The 2010 skeleton Olympic gold medallist Amy Williams has accepted an invitation to co-drive in Wales for amateur driver Tony Jardine. She has trained for Britain’s round of the WRC by taking part in four smaller events and says she loves a challenge, which is just as well! She is consequently trading her high-speed toboggan for a Mitsubishi rally car, but sliding on the weekend’s muddy stages could prove reminiscent of snowy mountain slopes.
Médaillée d’or en skeleton aux Jeux Olympiques 2010, Amy Williams est copilote de Tony Jardine au Wales Rally GB 2013. Ce week-end, Amy ne va pas dévaler des pentes verglacées sur une luge, mais elle va parcourir les spéciales boueuses sur une Mitsubishi Lancer. Pour relever le défi, elle s’est entraînée sur quatre rallyes britanniques.
We caught up with Amy at the windswept service park in Deeside. “I hate the cold,” she muttered, which was rather surprising from someone who became a household name in Great Britain for speeding down mountainsides on a skinny toboggan. “I never went on winter holidays, I was just a kid who wanted to do everything in sport. I wanted to be a 400-metre runner, but that didn’t work out. At home [Bath], they had a skeleton training slope, so I tried it…”
Her 10-year career in the sport culminated with Olympic gold in Vancouver in 2010, Britain’s first individual winter gold in 58 years! However, the 31-year old has now ‘retired’. So, when Tony called in August to suggest a participation in Wales Rally GB, she seized the opportunity to experience something new. “I still feel the need to push myself and I love adrenaline,” she smiles. “I think motorsport can give you that, much like skeleton does. The biggest difficulty has been all the paperwork a co-driver needs to understand. I have received some wonderful help, though, and I tend not to get flustered or stressed. So we will see.”
In contrast to his delightful rookie co-driver, Jardine is one of the drivers with the most experience of the British WRC round. This is his 16th or 17th attempt (“I’ve lost count”). The first was in 1991 and he has twice won his class. In recent years, to boost press coverage, he has managed to convince several well-known journalists to sit alongside him, but this is the first time he has proposed the navigator’s seat to a famous personality. “I’ve never been so nervous,” he admits. “There is so much media and sponsor interest in this story and we’ve both got big butterflies. That said, Amy doesn’t show it because she has a steel exterior and is accustomed to important competitions.”
In addition to running his own successful PR agency, Jardine is a Formula 1 pundit on Britain’s Sky TV and has convinced the channel to follow his Rally GB project as part of its ‘Women in Sport’ series. This coverage is just one example of the huge interest the story has generated in the British media, and that can only be good for the reputation of the sport and the world championship.
On a rencontré Amy dans les bourrasques de vent au parc d’assistance de Deeside : « Je déteste le froid », a-t-elle grommelé. Surprenant pour celle qui s’est fait une belle réputation en Grande-Bretagne en dévalant les descentes verglacées sur sa petite luge. « Je ne suis jamais allée aux sports d’hiver. Je voulais juste faire du sport, plein de sport. Je voulais faire du 400 mètres, mais ça n’a pas marché. Chez moi, (Bath), il y avait une piste d’entrainement de skeleton, alors j’ai essayé… »
Le sommet de ses dix ans de carrière fut la médaille d’or aux J.O. de Vancouver en 2010, la première médaille d’or en individuel aux jeux d’hiver pour la Grande-Bretagne en 58 ans ! A 31 ans, Amy est désormais retraitée de son sport. Alors, quand Tony l’a appelée en août pour lui proposer d’être sa copilote pour le Wales Rally GB, elle a tout de suite sauté sur l’occasion. « J’ai encore besoin de repousser mes limites et de sentir cette adrénaline. Le sport automobile est parfait pour cela, un peu comme le skeleton. La plus grande difficulté, c’est toute cette paperasse qu’un copilote doit gérer. Mais on m’a beaucoup aidée, et j’essaie de ne pas trop stresser. On verra… »
Tony Jardine, lui, n’est pas un débutant. C’est même un des plus expérimentés du plateau ce week-end, avec 16 ou 17 Rally GB à son actif. Le premier, c’était en 1991 et il a remporté deux fois sa catégorie. Ces dernières années, pour « booster » les retombées-presse, il est parvenu à convaincre plusieurs journalistes de monter à ses côtés. Mais c’est la première fois qu’il a un copilote aussi célèbre. « Je n’ai jamais été aussi nerveux, admet-il. « Il y a tellement d’intérêts pour les médias et les sponsors qu’on est un peu fébriles. Ceci dit, Amy ne le montre pas, elle est habituée à la compétition. »
Outre son agence de communication très réputée, Jardine est aussi expert F1 sur Sky TV. Il a convaincu la chaîne de le suivre dans cette aventure via une série consacrée aux femmes dans le sport. Un exemple de l’intérêt que toute cette histoire a suscité dans les médias britanniques, ce qui est évidemment excellent pour la réputation de ce sport et du championnat.
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