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    dimanche 18 octobre 2015

    EUROPEAN LE MANS SERIES Estoril : Thiriet by TDS Racing vainqueur, Greaves Motorsport champion !


    MOTORSPORT : EUROPEAN LE MANS SERIES  - 4 HOURS OF ESTORIL  (PRT) ROUND 5 10/17-18/2015
    par Laurent Mercier (Endurance-Info.com)
    Après Imola en mai dernier, le Thiriet by TDS Racing s’est offert un deuxième succès en European Le Mans Series avec la ORECA 05 partagée par Pierre Thiriet, Ludovic Badey et la nouvelle recrue Nicolas Lapierre. La stratégie pneumatique mise en place par l’équipe de Xavier Combet et Jacques Morello a payé, et Nico Lapierre a parfaitement assuré le job en piste, tout comme ses coéquipiers. La pluie a mis un peu de piment dans une course neutralisée par trois Full Course Yellow.
    MOTORSPORT : EUROPEAN LE MANS SERIES - 4 HOURS OF ESTORIL (PRT) ROUND 5 10/17-18/2015
    Cette victoire ne suffit toutefois pas à décrocher le titre qui revient à Greaves Motorsport. Le camp britannique s’est pourtant fait une belle frayeur en fin de course avec une pénalité pour Jon Lancaster qui a détaché son harnais avant l’arrêt de l’auto. Cette péripétie de fin n’a rien changé à la hiérarchie puisque la 2ème place décrochée par Gary Hirsch, Jon Lancaster et Bjorn Wirdheim suffit à décrocher le titre 2015 et succéder à Panciatici/Chatin/Webb.
    MOTORSPORT : EUROPEAN LE MANS SERIES - 4 HOURS OF ESTORIL (PRT) ROUND 5 10/17-18/2015
    Déjà dans le tiercé de tête au Paul Ricard, AF Racing monte une nouvelle fois sur le podium grâce à Mikhail Aleshin, Victor Shaytar et Kirill Ladygin. Les deux BR 01 ont brillé avec la #21 en tête de course durant les deux premières heures.
    La sortie dans le bac de Simon Dolan sous la pluie n’a pas permis à Jota Sport de rafler la mise. Filipe Albuquerque, Simon Dolan et Harry Tincknell ont terminé au pied du podium. L’écurie britannique rate une fois de plus la couronne et la pénalité du Paul Ricard a pesé lourd dans l’escarcelle.
    Greaves Motorsport est champion avec 93 points, contre 91 au Thiriet by TDS Racing et 89 au Jota Sport.
    En LM P3, Gaëtan Paletou et Mike Simpson retrouvent la plus haute marche du podium sur la Ginetta-Juno LM P3/Team LNT malgré un envol depuis le fond de grille. Victorieuse le week-end dernier en Asian Le Mans Series, la Ligier JS P3 débute sa campagne européenne par une 2ème place aux mains de Eric Trouillet, Garry Findlay et Thomas Accary. La seconde Ginetta-Juno/ Team LNT termine sur la dernière marche du podium.
    Marc VDS Racing Team s’était imposé ici-même l’année passée en GTC et l’écurie belge en a fait de même aujourd’hui mais en GTE avec un premier succès pour la BMW Z4 GTE de Henry Hassid, Jesse Krohn et Andy Priaulx. L’équipe de Marc van der Straten termine sur une victoire assortie d’une place de vice-champion. La 5ème place de Mac/Laursen/Rizzoli assure le titre au Formula Racing et la sélection pour les 24 Heures du Mans 2016. Beechdean AMR a bien fait de se déplacer au Portugal avec une 2ème place pour l’Aston Martin Vantage GTE de Howard/MacDowall/Adam. Quatre marques différentes dans le top 4 avec la Porsche 911 RSR/Gulf Racing UK, 3ème, et la Ferrari 458 GTE/AF Corse #55, 4ème.
    Formula Racing est titré en GTE avec 83 points, soit 4 de plus que BMW Team Marc VDS.
    TDS Racing n’avait qu’à assurer en GTC pour rafler le titre avec sa BMW Z4 GT3. Franck Perera, Dino Lunardi et Eric Dermont n’ont pas failli en sécurisant la 2ème place synonyme de qualification pour Le Mans 2016 en GTE. La victoire est revenue à la Ferrari 458 Italia GT3/AF Corse de Roda/Melnikov/Cioci.
    MOTORSPORT : EUROPEAN LE MANS SERIES  - 4 HOURS OF ESTORIL  (PRT) ROUND 5 10/17-18/2015
    Cinq autos n’ont ps vu l’arrivée : ORECA 03R (Murphy Prototypes), Aston Martin Vantage GT3 (Massive Motorsport), Ferrari 458 GTE (JMW Motorsport), Ginetta-Juno LM P3 (Villorba Corse), Morgan LM P2 (Pegasus Racing).
    Le classement de la course est ici
    MOTORSPORT : EUROPEAN LE MANS SERIES - 4 HOURS OF ESTORIL (PRT) ROUND 5 10/17-18/2015

