ACE CAFE RADIO

    dimanche 21 avril 2013

    BMW R100S BY DEUS

    BMW R100S
    You don’t see many 1970s BMW R-series customs in the USA. But this very sharp R100S cafe racer should prompt a few searches for old airheads on eBay. It’s set for launch at The One Motorcycle Show in Austin this weekend, and was built by Michael Woolaway, motorcycle design director at Deus USA.
    The R100S was one of BMW’s more sporting bikes, with a quarter-mile time of just under 13 seconds. The ‘S’ designation meant you also got a small fairing, twin discs at the front, lower bars and a racier seat. But it was still a long-haul bike built for the autobahn.
    BMW R100S
    That’s something Woolie set out to change. “I wanted to build something that didn’t look much like a BMW,” says Woolie. “I tried to style it a bit older than an R100S.”
    BMW R100S
    It’s a ground-up rebuild, starting with the frame. Woolie removed the brackets and the sub-frame and its mounts, and then fabricated a new chromoly sub-frame. More fabrication quickly followed: the tank, seat, fenders, foot controls and rear sets are all made by hand.
    BMW R100S
    Up front, Öhlins forks have been shortened and re-valved by Ed Sorbo at Lindemann Engineering. Pierre Vallaincourt at Works Performance engineered the rear suspension. The battery is now hidden under the seat, protected by a heat shield rated to 1200 degrees. And the mirrors, handlebars and bar mounts are all top-shelf components from Rizoma.
    BMW R100S
    The riding position is more aggressive than the stock R100S, but still practical. “It’s got a big tank and you’re all stretched out, so you really feel like you’re tucked in behind it,” says Woolie. “It’s a fun bike and a bit faster than I actually expected.”
    If you can’t make it to The One Motorcycle Show, head over to the Deus USA website to examine the BMW in more detail.
    BMW R100S
    from BIKEEXIF

    VdV ; MUGELLO, GT : CRUBILÉ SPORT VAINQUEUR D'UN MEETING ITALIEN DISPUTÉ.



    Deuxième rendez-vous de la saison pour les V de V Endurance Series, et deuxième manche pour la catégorie GT/Toursime. Au programme de ce beau week-end italien, une endurance de 6 heures dont le départ a été donné le samedi à midi. Après une séance de qualifications réalisée le vendredi sous un grand soleil, c'est cette fois-ci les nuages qui occupaient le ciel lors de la mise en grille. Tout le monde avait donc en tête la course de Barcelone et son épisode pluvieux qui avait rebattu les cartes dans la seconde moitié de l'épreuve.

    Dès les séances d'essais libres, les pilotes ont pu apprécier ce magnifique tracé, où le championnat V de V avait déjà fait escale en 2010, mais il a aussi fallu appréhender toutes les difficultés du Mugello pour ceux qui n'avaient pas encore eu l'occasion de venir rouler ici. Le premier verdict a été celui du chrono des qualifications, et c'est Sébastien Crubilé qui a amené sa Porsche GT3-R sur la première ligne, suivi de près par la F458 GT2 de l'équipe Visiom sur laquelle Thierry Perrier a réalisé le second temps à 0.971s de la pole. En deuxième ligne, nouvelle belle prestation de Frédéric Ancel sur la n°007 de Porsche Lorient Racing, devant la n°53 d'IMSA Performance Matmut. A noter également les très bons temps réalisés par les pilotes « A » du team Escuela Espanola de Pilotos, sur les Mosler n°10 et n°13 engagées en catégorie GTV 2 ; 4e et 5e temps des qualifications, tous pilotes confondus, mais naturellement non retenus pour l'ordre de départ.

    Le lendemain sur la grille, c'est Sébastien Crubilé qui prend le volant de la Porsche de tête, devant Thierry Perrier en charge de mener la chasse avec la Ferrari n°2. C'est d'ailleurs la voiture de l'équipe Visiom qui est en tête du championnat GT après la course de Barcelone. Deux Porsche sur la seconde ligne, n°007 Porsche Lorient Racing et n°53 IMSA Performance Matmut, et une Mosler MT 900 (n°13 - Kanaroglou/Campos) pour compléter le top 5.

    Départ sans encombre après le tour de lancement, et dès les premières boucles la Porsche n°25 essaye de prendre le large. Thierry Perrier ne tarde pas à réagir et revient au contact du leader. Un magnifique spectacle sur ce circuit vallonné, d'autant que derrière, les duels sont nombreux au sein du peloton. Paul Lafargue, chez Ruffier Racing, fait un début de course remarqué en remontant rapidement à la troisième place. Pour la n°007, c'est tout l'inverse puisqu'on la retrouve au bout de quelques tours dans le fond du classement -Cartographie en configuration Safety Car jusqu'au premier relais de Frédéric Ancel -

    Côté GTV 2, Kanaroglou sur la Mosler n°13 menait les débats, mais il perd lui aussi pied et se retrouve 4e de la catégorie après avoir rencontré quelques soucis. Peu avant l'heure de course, premiers passages aux stands pour ceux qui ont choisi de faire des relais cours. Un peu plus tard, en tête, la Ferrari est la première à plonger dans la pitlane, mais sans changement de pilote. Les leaders rentrent peu après et l'on retrouve donc la 997 RSR IMSA en tête de la course. En GTV 2, après 1h20, la Mosler n°10 connaît ses premiers problèmes et doit rentrer dans son box ; elle abandonnera la course au 49e tour. L'Audi n°46 et la Mosler n°13 vont désormais se battre dans cette catégorie.

