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    jeudi 26 octobre 2017

    Dayinsure Wales Rally GB : Shakedown!



    SÉBASTIEN OGIER REMPORTAIT LA RAPIDE ET COURTE SPÉCIALE DE JEUDI SOIR AU DAYINSURE WALES RALLY GB POUR CONSERVER UN FANTASTIQUE RECORD DE CINQ ANS.

    INFORMATIONS : SS1

    Visiter Conwy Tir Prince, 1,49km
    Le lever de rideau de jeudi après-midi est une spéciale courte et rapide sur la piste de trot de Tir Prince. Elle comprend une section de slalom et deux sauts impressionnants. Après un tour rapide de la piste ovale de course de chevaux, la spéciale se termine avec une section sinueuse sur des routes voisines.
    Ogier a mené chaque kilomètre de la manche britannique depuis la spéciale d’ouverture de 2013. Sa victoire lors de la spéciale de Tir Prince longue de 1,49 km signifie qu’il est maintenant en tête de cette épreuve depuis 87 spéciales consécutives pour un total remarquable de 1258,64 km !
    Le Français (Ford Fiesta), qui chasse une cinquième victoire en Grande-Bretagne et un cinquième sacre mondial d’affilée, terminait les virages rapides et les sauts de cette première spéciale 4/10 de seconde devant Jari-Matti Latvala (Toyota Yaris).
    Thierry Neuville (Hyundai i20) était troisième, 1/10 plus loin, devant l’estonien Ott Tänak avec un écart similaire. Andreas Mikkelsen et Elfyn Evans complétaient le top 6 dans le même temps à 1,1 seconde d’Ogier.
    Kris Meeke finissait à une lointaine quinzième place. Le vainqueur de la manche précédente en Espagne se plaignait d’un calage du moteur de sa Citroën C3 après l’utilisation de son frein à main.
    Cette avant-dernière manche de la saison de WRC continue demain dans les forêts du Pays de Galles. Les pilotes emprunteront les spéciales Myherin, Sweet Lamb et Hafren à deux reprises couvrant un total de 119,32 km avec seulement un changement de pneus autorisé à mi-parcours.

    mardi 24 octobre 2017

    Here’s A Classic Ford Rally Car That’s Been Made Faster Than Ever

    Photography Courtesy of Cool & Vintage
    When I think classic sport coupes, the first cars that come to mind are the Datsun 510, BMW 2002, and Alfa Giulia Sprint. They’re the tossable compacts that I grew up lusting after: one from Japan, one from Germany, and one from Italy—just about all the regions covered. Admittedly, I’ve always known about the early Ford Escortmodels, but I seem to unfairly forget about them, and I think most of our cliqué in North America has, too.
    I’m not sure why, because they’re popular in Europe…and scanning the images of this Mk1 1974 Ford Escort RS2000 certainly makes me feel foolish for not taking more notice, sooner.
    Being a Ford, it’s the perfect “American” counterpart to the aforementioned vintage metal, and in race trim it is every bit as cool—though, it’s really a European Ford. The blister arches, wide Minilite wheels, and lowered ride height are typical characteristics of similar racers of the era, and they look right at home on this Mk1. The bumpers were removed, the entire greenhouse received Plexiglass windows, and a fiberglass hood and trunk were installed to keep things brisk.
    Like a healthy lifestyle, a diet is nothing without exercise, so Julian Godfrey Engineering was tasked with chiseling an engine on par with the Escort’s tough looks. The result is a 2.0-liter 2000-cc inline-four producing a healthy 103 hp-per-liter! To rein in all the ponies, a ZF five-speed manual transmission with an AP Racing clutch was chosen to send power through the LSD equipped Atlas rear axle with floating half shafts. With all that power on tap, it’s reassuring to know Monte Carlo AP brakes with front-to-rear adjustability were installed, in addition to a hydraulic handbrake.
    For safety, a full roll cage, pair of fixed Sparco bucket seats, trunk-mounted fuel cell, quick disconnect wheel, and an automatic fire-suppression system were installed. Additional strut braces keep the light chassis stout, while adjustable Bilstein coilovers add enough range to dial in optimal ride height and dampening settings.
    With an alleged £135,000 (nearly $200,000) in restoration costs, it’s evident this Ford racer is a serious no-expense-spared build. With just hours of drive time since completion, this might just be the most turn-key race-ready Mk1 Escort currently on the market. It’s not inexpensive, but we imagine you’ll forget about the cost once you’re behind the wheel…drifting sideways with a grin on your face!
    Specifications
~206 horsepower, 2.0-liter 2000 cc inline four-cylinder, five-speed manual SZ transmission, Bilstein coilover conversion, Monte Carlo front and rear disc brakes. Wheelbase: 94.5 in.
    Valuation
Dealer: Cool & VintageAsking Price: P.O.R.