    Am I in another world? ou Paris-Dakar


    The Distinguished Gentleman's Ride Milano 2015


    Renault Sport Trophy : Gonda et Pizzitola récidivent à Jerez


                                  AUTO - WSR JEREZ 2015
    Déjà vainqueur au Mans, l’équipage #2 de la Renault Sport R.S. 01 de l’équipe ART Junior Team s’est à nouveau imposé sur le Circuito de Jerez au terme de la course Endurance du Renault Sport Trophy. Parti cinquième, le binôme composé d’Andrea Pizzitola et de Richard Gonda s’est rapidement porté en tête pour gagner devant le duo titré, David Fumanelli et Dario Capitanio (Oregon Team #8), présents pour la sixième fois sur le podium en six courses. Luciano Bacheta et Niccolo Nalio (Oregon Team #6) ont su se jouer des conditions et d’un drive-through pour compléter le podium. Leader au classement intermédiaire, Andrea Pizzitola possède désormais un avantage de neuf points en Élite. Un score pour l’heure insuffisant pour être sacré dimanche puisque le retrait du plus mauvais résultat de la saison donne une unité d’avance à Steijn Schothorst (Equipe Verschuur #10).
                               
    En s’offrant la pole position, David Fumanelli plaçait la Renault Sport R.S. 01 qu’il partage avec Dario Capitanio au premier rang, devant Jeroen et Steijn Schothorst, et Nicky Pastorelli – Diederik Sijthoff (V8 Racing #5).
                                  
    Pizzitola en Musclor
    Sur piste humide, David Fumanelli conservait la tête face à Steijn Schothorst et Andrea Pizzitola. Le Français dépassait Nicky Pastorelli et Nelson Panciatici (Monlau Competicion #14) avant de prendre autoritairement les commandes au deuxième tour. Au sixième passage, David Fumanelli cédait sa troisième position à Indy Dontje (ART Junior Team #2), parti huitième. Au classement intermédiaire, Andrea Pizzitola menait avec trois secondes de marge sur Steijn Schothorst. Troisième, Indy Dontje précédait Nicky Pastorelli, Bas Schothorst (Zele Racing #11), Nelson Panciatici et Luciano Bacheta (Oregon Team #6). David Fumanelli, Christian Klien (Zele Racing #9) et Miguel Ramos (Equipe Verschuur #1) complétaient le top dix.
                                  
    Gonda impérial avant le rouge
    Premier à s’arrêter, Andrea Pizzitola cédait son baquet à Richard Gonda. L’abandon de Toni Forné (ART Junior Team #3) dès son tour de sortie provoquait l’intervention de la voiture de sécurité. En parallèle, Steijn Schothorst s’arrêtait définitivement au garage et les autres chaussaient les pneus slicks. Au restart, Richard Gonda distançait rapidement Dario Capitanio. Derrière, Niccolò Nalio remontait au classement après son drive-through écopé d’une pénalité au Mans. Malgré le retour de la pluie qui piégeait de nombreux pilotes et amenait une arrivée prématurée, Richard Gonda scellait son succès avec vingt-trois secondes d’avance sur Dario Capitanio. Niccolò Nalio terminait troisième devant Diederik Sijthoff, Christof von Grünigen (Zele Racing #9), Andres Mendez (Zele Racing #11) et Max Braams (V8 Racing #4). Antonio Coimbra (Equipe Verschuur #1), Jean Ragnotti (Monlau Competicion #14) et Adalberto Baptista (Oregon Team #7) fermaient la marche.
                              