    En tête, après 2 heures de course, on retrouve la Porsche n°25 avec François Perrodo devant la n°53 d'IMSA avec Pascal Gibon et la Ferrari n°2 pilotée par Jean- Paul Pagny. Frédéric Ancel et sa GT3-R remontent au classement avec de bons chronos. La Mosler n°13 perd la tête en GTV 2 après un long arrêt à son stand et un problème d'écrou de roue.

    On approche la mi-course et, en tête, c'est un spectacle de toute beauté, à la fois pour les performances réalisées par les pilotes, et pour les choix tactiques des différents teams managers. Meilleur tour en course pour Emmanuel Collard (1:49.970) qui fait l'effort pour revenir sur la Ferrari de JP Pagny, en tête à la faveur des ravitaillements. Ce dernier réalise par ailleurs de très beaux temps face aux pilotes professionnels. La n°25 Crubilé Sport attaque la deuxième moitié de course en tête, suivi par Belloc (n°53 - IMSA) qui a passé la Ferrari Visiom. Patrice et Paul Lafargue conservent leur très belle 4e place devant la n°007 qui a réalisé une première moitié d'épreuve incroyable pour revenir dans le top 5 après ses déboires de la première heure. En GTV 2 l'Audi R8 LMS semble bien installée en tête de la catégorie, devant la n°63 (Porsche Lorient Racing) et la Mosler n°11 (V de V). La Porsche n°56 du team RMS est à une très belle 7e place au scratch.

    En voyant le ciel qui se couvre, et quelques gouttes qui commencent à tomber, personne n'est serein à l'attaque de la quatrième heure de cette endurance GT. Une heure plus tard, alors que le bal des ravitaillements et des changements de pilotes continue à tous les niveaux dans le classement, certaines équipes hésitent à mettre les pneus pluie tandis que des petites averses rendent la piste incertaine à certains endroits du circuit. Les leaders n'hésitent pas à rester en slick devant cette pluie qui ne semble que passagère à la vue du soleil qui pointe un peu plus loin dans le ciel. En tête, c'est au tour de Jean-Philippe Belloc d'aligner des chronos exceptionnels pour amener la Porsche IMSA Performance Matmut au plus proche du leader avant son dernier arrêt. Il reste une heure de course, Thierry Perrier reprend le volant de la Ferrari n°2.

    Grosse déception du côté de Ruffier Racing, la Porsche n°17 refuse de redémarrer après son ravitaillement en essence, elle doit être poussée jusqu'à son box pour trouver la cause de la panne. Patrice et Paul Lafargue sont malheureusement contraints à l'abandon à moins d'une heure de l'arrivé, et ce après une magnifique course.

    La Ferrari n°2 reçoit une pénalité pour une erreur d'identification du pilote sur le transpondeur. Elle réussit tout de même à conserver sa troisième place devant le 4ème, qui n'est autre que l'Audi R8 LMS n°46, première du GTV 2. Dans cette catégorie, rien n'est encore joué pour le podium, puisque certains pilotes sont encore proches et doivent passer une dernière fois aux stands pour respecter le règlement imposant un minimum de 6 passages par la pitlane. Il ne reste qu'un quart d'heure, mais les concurrents n'en ont pas fini avec les problèmes mécaniques. La boîte de la Ferrari n°2 n'a plus que le cinquieme rapport, mais elle réussit à rallier l'arrivée. Ce n'est pas le cas de la Porsche n°007 qui a, elle aussi, des soucis de boîte, mais doit abandonner alors qu'elle est en cinquième position.

    Au Mugello, c'est le trio François Perrodo / Sébastien Crubilé / Emmanuel Collard qui s'impose avec la Porsche Crubilé Sport n°25. Sur la seconde marche du podium, la 997 RSR n°53 d'IMSA Performance Matmut (Pascal Gibon / Jean-Philippe Belloc), et enfin la Ferrari F458 n°2 du team Visiom (Jean-Paul Pagny / Jean-Bernard Bouvet / Thierry Perrier) qui complète le top 3 du classement scratch, et de la catégorie GTV 1.

    En GTV 2, la première voiture est 4e au scratch, il s'agit de l'Audi R8 LMS n°46 d'AB Sport Auto (Teneketzian/Jousse/Chaix). Magnifique course d'autant que la voiture a dû être reconstruite après son impressionnante sortie à Barcelone. La numéro 46 est suivie de près par la Porsche n°63 de Lelievre/Polette/Neyrial (Porsche Lorient Racing) qui est 5e au général, et donc seconde du GTV 2. Le podium de la catégorie est complété par l'autre Porsche lorientaise (n°36) pilotée par Demorge JF/Demorge A/Roy B.

