ACE CAFE RADIO

    lundi 29 octobre 2012

    drawing by Adam Nickel








    PRINTS
    Open edition and signed by the artist. Fine art print on natural white, matte, ultra smooth, 100% cotton rag, acid and lignin free archival paper using an advanced digital dry ink method to ensure vibrant image quality. Custom trimmed with 1" border for framing.


    SPA !!


    DEUS X TRIUMPH BONNEVILLE






    Green Day - Kill The DJ

    The official music video for Green Day "Kill The DJ" from their album, ¡UNO! © 2012 WMG

    Keith Richards and ‘Blue Lena’: “Let’s jump in the Bentley and go to Morocco”



    All this talk of the 2013 Range Rover and its state-of-the-art Terrain Response system is a world away from February 1967, and Rolling Stones’ guitarist Keith Richards’ impulsive decision to get away from England before his impending court case for drug possession.

    Meeting fellow band member Brian Jones, Jones’ then girlfriend Anita Pallenberg and American model Deborah Dixon at the George V in Paris, Richards arranged for his own S3 Bentley Continental Flying Spur to be driven out from the UK for the journey by ‘fixer-in-chief’, ex-paratrooper Tom Keylock. 

    (The dark blue car was affectionately referred to by Richards as ‘Blue Lena’. ‘Blue’, well, any cat would know why that was, and ‘Lena’, after the jazz singer Lena Horne.) 

    With Jones, Pallenberg and Dixon in the back, Keith sat next to Keylock in the passenger seat, acting DJ, feeding 45s into the Philips car record player as they made their way south to North Africa. “Somewhere we could get legal drugs,” as Richards recounts in his 2010 autobiography ‘Life’. 

    Brian Jones soon dropped out – with suspected pneumonia – at Albi, later transferred to hospital in Toulouse. By the time he joined the others in Marrakech, his turbulent relationship with Pallenberg was plumbing new depths of violence and misery. 

    Meanwhile, ever Sir Galahad, in Morocco Richards planned a ‘moonlight flit’ with Pallenberg, the woman with whom he had started a physical relationship in the back seat of the blue Bentley on the road south, ‘somewhere between Barcelona and Valencia’. 

    Leaving late at night, Keylock at the wheel, ‘Blue Lena’ made the return journey from Morocco to Richards’ small flat in St. John’s Wood, London. 

    By anyone’s standards, an eventful trip. And one that also included the car – and occupants, no doubt, in a different sense – being stoned in a semi-riot in Barcelona. 

    If cars could talk. 


    from classicdriver.com

    Rally Classic SIEGERLAND WESTERWALD

    from http://www.autobild.de/












    James Bond Cars and bikes ...
























    24H02CV : triomphe du team BNLL

     
     