    Ils ont dit
    Andrea Pizzitola : « C’était une course très plaisante pour nous. J’avais un petit avantage au départ en étant à l’intérieur, avant de profiter de la lutte entre Steijn et David pour prendre la tête. J’ai attaqué pour creuser rapidement l’écart, et cela a été le cas même si je pense que Steijn préservait ses pneus. Quand il est revenu, j’ai pu attaquer à nouveau. Malgré cette victoire, je sais que je dois encore le devancer demain pour être titré et je vais tout donner ! »
                             
    Richard Gonda : « Nous nous imposons à nouveau et c’est important pour demain. C’était une course longue et difficile, mais Andrea a fait un excellent travail sur son relais, tout comme l’équipe aux stands. Quand la pluie est revenue, le principal objectif était de rester sur la piste et la grande marge que nous avions sur nos poursuivants nous a permis d’être tranquille. »
                               
    Classement général Endurance provisoire* : 1. Fumanelli/Capitanio – 115 points, 2. Pizzitola/Gonda – 95, 3. Bacheta/Nalio – 72, 4. Braams – 57, 5. Geerts – 49…
    Classement général Elite provisoire* : 1. A. Pizzitola – 132 points, 2. S. Schothorst – 123, 3. D. Fumanelli – 91, 4. I. Dontje – 71, 5. N. Pastorelli – 57…
    Classement général Prestige provisoire* : 1. D. Capitanio – 137 points, 2. D. Sijthoff – 107, 3. R. Gonda – 105, 4. N. Nalio – 102, 5. M. Braams – 90…
    *Sous réserve de l’officialisation des résultats à l’issue des vérifications techniques et sportives.
                             

    Márquez remporte la course de l’année à Phillip Island / Marquez's 50th victory sets title race alight


    Le Champion en titre a battu Lorenzo dans le dernier tour tandis que Iannone a devancé Rossi pour la troisième place.
               