    lundi 23 octobre 2017

    Legends Cars

    Le Concept Legends Cars a vu le jour en 1992 aux Etats-Unis. Ces petits bolides au look rappelant les années 30/40 font aujourd’hui le bonheur de près de 5500 propriétaires de par le monde. Les USA, la France, le Benelux, l’Angleterre, le Canada, la Suède, la Finlande, le Mexique, le Brésil, le Maroc, la Russie, soit près de 20 pays comptent aujourd’hui un championnat annuel, des incentives et des journées d’essais Legends Cars.

    Avec sa taille réduite, ses grosses roues, ses décos originales, la Legend Car offre une approche atypique du sport automobile.

    Sensations extrêmes, adrénaline, look d’enfer, convivialité, sportivité définissent parfaitement le cocktail explosif que propose cette discipline. Le show est indissociable du concept aussi bien dans les stands que sur la piste... Plus de dépassements en une manche Legends Cars qu’en une saison complète de F1. Tout a été pensé pour assurer le spectacle.



    plus d'infos ici

    dimanche 22 octobre 2017

    Rossi : « C’est le jeu, sinon il faut rester chez soi »

    Le nonuple Champion du Monde est parvenu à se hisser sur la deuxième marche du podium au terme d’une course au coude-à-coude.

    Valentino Rossi (Movistar Yamaha MotoGP) s’est livré à une lutte à couper le souffle à l’occasion du Grand Prix Michelin® d’Australie sur le mythique circuit de Phillip Island. Qualifié en septième position sur la grille, l’Italien n’a pas tardé à s’immiscer aux avant-postes d’un groupe formé de pas moins de huit pilotes. En dépit de la fougue de certains de ses adversaires, le représentant Yamaha ne s’est pas laissé déstabiliser : « Ils sont tous très agressifs, mais vous devez vous montrer plus stupide qu’eux, plus agressif, plaisantait-il dans le Parc Fermé à l’arrivée. La lutte avec Zarco, Iannone, Márquez et Viñales était géniale. J’ai donné le maximum pour terminer sur le podium. »

    L’image contient peut-être : moto et plein air
    Malgré quelques contacts, aucun ne s’est soldé par une chute. Pour le pilote âgé de 38 ans, déjà chahuté par Johann Zarco (Monster Yamaha Tech3) à Austin, il s’agit de savoir garder son calme en s’adaptant à la présence de nouvelles recrues : « C’est ainsi, surtout à cette période de la saison. Le niveau d’agressivité augmente tout comme les contacts, en particulier avec l’arrivée de pilotes du Moto2™. »
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    « Zarco est très très agressif, ajoutait-il. On peut s’énerver, mais ça ne change pas grand-chose. C’est le jeu. C’est un peu dangereux, mais si vous voulez y participer vous devez vous plier aux règles, sinon il faut rester chez soi. Ce fut une bonne course et j’ai beaucoup apprécié, car j’étais compétitif. Je me suis retrouvé face à Zarco et Iannone qui sont peut-être les pires pilotes contre lesquels se battre. Je me suis souvenu de l’édition 2015 lorsque Iannone m’avait doublé dans le dernier tour. J’ai donc donné le meilleur de moi-même. »
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    Au bout du compte, Rossi, qui avait chuté il y a tout juste une semaine à Motegi, dressait un bilan plutôt positif de ce rendez-vous australien, même si la victoire lui semblait envisageable : « J’ai fait le bon choix de pneus et je crois que j’avais le rythme pour suivre Márquez, mais Iannone m’a rejoint et il s’est échappé. Il aurait été difficile de gagner. Ce résultat me réjouit d’autant plus après une période difficile avec ma blessure à la jambe. C’est important pour Yamaha et pour toute l’équipe. »
    Pourtant le week-end du Transalpin ne laissait pas présager une telle issue. Exclu du Top 10 au soir du premier jour, il s’est vu contraint de passer par la case repêchage. Ce à quoi il se justifie : « C’est difficile à comprendre à Phillip Island, mais je n’étais pas si mauvais. Surtout vendredi. J’avais un bon rythme en conditions normales. »
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    Valentino Rossi retrouvera ses adversaires dans quelques jours du côté de Sepang pour l’ultime rendez-vous de la tournée outre-mer en Malaisie.