    Il a fait froid, très froid même à Spa-Francorchamps ce week-end. Mais le soleil était de la partie, et l’édition 2012 des 24H02CV s’est déroulée dans des conditions idéales sur la piste. Avec six neutralisations seulement, essentiellement pour ramener des bolides en rade, les concurrents ont pu s’en donner à cœur joie. Et si le début de course était marqué par une empoignade de tous les virages entre la #44 Toiture Honin (Renaud-Honin-Honin-Malcause), partie depuis la pole, la #9 Kinetic Simulation Splifar (Gifnée-Collette-Jussy-Kieltyka-Martin) et la #1 JMCE Racing 1 (Licops-Licops-Licops-Peiffer), rapidement la situation allait évoluer, et les concurrents réguliers de la 2CV Racing Cup monopolisaient progressivement le haut du classement.
    A commencer par l’équipe BNLL1 de Van Marsenille, Lacoste, Car et Simon, qui se retrouvait en tête de la course aux alentours de 18 heures, soit 5 heures après le coup d’envoi. Si la #9 Kinetic Simulation Splifar allait tenir bon et rendre coup pour coup, avec notamment un relais d’anthologie signé… Maxime Martin (qui découvrait l’auto…), des ennuis de roulement lui faisaient perdre pied. Dès cet instant, l’envolée de la #65 débutait, et en dehors d’une touchette en début de course, rien n’allait entraver l’évolution de BNLL1, qui s’imposait comme l’équipe ayant passé le moins de temps dans la pitlane, ce qui lui valait aussi le Trophée Lenco en fin de course.
    Originaire du Brabant Wallon, BNLL1 remportait ce dimanche, à midi et deux minutes, sa première victoire aux 24 Heures 2CV, et le moins que l’on puisse dire et écrire, c’est que celle-ci n’était nullement volée… "Quand on construit une auto, on pense avant tout à la fiabilité, et pas aux chronos," commentait Philippe Simon, responsable du team. "Une manière de procéder qui a pleinement payé ici. Nous n’avons pas rencontré le moindre ennui, et en positionnant nos trois voitures dans le top 5, on a définitivement démontré notre savoir-faire…"
    Outre la victoire de BNLL1, cette 28ème édition des 24H02CV a en effet permis à BNLL2 (Vannerom-Coppieters-Tefnin-Olivier) de compléter le podium, tandis que BNL3 (Mikulinski-Mikulinski-Gillard-Tries) arrachait la 5ème place. Un véritable triomphe pour les bolides de cette sympathique équipe !
    Van Gysegem 2ème… bien sûr !
    Véritable Poulidor des 24 Heures 2CV, Robert Van Gysegem a encore frappé… et donc fini 2ème ! En compagnie de Serge Istas, Raphaël Beaufort et Yves Marchandisse, on serait presque tenté de dire que le gaillard a une fois encore rempli sa mission, tant cette place de dauphin lui va comme un gant… L’équipe de Dino et Raphaël Beaufort réalisait elle aussi un très beau tir groupé, avec Furlotti-Carere-Oancea (Beaufort Racing 2) en 7ème position, et Wathelet-Verstraelen-Rosy-Wowk-Vynckier (Beaufort Racing 3) un rang plus loin.
    Preuve de la domination des concurrents réguliers de la 2CV Racing Cup, la #55 AG Racing Box (Abrahams-Maes-Bex-Jaminet) a croisé le drapeau à damier au 4ème rang, tandis que la #46 JCL Driving 2CV (Lempereur-Close-Frère-Pecoraro) s’intercalait en 6ème position. Point de salut par contre pour les deux bolides du clan JMCE Racing, la #1 et la #37 accumulant revers et désillusions. Les années se suivent sans se ressembler. Quant à la #8 Phoenix Racing de Lugens-de Bonhome-Santkin-Piette, elle disparaissait du top 10 dans les dernières minutes de course, en échouant dans un bac à sable…
    Si les Hybrides à mécanique BMW ont bien sûr cadenassé le haut du classement, les Prototypes les plus rapides sont néanmoins parvenus à pointer dans le top 10 final, et dès 22 heures, les deux bolides du clan CB Globule ont pris possession des premières places, la #43 de Courtois-Dradin-Beckers-Brethenoux ayant finalement le dernier mot face à la voiture sœur, la #10 de Beckers-Mossay-Liard-Colruyt. C’est le trio d’IPS Racing (Lorquet-Lorquet-Verschuere) qui montait sur la plus petite marche du podium, ayant néanmoins concédé la bagatelle de 20 tours aux vainqueurs de cette catégorie faisant la part belle aux moteurs Citroën.
    Les vainqueurs en Améliorées 12èmes du général
    Excellente prestation de Sport Moteur Loisir (#79), qui a remporté la catégorie des Améliorées, en se hissant à une inattendue 12ème place. Un exploit signé Dewalque-Dewalque-Lambert-Grignard. 18 rondes plus loin, la #88 du Racing Team Gaumais (Hulstaert-Jullion-Nicolas) a endossé le rôle du dauphin, tandis que la #72 Piga Racing Team (Franzen-Ronday-Denys-Gaspar) concédait la bagatelle de 35 tours.
    Outre le succès en solo de la désormais célèbre Burton (Biar-El Ferrai-Legein-Burton) dans une catégorie ‘Expérimentales’ trop rapidement privée de la #85 CQS Group T et la #66 Bio Deuche.be (qui a néanmoins croisé le drapeau à damier), et le succès de la #92 Rosie Racing (Storey-Storey-Panas-Bollons) dans la hiérarchie britannique, c’est la démonstration des Alsaciens du Team FG dans la catégorie Classic, celle des 2CV de série, qui faisait office de cerise sur le gâteau de la cérémonie du podium, la #68 de Stoerkler-Ehrardt-Julich, excellente 28ème du général, s’imposant devant la #67 de Coirnot-Raffaelli-Schurr, trois pilotes dont c’était… la première course automobile ! La #69 la2cvmania.be (Hoeymakers-Maréchal-Beaujean-Collin) ayant une fois n’est pas coutume rencontré des ennuis, c’est la #73 Oui Oui Deuche (Jacquet-Jacquet-Sartain) qui complétait le top 3.
    Avec 38 bolides classés pour 56 au départ, les 24 Heures 2CV ont été fidèles à leur réputation d’épreuve où rien ne doit être laissé au hasard. Le 2CV Racing Teams va maintenant profiter de l’intersaison pour préparer la campagne 2013, et d’ores et déjà la 29ème édition du double tour d’horloge le plus sympa de l’année sur le plus beau circuit du monde… (COM – photos J. Letihon)    
    Classement final : 1 Van Marsenille-Lacoste-Car-Simon (BNLL1), 393 tours en 24h02’49’’512 (1er Hybride)  2. Van Gysegem-Istas-Beaufort-Marchandisse (Beaufort Racing 1), à 5t.  3. Vannerom-Coppieters-Tefnin-Olivier (BNLL2), à 6t.  4. Abrahams-Maes-Bex-Jaminet (AG Racing Box), à 7t.  5. Mikulinski-Mikulinski-Gillard-Tries (BNL3), à 10t.  6. Lempereur-Close-Frère-Pecoraro (JCL Racing 2CV), à 21t.  7. Carere-Furlotti-Oancea (Beaufort Racing 2), à 23t.  8. Wathelet-Verstraelen-Rosy-Wowk-Vynckier (Beaufort Racing 3), à 26t.  9. Courtois-Dradin-Beckers-Brethenoux (CB Globule Team), à 30t. (1er Proto)  10. Beckers-Mossay-Liard-Colruyt (CB Globule Racing Team), à 34t. 