    Disqualifié en 2013 puis tombé alors qu’il était premier en 2014, Marc Márquez (Repsol Honda) a remporté pour la première fois l’épreuve MotoGP™ de Phillip Island dimanche au Grand Prix Pramac d’Australie à l’issue d’une course sensationnelle aux avant-postes. 
    En pole position, Márquez a été devancé par Andrea Iannone (Ducati), Jorge Lorenzo (Movistar Yamaha MotoGP) et Dani Pedrosa (Repsol Honda) dès le départ mais a rapidement pris le dessus sur son coéquipier pour revenir sur les deux autres. 
    Iannone et Lorenzo se sont fermement disputés la première position dès le premier tour dans un duel qui a tourné en faveur du Majorquin lorsque Iannone a heurté du casque une mouette qui stationnait sur sa trajectoire. L’Italien et Márquez n’ont cependant pas laissé Lorenzo s’échapper et ont tous les deux eu l’occasion de repasser devant sur les premiers tours pendant que Valentino Rossi (Movistar Yamaha MotoGP), septième sur la grille, s’efforçait de revenir sur le trio de tête. 
                       Rossi: “The results could have been better”
    Lorsque l’Italien est parvenu à recoller au groupe, Lorenzo disposait d’un peu plus d’une seconde d’avance, un écart qu’il n’a pu maintenir que pour une dizaine de tours, jusqu’à être rattrapé par Márquez dans le 16e des 27e tours de l’épreuve. À ce moment-là, Rossi et Iannone avaient une seconde de retard sur Márquez, qui passait en tête pour la première fois de la course mais voyait Lorenzo et les deux Italiens revenir derrière lui à toute vitesse. 
    Le dernier tiers de la course a ainsi été l’occasion d’une splendide bataille à quatre, que Lorenzo semblait avoir remportée après avoir doublé Márquez à six tours de l’arrivée. Le Champion du Monde en titre a cependant réalisé un incroyable dernier tour qui lui a valu une opportunité de repasser en tête, qu’il a parfaitement saisie, mais aussi le meilleur tour de la course et une splendide victoire, sa cinquième de l’année et la 50e de sa carrière en Grand Prix.
                   Iannone: “I fought with the best riders”
    Derrière les deux Espagnols, Iannone, qui avait momentanément réussi à passer Márquez à quelques tours de l’arrivée, s’est brillamment imposé sur Rossi pour prendre la troisième place et s’offrir son troisième podium de la saison. Deuxième en qualifications en ayant suivi de près Lorenzo, l’Italien tenait sa promesse de se racheter et retournait la faveur au Majorquin en privant Rossi du podium, permettant à Lorenzo de marquer sept points de plus que son coéquipier. 
    Avant l’épreuve de Sepang qui aura lieu le 25 octobre et celle de Valence qui aura lieu le 8 novembre, Rossi et Lorenzo n'ont plus que onze points d’écart en tête du classement général.
                     Pedrosa: “Today was a difficult day”
    Derrière les quatre protagonistes de ce qui est pour l’instant la plus belle course de l’année tant pour son spectacle et ses dépassements que pour son enjeu, Pedrosa était trop loin derrière pour observer la bataille et a terminé à quatre secondes de Rossi, en cinquième position.
                    
    Sixième sur la grille, Maverick Viñales (Team Suzuki Ecstar) a égalé son meilleur résultat en date, sa sixième place de Barcelone, en confirmant ses excellentes performances et en finissant par battre Cal Crutchlow (LCR Honda), qui s’était brièvement battu avec Rossi sur les premiers tours.
                     Crutchlow: “I’m a little disappointed”
    Pol Espargaró (Monster Yamaha Tech3) a pris la huitième place, à neuf secondes de Crutchlow, devant son frère Aleix Espargaró (Team Suzuki Ecstar), Bradley Smith (Monster Yamaha Tech3), Scott Redding (EG 0,0 Marc VDS) et Danilo Petrucci (Octo Pramac Racing). 
                      
    Bien loin des excellentes performances de son coéquipier, Andrea Dovizioso (Ducati) a conclu en treizième position, à six secondes de Petrucci, devant Álvaro Bautista (Aprilia Racing Team Gresini) et Jack Miller (LCR Honda), qui s’offrait le point de la quinzième place mais aussi la première place du groupe Open pour sa course nationale en finissant loin devant Héctor Barberá (Avintia Racing), Yonny Hernández (Octo Pramac Racing) et Loris Baz (Forward Racing), 18e tandis que Mike Di Meglio (Avintia Racing) finissait son 200e Grand Prix à la vingtième place. 
                     
    Le paddock MotoGP™ prend maintenant la direction du Circuit International de Sepang, où se déroulera la semaine prochaine l’avant-dernière manche de la saison 2015. 
    Cliquez ici pour accéder aux résultats et ici pour le classement général.
                    Marquez's 50th victory sets title race alight
    Marc Marquez wins one of the most dramatic MotoGP™ races of all time as Lorenzo reduces Rossi's lead in the standings to just 11 points.
                 Marquez: “I overheated the front tyre”
    Repsol Honda’s Marquez emerged triumphant from an incredible Pramac Australian Motorcycle Grand Prix to record his 50th career GP victory and fifth of 2015. Marquez secured the race win in the end by just 0.249s from Jorge Lorenzo, with Andrea Iannone completing the podium ahead of championship leader Valentino Rossi who had to settle for fourth.
    The 32,000 fans packed into the grandstands bore witness to one of the most exciting races in the history of the World Championship as Marquez was involved in a race-long scrap with Movistar Yamaha teammates and title rivals Lorenzo and Rossi, plus the Ducati GP15 of Iannone. The battle between these four was simply breath-taking, as for once the weather did not throw a spanner in the works with the sun shining and track temperatures reaching 40˚C. It really did have everything: a myriad of overtakes, lots of contact, a championship title on the line, and even a bird strike.
                   Lorenzo: “I was a little bit angry”
    At the start it was Iannone who got the drive off the line to lead into turn 1 with Lorenzo and Marquez in hot pursuit. Lorenzo would take the lead into turn 8, and in a sign of things to come there was contact between Marquez and his teammate Dani Pedrosa at turn 10 as the former defended 3rd. Iannone re-took the lead on lap 2, only to be hit by a stray seagull on the entrance to turn 4 to allow Lorenzo to move back to the front.
                   
