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    lundi 14 septembre 2015

    The Concours of Elegance brought sunshine and £100m+ of cars to Scotland


    Uncharacteristically bathed in glorious sunshine for the entire weekend, the lawns of Holyroodhouse Palace in Edinburgh hosted 60 upper-echelon automobiles for the fourth Royal Concours of Elegance…
    The event’s organisers once again went with the unique ‘all cars are winners’ formula, so none of the cars was singled out by the steering committee for individual prizes – although the owners’ choice ‘Best in Show’ award went to the earliest machine at the event, the 1903 Mercedes 60HP Simplex. In the end, it was the car’s complex engineering combined with the female crew’s tenacity (and surprising speed) on the pre-Concours tour that earned the votes of their driving peers. By claiming the title, the German-owned car will automatically be invited to The Quail in 2016, as part of a new ‘Best of the Best’ initiative that will gather the overall winners from the six most prestigious concours events in the calendar.

    112 years of automotive highpoints

    At the other end of the 2015 event’s impressive chronological span were two of the latest Ferraris: a rather intimidating ‘LaF’, and an F12 that had come to Scotland via Carrozzeria Touring’s workshops in order to be transformed into a one-of-five Berlinetta Lusso. Chaperoning the elegant masterpiece was its designer, Louis de Fabribeckers, who also sketched us a theoretical ‘Quattroporte’ (four-door) version for a bit of fun, and was clearly soaking up inspiration for future projects from the magnificent machinery around him. His personal favourite from the field was the unique, Irish-owned Aston Martin DB4GT Jet by Bertone, and we doubt he was alone…

    Best of British

    Another Newport Pagnell-sired beauty was the American-owned short-chassis DB6 Volante – but it was Jaguar and Bentley that had the largest presence of the British stalwarts, each with a full day to promote their heritage. In partnership with Classic Driver, Jaguar held its own concours for private entries on the Saturday (more on that later), while Bentley used the Sunday for a number of historic vehicles, including the legendary 'Blue Train'. On the subject of patriotic provenance, a full quota of Royal vehicles was displayed, including impressive state limousines and two ‘Queensmobile’ Land Rovers.

    From the track to the concours lawn

    Other themed displays included the largest-ever gathering of Ecurie Ecosse cars – with privately owned C- and D-types watching over the other members of their racing brotherhood from the roof of their matching Commer transporter. More track-born machines came in the form of the ex-Innes Ireland 250 GTO (the most expensive car in the world when bought by Craig McCaw in 2012), Aston Martin DB4GT Zagato ‘2 VEV’, and one of the ten 275 GTS/4 Spyders commissioned by the North American Racing Team. The latter, one of the two aluminium-bodied examples, won the RAC Spirit of Motoring award and was driven enthusiastically throughout the pre-Concours tour by its owner Jon Shirley.

    A Royal treat

    Other notable cars included an F40 LM, a unique Ghia Spyder prototype on Fiat underpinnings, and an Alfa Romeo 8C 2300 that proudly bore the Scuderia Ferrari crest from its days as one of Enzo’s team cars. The organisers must be duly commended, such was the quality of cars spanning all eras, backgrounds and continents; and they announced on Sunday that the event will return to Windsor Castle next year with the Queen’s blessing. To return the favour, the field will be expanded from 60 to 90 cars to celebrate Her Majesty’s 90th birthday – and if the quality of entries at this year’s Concours can be upheld, we’re in for a Royal treat… quite literally.
    Photos: Tom Shaxson for Classic Driver © 2015

    Motorworld Classics 2015 – New classic motor show opens in Berlin


    Berlin now has its own classic motor show. From 8 to 11 October 2015, the very first Motorworld Classics will open in the Berlin ExpoCenter City, where you will find plenty of friendly faces from the Classic Driver Market taking part.

    Classic show in a historic setting

    It’s not just London and Paris that welcomes classic automobile and motorcycle enthusiasts: Berlin now has a blossoming classic scene – and Motorworld Classics will make sure the city gets the attention it deserves. The venue is a historic hall near the ‘Funkturm Berlin’, a former broadcasting tower in the Charlottenburg area of Berlin, commemorating the Berlin trade fairs of the 1920s and 1930s. The focus of Motorworld Classics is on pre-War cars, dream cars and young-timers, with a rich variety of exhibits from numerous prestigious dealers. The event programme also offers an auction and a special display of the classics that were being produced at the same time in East and West Germany. The organisers tell us that some exhibitor space is still available, so don’t delay if you want to present your wares at the very first Motorworld Classics.
    Motorworld Classics will be held from 8 to 11 October 2015, at the historic Funkturm Berlin in Berlin-Charlottenburg. For more information, see motorworld-classics.de.

