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    vendredi 7 mars 2014

    Rallye du Mexique


    La spectaculaire cérémonie de départ de Guanajuato a indéniablement contribué au succès Rallye du Mexique. Après la présentation des équipages devant l’Alhondiga de Granaditas, les concurrents ont disputé la Superspéciale tracée dans les galeries souterraines de l’ancienne cité minière.
    Classée au patrimoine mondial de l’Unesco,Guanajuato est un passage quasi obligé pour les touristes fuyant les plages bondées d’Acapulco et de Cancun ou fatigués par l’ascension des temples mayas. La ville a prospéré grâce à l’extraction des minerais d’or et d’argent dont il ne reste plus aujourd’hui qu’un immense dédale d’artères souterraines entrelacées au-dessus desquelles s’accrochent des bicoques bariolées.
    Guanajuato est une ville colorée, réputée pour ses églises, ses monuments et ses places ombragées qui invitent au farniente ou du moins à la siesta. Ce soir, la foule a envahi les rues de Guanajuato pour assister au lancement du Rallye du Mexique devant l’Alhondiga de Granaditas – la halle au blé – d’où partie la Guerre d’Indépendance du Mexique il y a deux cents ans.
    Après le podium de départ, les voitures de course ont remonté la Calle Allende pour passer devant le Teatro Juarez considéré comme le plus beau du pays, avant de remonter la ruelle menant à Plaza Mayor. Six minutes après avoir franchi le podium sous les feux d’artifices et au son des mariachis, Jari-Matti Latvala et Miikka Anttila étaient casqués, sanglés, prêts à s’élancer dans la Superspéciale à 20h09 précisément.
    A peine plus d’un kilomètre à parcourir dans les galeries souterraines de la ville, sur des pavés glissants, usés par les chariots chargés de minerais. Un kilomètre et dix mètres que les meilleurs ont parcouru à moins de 70 km/h de moyenne. Evidemment, les chronos n’ont rien de significatif et les concurrents n’ont bouclé que 0,25% du rallye. N’empêche…
    Sébastien Ogier (VW/Michelin) a signé le meilleur chrono (52s9) devant trois « rookies » mexicains : L’Estonien Ott Tanak, 2e sur sa Ford Fiesta R5 (+0s3), Andreas Mikkelsen (+0s4) et Kris Meeke (Citroën, +0s6). Vainqueur de cette spéciale l’an passé, Thierry Neuville a réalisé le 6e meilleur temps sur sa Hyundai i20 WRC. Son équipier Chris Atkinson a dû redémarrer sa voiture 60 m après le départ et a perdu 24s7.
    La 1ère journée du Mexique compte 10 spéciales (148,62 km), dont deux passages dans El Chocolate (44,03 km) et trois Superspéciales pour conclure l’étape.


    RAVEN MOTOCYCLES


    Raven MotoCycles Raven MotoCycles
    Raven MotoCycles is a boutique custom motorcycle garage run by Jeff Gundlach, the overall design employed by Raven clearly harks back to the glory days of the Brough Superior and early Sunbeam models with perhaps a littleboardtracker styling thrown in for good measure.
    Each bike is hand built by Jeff to customer specifications, this model has a Moto Guzzi 750cc power plant out of the venerable 1971 Ambassador and has the wheels, brakes, swing arm, steering stem and forks from a 1968 Honda 350.
    Raven MotoCycles motorbike Raven MotoCycles
    The transmission is a Norton 4 speed and the frame, tank and 2 into 1 exhaust are all one off designs, handbuilt by Jeff for this bike. In future he plans to offer 3 models under the Raven MotoCycles moniker, there’ll be 750cc, 850 and 1000cc models, all with vintage Moto Guzzi power trains.
    This bike is the first for Raven and was summarily snapped up within days of appearing on eBay, Jeff has big plans for the future of the marque though and we’ll be paying close attention to the creations that roll out of his garage.
    Raven MotoCycles motorcycle Raven MotoCycles
    Raven MotoCycles cafe racer Raven MotoCycles
    Raven MotoCycles engine Raven MotoCycles
    Raven MotoCycles fuel tank Raven MotoCycles

    Radio-controlled cars? Des voitures radiocommandées ?


