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    mercredi 30 avril 2014

    Moto GP , Lorenzo : « Il me reste encore un cap à franchir en tant que pilote » / ‘I hope to take one big final step forward as a rider’


    Jorge Lorenzo, Icon photo session
    Dans une longue interview accordée à ‘ICON’, supplément du quotidien espagnol El País, Jorge Lorenzo a parlé de sa philosophie en tant que pilote et a donné un aperçu de sa personnalité en dehors des circuits.
    Le Champion du Monde MotoGP™ 2010 et 2012 participera à son 200ème Grand Prix ce week-end à Jerez et fêtera aussi ses 27 ans dimanche au Grand Prix bwin d'Espagne.
    Lorenzo sera le plus jeune pilote à atteindre les 200 Grands Prix et s’est avant ça confié à ICON pour discuter de sa carrière mais aussi de bien d’autres sujets.
    Après 199 courses en Grand Prix, le Majorquin a affirmé que sa meilleure course demeurait celle de Phillip Island de 2007, en 250cc. « Ce jour-là, j’avais l’impression d’avoir atteint la perfection, » a commenté Lorenzo. « Pas la perfection, parce que c’est impossible, mais j’étais à mon meilleur niveau. Je n’aurais pas pu être mieux sur ma moto. Je distançais tout le monde de deux secondes par tour et tout semblait si facile. Lors des courses qui ont suivi, j’ai réalisé que ce n’était pas si facile et qu’on a rarement un tel sentiment. »
    Le pilote du team Movistar Yamaha MotoGP a aussi parlé de ses qualités et de ses défauts en tant qu’homme : « Très jeune, j’avais déjà les idées claires. J’ai une forte personnalité, j’ai toujours été comme ça. J’ai essayé de m’adoucir pour que les gens ne pensent pas que je sois agressif ou arrogant. »

    dimanche 21 avril 2013

    Christian Sarron, from world champion to coach / Christian Sarron, de champion du monde à coach sportif


    Christian Sarron was the 250cc MotoGP world champion in 1984 and won the Bol d’Or in 1994 with Yamaha and Michelin. Today, the Frenchman is the technical and sporting consultant for Superstock team Yamaha Viltaïs Expérience.
    Champion du monde en 250 cc en 1984 et vainqueur du Bol d’Or en 1994 avec Yamaha et Michelin, Christian Sarron est désormais le conseiller technique et sportif de Yamaha Viltaïs Expérience, engagée en Superstock.
    “I have obviously got fond memories of my grand prix days with Michelin,” says the Auvergne-based rider. “I remember the title in 1984, of course, but also the friendly collaboration with my Michelin technician Gérard Bombled.”
    After a three-year break, Christian Sarron returned to racing in 1994 when he shared a Yamaha-Michelin with his brother Dominique at the 24 Heures Moto and the Bol d’Or. The visit to Le Mans ended after a fall, but the Bol d’Or produced the Japanese make’s first Bol d’Or victory.
    “Winning the Bol d’Or is one of the best recollections of my career. We weren’t the favourites and we didn’t manage to find a good set-up for the race. Our bike didn’t handle well at all,” he recalls. “We suffered from chassis and suspension problems but our tyres performed well, and we just did all we could to stay in the fight. During the night, we managed to close on the leaders and put them under pressure.”
    Christian, his brother Dominique and Yasutomo Nagaï went on to take the win, establishing in the process a new distance record (667 laps) at Paul Ricard.
    “Yamaha Viltaïs Expérience’s team manager Yannick Lucot and I first met at my go-kart track near Clermont-Ferrand. At the time, I was looking after a number of GP, Superbike and endurance riders. He told me about his project and asked if I wanted to be the team’s technical and sporting consultant.”
    The idea appealed to Christian who joined the charity in 2008, with special responsibility for grooming the riders. At the same time, he helps Yannick Lucot with race strategies and in the hunt for sponsors. “It’s great to have Michelin on-board,” he smiles.
    “It’s something very different. Viltaïs is not looking for absolute performance, even though everyone wants to obtain the best results possible. The team has succeeded in bringing together people from very different backgrounds, and sometimes in real difficulty. The common denominator is their passion for motorbikes. We form a real family and everyone knows what their mission is, but we are living the same dream.”
    After claiming fourth place in its class at last year’s Le Mans 24 Hours, Yamaha Viltaïs Expérience is targeting a podium finish this weekend and has set itself the target of winning the FIM Superstock World Cup within the next three years.
    « Je garde évidemment d’excellents souvenirs de mes années passées en GP avec Michelin » se rappelle le pilote auvergnat. « Il y a eu bien sûr le titre en 1984 mais je retiens également ma collaboration très amicale avec mon technicien, Gérard Bombled »