    En GTV 3, très beau résultat chez RMS qui amène sa Porsche 997 Cup (n°56) à la 6e place du scratch avec son duo de pilotes Richard Feller / Manuel Nicolaidis. Le second en GTV 3 est la n°67 de Porsche Alméras (Alloin/Monti/Illiano).

    En GTV 4, la sympathique Ginetta G50 des Espagnols de Escuela Espanola de Pilotos a rallié l'arrivée sans encombre, de même que la SF V8 Yacouba de Solution F (Charriol/Carugati/Fontaine) en Silhouette S1.

    Deuxième manche et encore un magnifique spectacle en Endurance GT/Tourisme. Pas de doute, la saison est vraiment lancée d'autant que la bataille est disputée en tête de chaque catégorie et qu'aucun leader ne se détache vraiment pour le moment.

    Retour en France pour la prochaine manche de GT/Tourisme qui se déroulera les 31 mai, 1er et 2 juin au Castellet sur le circuit Paul Ricard.


    Source : VdeV Endurance Series via Endurance-Info

    BMW R65 by Jerikan



    I've never had the urge to eat a motorcycle before but this latest build from Jerikan looks delicious. For some bizarre reason that brown and cream paint scheme reminds me of my favourite chocolate bar and has my mouth watering. My fixation with chocolate treats aside, Jerikan's third custom build, a BMW R65, is one hell of a sweet ride (pun intended) that's well worth a bit of drool...




    Starting with that delectable paint scheme, it's a fusion of chocolate brown on a layer of nougat gold concealing a layer of grey primer. The paint was then licked sanded back to create a convincing aged finish. The frame, swingarm, forks and triple clamps all received a fresh coat of gloss black while the engine cases, headlight bucket and exhaust were done in high temp satin.



    To compliment the paint Jerikan added brass details to the tank cap, cables and speedo housing. A set of Brooks leather bicycle grips, pipes wrapped in brown heat tape and a custom made seat pan wrapped beige leather then finish the scheme off nicely.



    Performance improvements come in the form of Progressive rear springs and a full engine rebuild/refresh. LSL handlebars add a touch of MX style making the bike appear somewhat nimble despite it's bulky boxer engine and chunky Firestones.

    Jerikan's custom BMW R65 is most certainly a suitable ride for anyone looking to work, rest or play.

    Jerikan Motorcycles     |     Photos by Pierreturtaut.com

    Return of the Cafe Racers iPhone 4/4S cases now available from 100MPH.com.au
    from return of the cafe racers

    Bol d’Or, H+20, Kawasaki SRC seul en tête


    A quatre heures de l’arrivée, le team Kawasaki SRC semble bien placé pour dérocher une seconde victoire consécutive au Bol d’Or. Elle compte désormais dix tours d’avance sur le YART. Trahie par des problèmes électroniques, la Yamaha n°94 est descendue du podium au profit du SERT.
    Alors que la course semblait avoir trouvé son rythme de croisière, de nouveaux rebondissements sont venus mouvementer la 77ème édition du Bol d’Or. La hiérarchie établie en tête de la course a été bouleversée en moins d’une demi-heure.
    Alors que le GMT 94 était en train de revenir à moins d’un tour sur la Kawasaki n°11 profitant notamment d’un arrêt prolongé de la machine de tête suite à un changement de selle, la Yamaha n°94 a connu sa première alerte peu avant la 19ème heure de course. Kenny Foray a été contraint de rentrer prématurément au stand pour un problème électronique. Immobilisée pendant 22 minutes, la Yamaha n°94 rejoint la piste à la quatrième place avec un retard de 13 tours sur le leader. « Nous avons eu du mal à identifier le problème. Nous n’avions jamais rencontré ce type de panne » commentait Christophe Guyot, team-manager. « Nous avons changé plusieurs pièces avant de remplacer l’arbre à cames qui semble être l’élément défectueux. »
    Au début de la 20ème heure de course, le YART se hisse sur la seconde marche du podium provisoire alors que la course connait sa troisième neutralisation pour nettoyer la piste immaculée d’huile suite à la casse moteur de la Honda n°77 du TT Legends (abandon).
    Le SERT, revenu des profondeurs du classement, suite à sa double chute dans les premières heures de course, profite des mésaventures du GMT 94 pour s’emparer de la troisième position à quatre tours de l’équipe autrichienne. Seules 26 secondes séparent les deux machines.
    Du changement également du côté de la catégorie Superstock où le leader AM Moto Racing est parti à la faute au début de la 17ème heure laissant les commandes à Penz 13. Le vainqueur de la coupe du monde FIM Superstock 2012, cinquième au général, possède un tour d’avance sur le Suzuki Junior Team. Team Motors Events April Moto pointe à la troisième place et à la neuvième au général. AM Moto Racing est revenu en quatrième position et complète le top 10 du général.
    La liste des abandons s’est allongée. Seules 40 équipes sur 51 au départ sont encore piste pour franchir la ligne d’arrivée à 15 heures.