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    dimanche 21 avril 2013

    Christian Sarron, from world champion to coach / Christian Sarron, de champion du monde à coach sportif


    Christian Sarron was the 250cc MotoGP world champion in 1984 and won the Bol d’Or in 1994 with Yamaha and Michelin. Today, the Frenchman is the technical and sporting consultant for Superstock team Yamaha Viltaïs Expérience.
    Champion du monde en 250 cc en 1984 et vainqueur du Bol d’Or en 1994 avec Yamaha et Michelin, Christian Sarron est désormais le conseiller technique et sportif de Yamaha Viltaïs Expérience, engagée en Superstock.
    “I have obviously got fond memories of my grand prix days with Michelin,” says the Auvergne-based rider. “I remember the title in 1984, of course, but also the friendly collaboration with my Michelin technician Gérard Bombled.”
    After a three-year break, Christian Sarron returned to racing in 1994 when he shared a Yamaha-Michelin with his brother Dominique at the 24 Heures Moto and the Bol d’Or. The visit to Le Mans ended after a fall, but the Bol d’Or produced the Japanese make’s first Bol d’Or victory.
    “Winning the Bol d’Or is one of the best recollections of my career. We weren’t the favourites and we didn’t manage to find a good set-up for the race. Our bike didn’t handle well at all,” he recalls. “We suffered from chassis and suspension problems but our tyres performed well, and we just did all we could to stay in the fight. During the night, we managed to close on the leaders and put them under pressure.”
    Christian, his brother Dominique and Yasutomo Nagaï went on to take the win, establishing in the process a new distance record (667 laps) at Paul Ricard.
    “Yamaha Viltaïs Expérience’s team manager Yannick Lucot and I first met at my go-kart track near Clermont-Ferrand. At the time, I was looking after a number of GP, Superbike and endurance riders. He told me about his project and asked if I wanted to be the team’s technical and sporting consultant.”
    The idea appealed to Christian who joined the charity in 2008, with special responsibility for grooming the riders. At the same time, he helps Yannick Lucot with race strategies and in the hunt for sponsors. “It’s great to have Michelin on-board,” he smiles.
    “It’s something very different. Viltaïs is not looking for absolute performance, even though everyone wants to obtain the best results possible. The team has succeeded in bringing together people from very different backgrounds, and sometimes in real difficulty. The common denominator is their passion for motorbikes. We form a real family and everyone knows what their mission is, but we are living the same dream.”
    After claiming fourth place in its class at last year’s Le Mans 24 Hours, Yamaha Viltaïs Expérience is targeting a podium finish this weekend and has set itself the target of winning the FIM Superstock World Cup within the next three years.
    « Je garde évidemment d’excellents souvenirs de mes années passées en GP avec Michelin » se rappelle le pilote auvergnat. « Il y a eu bien sûr le titre en 1984 mais je retiens également ma collaboration très amicale avec mon technicien, Gérard Bombled »

    Après trois années sans compétition, Christian Sarron est de retour en piste en 1994 au guidon d’une Yamaha-Michelin engagée aux 24 Heures du Mans et au Bol d’Or qu’il partage notamment avec son frère Dominique. Si l’aventure des 24 heures du Mans se termine par un abandon sur chute, le Bol d’Or va sceller le premier succès de la marque japonaise.
    « La victoire au Bol d’Or reste l’un des meilleurs souvenirs de ma carrière. Nous ne partions pas favoris et nous n’avions pas réussi à trouver un bon réglage pour la course. La moto était très difficile à piloter, elle guidonnait » se souvient Christian. « Nous avions des problèmes de suspension et de châssis. Par contre, les pneus marchaient bien. Nous nous sommes accrochés. Dans la nuit nous avons réussi à revenir sur les leaders et à leur mettre la pression. »
    Après 23h 57 min et 46 secondes de course, Christian Sarron et son frère Dominique, associés à Yasutomo Nagaï, s’imposent et signent un nouveau record en bouclant 667 tours du circuit Paul Ricard. Première victoire pour Yamaha et Christian qui laisse percevoir son émotion à l’arrivée.
    « On s’est rencontrés avec Yannick Lucot (team-manager de Yamaha Viltaïs Expérience) sur notre circuit de kart à Riom (63). A l’époque je m’occupais de différentes pilotes en GP, Championnat du monde Superbike et endurance. Il m’a exposé son projet et m’a proposé de devenir le conseiller technique et sportif de l’équipe ». Séduit par l’aventure, Christian rejoint l’association en 2008. L’ancien champion du monde gère l’entraînement et la préparation des pilotes et les conseillent sur leur pilotage. Il intervient également dans les choix stratégiques de course en collaboration avec Yannick Lucot et appuie les démarches de sponsoring. « Je suis ravi du partenariat avec Michelin, c’est en quelque sorte un retour aux sources. »
    « C’est vraiment différent de ce que j’ai pu connaître auparavant. Avec Viltaïs, on ne recherche pas la performance à tout prix même si, bien-sûr, nous avons des ambitions de podiums et de victoires. Viltaïs a réussi à réunir des personnes issues de milieux très différents et, parfois en grande difficulté, autour d’une passion commune, la moto. Nous sommes une vraie famille où chacun a sa place et sa mission.  On vit ensemble un rêve. »
    Quatrième des dernières 24 Heures du Mans, Yamaha Viltaïs Expérience vise un podium et s’est donné trois ans pour réaliser le rêve de décrocher la Coupe du monde FIM Superstock.