    Baz quatrième à Misano et leader de la catégorie Open !

    Baz quatrième à Misano et leader de la catégorie Open !

    Le Français a brillé dans des conditions difficiles et terminé devant le maître des lieux, Valentino Rossi.
    Maîtrisant à la perfection des conditions météo très difficiles à gérer, Loris Baz a réussi le magnifique exploit de terminer en quatrième position, cédant seulement la troisième marche du podium dans les tous derniers tours. Grâce à cette performance impressionnante, il est désormais nettement en tête au championnat de la catégorie Open, avec 5 points d’avance sur Héctor Barberá et 12 sur Jack Miller. Cette belle quatrième place de Misano (devant Valentino Rossi) lui permet d’occuper désormais la quinzième position au classement général du Championnat du Monde.
    Baz s’élançait en seizième position lors du départ, alors qu’en tête Jorge Lorenzo devançait Marc Márquez et Valentino Rossi. La pluie commençait à tomber et les équipes préparaient les deuxièmes motos. Après avoir changé de machines pour pouvoir disposer de pneus pluie, à 20 tours de la fin, Marquez précédait Lorenzo de 0.5 et Rossi de 4.1. Loris Baz pointait en neuvième position. Claudio Corti et Loris, les deux pilotes de l’équipe Forward Racing, étaient les premiers à changer de motos pour repartir en slicks. Les trajectoires séchaient rapidement, sur un mètre de large environ selon les endroits.
    A 12 tours du drapeau à damier, peu après la mi-course, Rossi passait en tête devant Lorenzo et Márquez. Baz en slicks tournait en 1’39, contre 1’48 pour les trois leaders qui ne rentraient toujours pas. Loris remontait en treizième position. A 10 tours de la fin, Márquez rentrait aux stands, alors que Rossi et Lorenzo continuaient en 1’47. Baz passait cinquième ! Alors qu’il ne restait plus que 6 tours, Jorge Lorenzo chutait sans gravité. Márquez menait avec 6 secondes d’avance sur Bradley Smith et 11 sur… Loris troisième ! Redding était quatrième à 4.5 du Français. Rossi occupait la cinquième position, mais à 12 secondes de Redding. Baz cédait la troisième place à Redding à 4 tours de la fin, 14 secondes devant Valentino Rossi. Il terminait finalement quatrième, prouvant ainsi qu’il méritait largement sa place en MotoGP, et beaucoup se rappelleront très longtemps avec émotion de sa victoire en Open et de sa sublime quatrième position au général ce dimanche 13 septembre 2015 sur le « Misano World Circuit Marco Simoncelli. »
    « Cette course a été un peu folle, avec les changements de motos, expliquait Loris. Tout de suite il s’est mis à pleuvoir, ce qui rendait les choses compliquées. Il ne fallait pas faire d’erreurs et rester sur ses roues. J’ai réussi à rester dans ces conditions devant mon groupe en étant déjà premier Open, aux alentours de la douzième place. Après j’ai été un des premiers à rentrer alors qu’il pleuvait pour mettre les pneus pluie. Puis ça a très vite séché. J’avais un bon rythme avec ces pneus-là, mais malheureusement j’ai fait une petite erreur et tiré tout droit parce que la piste séchait rapidement et surchauffait le pneu avant.
    « Je pense que la clé a été de rentrer rapidement ensuite pour remettre les slicks. Je suis revenu aux stands et le team y a fait un superbe travail car je ne leur avais pas fait signe que j’allais rentrer, je l’ai décidé seul au dernier moment. Quand je suis rentré, ils ont eu à peine six secondes pour démarrer la moto et retirer les couvertures chauffantes. Ça n’a pas été simple mais on a réussi.
    « De retour en piste, il était très difficile au niveau des couleurs de voir où le revêtement était sec et où il était humide. Il était compliqué aussi de savoir quelle position j’occupais. Je savais que j’étais premier Open, mais sans connaître ma place au classement général. À trois tours de la fin, j’ai vu que j’étais troisième, mais avec Scott Redding derrière moi et j’étais sûr qu’il allait passer. J’ai fait ensuite en sorte de faire le moins d’erreurs possible et de ramener cette quatrième place, les points, et la première position au championnat Open. Je suis très content, et c’est bon pour tout le team après ce qui s’est passé, donc ça fait plaisir. »

    Petits pois