    The lead swapped hands a number of times between these three on the opening laps. All the while Rossi, who had started from seventh on the grid, had been biding his time, before starting to move through the pack by lap 3. The ‘Doctor’ overtook the Repsol Honda of Dani Pedrosa and LCR Honda’s Cal Crutchlow to move up to fourth on lap 4 and join in the fun at the front.
                  
    Lorenzo began to break away at the front, and by the end of lap 7 he had opened up a 1.4s gap, but just when it looked like he would disappear into the distance the chasing trio started to close. Unbelievably, despite constantly swapping places, the three started to reel in Lorenzo at the front. At the end of lap 13, Lorenzo’s lead was down to a second. At the end of lap 14 it was 0.5s, and fans were in for a treat as Marquez, Iannone and Rossi caught Lorenzo at the front with 10 laps to go.
    From here on in it was anyone’s guess who would win, with Iannone using the incredible power of his GP15 to show some blistering pace on the straight. This meant each time once of the others passed the Italian; he was able wait until the Gardner straight to launch his Bologna missile back past.
                   
    Lorenzo took the lead with 7 laps to go once more, and with just two laps to go had extended this lead to one second as the others fought against each other. The best was still to come though. As the riders entered the final lap less than second separated all four, as Lorenzo led across the line from Iannone with Marquez in third and Rossi fourth.
    Marquez passed Iannone in the Southern Loop to move into second and set off after Lorenzo. Rossi also came past his compatriot after contact at turn 4, before Iannone fought back into 3rd through Lukey Heights. Then at turn 10 Marquez blitzed past Lorenzo into the lead, as Rossi tried desperately to pass Iannone for the final time but failed. Marquez then managed to hold on through the final few corners to secure an amazing victory as the crowd went wild. Marquez had saved his best till last, putting in the fastest lap of the race on the final lap as he timed his move to perfection. It seemed a fitting way for the reigning MotoGP™ World Champion to break his MotoGP™ points duck at Phillip Island, as he became the youngest ever rider to reach the milestone of 50 GP wins.
    Lorenzo took second, his tenth podium of the year, to close the gap in the standings to Rossi to just 11 points with two races remaining. Iannone completed the podium, his third of the year and first since Mugello, while Rossi’s fourth was only the second time he has missed out on the podium this season. To give you an idea of how close it was, just a second separated the four across the line. It was also Rossi’s 328th grand prix, which moves him level with Loris Capirossi at the top of the list of riders with the most World Championships starts.
    Marquez’s teammate Pedrosa came out on top in the battle for fifth as he crossed the line 5 seconds behind Rossi. The winner at Motegi had enjoyed an excellent race long fight with Maverick Viñales (Team Suzuki Ecstar) and LCR Honda’s Cal Crutchlow, who finished in sixth and seventh respectively. Sixth equalled Viñales best MotoGP™ result from the Catalan GP as he once more impressed in what is only the Spaniard's rookie season.
                  
