
    “We couldn’t be happier partnering with Banks on a project offering us the rare chance to fuse the bolder design elements of the D200 into a modern-day custom filled with all the power and drivability enthusiasts expect from each of our respective brands,” comments ICON Lead Designer and CEO Jonathan Ward. “ICON and Banks Power have discussed potential collaborations for quite some time, so to work on the D200 for SEMA with them is simply awesome. We have a lot of respect for Gale’s innovation and to consult with him and his company on a build like this is just a stellar opportunity.”
    1x1.trans Dodge D200 by ICON
    As ICON restores the D200 truck in its trademark style, build partner Banks Power will be tuning and upgrading a modern-day Dodge 3500 series pick-up chassis and mechanical systems as the backbone of the vehicle. At the heart of what promises to be an extremely powerful truck, Banks Power will be outfitting the ICON D200 with a 5.9 L Cummins engine increased to offer a wicked 975 lbs. of torque. Additional accouterments planned for the D200 include a Six-Gun® Diesel Tuner, Banks iQ® Man-Machine Interface, Monster Ram® Intake Manifold, Banks Monster® Diesel Dual Exhaust, Banks Power PDA Screen® and a Banks Brake® Exhaust Braking System.
    1x1.trans Dodge D200 by ICON
    1x1.trans Dodge D200 by ICONBanks Power CEO Gale Banks comments, “I’m blown away with the nostalgia meets excellence character of ICON vehicles. At Banks Power, we work to define future engine technology. We’ve always been about what’s next in powertrain and electronics. With ICON, we’ve found the perfect mix of their leading-edge vehicle construction, Banks Power components, and Gale Banks Engines. My thanks to Jonathan Ward for the opportunity and stay tuned, there’s more to come from both of us.”
    1x1.trans Dodge D200 by ICON
    1x1.trans Dodge D200 by ICON
    In addition to Banks Power’s myriad contributions, other details abound including a special interior featuring free-range American Indian Reservation sourced bison leather especially designed in collaboration with Parabellum Collection. D200 suspension will include 4 and a ½ inch Baja 1000 Chase lift kit equipped with Fox 3.0 reservoir shocks. The design will also include Hutchinson 17 x 8 Monster WA-1175 series rims in a matte black finish shod with BF Goodrich all-terrain 37” tires. Headlights will be provided JW Speaker. Audio will include a JL Audio sub woofer and amp alongside a 165 KRC series mid range speakers and tweeters. Loner Industries assisted with the fabrication of the custom-made tailgate latches, mirrors and various trim pieces designed at ICON.
    1x1.trans Dodge D200 by ICON
    In formal collaboration with Banks Power, ICON plans to debut the newest in its special one-off Reformer series later this fall at SEMA 2012. With the build currently in progress now, enthusiasts can look for more details on the ICON D200 to come soon. For more information on ICON, please visit www.icon4x4.com. Those interested in learning more about Banks Power can visit www.bankspower.com. Those interested in learning more about Parabellum can visit http://www.parabellumcollection.com/.
    1x1.trans Dodge D200 by ICON

    Triumph TR25W Street Scrambler by Red Max Speed Shop










    Foto: Flickr (REDMAXSPEEDSHOP.COM)

    Ferrari California 30: Less is more


    An additional 30bhp, a reduction in weight of 30kg – those are the bare figures that give Ferrari’s latest California its ‘30’ suffix. But, statistics apart, how does driving the new car hood-down in late autumn measure up?


    In 2008, the California broke new ground for the Italian company when it married a front/mid-engined layout with an electrically retractable hardtop, twin-clutch 7-speed gearbox, generous space (or seating for children) behind the front seats and a commodious boot.
    The car was marketed as having more ‘accessible’ performance, easy for everyone to drive, yet still packed with Ferrari DNA. When we experienced the original version (in 2009 and 2012 in the UK - SW) it felt like any Ferrari should: very fast, exciting to drive and packed with practical personality. ‘Slow’ it most definitely was not. So now, with 490bhp/505Nm torque, how much better is it than the original? And is the optional handling package fitted to this car (faster steering, electronically controlled dampers and stiffer suspension) a step too far?



    The quick answer to the latter is ‘yes’... and ‘no’. ‘Yes’ for the stop-start crawl out of the centre of Zurich, and most definitely ‘no’ for the country road journey to Einsiedeln, just a short drive away in the canton of Schwyz.
    It’s mid-November. Snow is in the air. With a warm coat, though, roof-down motoring is more than merely ‘possible’, it’s a pleasure. Turn your collar (and the heater) up and enjoy the charismatic barks, bangs, screams and coughs of the Ferrari V8, as the gearbox makes lightning-quick downshifts and the exhaust note echoes around the valley.


    Only in Italy could such a tremolo riff be picked with such consummate style. With a little practice, the California can be played as fast as Eddie Van Halen does his Ibanez Destroyer. The throttle response matches the super-quick (21st Century Ferrari) steering. The smallest input is enough to wheel the car round tight bends or through long, sweeping curves. And the sportier suspension seems the equal of the very top, super-high-performance cars from Maranello. All that said, the California 30 is an easy car to drive – without being predictable or boring.


    Hood-up, the car is another classic Ferrari berlinetta. It sprints from zero to 100km/h (62mph) in just 3.8 seconds. It then goes on to 312km/h, exhausts roaring all the while; a very fast car indeed. So far so good, you might say – a typical Ferrari road test, in homage to the marque. Well, some would say that the styling is not perfect, the interior a touch cluttered and the rear seats impractical.
    But others would rejoice in its compact dimensions, its speed and charisma, its sheer ‘Ferrariness’ - and we’d be among that latter group.

    Text & Photos: Jan Baedeker from Classicdriver.com

    Classic Driver has an unparallelled selection of new and classic Ferraris for sale in the Classic Driver Marketplace.