    jeudi 18 avril 2013

    Bol d’Or: what’s new in 2013? Bol d’Or : ce qui change en 2013

     The FIM (Fédération Internationale de Motocyclisme) has made a number of modifications to the regulations which govern the Endurance World Championship (EWC). Here are the main changes…
     
    La Fédération Internationale de Motocyclisme (FIM) a procédé à des modifications au niveau du règlement du Championnat du monde d’Endurance (EWC). Voici les principaux changements.
    To begin with, the bikes will be equipped with lit race numbers for the night-time session and for the race in order to make life easier for spectators.
    Also, to bring down costs and reduce the number of tyres required for the weekend,the free practice session will only last one hourand each rider will now have just20 minutesto post a quick flying lap in qualifying (instead of 30 minutes).
    Should a bike come to a stop on the track, the rider will now be required to remove it so as not to hinder other competitors. Track-side repairs will be authorised using spares and tools carried by the rider. If he wishes to push the bike back to the pits, he must push it in the direction of the traffic, with no outside assistance, using the perimeter accesses.
    To shorten the walk back to the pits, the organisers may authorise the rider to take short-cuts. However, if such shortcuts exist, they must be specified in the race’s supplementary regulations.
    The team may ask for the rider and his bike to be brought back to the pits in an organiser’s vehicle. In this case, they will be returned as near as possible to the pit-lane entry where two members of the team will be able to help push the bike to its garage under the supervision of an official. In this case, the lap will count as having been completed.
    If several teams wish to benefit from this help following a collective incident, the order of priority for help will be decided by the race’s start order. Two vehicles will be available for this purpose.
    If a rider stops in front of the pits, he will be authorised to push his bike back to his garage – with the engine switched off, and against on-coming traffic – in the company of an official. Two mechanics will be permitted to help the rider push the bike in the pit-lane.


    Dans un souci de confort pour les spectateurs, les motos doivent désormais obligatoirement arborer des numéros électroluminescents pour les essais de nuit et la course.
    Afin de limiter les coûts et de réduire le nombre de pneumatiques, les essais libres sont réduits à une heureet chaque pilote dispose de 20 minutes pour claquer le meilleur chrono lors des deux séances d’essais qualificatifs.
    En cas de panne sur la piste, le pilote devra immédiatement ranger sa moto pour ne pas gêner les autres concurrents. Il peut effectuer les réparations en bord de piste avec les moyens du bord. S’il souhaite ramener sa machine au stand, il doit la pousser dans le sens de la course, sans aide extérieure, en empruntant les bas côtés de la piste.
    Pour rejoindre plus rapidement aux stands, les organisateurs peuvent autoriser les pilotes à prendre des raccourcis. Cependant, si de tels raccourcis existent, ils doivent être indiqués dans les règlements particuliers.
    Si le team le souhaite, il peut demander une assistance pour que le pilote et sa machine soient ramenés dans un véhicule de l’organisation. Dans ce cas, ils seront déposés le plus près possible de la voie d’entrée des stands où deux membres de l’équipe pourront l’aider à rapatrier la moto au stand sous le contrôle d’un officiel. Son tour de piste sera comptabilisé dans son décompte de la course.

    Si suite à un problème collectif plusieurs équipes souhaitent bénéficier de cette  aide, la prise en charge des teams se fera suivant les résultats de la grille de départ. Deux véhicules sont disponibles sur le circuit.
    Si un pilote tombe en panne devant les stands, il pourra, sous la protection d'un commissaire, rentrer par la sortie des stands, moteur arrêté, en poussant sa moto, à contresens, jusqu'à son stand. Le pilote poussant sa moto dans la voie des stands peut être aidé par deux mécaniciens.
    from  motoracinglive.com