    Après trois années sans compétition, Christian Sarron est de retour en piste en 1994 au guidon d’une Yamaha-Michelin engagée aux 24 Heures du Mans et au Bol d’Or qu’il partage notamment avec son frère Dominique. Si l’aventure des 24 heures du Mans se termine par un abandon sur chute, le Bol d’Or va sceller le premier succès de la marque japonaise.
    « La victoire au Bol d’Or reste l’un des meilleurs souvenirs de ma carrière. Nous ne partions pas favoris et nous n’avions pas réussi à trouver un bon réglage pour la course. La moto était très difficile à piloter, elle guidonnait » se souvient Christian. « Nous avions des problèmes de suspension et de châssis. Par contre, les pneus marchaient bien. Nous nous sommes accrochés. Dans la nuit nous avons réussi à revenir sur les leaders et à leur mettre la pression. »
    Après 23h 57 min et 46 secondes de course, Christian Sarron et son frère Dominique, associés à Yasutomo Nagaï, s’imposent et signent un nouveau record en bouclant 667 tours du circuit Paul Ricard. Première victoire pour Yamaha et Christian qui laisse percevoir son émotion à l’arrivée.
    « On s’est rencontrés avec Yannick Lucot (team-manager de Yamaha Viltaïs Expérience) sur notre circuit de kart à Riom (63). A l’époque je m’occupais de différentes pilotes en GP, Championnat du monde Superbike et endurance. Il m’a exposé son projet et m’a proposé de devenir le conseiller technique et sportif de l’équipe ». Séduit par l’aventure, Christian rejoint l’association en 2008. L’ancien champion du monde gère l’entraînement et la préparation des pilotes et les conseillent sur leur pilotage. Il intervient également dans les choix stratégiques de course en collaboration avec Yannick Lucot et appuie les démarches de sponsoring. « Je suis ravi du partenariat avec Michelin, c’est en quelque sorte un retour aux sources. »
    « C’est vraiment différent de ce que j’ai pu connaître auparavant. Avec Viltaïs, on ne recherche pas la performance à tout prix même si, bien-sûr, nous avons des ambitions de podiums et de victoires. Viltaïs a réussi à réunir des personnes issues de milieux très différents et, parfois en grande difficulté, autour d’une passion commune, la moto. Nous sommes une vraie famille où chacun a sa place et sa mission.  On vit ensemble un rêve. »
    Quatrième des dernières 24 Heures du Mans, Yamaha Viltaïs Expérience vise un podium et s’est donné trois ans pour réaliser le rêve de décrocher la Coupe du monde FIM Superstock.

    samedi 20 avril 2013

    Rena9ade's "Dirty Skwerter" Yamaha WR250


                   Great looking bike from Rena9ade. I'm not a fan of most modern bike build's,
                   but this is spot on.









    jeudi 31 janvier 2013

    MOTOHANGAR YAMAHA SR500


    Motohanger SR500
    Every now and then, a bike comes along that captures the state of the neo-custom scene right at this moment in time. This is one of those bikes, from the Virginia-based workshop Motohangar. It’s not a big-budget build and it’s not a fire-breathing monster, but it’s exactly the kind of bike that is attracting legions of younger riders back into the motorcycling scene.
    The starting point was a 1979 Yamaha SR500, a long-time staple of the Japanese custom scene. Old SRs are increasingly popular in the US, and good examples are affordable. (Yamaha has noticed this, apparently, and may export the latest SR400 to the States.)
    Motohanger SR500
    “This wasn’t a commissioned build,” says Motohangar’s Pat Jones. “The bike’s more for our own personal use, and to showcase our design aesthetic.” It’s an attractive aesthetic: bare metal bodywork, a hand-made leather seat and a low-profile tail unit.
    Motohanger SR500
    The SR400 has been thoroughly overhauled throughout. It’s sitting a little lower than stock at the front, and Motohangar have fitted new rear shocks to tighten up the handling.
    Other upgrades include stainless steel braided brake lines and a vintage headlight and taillight, both modified to accept modern bulbs. The wiring has been stripped to the bare minimum, and the original wheels have been refurbished and powdercoated.
    The driving force behind this build was Motohangar’s latest cohort, Johnny Brindley. (Hence the ‘B’ in the hand-painted ‘MH500B’ nomenclature on the tank.) “He’s a good friend who was looking to learn about bikes and needed a place to work on them,” says Pat. “He’s since become a part of Motohangar, and adds to a lot of our design ideas.”
    Motohanger SR500
    To clean up the front end, the bar-mounted electric controls—including the key switch—have been relocated to under the seat. The engine has been treated to K&N filtration and a custom header hooked up to a period Yoshimura silencer. (“They’re from an 80s sport system,” says Pat. “This one is more commonly found on the DOHC Honda 750s and other similar bikes from that era.”)
    Motohanger SR500
    It’s a great showcase for Motohangar’s work—a rideable and reliable custom that also looks like a million dollars. Check out our coverage of previous Motohangar bikes, and follow the company’s news via their Facebook page.
    via BIKEEXIF

    dimanche 13 janvier 2013

    Mono Cylinder Cafe



    BRMC Art 
    based on Honda GB400
    Shin Metal Works
    based on Yamaha SR400
    From Free Biker Mag

    REBORN YAMAHA SR250


    Yamaha SR250
    This slim and agile Yamaha SR250 street tracker is the first product from a new Barcelona workshop called Reborn Motors. Light and maneuverable, it’s perfect for tight city streets and gravel tracks further afield.
    Reborn Motors has an impeccable pedigree. The workshop is run by Jim Palau-Ribes, a European car designer who also runs Pursang Motors, and race bike mechanic Hector Zayas, who also helped build the Kiddo Uno Honda NX650.
    Yamaha SR250
    Why an SR250? “It’s a common bike here in Barcelona,” says Palau-Ribes, “so we thought it would be a good starting point: to take an ordinary old bike and turn it into something special.” And special this one is. The mods are well thought-out and functional, with a 34mm Dell’Orto carburetor and short-throw throttle adding to the rider experience.
    Yamaha SR250
    The bars are from a Sherco 450i enduro bike, and the triple clamps and footrests are from a Honda CRF. Dunlop K180 tires ride on Excel Takasago 2.50 x 18” rims, and Betor shocks smooth out the ride. The SR250 also now has a kickstarter and the tank is from a vintage (and rare) Derbi Tricampeona moped. A classy paintjob from the Spanish company “Chop In Art” provides the finishing touch.
    Yamaha SR250
    I’m betting we’ll be hearing a lot more about Reborn Motors. This SR250 is a pretty good start, wouldn’t you say?
    Photography by Jose Maria Espallargas  .from BIKEexif 
    Yamaha SR250