    Pol Espargaro (Monster Yamaha Tech 3) won the battle of the brothers as he beat Aleix (Team Suzuki Ecstar) to 8th. Yamaha Tech 3’s Bradley Smith completed the top ten, finishing less than a second ahead of his compatriot Scott Redding on the EG 0,0 Marc VDS Honda in eleventh.
    LCR Honda’s Jack Miller took the Open class victory at his home grand prix by finishing in fifteenth, while Irishman Eugene Laverty (Aspar MotoGP Team) crossed the line in 19th after announcing he will be staying with his team for 2016. Laverty’s teammate Nicky Hayden was forced to retire with a technical issue and Damien Cudlin (E-Motion IodaRacing Team), who was substituting for the injured Alex De Angelis, also had to return to the pits with an issue.
                    

    Triumph Bobber – Ric & John Pudney


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    Most ‘barn finds’ (or shed finds, as we like to call them Down Under) are a story enough in themselves. What more could you add to a tale where a bike nut finds their dream wheels like a pirate finds hidden treasure? Well Ric and John Putney weren’t satisfied with finding a killer unit Triumph lump in next door’s garage. They also added an old lady, the loss of a loved one and decided things would be more interesting if their dream engine was in pieces as well. Here’s Ric and Johns Putney’s Triumph Bobber.
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    “This bike build started,” says Ric, “when the little old lady next door called ‘Lena’ asked me if I knew anyone that would be interested in buying a Triumph engine that had been sitting in her shed for 20 years, it belonged to her son who had passed away.”
    Around the same time, Ric’s brother John suggested that the two should build a custom bike of some kind together. The engine turned out to be boxes of a stripped motor with some parts missing or unusable, but at $200 for a classic engine, they jumped at it and jumped head-first into an old school Bobber build.
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    “With thanks to a local engine guru Grant Kirchner,  we bored the old barrels 40 thou over. Then Colin Kranz from Classic Aqua Blasting cleaned the engine cases and head to make it look like new.” John then rebuilt the engine from the sludge trap up, adding a Bonneville twin-carb head, new pistons, new valves, new springs, Amal carbs, an alternator, bearings and seals.
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    “John sourced the front frame loop from Murray’s Brit Bikes in Adelaide, along with a original 50’s ribbed rear guard, a US slim-line fuel tank and ‘71 forks and conical wheels. Luckily the rear wheel was already fitted with a 16 inch Harley rim, an old customising trick.”
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    “I refurbished all the old parts to get them back in to good shape then set about making an aluminium oil tank with a drop-in oil filter and fabricated a bolt on hard tail, painting it all in two pack gloss black. I wired the bike with a battery eliminator, for a cleaner look with wiring hidden inside the frame, the ignition key located in the sidecar mount under the seat and the horn button located in the head stem nut. Everything else was just stuffed under the tank.”
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    Finishing it off is rear guard struts, engine plates, brake rods, and axle nuts. They are all made from polished stainless steel, topped off with a Bates-style seat from west eagle and a white wall tyre on the back.
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    “I took the bike to Adelaide’s Kustom Kulture weekend, where Tubby from Melbourne added some pin striping to the oil tank. I have since been told by my work mates that it looks like an oil stain; maybe gold wasn’t the best choice of colour…”
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    “The only things added in its two years on the road are a small catch can for the odd vapor drip from a Bunn breather system, so now it must be the only Pommie bike that doesn’t leave its mark on the ground and secondly the handlebars were changed from drag bars to flat tracker bars because John is now elderly with a bad back and needs a more upright riding position. Wimp.”
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    “I think our little bike has turned out just right and it has proved a very reliable, easy starter that gets lots of positive comments; even the little old lady who sold me the motor thinks it’s great. And riding a bike that you have built from scratch is the best thing ever!”
    via PIPEBURN