    PaulRicard;SÉBASTIEN LOEB RENOUE AVEC LE PILOTAGE D'UNE LMP2.



    Fort d'un très beau meeting au Paul Ricard aussi bien en Porsche Matmut Carrera Cup qu'en Championnat de France GT avec deux podiums à la clé, le Sébastien Loeb Racing est resté dans le Var afin de boucler une journée d'essais, où était notamment présente la ORECA 03 alignée cette saison à deux reprises en European Le Mans Series. La Mercedes SLS AMG GT3 était aussi de la partie tout comme une Porsche 911 GT3 Cup. Dominique Heintz, Team Manager, tient à préparer la saison 2013 le plus tôt possible : « Au lendemain de la finale 2012, ce lundi a été la première journée de notre saison 2013. Nous avons eu un week-end très chargé avec la Cup et le GT, mais nous tenons vraiment à préparer les prochaines échéances en amont. Nous avons donc profité de cette journée pour effectuer des essais, notamment sur le proto, et tester plusieurs pilotes, quelque soit la monture. » Sébastien Loeb était de la partie au volant du prototype LMP2 avec lequel il avait pris part à la Journée Test des 24 Heures du Mans aux côtés de Jean-Karl Vernay et Nicolas Marroc. Le pilote Citroën en Championnat du Monde des Rallyes a pu à nouveau goûter aux joies d'une voiture ouverte.

    Quant à Vincent Beltoise et Sacha Bottemanne, ils ont eu le plaisir de rouler au volant de la Mercedes SLS AMG GT3 que l'équipe engageait cette saison en GT français. Une bien belle récompense pour le travail accompli par les deux pilotes en Porsche Matmut Carrera Cup cette saison, ce que ne dément pas Dominique Heintz : « Avec Sébastien, nous avons voulu les remercier car ils ont grandement contribué au titre Teams en Porsche Cup. Nous leur avons fait la surprise. Ils ont appris à midi qu'ils allaient faire quelques tours dans la Mercedes. A voir leur sourire respectif, ils semblent très heureux d'avoir eu cette opportunité ! » Vincent Beltoise a également eu l'occasion d'officier comme ingénieur data sur la Porsche 911 GT3 Cup.