    During last month’s Rally Sweden, our colleague Julian remarked that the WRC cars have at least eight antennae on their roof. We tried to find out more…
    With all these aerials, the cars resemble radio-controlled models in a toyshop. But what purpose do these eight (at least) antennae serve. Xavier from Ino2 Systems explains...
    We begin the guided tour with the patch attached to the front-left: “This antenna is for live video. It is connected to a unit beneath the driver’s seat which records footage from the on-board cameras. These images are transmitted to a helicopter which forwards them to a radio relay airplane, which sends them to Rally TV headquarters. It’s quite complex because the helicopter needs to be at a precise distance from the rally car.”
    The white patch on the other side is the GPS tracker antenna provided by SIT. It enables the car’s location to be monitored for safety reasons and functions in association with the bigger aerial that has a power output of approximately 1 Watt. The signal is sent to a radio relay airplane which flies over the rally route at an altitude of around six or seven thousand feet. It takes the signal 250 milliseconds to reach the plane. The rearmost antenna on the car functions in GSM and GPS modes to provide a back-up tracking facility should radio signal be lost.
    A GSM aerial for the crew’s cell phones is located at the roof’s centre. Most of the factory cars also have an Iridium satellite phone aerial, and some even have an antenna for data logging purposes (vehicle location, speed, etc.).
    Last but not least, the antenna at the rear is for the teams’ own communications. The signal passes via the radio relay airplane and each team uses a specific frequency. “The positioning of the antennae is very important because the roof, like the rest of the car body, is a ‘ground mass’ (electrically conductive surface). To prevent interference and optimise performance, you need to comply with the ‘inverse square law’. There used to be lots of interference because the aerials were too strong, but technology has moved on and today’s transmission quality is far better using less power.”
    Au dernier Rallye de Suède, notre confrère Julian nous a fait remarquer que pas moins de huit antennes étaient fixées sur le toit des WRC. Alors on a voulu en savoir un peu plus.
    Ainsi équipées, on dirait des modèles radiocommandés vendus dans les magasins de jouets. Le toit des WRC engagées en Championnat du monde des Rallyes FIA est bardé d’au moins huit antennes. A quoi servent-elles ? Xavier (Ino2 Systems) nous a tout expliqué.
    Commençons par le patch noir fixé à l’avant gauche. « Cette antenne sert aux retransmissions vidéo en live. Elle est reliée à un boîtier situé sous le siège du pilote qui enregistre les images des caméras embarquées. Elles sont envoyées vers un hélicoptère qui les transmet ensuite à un avion-relais lequel les envoie à la régie. C’est assez complexe car il faut que l’hélico se trouve à une distance bien définie de la voiture. »
    Le patch blanc situé de l’autre côté est une antenne GPS fournie par la société SIT. Elle sert au tracking des voitures et donc à la sécurité. Toutes les voitures en sont équipées. Ce patch fonctionne avec la plus grande antenne qui est une antenne-radio émettrice d’une puissance d’environ 1 Watt. Elle envoie le signal à un avion-relais qui survole la zone du rallye à une altitude de 6000 à 7000 pieds. Il faut 250 millisecondes pour que le signal parvienne à cet avion-relais ! L’antenne qui se trouve plus en arrière du toit fonctionne en mode GSM et GPS. C’est une doublure du système tracking décrit précédemment en cas de perte du signal radio.
    RADIOCOMMANDEES 2bis
    L’antenne fixée au milieu du toit est une antenne GSM pour le téléphone du pilote et du copilote. La plupart des voitures d’usine sont aussi équipées d’une antenne Iridium (téléphone satellite). Certaines voitures disposent également d’une antenne réservée aux acquisitions de données. Ce n’est pas de la télémétrie comme en circuit, mais elle permet de transmettre des données comme la situation précise du véhicule, sa vitesse…
    Enfin, l’antenne située à l’arrière sert aux transmissions radio internes à chaque équipe. Les signaux d’émission/réception passent par l’avion-relais et chaque team dispose d’une fréquence qui lui est propre. « Le positionnement des antennes est très important car le toit, et l’ensemble de la carrosserie, servent de plan de masse. Pour un fonctionnement optimum et éviter les interférences, on doit respecter la règle dite du « carré de l’antenne », c’est-à-dire un carré dessiné autour de l’antenne si on la mettait à l’horizontal. Jadis, il y avait souvent des interférences car les antennes étaient trop puissantes. La technologie a évolué et les transmissions sont aujourd’hui bien meilleures à faible puissance.»

    RED HOT CHILI CUSTOMS F650



    RHC 1
    Who knew that a BMW F650 could be stripped-back and rebuilt into something quite so retro? We were certainly caught off guard when this bike came in. Another Dommie, we presumed – from the thumbnail images anyway – then we clicked. So, our ‘year of the Tracker’ continues with a new donor platform, put together by Red Hot Chili Customs in Poland.
    RHC 2
    Red Hot Chili Customs are based in Szczecin, on the Polish-German border, just 140km from Berlin. “We’re building and trading oldschool bikes. It’s our love and work in one. It’s really cool that we can do what we love.” Amen to that.
    RHC 3
    It’s not too surprising that we thought the bike was a Dominator (at small scale) as the build was inspired by the Kiddo Motors Dommi – a bike that had plenty of coverage and well-earned acclaim. Like the Honda, BMW’s bike is a 650cc single in a double cradle spine frame with monoshock at the rear. The main difference is watercooling, which usually means more rpm and more punch. The models were also around at similar times – this donor is from 1994; an F650ST.
    RHC 4
    The customer for the build was Maciej Zatonski who rode the bike all through Asia and we’re told he was lucky to get it home in one piece. He wanted to rebuild the bike after 76,000 hard kilometers, but nicer, and “a little more handy“.
    RHC 5
    “We start work as always, reassembling all the unnecessary stuff and leaving only the rolling chassis. The next step was to find the right fuel tank which should work with a scrambler-look and fit onto the angular frame.” The Honda FT500 had the perfect shaped tank, which just needed a new petcock and new mounting points welded to the frame.
    RHC 6
    The front light is the Trial Tech Eclipse and the silencer is Leo Vince made for an XR650 while the front header pipes are stock which were polished to reveal the bare metal. The rest is all custom build by the RCHC crew. As with all proper pro builds the bike was assembled and test-ridden before being stripped, sand-blasted, then powder-coated or painted.
    RHC 7
    We always ask if the builders are happy with their handiwork. “Oh yes! The bike is lightweight, powerful, mothafucka!! We’ve love it, and Maciej also!” I think that’s pretty unequivocal. We like it too. We’d like to see more F650s get this treatment, and it’s good to see a knew donor appearing in the scrambler/tracker stable.Now we’ve lot of work with other classics, so stay tuned! To the next build!
    See more from Redu and the crew at Red Hot Chili Customs on Facebooktheir Website, and here on The Bike Shed.
    FOTO-GUTEK