    BMW K1100RS – Cooter’s Café


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    Written by Martin Hodgson.
    “Breaker one, Breaker one, I might be crazy but I ain’t dumb, Craaaazy Cooter comin’ atcha, come on.” Growing up watching the Dukes of Hazzard with his friends, Eric Kalter was given the nickname of the wild mechanic Crazy Cooter from the hit show and although he might not be a mechanic you’d never know from what he’s achieved with this stunning 1994 K1100rs. Many would argue you’d have to be crazy to pick a “flying brick” to turn into a stripped down custom machine, but although he is a service manager in the printing industry by day when the shed lights come on Eric becomes one hell of a builder under the moniker Cooter’s Café.
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    If there is an argument to be made against turning a K series BMW into a Café Racer it’s the weight, the K1100RS is a big ole girl at 268 kg fully fuelled but that didn’t put Eric off and he has done more than a few things to get that figure well down! Instant weight saving is achieved by ditching all of the fairings that covered almost the entire bike. The bulky instrument cluster is gone, so too the huge two up seat and the rear fender, its accessories and heavy metal supports.
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    To shorten the bike overall and further remove more weight the subframe was cut off at its mounting points and a new item fabricated and welded in its place. The frame was then smoothed out and detabbed and left in a raw metal finish that beautifully contrasts with the low slung blacked out engine that works as a stressed member.
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    The choice of aluminium for the seat makes perfect sense in the quest to keep weight low and it hugs the frame with hot rod quality fabrication. While much of the seat remains in raw metal the café hump is treated to some tank matching paint work and number decals for that racing look all of which is laid down by Eric himself. The slim line seat is finished in a diagonally stitched leather and topped with the Cooter’s Café logo all done by Miller Kustom Upholstery.
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    The tank mounts have been modified and lowered at both front and back so that the lines are more befitting of a café racer. The tank itself has been extended at the front, raised 2cm, before Eric generously coated it in a vintage style two-tone brown paint scheme with small BMW logos added to the curved steel with exceptional skill.
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    There are four cylinder motorcycles and then there are the BMW horizontal four’s that leave the high revving superbikes to do their thing and instead focus on punching out obscene amounts of torque. At 2000rpm the big four is already making 75% of its torque and just continues to pull like a freight train to redline. To improve fuelling, Eric has installed the injection system from a K1200 that utilises the common Bosch Motronic ECU. Feeding air to the system are the four menacing chromed pod filters poking out the left side of the bike with the air sensors neatly relocated. The big rear cans known to dominate most BMW’s from the factory has been ditched and saving weight and sounding mean is the new shorty reverse cone muffler in its place.
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    With such a unique engine that dominates the look of the bike Eric chose not to ignore its aesthetics or try and hide it in anyway. Rather it takes centre stage and shows off its bulk thanks to an all-black paint job that further accentuates its size. For a neat custom touch the spark plug cover is hardwood and finished with hot rod style lettering to spell out the Cooter’s Café logo.
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    The catalytic converter has been removed to clean up the look further and the installation of a Li-Ion battery reduces weight and adds reliability. The final touch to the engine area is the beautiful ‘50s leather bag that keeps the battery company, once used as a safe bag for small businesses it’s now the perfect place for Eric’s wallet and phone.
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    To get the stance right and further lower the centre of gravity, a vital handling change with a big horizontal engine, Eric lowered the standard 43mm front forks with a brace replacing the fender. The rear of course is one of BMW’s brilliant Monolever swinging arms and with a full face of a wheel to show off a visual more appearing R1150 item replaces the standard fare.
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    BMW didn’t skimp on the braking either and Eric had no need to mess around with the already superb 305mm twin drilled disc front and 285mm drilled single disc rear. The factory switch blocks have been mounted to a set of chrome clips that have neatly wrapped leather grips for more of that vintage look and feel. The front indicators are mounted to the end of the bars while the rear is kept minimalist with a small taillight mounted above the numberplate holder.
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    While Eric still has plans for the bike – a new mount for the rear muffler for one – to truly appreciate what he has accomplished you have to look at the way a standard K series 1100RS appears in factory form. It’s one of the last bikes you would ever pick to be converted into a café racer but Eric’s a mad genius and even his name sake Crazy Cooter would have to concede this is a hell of a machine for fleeing Sheriff Rosco and running rings around big Boss Hogg.
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    [Photos by Classic Life Cycles] via PIPEBURN