    Quant aux différents programmes du Sébastien Loeb Racing, ils ne sont pas encore annoncés, mais l'excellent meeting varois de Seb et Gilles Vannelet sur une McLaren MP4-12C devrait donner des envies à l'équipe de poursuivre avec la GT3 britannique. On sait que Dominique Heintz souhaite que l'équipe participe aux 24 Heures de Spa. La piste française est aussi une option, d'autres possibilités n'étant pas à exclure. Les 24 Heures du Mans devraient aussi faire partie du programme, avec pourquoi pas une implication en Championnat du Monde d'Endurance ou en European Le Mans Series. On sait que le mot d'ordre de l'équipe est : « Le plus haut possible le plus vite possible. » En une année de compétition, le Sébastien Loeb a déjà tout raflé en Porsche Matmut Carrera avec les couronnes Pilotes « A » et « B », ainsi que le titre Equipes.

    BY Laurent Mercier(Endurance-Info.com)

    VdV MAGNY-COURS PROTOS : ZOLLINGER/MONDOLOT/THUNER AU BOUT DE LA NUIT.



    Samedi matin, les Deux Heures VHC avaient offert un très beau spectacle avec une course à rebondissements. Le soir, (départ de la course à 17h30 et arrivée à 23h30), les 6Heures Protos ont été largement au diapason, menées tambour battant sur un rythme proche des qualifications, même en fin de course, alors que la température n'était pas très loin de 0°C et que la température de la piste ne devait pas être au mieux !!! Respect aux pilotes et aux CN, passagers de la nuit et même parfois de la pluie, et même une averse de neige...

    Les vainqueurs du Challenge Protos 2009, 2010 et 2011, David Zollinger et Philippe Mondolot, bien aidés par le suisse Fabien Thuner, sur le podium à chacune de ses courses VdeV, ont remportée une victoire bien méritée avec la Norma FC n°1 du Team Palmyr, à l'issue d'une course qu'ils ont bien maîtrisée, en dépit de la pression exercée par la Ligier JS53 « Evo » n°11 de Lionel Robert/Damien Delafosse, épaulés pour leur part Yann Clairay qui n'a pas raté sa première course en Protos VdeV en montrant sa pointe de vitesse.

    David Zollinger prenait le départ sur la Norma n°1 et conservait le bénéfice de sa pole position. Il était suivi par la Norma CD Sport n°25 de Kevin Bole Besançon et la Norma Extrême Limite n°19 de Stéphane Daoudi. Derrière ce trio les Ligier était à l'attaque, celle de Julien Schell (Pegasus Racing n°18) et Yann Clairay (MecaMoteur n°11) qui emmenaient avec eux la Norma CD Sport n°26 de Sébastien Dhouailly, prudent en début de course.

    Zollinger et Bole Basançon faisaient un petit trou sur leurs poursuivants, alors que Clairay puis Schell prenaient le meilleur sur Daoudi. Zollinger parvenait à s'échapper un peu, avec 7 secondes d'avance surt Bole Besançon qui était la première victime parmi les leaders et qui devait repasser par les stands sur problèmes mécaniques. Clairay passair en deuxième position, Schell en troisième. Le match Norma-Ligier était lancé...

    Dhouaily se mettait dans le rythme et passait Daoudi qui passait lui-même Schell qui retombait à la cinquième place. Le rythme était toujours très élevé, proche des temps de qualif.

    Après une demi-heure de course, un premier safety car resserre les positions. Cette neutralisation a été rendue nécessaire pour évacuer des débris épars sur la piste. Yann Clairay en profite pour ravitailler avec la Ligier n°11, comme plusieurs autres pilotes.

    Après le restart, Zollinger est toujours premier, devant Dhouailly, Daoudi, Schell, Danis Caillon (Norma TFT n°96) et Clairay.

    Clairay attaque d'entrée et réalise un chrono de 1'38''704, temps qui demeurera le plus rapide de cette course. Dhouailly s'est arrêté pour changer le capot avant de la Norma n°26.

    Après un peu plus d'une heure de course, Zollinger qui conserve le même rythme soutenu a près de 20 secondes d'avance sur Daoudi, suivi de près par Clairay, alors que Caillon est un solide quatrième.

    Jean-Ludovic Foubert a pris le relais de Dhouailly et est reparti, mais à trois tours du leader. Stéphane Daoudi rentre au stand pour un problème de support d'alternateur qui fait régresser la Norma Extrême Limite n°19 dans le classement. Seules trois voitures demeurent dans le même tour : la Norma n°°1, la Ligier n°11 et la Norma n°96. Patrice Lafargue, cinquième avec la Norma Extrême Limite n°17, cède le volant de son proto à son fils Paul.

    Après près de 1h40 de course, changement de leader : Clairay prend la tête car Zollinger erst rentré ravitailler. Cinq minutes plus tard, nouveau safety car. Clairay rentre pour ravitailler la Ligier et passer le relais à Lionel Robert, Zollinger reprenant la première place. La Norma de TFT perd beaucoup de temps, alors que Bruno Bazaud a encore une chance pour le titre, car elle a du mal à redémarrer.

    Robert perd du terrain sur Zollinger alors que le troisième à l'issue des arrêts est désormais Jean-Lou Rihon sur la Norma TFT n°34, à deux tours des deux premiers. Il semble qu'il tombe quelques flocons alors qu'il fait désormais nuit....

    Après un peu plus de deux heures d'un excellent relais, Zollinger rentre pour passer le volant à Philippe Mondolot. La Ligier n°11 reprend la tête de la course. D'un seul coup, la pluie s'invite sur le circuit sans prévenir ! Le premier piégé est David Caussanel qui a relayé Julien Schell sur la Ligier Pegasus n°18, alors que la voiture était remontée en troisième position. Tous les pilotes ou presque rentrent au stand pour mettre les pluie, tous sauf une résistante, la n°1 de Mondolot qui a conservé les slicks. Les temps au tour s'en ressentent évidemment et la Norma n°1 perd des paquets de secondes à chaque tour. La course va-t-elle se jouer sous la pluie ? Pas forcément, car Mondolot, Zollinger et Palmyr ont de l'expérience et la pluie cesse, redonnant l'avantage à Mondolot alors que les autres concurrents, dont Robert, sont en difficulté avec une piste qui sèche.

    Amors que Robert a plus d'une minute d'avance sur Mondolot, ce dernier s'arrêtant à peu près une demi-heure plus tard pour laisser sa place à Fabien Thuner qui assurera la fin de course. La Norma n°1 a repris le commandement après le ravitaillement essence de Lionel Robert, la Ligier reprenant le dessus après le pitstop de la Norma .  

    Trois voitures sont en bagarre pour la quatrième place : la Norma CD Sport n°26, désormais aux mains de Thomas Accary, la Norma Palmyr n°3 de Grégory Fargier et la Norma TFT n°34 de Nick Padmore. Fargier résiste, mais Accary finira par prendre le dessus et la troisième place.

    La Ligier n°11 ravitaille à une heure de l'arrivée et c'est la Norma de Thuner qui reprend la première place. C'est Yann Clairay qui prend le relais sur la Ligier. Il enchaîne les tours rapides. Un nouveau safety car intervient à 45 minutes de l'arrivée et Thuner en profite pour faire un splash and dash, conservant la première place.

    Les écarts vont ensuite se stabiliser et Thuner garde ses distances avec Clairay, donnant ainsi la victoire à la Norma n°1. Mondolot et Zollinger font une excellente opération dans l'optique du championnat, mais Accary et Dhouailly, en terminant deuxièmes avec l'appoint de Jean-Ludovic Foubert, ont limité les dégâts et conservent leurs chances pour le titre. Tout se jouera donc à Estoril, mais la victoire ne suffirait pas aux pilotes de la Norma n°26, car si Mondolt et Zollinger terminent deuxièmes au Portugal, il seront titrés même si Accary et Dhouailly l'emportaient.

    Ligier, défait à domicile, trouve une consolation en réussissant le triplé dans la catégorie Open -châssis tubulaires_ avec la victoire de la Ligier JS51 n°12 de Nicolas Melin et Erwin Creed.

    Le classement est ici  

    BY Claude Foubert(Endurance-Info.com)